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17/01/12
Résumé:  Après avoir raccompagné Laurent, je suis revenu vers Ginger qui m'attendait dans le salon. Elle était fière d'avoir satisfait les désirs de son maître. Mais j'étais loin d'être rassasié.
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Auteur : The sexy squirrel            Envoi mini-message

Série : Ginger

Chapitre 04
Ginger - Chapitres 7 & 8

Résumé des chapitres précédents : Séverine, une jolie étudiante, est devenue ma soumise. Ma petgirl. Quand nous nous retrouvons à mon domicile, elle se transforme en Ginger, une vraie petite chienne, et moi je suis Sultan, son maître et mâle dominant. Au cours de son dressage, je l’ai présentée à mon ami Laurent qui a profité de son obéissance pour se faire tailler une pipe.




– CHAPITRE 7 –



Après avoir raccompagné Laurent, je suis revenu vers Ginger qui m’attendait dans le salon. Elle était fière d’avoir satisfait les désirs de son maître. Mais j’étais loin d’être rassasié. La soirée ne faisait que débuter. Je lui ai demandé de me suivre dans la chambre d’ami que j’avais transformée en notre salle de jeux érotiques. Il y avait à la place du lit juste un matelas posé à même le sol, face à un miroir. La commode contenait toute une panoplie de sextoys que j’avais acquis ces derniers mois. J’ai choisi parmi eux un vibro rose fluo, très raisonnable dans ses dimensions.



Elle s’installa au centre du matelas, de dos, les cuisses bien écartées. Vue imprenable sur sa minette encore suintante de ses émotions récentes. Je me suis agenouillé derrière elle et j’ai caressé tendrement sa croupe.



Je venais de mettre en marche le moteur du vibro, avec ce petit bourdonnement si spécifique. D’instinct, elle s’est cambrée pour s’offrir un peu plus à moi.



J’ai passé le jouet le long de son abricot, juste pour lui en donner un avant-goût. Elle gémissait langoureusement. Sa fente s’ouvrait comme une fleur. J’y ai inséré l’extrémité arrondie et j’ai joué un moment à tourmenter ses nymphes. Elle cherchait à s’empaler, mais ma main posée sur ses fesses contrôlait ses mouvements.



La moitié de la verge en silicone s’est engouffrée dans sa grotte. Jappement de plaisir. J’ai ensuite mené la danse d’un va-et-vient qu’elle accompagnait par une légère ondulation des reins. Ses gémissements étaient désormais marqués.



J’augmentai la vitesse au maximum. Elle a feulé en chancelant. Ses bras ne la portaient plus. Mais moi je voulais qu’elle ressente la pénétration au plus profond de ses chairs. Je l’ai alors empoignée par les cheveux et je l’ai tirée en arrière grâce à cette rêne. De l’autre main, je faisais coulisser sans répit le vibro dans sa chatte. Ça clapotait tellement elle mouillait. Elle se déhanchait mais je la maintenais bien cabrée. Je la voyais dans le miroir, les yeux dans le vide, se mordant les lèvres. Je l’entendais couiner.



J’ai plaqué sa tête contre le matelas et j’ai sorti le jouet de son vagin. Il luisait de cyprine. Je l’ai posé directement sur son clitoris et j’ai laissé agir les vibrations. Un orgasme tonitruant. Tout son corps qui tremble pendant qu’elle crie son extase. J’appuyai sur sa nuque tout en insistant encore sur son bourgeon. Nouvelle explosion. Je relâchai enfin la pression, elle s’écroula. Bouton « off ». D’un coup, le silence. Juste sa respiration haletante.


Je l’ai laissée reprendre tranquillement ses esprits. J’avais la suite à préparer. Direction la salle de bains pour aller chercher deux bassines, une vide et une avec de l’eau tiède. En revenant dans la chambre, j’ai pris le matériel dont j’avais besoin dans la commode. Ginger m’a vu manier un objet qui lui était devenu familier : une poire à lavement que j’étais en train de remplir.



Elle avança jusqu’à la chaise où je m’étais assis et elle effectua un demi-tour pour me présenter son arrière-train.



J’ai introduit la canule dans son anus et j’ai pressé doucement sur le réservoir souple afin de le vider. Elle soupira en sentant ses intestins être gavés de liquide. J’ai ensuite placé une cuvette entre ses mollets.



Elle s’affaissa et poussa pour se vidanger. Une eau trouble, avec quelques particules en suspension. Il fallut renouveler deux fois l’opération pour obtenir un résultat limpide. J’ai ensuite nettoyé soigneusement son fion à l’aide d’une lingette antiseptique. Puis je l’ai rincé. Pas très glamour tout cela, mais indispensable pour l’hygiène. Surtout pour mon péché mignon, la feuille de rose.



