| n° 14757 | Fiche technique | 16156 caractères | 16156Temps de lecture estimé : 10 mn | 14/01/12 |
| Résumé: Je joue un peu avec mon oncle mais je sais au final lui faire plaisir. | ||||
| Critères: fh hplusag bateau voir exhib hmast -oncle | ||||
| Auteur : Mia Envoi mini-message | ||||
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Résumé de l’épisode 1 : Jeune et jolie lilloise en vacances, je vais en vacances chez Tonton (en fait, un ami de la famille) dans le sud, le premier jour nous faisons une balade en voiture et ma robe s’envole, lui dévoilant mes petits seins. Ensuite, afin de jouer un peu avec lui, je me change devant lui.
Après m’être changée devant lui, je l’ai un peu brusqué pour que nous allions manger. Je suis uniquement vêtue de sa chemise et de ce string. Après avoir pris quelques minutes pour reprendre sa respiration normale, mon oncle semble avoir fait abstraction de ma petite exhibition et me sert tranquillement en semoule et petits pois en me parlant de la rivière du coin, presque à sec, et du voisin qui s’est mis à l’élevage de chèvres, ce qui, selon mon oncle, ferait baisser le standing du quartier. Le quartier ne m’avait pas semblé particulièrement huppé, mais mon oncle semble vraiment préoccupé par la baisse supposée de la valeur de son bien immobilier.
Cette discussion ne m’intéressant que peu, je finis bien vite ce repas un peu triste à mon goût et prends congé de mon oncle pour aller me poser dans le salon devant une série où la police scientifique arrête des criminels. Je l’ai peut-être un peu trop chauffé avec cette exhibition car il vient presque se coller à moi dans le canapé et ses yeux plongent sans subtilité dans mon entrejambe que mes jambes en tailleur et cette chemise cachent assez peu. J’attrape une couverture pour calmer un peu ses esprits et vais me coucher assez tôt. Quand il se lève pour me faire la bise et me souhaiter bonne nuit, j’observe une tension dans son pantalon mais je fais mine de rien.
La chambre d’amis est assez agréable et c’est avec un certain plaisir que je me glisse dans ces draps, le style est un peu vieillot mais j’y ai très bien dormi les années précédentes et cette année, je ne dois pas partager le lit avec mon frère, Antoine. Je peux donc me glisser nue sans subir de réflexion sur mes petits seins.
Je suis réveillée vers 10 h par mon téléphone :
Je replonge dans le sommeil une bonne heure, avant d’être réveillée par l’entrée de mon oncle dans la chambre.
Vu que je me suis couchée nue, qu’il a l’air pressé que je sois prête, que j’ai soudain très envie de faire pipi, qu’il m’a déjà vue nue hier et qu’une seconde fois lui fera sûrement plaisir, je me lève l’air de rien et file en pressant le pas jusqu’à la salle de bain. Vu son visage, je ne me suis pas trompée, cela lui fait bien plaisir.
Je me glisse sous la douche, urine dedans pour gagner du temps et en quinze minutes, je suis prête. Petit short rouge, polo blanc, jambes passées à la crème pour les rendre brillantes. Le soleil du sud me réussit bien, malgré m’être levée un peu tôt pour un premier jour de vacances, je suis assez en forme. Mon oncle m’aperçoit dans le couloir en train de me peigner devant son immense miroir et cela semble lui plaire.
Nous roulons assez calmement pour une telle voiture, mais la route est sinueuse et je doute qu’à pleine vitesse mon estomac, bien que vide, aurait apprécié. Nous arrivons dans une sorte de petit port de pêche où les bateaux des marins sont en minorité au milieu des bateaux de plaisance.
Il se glisse rapidement dans la cabine, fièrement dressé devant le tableau de bord et me demande de jeter les amarres, je m’exécute et l’entends rire de plaisir en fonçant vers la mer.
Je fais une petite inspection et trouve un espace couchette/salon/stockage de matériel sous le pont, puis viens me poser à l’avant sur un transat pour regarder tranquillement la mer. Après une grosse demi-heure, il arrête au milieu de nulle part et vient me rejoindre. Il n’y a qu’un transat alors je lui tends généreusement un coussin pour s’asseoir.
Il me semble percevoir un soupçon de ton coquin dans sa voix. Je suppose que me voir me baigner est un des objectifs de la sortie en mer, d’autant que ne m’ayant pas prévenue, je n’ai pas de maillot et il le sait. Je ne me suis jamais baignée au milieu de la mer comme ça, et j’avoue que cela me tente bien, mais je ne sais pas trop quoi penser du piège qu’il m’a tendu. Me montrer nue commence à être une habitude et cela ne me gêne pas, mais j’aime garder la maîtrise sur mon exhibition. Pour garder la main, je décide de bouquiner un moment avant d’aller me baigner.
Après une dizaine de minutes, le magazine que j’ai emmené étant assez inintéressant, je déplace le transat sur l’arrière du bateau, là où l’eau est presque au niveau du pont, attrape une serviette propre que je jette sur le transat et réalise un déshabillage volontairement lent mais face vers l’eau afin qu’il ne puisse pas en profiter pleinement. Il devra se contenter de mes fesses pour le moment, fesses que j’ai fort belles, au passage.
Il me reste des traces de mes cours de natation et j’effectue un très joli plonger dans cette eau un peu fraîche mais agréable.
