n° 14723 | Fiche technique | 19136 caractères | 19136Temps de lecture estimé : 11 mn | 24/12/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: "Sultan, je vous remercie de vos félicitations pour ce samedi. J'ai aussi beaucoup aimé partager ces heures avec vous, dans des conditions qui correspondent vraiment à celles que peut vivre une chienne auprès de son maître..." | ||||
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Auteur : The sexy squirrel Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ginger Chapitre 03 | Épisode suivant |
Résumé des chapitres précédents : Séverine, une jolie étudiante de vingt ans, est devenue ma soumise, ou plus exactement ma petgirl, c’est-à-dire une véritable petite chienne en ma présence. Après avoir débuté son dressage dans une chambre d’hôtel, je l’ai poursuivi chez moi où Ginger (c’est son nom canin) a passé un après-midi complet très excitant. Je m’interroge néanmoins sur ses motivations profondes.
– CHAPITRE 5 –
« Sultan,
Je vous remercie de vos félicitations pour ce samedi. J’ai aussi beaucoup aimé partager ces heures avec vous, dans des conditions qui correspondent vraiment à celles que peut vivre une chienne auprès de son maître. C’est donc avec plaisir et reconnaissance que j’ai lu que vous aviez décidé de réitérer ces séjours à votre domicile.
Je me suis connectée à l’agenda partagé que vous avez créé et j’y ai indiqué mes indisponibilités comme vous me l’avez ordonné. Il s’agit en effet essentiellement d’obligations liées à mes cours ou travaux dirigés, ainsi qu’à mes révisions et mes recherches pour mon mémoire. Merci beaucoup de préserver comme cela du temps pour la réussite de mes études. Soyez assuré que je veillerai à tenir cet agenda à jour.
Vous me demandez également de vous expliquer ce que je ressens en tant que Ginger. Je vais essayer de vous l’expliquer du mieux que je peux.
Il me faut d’abord remonter au commencement de nos échanges. À l’époque (cela me semble dater d’un siècle), je venais de débarquer à Paris de mon Sud-Ouest natal pour ma licence. Je ne connaissais personne et je me sentais un peu perdue dans cette grande ville, au milieu d’une foule d’inconnus. L’université était une usine, aux groupes déjà formés. Ma colocataire, trouvée sur petites annonces, était toujours en vadrouille. C’est la première fois de ma vie que j’éprouvais autant le sentiment de solitude. C’est pour cela que je suis allée sur ce site de rencontre. Je cherchais des relations, au sens premier du terme. Et le hasard, ou plutôt le destin nous a réunis.
J’ai tout de suite senti que vous étiez différent des autres hommes qui me contactaient. Vous avez cherché à m’écouter, à me comprendre. Même par écran interposé, j’étais rassurée par votre présence. Je me suis confiée à vous comme je ne l’avais jamais fait auparavant, même auprès de mon ex, de mes amies ou de mes parents. Assez rapidement, vous êtes devenu quelqu’un d’essentiel pour mon équilibre. Vous m’avez aussi petit à petit décomplexée vis-à-vis de la sexualité en général et de la mienne en particulier.
Je peux maintenant vous l’avouer, j’ai eu à cette période une liaison avec un étudiant de ma fac. Un garçon dont toutes les filles rêveraient : charmant, sympathique, intelligent… mais beaucoup trop gentil. C’était la démonstration par l’absurde de ce que vous m’exposiez dans nos échanges : que j’avais besoin d’être dirigée pour me lâcher. À partir de ce moment, j’ai compris que cela devait se faire avec vous. Et plus encore, avec vous comme instructeur. Je brûlais d’envie de vous solliciter mais je n’osais pas. Jusqu’à ce jour où vous m’avez tendu la perche pour faire ma demande officielle de soumission. J’étais aux anges.
Pourtant, quand j’ai lu que vous vouliez faire de moi une vraie chienne, ma première réaction a été de trouver cela avilissant. J’ai pensé que vous étiez… non, je ne peux pas écrire ce mot. Et puis mon désir a repris le dessus. J’en avais des nœuds au ventre. Je me suis dit que ça ne serait qu’un jeu de rôle, que cela valait le coup d’essayer.
Je me suis donc retrouvée dans cette chambre d’hôtel, ayant suivi fidèlement vos exigences. Je me suis trouvée ridicule, j’ai failli me rhabiller et laisser tomber sur le champ. Mais dès que je vous ai vu entrer, dès que j’ai senti votre regard se poser sur moi, j’ai su que j’étais exactement à ma place.
Alors vous m’interrogez sur ce que ressent Ginger…
Ginger sombre dans le plaisir de l’appartenance. Elle n’a plus de décisions à prendre, plus d’obligations, plus de responsabilités. Son maître s’occupe entièrement d’elle. Elle peut en retour s’abandonner librement à lui, sans honte, sans crainte. Elle a juste à se montrer docile et câline pour qu’il soit content d’elle.