Elle s’inclina jusqu’à poser sa joue contre le parquet, pointant ainsi ses fesses vers moi. J’allais m’en régaler. D’abord les écarter avec les pouces pour dévoiler son œillet. Le bécoter. Le licher. Agacer ses plis et replis. L’écarquiller franchement pour y introduire la pointe de la langue. La sodomiser avec cette mini-bite. En un mot, lui bouffer le cul. Mais ce n’était que la première étape.


Pour poursuivre, je me suis servi d’un chapelet anal. C’était une série de sphères en plastique, reliées par un fil. Il y en avait cinq, de taille croissante. Je crachai sur la rondelle avant d’enfoncer la première, grosse comme une bille d’écolier. Ma chienne émit un petit cri de surprise.



Les deux boules suivantes suivirent le même chemin sans réelle difficulté et dans le silence. Il y eut de la résistance à partir de la quatrième. Je dus bien l’enduire de salive pour lui faire franchir la barrière. Restait la dernière. D’après le mode d’emploi, son diamètre était de trente cinq millimètres. J’ai forcé l’entrée en appuyant fort avec deux doigts. Cela butait, j’ai insisté. Ginger geignait en sourdine. Finalement, son cul l’engloutit comme les autres. Tout était enfoui dans son rectum, seule la ficelle dépassait de son petit trou.



Je mentais à moitié. Car il allait bien falloir l’enlever. J’ai exercé une traction pour faire réapparaître la bille la plus volumineuse. Je l’ai gardée un court moment en équilibre sur les bords de l’anneau, exactement dilaté à ses dimensions.



J’ai tiré d’un coup sec pour extirper le chapelet en une seule fois. Elle a tressailli en glapissant, mais elle s’est aussitôt maîtrisée. J’ai flatté sa croupe pour la féliciter. Mais je ne quittai pas du regard son orifice où un petit judas s’était créé, ouvert sur l’obscurité. Je ne comptais pas le laisser se refermer.


J’avais préparé un dernier accessoire pour cela, un plug transparent.



J’en ai ressorti l’objet bien lubrifié. Cela et sa forme conique lui permirent de trouver facilement sa place entre les fesses de ma soumise. J’opérai quand même quelques manipulations pour bien le caler dans son fondement.



Le temps que je me désape, elle effectua deux tours de la pièce à quatre pattes, apparemment pas gênée par l’intrus.



Elle ne pouvait pas louper ma queue déjà au garde-à-vous. Nul besoin de préciser ce que j’attendais d’elle. Elle m’emboucha sans renâcler en posant ses pattes sur mes cuisses.



Elle savait pourquoi. C’était une chienne intelligente. Et douée, son travail se révéla excellent. Mon sexe était lustré de salive. Prêt à passer à l’action.


Je l’ai contournée pour m’accroupir derrière elle. Quand j’ai ôté le plug, sa rosette resta entrouverte et j’y ai immédiatement enchâssé mon gland à la place. Le sphincter se contracta autour. Malgré tous ces préparatifs, la voie restait étroite. Mais ça n’en était que meilleur. Grâce à des petits coups de reins, j’ai progressé centimètre par centimètre dans son cul, pour finir par m’y planter jusqu’à la base. Tout en gardant ma queue bien au chaud, je me suis alors couché sur son dos pour pétrir ses seins et lui chuchoter des paroles salaces à l’oreille. Elle me répondait par des gémissements lascifs.


Je me suis repositionné à genoux et je l’ai empoignée par les hanches. C’était le signal du départ réel du coït anal. Je l’ai d’abord limée posément, jouant plus sur l’amplitude que sur la puissance, pour me frayer une bonne fois pour toutes un chemin. Puis je lui ai ordonné de s’embrocher d’elle-même sur ma bite. Je restai immobile, spectateur ravi de la sodomie. Enfin, je l’ai littéralement pilonnée, au rythme de mon bas-ventre qui emboutissait son postérieur. Le tout agrémenté de gifles qui faisaient rougir la peau de ses fesses. Elle aimait être bousculée de la sorte et elle le manifestait bruyamment. J’ai crié aussi au moment où j’ai déchargé dans ses entrailles. Quand j’en suis sorti, son anus encore décacheté laissa s’échapper une petite coulée laiteuse. L’heure était au repos, tant pour lui et pour elle que pour moi.





