n° 14721 | Fiche technique | 45069 caractères | 45069Temps de lecture estimé : 25 mn | 24/12/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Paul, Marie et Pierrette ont trouvé un petit coin de paradis en faisant une promenade naturiste et Paul rêve de baiser avec les deux femmes dans un vieux chalet abandonné. Mais... | ||||
Critères: ffh fbi frousses vacances forêt amour fellation anulingus 69 pénétratio fdanus humour québec -humour -couplea3 -nature | ||||
Auteur : Ingyt Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Camping Chapitre 11 / 11 | FIN de la série |
Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.
Le lendemain matin, alors que Suzanne dort encore, Paul retrouve la belle rousse, une dame très sympathique et avenante, même à 67 ans. Ils sympathisent au point que Pierrette lui taille une petite pipe. L’exercice s’achève sous les yeux de Marie, la nièce de Pierrette venue en vacances en sa compagnie, et qui est d’ordinaire une animatrice de télévision sur laquelle Paul a déjà fantasmé.
Paul les aide à installer leur roulotte, puis se trouve soudain surpris par Suzanne, qui lui avoue avoir filmé la fellation matinale. Tabarnouche ! Heureusement que Suzanne n’est pas jalouse !
Paul apprend que sa copine doit le laisser seul pour quelques jours. Il se trouve aussitôt une excuse pour retourner voir ses jolies voisines de camping et a droit à un strip-tease involontaire de la part de la belle Marie Lemieux, lectrice de nouvelles à la télé. Et cela a été possible grâce à la complicité de sa tante Pierrette. Voilà une journée qui a bien commencé pour Paul !
Paul, nu et armé de sa minicaméra, décide de retourner au campement des deux rousses pour les filmer en douce. Mais l’aventure s’avère plus périlleuse que prévu, voire douloureuse. Toutefois, cela en valait la peine, car il les surprend à parler de lui et de sexe en prenant un bon café, bien installées toutes les deux au soleil et légèrement vêtues. Cela l’excite évidemment au plus haut point. Caché dans les buissons, il ne manque rien de leur conversation tout en filmant.
La chance lui sourit quand elles se dévêtent complètement, mais c’est à ce moment qu’un ours décide de s’inviter à la fête. Panique totale et tous trois filent (complètement nus) se réfugier dans la roulotte de Paul. Pierrette en profite et lui saute aussitôt dessus, bientôt imitée par sa nièce, mais leurs petits jeux se terminent plutôt rapidement et Paul, épuisé et endolori, s’endort. À son réveil elles ont disparu, mais il trouve une note sur sa table de cuisine. La nièce, la belle grande vedette de la télé, l’invite à souper en tête-à-tête.
Pendant que Paul se fait beau, un garde-chasse débarque et lui apprend que l’ours qui rôdait dans les parages a été capturé. Soulagé, mais le corps meurtri et avec un tour de reins, il se rend pénitent à son rendez-vous, s’attendant à passer un bon moment avec une baise facile. Hélas ! les catastrophes se succèdent et un ouragan leur tombe dessus. Mais une fois réfugiés tous deux dans la roulotte de Marie… la belle se dénude et lui saute dessus.
Ils baisent pendant que la nature se déchaîne pour finir par s’endormir épuisés.
Le lendemain c’est la dévastation, mais une équipe de tronçonneurs est déjà au travail pour dégager la route et leur terrain en reluquant la belle grande rousse en costume de bain. Puis Paul, Marie et Pierrette partent à l’aventure pour une randonnée naturiste et découvrent un petit coin de paradis. Une belle cascade, un grand lagon et un vieux chalet.
En baisant avec Pierrette, Paul apprend que celle-ci est lesbienne, que Marie est bi et, qu’en plus, elle est sûrement sa sœur. Cela le bouleverse un petit peu étant donné qu’il en est amoureux et qu’il rêve d’une bonne baise à trois. Paul ne sait pas s’il doit le lui dire ou non.
