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Temps de lecture estimé : 9 mn
24/12/11
Résumé:  Mon arrivée chez tonton et notre balade en voiture.
Critères:  hplusag oncletante vacances voir exhib nopéné -hplusag
Auteur : Mia  (Grande brune aux petits seins)      Envoi mini-message

Série : Vacances d'été chez tonton

Chapitre 01
Mon arrivée

Je viens d’avoir mon baccalauréat (avec mention, je suis super fière) et, suite à l’annulation d’un plan avec des copines (mon amie Sandra l’a pas eu, alors elle boude un peu et va tenter l’oral, mais c’est pas gagné, du coup elle révise et Anna s’est cassé la jambe, donc c’est grillé pour aller passer une semaine chez sa sœur et son copain près de Marseille), j’ai demandé à ma tante Nadia de m’accueillir pour quinze jours chez elle et mon oncle dans leur maison dans le Sud de la France. Ce qu’elle a évidemment accepté.


En réalité, ce n’est pas du tout ma tante mais une amie d’enfance de ma mère, mais pour nous cela est sans importance. Elle a 39 ans et mon « oncle » Gérard 35 ans. Ils sont gentils, ils nous accueillent presque chaque année et leur maison est, pour mon frère et moi, synonyme de vacances. Mon frère est en Italie avec sa copine cette année, du coup j’ai pris quelques livres au cas où je m’ennuierais un peu.


Mon train arrive à la petite gare du coin, je suis en petite robe jaune légère qui met en valeur mes petits seins de grande brune. J’ai fait le trajet depuis Lille sans souci particulier, hormis le contrôleur qui aurait, a priori, aimé contrôler plus que mon billet, vu son regard bien peu discret sur ma poitrine, que je n’ai pourtant pas si grosse. Peut-être que dans le Sud, ils ne voient pas souvent de jolies lilloises.


J’ai eu un de ces vieux trains où les wagons sont divisés en petites cabines, je n’ai vu ces trains-là que sur cette ligne, jamais dans le Nord où je prends pourtant souvent le train. Cela me semble un peu hors du temps et est intimement associé aux vacances.


J’ai ensuite papoté avec une Argentine, ma compagne de cabine, très sympathique, qui rejoint des amis pas très loin du village où je vais et qui m’a indiqué, dans un français parfait, agrémenté d’un air coquin, qu’elle allait « sûrement beaucoup s’amuser » durant ses vacances. Nous avons toutes deux éclaté de rire puis je lui ai dit que ce contrôleur avait été bien mal inspiré de regarder avec envie ma poitrine, vu que la sienne était bien plus appétissante, nous avons toutes deux beaucoup ri et quand le contrôleur est repassé dans le couloir, elle a relevé son débardeur et a exhibé fièrement ses seins à la vitre en riant, ce qui l’a étrangement fait fuir. Je l’ai félicitée pour son audace puis elle est descendue peu de temps après à son arrêt, juste après avoir pris mon numéro de téléphone. Il ne me restait alors que deux petits arrêts.


Mes copines me trouvent un peu insouciante par rapport aux hommes mais, à côté de mon Argentine, je suis une coincée, pourtant j’aime jouer un peu de mes atouts en veillant toutefois à ne jamais en tirer un bénéfice, juste pour m’amuser et égayer la journée.



Je le taquine car l’an dernier il nous a oubliés mon frère et moi à la gare et vu que ni mon frère ni moi n’avions de crédit, on a dû attendre au moins trente minutes que ma mère nous appelle pour avoir des nouvelles. Énervée, elle a ensuite appelé mon oncle qui est accouru avec sa 2CV en moins de dix minutes. Nous attendions sur le parking de la gare.



Il m’achète un sandwich au fromage et m’accompagne à sa voiture.



Je dis ça car Nadia est un peu jalouse. L’an dernier, quand nous étions en vacances chez eux, la fromagère lui a offert un morceau d’un autre fromage que celui qu’il a commandé pour qu’il l’essaye et elle est devenue suspicieuse. Depuis, elle a changé de magasin pour le fromage. Alors comme au marché il n’y a qu’un seul stand, elle fait maintenant douze kilomètres pour acheter du fromage.