Je ne suis pas en recherche de quelques sensations fortes en me promenant nue en laisse. Je considère que cela fait partie de ma condition de chienne qui vous doit obéissance totale, parce que je sais que vos intentions à mon égard sont justes et bonnes. Je ne la subis pas comme une situation dégradante puisque c’est ainsi que vous avez jugé bon de veiller sur moi.
Enfin, last but not least, être également à la disposition complète de son mâle. Lui donner et recevoir de lui un plaisir intense. Lire la satisfaction et la fierté dans ses yeux.
Sachez donc que Séverine est comblée par ce que vit Ginger, qu’elles attendent toutes les deux avec impatience le moment de vous retrouver.
Votre chienne dévouée »
Si je m’étais questionné sur les ressorts de son engagement dans cette expérience, j’étais désormais plus que rassuré. Elle avait bien la soumission chevillée au corps, et j’avais tapé en plein dans le mille avec cette forme canine. Elle avait placée son entière confiance en mes capacités de maître, à moi de m’en montrer à la hauteur.
J’ai commencé alors à me documenter très sérieusement. Sur les petgirls bien sûr, mais il y avait peu de ressources à ce sujet. Et sur le dressage des chiens. Des sites généralistes sur les toutous et leurs forums entrèrent dans le volet de mes favoris. La méthode d’éducation d’un comportementaliste réputé devint ma référence. Je complétais aussi mon équipement domestique : gamelles (eau et nourriture), panière grand format, divers jouets. Ainsi qu’une cage d’intérieur qui combinait parfaitement les deux occupations auxquelles j’allais me consacrer.
Je récupérais Séverine à la gare et Ginger à la maison pratiquement tous les samedis des mois suivants. À ce rythme, elle progressa vite dans son apprentissage. Sur tous les plans. D’abord, dans son comportement : elle se transforma en une chienne plus vraie que nature. Par exemple, elle me faisait la fête lors de nos retrouvailles. Elle a ainsi élargi la palette de son langage canin et de ses attitudes pour se faire comprendre. Sa démarche quadrupède était désormais bien coordonnée. Dans les actes de la vie quotidienne aussi : elle s’allongeait dans sa panière pour se reposer, mangeait dans sa gamelle pour s’alimenter. Autre principe, elle prit l’habitude d’attendre que je la sorte dans le jardin pour faire ses besoins. Petite et grosse commission (sans avoir besoin de sac plastique !). Bref, j’avais l’impression d’avoir adopté un véritable animal domestique.
Ensuite, au niveau sexuel. La sodomie était pour moi un passage obligé. Je ne concevais pas une relation de domination sans posséder ma soumise par son orifice le plus secret. Mais je n’étais pas du genre soudard qui allait lui casser le cul en le déflorant. Je pris soin de l’initier avec minutie.
Je la faisais s’installer à genoux, sa tête posée sur un large coussin, ses jolies petites fesses pointées vers moi. De la vaseline pour le confort. Deux doigts qui ramonent son fondement, qui habituent son œillet à être élargi. Pour l’amadouer, je passais mon autre main entre ses cuisses et je cajolais sa fente, son clitoris. Peu importe ses gémissements, ses contorsions, je ne relâchais jamais mon étreinte avant l’explosion de sa jouissance. Et quand, quelques séances plus tard, son mâle la chevaucha et fora le puits de ses reins, Ginger l’accueillit sans coup férir.
Autre point d’amélioration, la fellation. La maîtrise de la technique de la gorge profonde. Non sans mal, elle lutta contre ce satané réflexe de déglutition. Mon gland parvint à franchir le cap de son pharynx, puis ma hampe fut finalement gobée en intégralité. La maintenir en apnée quelques secondes. L’empoigner par les cheveux pour la dégager, des filets de salive s’étirant entre ma bite et ses lèvres. Y replonger jusqu’aux couilles. Limer sa gueule tel un vagin en calant fermement sa tête entre mes mains. Gicler sur sa langue étalée comme si elle avait faim de mon sperme. Et elle s’en pourléchait les babines, la gourmande !
L’année universitaire se termina, avec mention pour Séverine. Je fis jouer mes relations pour lui trouver un job sur Paris. Que des avantages : elle se faisait une expérience professionnelle, elle était payée, elle conservait son appartement, elle avait une bonne excuse pour ne pas retourner dans sa famille. Et bien sûr, elle passait encore plus de temps en ma compagnie car ses week-end étaient entièrement libres. Elle resta d’ailleurs coucher chez moi. Mais pas de chien dans mon lit !
Avec les températures estivales, une bonne partie de nos journées se déroulait à l’extérieur. J’avais acheté une piscine gonflable, du type qu’on installe dans le jardin pour que les gamins se rafraîchissent. Elle s’y ébattait avec joie, à la chasse de la balle que je lui envoyais. C’était un spectacle très sensuel de la voir frétiller nue dans l’eau, et il m’arrivait souvent de la saillir dans cette pataugeoire. J’ai toujours adoré baiser en milieu aquatique, au son des clapotis provoqués par le coït. C’était sea (enfin presque), sex (en doggy style) and sun !