Il n’y a rien de mieux qu’un écureuil qui vous mordille une oreille pour vous réveiller.
L’écureuil se plaignit en sautant sur un tronc d’arbre desséché amené là par la rivière. Je ne savais pas que ces petits animaux-là étaient nécrophages. Bizarre. Je roulai sur le dos en me frottant l’oreille, je saignais un peu. Les filles étaient assises à la table là-haut et riaient en mangeant.
Je partis les rejoindre encore tout endormi en contournant le bassin suivi par l’écureuil qui avait sans doute décidé de devenir gay.
Elles me regardèrent drôlement tandis que je déballais mon lunch. Est-ce que Pierrette lui avait tout avoué ?
Stupéfait, c’est le mot qui convient, je crois. Je regardai Pierrette qui se contenta de me faire un mince sourire avant de dire :
Ouf, mes épaules se relevèrent.
« Yes, me dis-je, elle a déjà tout arrangé pour le trip à trois. Bingo ! » Mais je fis semblant d’être surpris.
Gros rire.
Elle semblait prendre la nouvelle de son adoption plutôt bien.
Elles rirent et Pierrette bâilla et moi je vis un gros raton laveur courir sur le toit de la cabane et disparaître soudainement.
Elle bâilla encore tout en s’étirant, bras en l’air, projetant sa poitrine en avant. Wow !
On la regarda entrer dans la cabane et on entendit hurler une minute plus tard, la porte s’ouvrit et un pauvre raton en sortit cul par-dessus tête à grands coups de balai. Pierrette referma la porte. L’animal, sous le choc, nous regarda un instant avant de filer la queue entre les jambes.
Ses cheveux avaient séché et elle plissait les yeux à cause du soleil en croquant dans une pomme, seins écrasés sur la table. Je me demandais si c’était de son visage que je me rappelais et non celui de ma sœur.
Gros soupir encore de ma part.
Là, elle eut un autre gros sourire bien mystérieux qui m’intrigua tandis que je déballais en salivant d’envie un bâton de pepperoni au bœuf épicé.
J’en pris une grosse bouchée en mordant à pleines dents dans la viande de cow-boy séchée et fumée.
J’avais l’impression d’avoir bu du tabasco. Pire : d’avoir mordu dans un bloc de lave en fusion. Ils avaient dû faire une erreur dans le dosage, à l’usine.
Je devais ressembler à une bonne sœur de 112 ans qui grimace, car elle me fixa drôlement tandis que je recrachais ma bouchée par terre et calais la moitié de ma bouteille d’eau, le corps en sueur.
Elle me tendit une lettre de Suzanne qui avait dû passer sans m’appeler. C’était mauvais signe. Elle me donna aussi un billet de loto.
Elle prit du papier de toilette dans son sac et fila derrière le camp et elle cria aussitôt.
J’ouvris la lettre tandis que du coin de l’œil je vis le raton apparaître, s’emparer de quelque chose dans l’herbe et grimper sur une souche. Il tenait mon pepperoni, évidemment, qu’il déballa habilement avec ses petites mains presque humaines pour s’enfuir avec sous les arbres.
Suzanne me laissait encore une fois, se confondant en excuses, elle m’avait ramené l’auto et elle allait déjà ramasser ses affaires à la maison avec l’autre.
Gros, gros soupir.
Un petit air de déception s’afficha sur son visage tandis qu’elle me jetait un coup d’œil.
Marie gratta avec ses ongles des cases au hasard et se figea.
Regard vide de ma part.
Là, elle me prit les mains en me faisant les yeux doux. Je la regardai confus.
Gros sourire. Mais la blague tombe à plat.
Cette fois, mon disque dur était vraiment figé.
Ses jolis yeux en amande se fermèrent quasiment.
Là elle rit.