– CHAPITRE 8 –



Laurent est revenu au chenil à l’occasion de la finale de la coupe du monde de foot. Bon prétexte vis-à-vis de son épouse pour passer une soirée chez son meilleur ami. Certes nous avons regardé le match. Mais les shorts ouverts, avec Ginger installée à quatre pattes en alternance entre nos cuisses. Elle nous suçait alors qu’on avait chacun une bière à la main, les yeux rivés sur l’écran. Le but était qu’elle soutienne l’effort durant les quatre-vingt-dix minutes réglementaires. Quand nous sentions que la sève montait, on la renvoyait s’occuper de la bite du voisin. Elle eut droit au quart d’heure de repos à la mi-temps mais aussi, à son grand dam et pour notre non moins grand plaisir, aux prolongations. Au moment de la remise du trophée, j’ai joui dans sa chatte en la prenant en levrette pendant que Laurent éjaculait dans sa gueule grande ouverte.


C’est lui qui pensa à rééditer le même genre de soirée avec nos trois autres camarades de poker. Il imaginait Ginger sous la table, passant d’un sexe à l’autre. Plutôt déstabilisant au moment d’un bluff ! Mais j’ai catégoriquement refusé. Si j’avais une parfaite confiance en Laurent, je savais que d’autres ne sauraient pas tenir leur langue et qu’il y aurait de grandes chances que l’information fuite hors de notre cercle. Et je voulais à tout prix préserver Séverine qui avait une vie, une famille, à garder à l’écart de son fantasme. Le secret était la meilleure garantie.


Laurent rétorqua :



Sans le savoir, Laurent venait de me donner une idée. Ou plutôt l’idée d’un projet, qu’il convenait donc d’échafauder soigneusement. Le genre de personne que je recherchais pour le réaliser ne se trouvait pas dans les Pages Jaunes. Heureusement, j’avais quelques contacts bien introduits dans le Paris underground. C’était parfois utile dans le business pour faciliter les négociations commerciales.


On me recommanda auprès de Catherine. Maîtresse Cathy pour les intimes, une sommité dans le monde du BDSM. Elle me reçut l’après-midi suivant dans son établissement. Mes intentions n’eurent pas l’air de l’étonner, elle en avait apparemment vu d’autres bien plus extravagantes. Elle chercha juste à vérifier que je n’étais pas un petit rigolo. L’enveloppe contenant ses honoraires en billets de cent euros la persuada de ma réelle motivation. Je repartis avec l’assurance d’avoir de ses nouvelles très rapidement.


Je reçus peu de temps après les coordonnées d’une certaine Roxana sous couvert de Catherine qui me la décrivait comme l’entremetteuse idéale. En effet, nos échanges par mail se déroulèrent sans la moindre anicroche, nous étions sur la même longueur d’ondes et nous bâtîmes ensemble un véritable plan de bataille. Le jour J dépendait des disponibilités des parties en présence. Soit le premier samedi d’octobre.


J’étais allé chercher Séverine à la gare en fin de matinée, selon notre procédé qui était maintenant bien rôdé. Elle avait repris ses cours à la fac et pour cette raison, cela faisait quinze jours que nous nous étions séparés. Aussi fut-elle sûrement très étonnée que Ginger ne reçoive pas l’hommage de son mâle dès leurs retrouvailles. Au contraire, je l’abandonnai même dans sa cage avec juste sa gamelle pour qu’elle puisse déjeuner. Seule avec ses sanglots.


Je filai à mon rendez-vous avec Roxana, fixé sur le parking d’un supermarché. J’ai découvert une trentenaire assez grande, à la chevelure auburn coiffée en queue de cheval et aux yeux vert émeraude. Habillée tout en cuir : sac, bottes, pantalon et veste. Tout à fait charmante dans son style. Comme convenu, elle était accompagnée de Gilles. Lui avait les cheveux poivre et sel de la quarantaine avancée, avec un léger embonpoint. Il était vêtu d’un costume de marque. J’ai fait la bise à la jeune femme mais je n’ai pas serré la main de l’homme qui restait d’ailleurs en retrait, la tête baissée. Ils étaient venus avec sa berline mais c’est avec ma voiture que nous sommes repartis, Roxana à mes côtés et Gilles à l’arrière, toujours muet. Elle lui lança un masque identique à ceux que l’on donne aux passagers d’un avion pour qu’ils puissent dormir.