– CHAPITRE 6 –
Fatalement, je délaissais mes autres activités sociales au profit de ma petgirl. Ce fut Laurent, mon meilleur ami, qui s’en inquiéta au téléphone :
Sa remarque était aussi fondée que mon alibi pitoyable. Je restai coi.
Je bredouillai une vague réponse. Il insista :
Spécial. Il ne croyait pas si bien dire. Comment avouer à son pote que sa copine est une chienne ? Une chienne au lit ? Non, une vraie chienne ! Enfin, non, pas vraiment une vraie chienne… Je connaissais Laurent, il me tannerait tant que je ne lui aurais pas lâché le morceau. Le mieux était qu’il vienne lui-même constater la situation. Je pris une inspiration et je me lançai :
Ouf, il avait compris :
Je raccrochai pour couper court à l’interrogatoire.
L’heure fatidique approchait. J’ai fait monter Ginger dans le bureau, là où elle patientait quand j’avais de la visite ou quand je devais m’absenter. En général, je l’enfermais dans sa cage pour qu’elle ne fasse pas de bêtises. Elle n’aimait pas trop ça et elle commença à geindre doucement en franchissant le seuil de sa cellule. Je m’accroupis et lui parlai les yeux dans les yeux :
Je perçus de la panique dans sa réaction. Je la rassurai en prenant sa tête entres mes paumes :
Laurent arriva pile à 6 heures. Impatient. Et dépité de me trouver seul, de remarquer que je ne sortais que deux verres pour l’apéro. C’était le moment idéal pour préparer le terrain. Il me facilita la tâche en abordant lui-même le sujet :
Je lui racontai alors l’historique de ma rencontre avec Séverine.
Il était au courant de mes penchants de dominant, cette partie de mon récit ne l’étonna donc pas trop. En revanche, dès que je mentionnai le mot « petgirl », son expression se modifia. Encore plus quand je lui expliquai les tenants et les aboutissants d’une soumission canine. Il m’interrompit brusquement au milieu d’une phrase :
J’ai grimpé l’escalier sans me presser, savourant mon effet. J’ai libéré Ginger, je l’ai mise en laisse et je l’ai conduite dans le salon. Malgré son appréhension perceptible, je la trouvai magnifique et j’étais fier de l’exhiber pour la première fois en public. Laurent resta sans voix alors que je m’approchai de lui avec ma chienne, une jeune femme dans le plus simple appareil. Je détachai la bride du collier :
Elle aborda cet inconnu un peu craintivement, en le flairant avec soin. Puis elle s’agenouilla devant lui. Et lui donna la « pa-patte ». L’espace d’un instant, Laurent a dû s’attendre à voir débouler l’équipe de la caméra cachée. Mais rien… Juste Ginger, en attente. Son regard s’est alors détaché de sa nudité pour se poser sur moi. Mon expression a achevé de le convaincre que cette affaire était très sérieuse. Il a saisi le poignet qui lui était tendu. Passé son autre main dans la chevelure dorée :
Il hésita.
Laurent dîna avec moi, ou plutôt avec nous. Ginger était couchée à côté de ma chaise comme elle en avait l’habitude lors de mes repas, pour grappiller les bouchées que je lui distribuais. Notre discussion porta uniquement sur elle. Je m’attardai volontairement sur les aspects sexuels de son dressage. Les saillies, la sodomie. Je savais que Séverine, l’humaine, nous entendait. Je la sentais se crisper quand je livrai à cet étranger le moindre détail de son intimité.
Au café, Laurent était rentré dans le jeu :
Je savais parfaitement où il voulait en venir.
Un clin d’œil. Pas besoin de lui faire un dessin. Il défit sa ceinture et déboutonna son pantalon. C’était l’occasion de tester l’obéissance de ma soumise :
Elle ne bougea pas. Je franchissais un palier dans notre relation, qui m’était jusque là exclusive. Il allait falloir être persuasif :
Elle resta immobile. Je n’avais plus qu’un argument en réserve :
Si elle n’était pas consentante, elle n’avait qu’à prononcer le safeword. Mais, lentement, elle s’est dressée sur ses pattes et s’est glissée sous la table, entre Laurent et moi.
Je pus lire sur le visage de mon ami qu’il savourait la moiteur de sa bouche, la douceur de sa langue. J’entendais le bruit caractéristique de la succion, quand il ne soulignait pas par un gémissement une initiative de sa fellatrice. Elle-même émettait des petits sons inarticulés car je profitai de sa situation pour la branler avec mon pied. J’avais déchaussé mon espadrille et j’avais pu constater au premier contact que sa minette était humide. Et maintenant dégoulinante.
Cette remarque excita encore plus Laurent qui éjacula peu après en rugissant. Suivi d’un « avale ! » péremptoire. Son large sourire me fit comprendre que son ordre avait été exécuté. Le temps de se refroquer, il devait partir. Sa femme l’attendait. Moi c’est ma femelle dont j’allais m’occuper…