Là, je regardai la cabane pis la chute, pis le raton qui buvait et buvait et je dis :
Je la fixai indifférent avec sans doute de beaux grands yeux de poisson.
Plouf ! Le raton venait de se jeter dans le bassin.
Elle me prit par la main et m’entraîna au bout du terrain vers la cascade. Un sentier grimpait dans les bois et elle marchait devant moi. Good. Par endroits, il y avait les restes d’un escalier.
Une fois là-haut, je vis une grande plate-forme d’observation aussi vétuste que le reste, mais encore assez solide. On y grimpa, la vue y était superbe sur la rivière qu’elle surplombait et la cascade.
Évidemment, je compris que la belle Marie Lemieux m’offrait de m’installer avec elle. Wow ! C’était rapide, mais à 50 ans, on n’a pas trop, trop de temps à perdre. Et comment refuser ça ? Mais j’avais le goût de la faire languir un petit peu.
Elle me fit de beaux yeux, tout sourire.
Là, elle fit vraiment une drôle de face.
Gros rire de quelques minutes puis elle s’essuya les yeux en disant :
Elle se tourna et me montra ses fesses en souriant.
Elle se tapait les fesses, appuyée à la rambarde jambes écartées, je bandai rapidement et m’installai derrière elle comme un automate, ne pouvant m’en empêcher, mais tout de même un peu songeur. Ma blonde me laisse, j’en trouve une autre aussi sec et pas n’importe laquelle et je gagne cent mille la même journée. Wow ! J’empoignai ma bite en mordillant la nuque de Marie à travers ses longs cheveux soyeux et poussai.
Et on hurla.
La vieille rambarde avait cédé, on tomba dans les eaux sombres de la rivière qui, heureusement pour nous, était assez profonde à cet endroit pour amortir notre chute. Mais une fois sous l’eau, le courant nous tira et on se mit à dévaler la cascade comme dans une glissade d’eau, mais cul par-dessus tête en hurlant toujours.
Nous fûmes précipités à grande vitesse dans le bassin et je ne m’en tirais pas si mal jusqu’à ce que Marie m’envoie un coup de coude dans un œil et que moi je lui écrase un sein avec mon genou sous l’eau.
Au-dessus de nous, le raton fuyait en nageant.
Une fois à genoux sur la plage en crachant de l’eau et toussant on entendit Pierrette crier depuis la cabane.
On roula sur le dos, heureux d’être vivants. Il nous fallut un moment pour nous remettre en fixant le ciel bleu.
On rit à bout de souffle.
Elle roula sur le ventre, enleva le sable de sur ses fesses et dit en se les tapotant.
Elle posa sa tête sur ses bras croisés et ferma les yeux.
Je déglutis en la voyant écarter un peu les jambes avec l’écureuil qui me regardait méchamment tout près.
Je fixai son cul bombé et encore ferme et je bandai à nouveau et probablement tout aussi rapidement qu’un plombier arabe effectuant une petite réparation dans un harem.
Mais là, ma vision périphérique enregistra quelque chose.
Le raton grimpait par les escaliers en se secouant comme un chien mouillé, il avait dû sentir la bouffe dans nos sacs, car il courut vers la table, y grimpa puis s’empara de quelque chose…
Un petit objet rectangulaire en carton jaune et vert qu’il commença à mâchouiller.
Mais je courais déjà comme un malade vers les escaliers.
Je réussis à échanger mon billet de loto contre une moitié sandwich au jambon que le raton laveur dévora sur place, bien assis sur la table. Il me surveillait avec son regard presque humain sous son masque de Kato. Marie, qui m’avait suivi, était sur le téléphone à présent, j’allais devoir oublier son beau derrière pour le moment. Je mis le billet en sécurité dans mon sac et filai en arrière de la cabane pisser un coup et là, je vis appuyée contre un arbre, la vieille bicyclette sur laquelle j’avais vu Pierrette pour la première fois. Juste à côté il y avait un chemin, juste deux ornières en fait, qui s’enfonçait dans la forêt sombre et qui devait rejoindre la route. Elle avait pris le vélo pour revenir de la roulotte. En secouant ma bite, je grimaçai, j’avais mal partout encore une fois. La petite descente de la cascade, sans doute.