Vrombir le moteur c’est une expression de vieux Tonton.


On arrive à la maison assez vite, la gare n’est pas loin.



Pendant qu’on parle, je déverse mes vêtements en tas sur l’étagère qu’il m’a dégagée, il reprend alors sans rien dire les vêtements, en plie une partie avec attention et met le reste sur des cintres


C’est amusant de le voir hésiter un peu sur la façon de plier le premier string qu’il attrape, heureusement pour lui, j’ai pris surtout des culottes.


Il met tout ça bien en place. Il devrait voir comment c’est dans ma chambre à Lille ! Le linge, je le laisse souvent dans le panier et dans l’armoire, il y a pêle-mêle des vêtements, des cours, des CD… Et heureusement que j’ai pas pris le petit vibro que mon ex m’a acheté pour mon anniversaire. (J’ai hésité à le prendre, je l’adore !) Mon oncle aurait sûrement fait une drôle de tête en le trouvant au milieu des mes vêtements !



Le vent fouette mon visage, c’est très agréable, mais il fait bien vite remonter ma robe, et dans le rétroviseur Tonton a une vue parfaite sur ma petite culotte rose à dentelle blanche.


Je m’en fiche mais je crois déceler un petit sourire, même s’il fait semblant de rien voir.


Il accélère un peu et je suis obligée de me coucher sur la carrosserie pour rester stable. Ma robe remonte jusqu’à ma tête et je ne vois plus le paysage, tandis que Tonton doit avoir une vue parfaite sur tout mon corps à l’exception de ma tête. Je n’ai pas mis de soutien-gorge mais tant pis, de toute façon avec mes petits seins c’est pas super utile. Je lui crie de s’arrêter, mais il s’amuse beaucoup et tarde à obtempérer.



Je replace ma robe avant de lui répondre que j’ai froid et qu’il a gagné et que je veux rentrer maintenant. Je reprends ma place devant et il rigole sur le trajet du retour.


On arrive à la maison assez vite, vu qu’on est pas parti très loin.



Qu’il dise qu’il va « essayer », m’inquiète un peu, mais de toute façon, j’ai jamais vraiment cuisiné, alors je pourrais sûrement pas faire mieux.


J’enlève vite cette robe qui m’a joué un joli tour. J’ai un petit frisson agréable en pensant à mon oncle qui a pu voir de moi ce que je n’avais pas franchement prévu de lui montrer. Mais je suis conne aussi d’avoir gardé la robe alors que je pouvais mettre un jean et un tee-shirt. Ma culotte est un peu humide, cet épisode m’a un peu excitée, je m’en étais pas vraiment rendu compte. Je caresse quelques instants mon sexe, sans vraiment me masturber. Je prends cette douche bien chaude en y restant un peu plus que nécessaire, le vent était très agréable mais m’a bien refroidie. J’enfile ensuite un peignoir et des mules assorties que Nadia a probablement laissé là, exprès pour moi, elle est vraiment attentionnée ma tante, et file vers la chambre de mon oncle pour me changer.


C’est un plain-pied, la chambre d’ami est non loin de la sienne et je vais faire un saut en cuisine, voir comment il s’en sort.


Je sens qu’il galère un peu avec les épices pour assaisonner une casserole de petits pois, mais il a presque fini.



Je m’éclipse dans la chambre et je me dis que j’ai envie de mettre mal à l’aise mon Tonton et du coup, je fais tomber le peignoir, plonge la tête dans l’armoire, en sors deux chemisiers et l’appelle.



La porte de la chambre est restée ouverte.



Je jette une de ses chemises sur le lit et attrape un petit string noir. Je m’assois ensuite sur le lit pour enfiler le string, l’ajuste avec attention autour de mon sexe qu’aucun poil ne cache à la vue de mon oncle puis j’enfile sa chemise, la boutonne tranquillement. Il me regarde sans trop savoir comment réagir. Je remets les mules et me lève rapidement.