Il s’exécuta et Roxana fit de même. J’avais en effet exigé la confidentialité sur mon lieu de résidence exact. On n’est jamais trop prudent. Ce n’est qu’une fois entrés chez moi qu’ils recouvrèrent la vue. Je les dirigeai vers la buanderie pour qu’ils aillent se préparer de leur côté et je montai rejoindre Ginger. Elle m’accueillit en jappant, puis en bondissant quand je l’ai délivrée. Mais moi je restai calme et je lui ai imposé de le devenir pour lui passer sa laisse. Et introduire dans son intimité un œuf vibrant. Elle comprit alors que quelque chose se tramait. Une nouvelle étape dans son dressage.


Je l’ai conduite dans notre salle de jeux et je lui ai ordonné de rester au pied. Une minute s’écoula dans le silence le plus complet. La porte s’ouvrit. Roxana entra la première. Elle tenait en laisse Gilles, ou plutôt Ulysse. Son petboy. Il ne jouait pas ce rôle en permanence, mais il était son soumis et en conséquence, il se livrait aux exigences de sa maîtresse. Et là, c’était d’être son chien. Dans le civil, c’était un cadre supérieur écrasé de responsabilités, et la relation d/s qu’il entretenait avec Roxana depuis une année était sa soupape de décompression.


En bon toutou, il était à quatre pattes avec un collier. Il portait autour de la taille une sorte de harnais qui maintenait son sexe dans un fourreau pénien. C’était plus esthétique que voir son service trois pièces pendouiller entre ses jambes. De plus, cela entravait son érection, une bonne manière de l’assujettir. En le découvrant, ma Ginger grogna et se réfugia derrière moi. La présence d’étrangers l’inquiétait toujours autant. Au contraire, Ulysse s’agita en aboyant. Roxana le reprit immédiatement :



Il s’installa penaud à son côté. Mais ses yeux pétillants ne lâchaient pas Ginger qui tremblait.



Elle détacha la laisse en chuchotant :



Je fis de même avec ma petgirl en lui donnant une petite claque sur la croupe pour l’inciter à sortir de mes jambes.



Les deux se tournèrent autour, se jaugeant, les sens aux aguets. Quand Ulysse avançait d’un pas vers Ginger, elle grondait et il reculait tout de suite.



Je mis alors en marche l’œuf vibrant par l’intermédiaire de la télécommande placée dans ma poche. Effet immédiat : elle sursauta, puis s’immobilisa pour digérer cette stimulation interne. Ulysse en profita pour se positionner à la queue leu-leu et venir renifler son entrejambe. Il repéra qu’elle commençait à mouiller, ce qui l’excita substantiellement. Il cherchait à la lécher mais elle arrivait encore à lui échapper en tortillant du cul. Sauf quand j’ai poussé l’intensité des vibrations au maximum. Elle a fléchi ses pattes de devant et s’est offerte à la langue de son compagnon. Il la lapait fiévreusement, elle gémissait de plaisir. Je fis la remarque à Roxana :



Nous avons récupéré nos soumis respectifs, elle pour lui ôter son harnais, moi pour la débarrasser du sextoy gluant de cyprine. Nous avions échangé les justificatifs de leur séronégativité au préalable, il n’y avait plus qu’à laisser faire la nature. Laquelle avait particulièrement gâté Gilles : il était très bien membré. Au-delà du double décimètre, avec le calibre en concordance.



Ginger toisait elle aussi les attributs virils du mâle. Avec envie mêlée d’appréhension. Il ne lui laissa pas l’opportunité de l’examiner plus longtemps quand on les relâcha. Il se plaça d’autorité derrière et la chevaucha. Il donnait des coups de reins désordonnés pour la pénétrer, mais son gros gland ne trouvait pas l’entrée de la vulve. Roxana s’est résolue à l’aider en plaçant son nœud à l’endroit approprié. D’une grande poussée il encorna sa femelle. Elle cria, sentant ses chairs s’écarteler sur le chemin de l’imposant mandrin.


Nous les avons regardés copuler en les encourageant de la voix. Motivé par sa maîtresse, Ulysse limait Ginger avec ardeur, la bave aux lèvres. Je la félicitais d’encaisser ses coups de boutoir sans rechigner. L’étalon se révéla aussi endurant que vigoureux et c’est au bout d’un bon quart d’heure qu’il lâcha enfin sa semence. Elle avait déjà joui une fois entre-temps, mais l’éjaculation provoqua un deuxième orgasme encore plus intense.


Je l’ai laissée encore pantelante pour reconduire Ulysse redevenu Gilles et sa maîtresse à leur véhicule. Nous n’avons pas échangé un mot au cours du trajet, mais une fois son soumis remonté dans sa voiture, au moment de nous séparer, Roxana me salua en disant :