Le ciel se couvrait, tout devenait gris et plus humide. J’espérais juste que ce ne soit que de la pluie et pas un autre ouragan.
Quand je revins à la table le raton me regardait, les yeux larmoyants, genre…
« J’ai encore faim, pitié, c’est dur, monsieur, de vivre dans le bois vous savez. On n’a pas de frigo rempli de bonnes choses nous dans nos terriers. Ni de supermarché comme vous les humains… »
Mais ce salaud m’avait fait manquer le cul de Marie et avait failli avaler mon billet gagnant alors je perdis patience.
Il me sauta dans la face.
Quand je revins à moi, j’étais couché dans le grand lit sur lequel on avait mis un drap. Il faisait plus sombre, Pierrette et Marie riaient comme des folles assises toutes les deux à côté de moi en épongeant mes nouvelles égratignures tandis que je grimaçais en me voyant étrangler ce maudit animal.
Encore des rires.
La tante commença à me branler en s’étendant à côté de moi, j’en profitai pour glisser une main sur ses fesses, heureux de sentir son corps chaud et doux contre le mien, et pour poser mon autre main sur la hanche gauche de Marie.
Je me sentais effectivement et étrangement beaucoup mieux tout à coup.
Elle frotta mon gland sur les fesses de Marie qui la regarda avec un petit sourire pincé en tirant sur ma pauvre bite pour la passer par-devant contre son pubis. Mais la tante la retira par-derrière comme si c’était un bras de vitesse. Ouf…
Mon pénis pliait en passant d’un côté à l’autre bien serré par deux belles petites mains. Elles riaient en changeant de vitesse et moi je grimaçais comme le malade que j’étais et bandé de plus en plus dur en plus.
« Outch ! » Ça, c’était encore moi, mais en pensée.
La serviette m’avait glissé sur les yeux, je l’enlevai et la jetai quelque part.
Elles stoppèrent leurs petits jeux et se regardèrent en s’affrontant du regard en tenant toujours fermement ma bite toutes les deux. Puis elles rirent en me masturbant ensemble, moi je soupirai de soulagement en levant les yeux vers le plafond.
Panique totale !
Kato était là, perché sur une des grosses poutres qui soutenaient le toit juste au-dessus de moi et il me fixait méchamment, ce damné raton laveur.
Elles suivirent mon regard en soulevant la tête toutes les deux et rirent.
Mais il ne bougea pas.
Kato se retourna aussitôt, sauta habilement sur la longue poutre qui faisait toute la longueur du chalet qu’il longea pour se laisser tomber sur la table, puis par terre, et il fila jusqu’à un bol près du poêle pour se mettre à manger quelque chose.
Elle était mouillée à point, ma queue entra dans sa fente avec une facilité déconcertante. Je fermai les yeux de plaisir, juste un battement de cœur.
Elle soupira en se penchant sur moi plaquant sa joue contre la mienne. Là, je pus voir par-dessus son long dos recourbé et son cul splendide que Pierrette lui léchait la craque de fesses de haut en bas en me faisant un petit clin d’œil. Je sentis mon engin durcir plus, bien enfoncé jusqu’aux couilles dans le vagin humide.
Pierrette était ultra-bandante les cheveux remontés comme ça. Elle me faisait penser à ces visages que l’on voyait sur les camées d’antan à l’époque victorienne.
Ma jolie bombe rousse semblait grandement apprécier le petit coup de lèche en plus de ma bite en elle en commençant à onduler du bassin. Pierrette laissait sa langue courir sur ma hampe et mes couilles en revenant au cul de Marie ou sortait carrément mon gland du con détrempé pour me le sucer avidement avant de le remettre dans la fente juteuse.