Je réalise quelques mouvements aux abords du bateau. Nager dans ses conditions est assez particulier, une intense sensation de liberté m’envahit.
La fatigue se faisant un peu sentir, je reviens vers le bateau pour poser mes avant-bras sur l’arrière du bateau, comme je le fais souvent dans les piscines, et invective mon oncle.
Je le taquine un peu, sans savoir s’il va oser passer du rôle de mateur à celui de maté. Non pas que j’aie envie de le voir à poil, mais cela m’amuse. Et à y réfléchir un peu, tandis qu’il semble hésiter, je commence à me demander comment il est monté. J’ai vu son érection à travers son pantalon hier, mais cela ne rend pas pareil.
Il ne se décide pas, je me résous à prendre les choses en main, je sors de l’eau et me dirige vers lui, ce qui déjà semble lui faire plaisir, puis je fais passer son tee-shirt par dessus sa tête, ouvre sa ceinture, déboutonne son pantalon et le fais descendre. Son caleçon ne laisse aucun doute sur son état, il a déjà une belle érection. Cela ne m’arrête pas, je fais tomber tout ça et ma tête passe à trois centimètres de son sexe, il n’est pas particulièrement imposant mais il a une allure générale tout à fait plaisante. Je remarque qu’il a le sexe épilé mais qu’il reste quand même des poils sur son pubis et ses testicules. Je le fais asseoir sur le transat, enlève chaussures et chaussettes, et finis d’enlever caleçon et pantalon. Son érection semble vraiment au maximum, je me demande si cela ne lui fait pas mal tellement la bête semble tendue.
Il semble attendre autre chose mais là n’est pas mon intention. Je le pousse jusqu’à l’eau et il tombe dans l’eau plus qu’il ne plonge.
Je vais me sécher et le regarde barboter devant moi. Il n’est visiblement pas un très bon nageur. J’attrape mon baladeur et somnole un peu. Je suis sortie de ma somnolence peu après, par le bruit de mon oncle sortant de l’eau. Son sexe a retrouvé son calme, et lui grelotte un peu. Je me lève et viens lui essuyer énergiquement le dos, puis le laisse continuer seul sans pour autant m’éloigner. Je crois que j’ai envie de le voir s’essuyer.
Cette discussion lui provoque à nouveau un début d’érection.
Je sais que je suis jolie mais ça fait toujours plaisir de l’entendre. Je complexe un peu sur mes petits seins mais je sais qu’il y a des gars qui préfèrent comme ça. Faut dire qu’avec mon frère qui me taquine avec ça depuis des années, ça n’aide pas.
Oncle Gérard a assez d’émotions pour aujourd’hui, il se rhabille et se décide à rentrer au port. Je me rhabille aussi et somnole à nouveau sur le transat, mon baladeur est à court de batterie et je me laisse bercer par le moteur du bateau.
Une fois rentrée à la maison, je file pour prendre une douche afin de me débarrasser du sel, puis je me décide pour un bain. On n’a pas de baignoire à la maison et la dernière fois que j’ai pris un bain, c’était ici, l’an dernier. Au point où nous en sommes vis-à-vis de la nudité, je ne ferme même plus la porte.
Il arrive deux minutes après avec une serviette et un peignoir aussi large que celui d’hier.
Il se décide, enlève ses vêtements et me rejoint, effectivement il est encore en érection.
Cela le fait sourire puis il fait une grimace, je ris de plus belle et nous rions un long moment.
Il entreprend de se savonner, mais son sexe est encore tendu, quand il y arrive, je le taquine.
J’éclate de rire à nouveau.
En m’écoutant, sans vraiment faire attention, mon oncle a commencé à se caresser doucement.
Il s’est arrêté, j’aurais peut-être pas dû l’interrompre, la situation commence à me chauffer un peu, mais j’en suis la responsable principale.
Il ne reprend pas, je saisis son sexe et commence à faire des va-et-vient. Je crois que j’en avais envie depuis un moment mais que je n’osais pas vraiment franchir le pas. Il ne fait rien pour m’interrompre et, au contraire, met son bassin légèrement en avant pour me faciliter la tâche. Son sexe n’est pas très gros mais il est bien tendu ce qui est agréable ; branler un sexe à moitié mou est assez désagréable, je trouve. C’est à la fois peu pratique et vexant. Ce fut le cas avec mon premier copain que j’ai un peu branlé au cinéma, sur sa demande, mais devant sa rapide baisse de pression, j’ai laissé tombé et me suis concentrée sur le film.
Rien de tel avec Oncle Gérard, son érection est entière et il est visiblement heureux de l’évolution de la situation si j’en crois son grand sourire. L’accélération de sa respiration et des tressaillements de son sexe m’annoncent une conclusion imminente, je saisis un gant de toilette juste à temps pour recueillir son sperme. Je fais quelques derniers mouvements pour accompagner son éjaculation jusqu’à la fin et après avoir repris son souffle Tonton semble reconnaissant, il se fend d’un merci et le ton de sa voix indique qu’il vient du cœur.
Je crois que mes vacances ont pris une tournure nouvelle, mais je crois que je l’ai bien cherché. J’ai pris plaisir à le branler. L’eau commence à rafraîchir sérieusement, je sors vite de l’eau et vais me sécher. Tonton reste encore un moment dans l’eau, semblant reprendre ses esprits.