Doux Jésus ! J’en salivais à m’en étouffer.
Kato, le ventre plein sans doute, fila se coucher sous le poêle et ferma les yeux.
Par les fenêtres, je vis qu’il y avait une brume épaisse qui englobait la cabane et qu’une pluie fine commençait à tomber en crépitant sur le toit.
C’est ça le paradis, faut pas chercher plus loin. Deux belles femmes à baiser en même temps, un bon lit, un toit sur la tête et un billet de loto gagnant dans la poche.
Soudain, un doigt entra dans le cul de Marie qui soupira plus fort contre mon oreille en se crispant un peu, je le sentais très bien par la mince paroi anale séparant le vagin du rectum. Ouf ! Elle semblait manquer d’air…
Et moi donc ! La tante me gobait les couilles, en plus ! Mon petit cœur s’emballa tandis que mes genoux se repliaient tout seuls.
Quelque chose craqua méchamment. Mon genou droit. Outch !
Ce petit jeu dura un moment puis Pierrette nous lâcha, se suça le doigt qui sortait du cul, se redressa et claqua fortement les fesses de Marie de la main droite, l’autre posée sur ses reins, celle-ci sembla grandement apprécier en lâchant des « Ouuuu… Ah Oui… Câlice oui… »
Les vibrations de claques se répercutaient jusque dans ma queue, un pur délice, et je fixais les fesses qui rebondissaient terriblement tout comme les seins de la tante. Une vision de rêve encore une fois. La vulve de Marie se remplit de liquide qui me dégoulinait sur les couilles tandis qu’elle s’empalait toujours sur ma queue. Mon gland était devenu si sensible que je grimaçais comme un pauvre prisonnier politique chinois.
Puis Marie fut secouée par des spasmes tout à coup, peut-être qu’elle jouissait, la chanceuse.
Pierrette me fixait, le sourire aux lèvres, elle s’amusait bien visiblement, comme toujours.
Le bruit des claques sembla perturber Kato qui ouvrit un œil, mais juste un instant.
Puis la tante stoppa pour refermer une main à la base de mon pénis et serrer très fort, Marie stoppa en geignant, le visage tout rougi, les yeux réduits à deux petites fentes et Pierrette se mit à secouer ma bite dans le vagin avec force. Je me crispai de plaisir, tous mes muscles se tendirent, mes orteils se dressèrent au garde-à-vous, si elle n’avait pas enserré ma bite aussi fort, j’aurais déchargé toute ma semence dans le vagin. Mais là, impossible, elle me bloquait le canal et Marie semblait jouir, elle rougissait jusqu’aux épaules en gémissant. On aurait pu croire qu’elle pleurait.
Pierrette fixait ma bite à présent, très sérieuse, excitée sans doute autant par mon membre que le con juteux.
Au bout d’un moment, Marie sembla à bout de force, je la sentais respirer très fort par son ventre collé au mien et Pierrette stoppa, se retourna et poussa du cul sa nièce pour que ma queue sorte de son vagin, elle s’en empara sans ménagement et s’assit dessus dos a Marie et un peu vite m’arrachant de sacrées grosses grimaces. J’avais le visage entre des seins chauds et j’en profitai pour en amener les pointes à ma bouche. Enfin !
Sa peau si douce goûtait salé, un pur délice, et les pointes de ses seins rallongeaient et gonflaient entre mes lèvres humides.
Pierrette était aussi mouillée que sa nièce et il fallait que je pense à autre chose si je ne voulais pas jouir trop vite. OK ! Mais à quoi ?
« La tortue géante à tête bleue des marais de Louisiane est sans doute… »
Houfff… !
Au bout d’un moment, Marie se redressa sur les mains en me fixant, les yeux brumeux, me souriant en se frottant toujours le derrière contre celui de Pierrette, si belle que mon cœur s’emballa tandis que je pressais ses seins. Elle me tapota les mamelons d’un doigt, puis me les tordit… Encore. Outch ! J’allais jouir…
« Le mégalodon était un prédateur redoutable à l’époque de… »
Marche pas.
« Le saint Graal a été retrouvé dans une cathédrale en Italie grâce à la traduction… »
Marche pas…
« Angélina Jolie »
« Ouuuu… pense à autre chose, pis vite… »
« Pas trop de sel, de la moutarde séchée et un peu de coriandre, on coupe en tranches fines et… »
Petit Jésus !
Encore un gros french puis Marie se retourna avec précautions et plaqua son sexe humide sur mon visage. J’y enfonçai ma langue aussitôt le nez contre son anus bombé en empoignant son beau cul à pleines mains. Je pus détailler en gros plan son étrange tatouage, deux petites cerises.
Ça marche.
Je repartis à la conquête du point G avec ma langue. J’allais sûrement arriver un jour à le trouver.
Au passage j’agaçais l’anus qu’elle m’avait offert si généreusement tout à l’heure me promettant d’aller le visiter dès que je le pourrais.
Pierrette se redressa, sortit ma bite de son con et je sentis deux bouches débordantes de salive me sucer tour à tour ou me la lécher. Ouf ! Deux langues l’une contre l’autre qui se tortillaient sur mon gland, des lèvres douces me mordillaient la peau, des doigts pressant mes couilles, ma hampe, une vraie torture. J’en frémissais de partout la bouche remplie de déjections vaginales. Quand une bouche se refermait sur ma bite, mes fesses se resserraient toutes seules et mon bassin se soulevait pour essayer de la pousser jusque dans la gorge.
Kato ronflait. Pauvre madame Kato.
Ma bite passait d’une bouche à l’autre, mon gland touchant des dents, des palais, des langues… Elles se frenchaient contre ma queue ultrasensible… Puis une paire de seins mous m’enserra la bite tandis qu’une bouche me suçait le gland qui en jaillissait.
Je léchais la plote de haut en bas jusqu’à l’anus bombé et salé pour me changer les idées.
Pierrette se releva et Marie lui fourra ma bite dans le vagin sans la lâcher et je sentis le bout de sa petite langue pointue lui agacer le clito. Pierrette râla en se pognant les seins les yeux clos en s’empalant sur ma queue heurtant le poing fermé de sa nièce par adoption.
Je rentrai ma langue dans le petit trou de Marie le plus profond possible et l’agitai. Elle grogna en dodelinant du cul… J’enfonçai en même temps deux doigts dans son con et sentis ma langue.
Pierrette laissa ma bite ressortir et Marie la goba profondément et me suça, sa tante lui agrippa les cheveux pour la forcer à me pomper plus vite et plus profondément. Moi, je la fourrais toujours avec mes doigts et ma langue. C’était fantastique, presque trop. Parfois Pierrette relevait la tête de Marie pour la frencher puis la forçait à me ravaler. Au bout d’un moment j’allais enfin venir, mais…
Elles me lâchèrent pour faire un beau 69, Pierrette en dessous. Je me faufilai derrière Marie pour la pénétrer en sentant Pierrette me gober les couilles. Un pur bonheur.
Parfois je sortais ma bite du vagin pour me la faire sucer par la tante et, à la troisième fois, Marie me dit :
C’est ce que je fis, prudemment, tandis que Pierrette lui léchait la vulve.
Quelle sensation que d’être dans le cul étroit de Marie Lemieux en sentant sa tante lécher mes couilles et sa plote tandis qu’elle, elle léchait sa tante ! Sublime.
Je l’enculai un bon moment, apercevant soudainement l’écureuil sur la table de cuisine qui nous fixait comme si ça pouvait l’exciter celui-là. Je sortis ma bite du cul pour la fourrer dans la bouche de Pierrette, puis dans le vagin de Marie et encore le cul et ainsi de suite jusqu’à ce que l’orgasme arrive. J’avais le choix pour décharger, je choisis le cul et lui remplis le rectum de foutre chaud avant de me faire sucer encore un peu par Pierrette puis je les laissai s’amuser toutes les deux en allant manger un peu avec l’écureuil et me faire un bon café.
Elles finirent par s’endormir dans les bras l’une de l’autre et j’allais les rejoindre en bâillant, mais le maudit Kato me sauta sur un mollet…
Assis dans le salon de ma nouvelle vie à prendre mon premier café du matin, je regardais par les grandes baies vitrées une grosse neige floconneuse tomber sur la forêt et la cascade. C’était magnifique.
Marie arriva, portant encore le pyjama d’homme qu’elle enfilait toujours pour dormir, café à la main et, malheureusement, ses énormes pantoufles roses à longs poils aux pieds. C’était navrant de voir qu’une femme aussi brillante et intelligente que Marie osait porter une atrocité pareille. Elle resta debout devant moi à regarder la neige tomber. La lumière hivernale rendait son pyjama transparent, elle ne portait rien en dessous.
J’avalai ma gorgée un peu croche et toussai. C’était donc elle l’autre vedette connue avec qui elle baisait. Marie-France Corbeil, la petite brunette animatrice qui faisait bander tout le monde.
Wow !
Marie me regarda tout sourire.
Elle vint s’asseoir sur mes pauvres genoux qui craquèrent atrocement et me dit :
Kato arriva et s’assit le cul dans la neige sur notre grande terrasse et nous regardait genre :
« Pitié, je peux-tu entrer, vos grandes maisons sont chauffées, pas mon petit terrier et j’ai si faim… »
Une voiture arrivait, je me mis à bander sous les fesses de ma belle grande bombe.
Elle me regarda avec un étrange sourire.
Petit Jésus !
Un peu de vocabulaire…
Abitibi : région de l’ouest du Québec
Asteure : maintenant
Agace : femme provocante
Un bec : un baiser
Barré : verrouillé, fermé à clef
Babouches : sandales de plage
Baveux : arrogant, moqueur
Brasser : secouer
Bouette : boue
Ma blonde : ma copine, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…
Ça regarde bien : ça s’annonce bien
Cégep : le collège
Chambranler : vaciller, tituber
(La) craque de fesses, la craque de plote : la raie du cul, la fente du sexe
Creux : profond, lointain
Câlis, crisse, ciboire, christi : jurons
C’est cute : c’est chouette, c’est mignon, sympathique
Chut : je suis
Crampé : plié de rire (ou pris d’une crampe)
(Tout) croche : tout de travers
Décrisse ! : fous le camp !
Enfarger : trébucher
Encan : vente aux enchères
Frencher : embrasser avec la langue
(Le) fun : l’amusement, le plaisir
Fret : froid
(une) Gagne : une bande
Garnotte : gravier
Gazou : mirliton
Gratteux : billet de loterie
(avoir le) Goût : (avoir l’) envie
Liqueur : soda, boisson gazeuse
Moumoune : délicat(e)
Maudit : juron
(Avoir de la) misère : (avoir des) difficultés
(des) Ménés : des vairons, du fretin
Niaiseux : idiot
(Sa) noune : son sexe (femme)
Nono, nonote : niais(e), imbécile
(Un) pouce : un auto-stop
Par exemple : par contre
Pogné : ému, embarrassé, intimidé, réservé
Pogner : prendre, attraper
Pis : puis
(Sa) plote : son sexe (femme)
Pantoute : du tout
Pareil : quand même
(C’est) plate : c’est fâcheux, c’est ennuyeux
Sacrement, shit : jurons
Tabarnak : gros juron
Tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers qu’on prononce pour éviter « tabarnak »
Triper, flipper : fantasmer