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Temps de lecture estimé : 18 mn
28/01/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Christine Yen et Alain ont passé une première soirée de jeux coquins avec leurs amis. C'est allé, très loin, peut-être trop... Yen en parle à Olivia.
Critères:  grp couplus extraoffre fête voir exhib noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus jeu -entrecoup -jeux
Auteur : FloreanMC  (Auteur en herbe)            Envoi mini-message

Série : Petits flirts entre amis

Chapitre 03
Petits flirts entre amis, interlude et chapitre III

INTERLUDE – OLIVIA





Olivia éclate de rire en me versant du thé dans une tasse posée sur la table basse. Elle s’est servi une bière. Je rougis.



Je porte ma tasse à mes lèvres en plissant mes yeux bridés, gênée.



Elle rit à nouveau.



Je secoue la tête.



Elle boit une gorgée de bière au goulot en se redressant dans le canapé.



Je hoche imperceptiblement la tête. Sourire timide. Je sais que je suis rouge pivoine.



Elle me caresse la joue.



Je sirote mon thé, l’air de rien, mais j’accuse le coup. Jalouse. Alain l’a sautée ? Impossible ! Olivia perçoit mon trouble.



Je ne réponds pas immédiatement. Trois jours se sont écoulés depuis la soirée, Alain et moi n’avons pas reparlé du jeu – mais nous avons fait l’amour plus intensément qu’à l’accoutumée, les deux nuits précédentes.

Je pose ma tasse et regarde Olivia en coin.



Elle sourit.



Elle rit doucement, cette fois.



Je me fais faussement boudeuse.



Elle se rapproche de moi et m’enlace.



Ses lèvres effleurent les miennes. Ses grands yeux noirs me fixent, interrogateurs. Elle m’embrasse plusieurs fois, sans hâte, j’entrouvre la bouche, elle m’imite, nos langues se frôlent.

Elle chuchote :



Elle approche son visage, ferme les yeux, nos bouches se collent, s’ouvrent, sa langue se mêle à la mienne, j’admire la longueur de ses cils avant de fermer les yeux à mon tour, ses mains passent sous mon chemisier et dégrafent mon soutif, avant de venir empaumer mes nichons avec une délicatesse toute féminine.


Le baiser s’éternise, long et fusionnel. C’est elle qui m’a embrassée dans le noir, je reconnais son parfum et la saveur de sa langue, le contact de son nez pointu sur ma joue.


(Encore !)


Ses mains glissent le long de mes hanches, et passent entre mes cuisses, sous ma jupe. Un doigt parcourt le long de ma fente sur ma petite culotte, je brise le baiser enivrant et m’écarte légèrement.



J’ai murmuré.

Son majeur appuie sur mon clito (oui !) mais elle retire sa main et sourit.



Je hoche la tête, la respiration haute, en rattachant mon soutif.



Ma voix est mal assurée. Je ne parviens pas à contrôler les battements de mon cœur. Elle me prend un sein à travers le chemisier.



Je parviens à répondre sans que ma voix ne tremble trop :



Elle approche ses mains de mon chemisier et le déboutonne lentement. Elle n’a d’yeux que pour ma poitrine. Je suis à la fois flattée et mal à l’aise.

Elle ôte mon chemisier et le plie à côté d’elle.



Je secoue la tête, incapable de répondre.



Elle déboutonne son petit haut serré, qui rejoint vite le mien, à côté d’elle. Elle porte un soutif rose bonbon en dentelles.



Je dégrafe l’attache dans mon dos, et sens le soutif glisser le long de mes bras. Elle le prend et le pose sur les chemisiers. Je cache mes mamelons, mains croisées sur mes nichons.

Olivia rit doucement. Elle enlève son soutif et expose ses seins magnifiques à ma vue. Ses tétons sont presque noirs, ils se dressent, arrogants, au milieu des deux melons dorés et appétissants, extraordinaires de pureté et de perfection.



Elle sourit.



Elle me saisit les bras avec délicatesse et les éloigne doucement de ma poitrine.



Son sourire s’élargit, ses yeux brillent en découvrant mes seins nus et s’arrêtent sur mes mamelons minuscules et les tétons qui les ornent.

Je ne sais plus où me mettre, je garde les bras le long du corps et me redresse légèrement.



Ses mains caressent mes nichons, les soupèsent, jouent avec.



Elle se penche et m’embrasse les seins, sa langue s’attarde sur mes tétons, qui réagissent à l’attention qui leur est portée. Je respire plus vite, ça va trop loin, une main d’Olivia court sur ma cuisse, cherche ma culotte, ses doigts fouillent sous ma jupe, pressent mon clitoris sensible, je m’offre, juste un instant, les doigts passent sous le tissu, pénètrent l’antre humide, s’enfoncent en moi.



Sa bouche quitte mes seins, elle pose ses lèvres sur les miennes et sourit en m’embrassant, deux doigts dansent en moi, je suis trempée, (Oui, encore !) mais je me reprends, mes mains effleurent son ventre plat, ses seins, puis se posent sur ses joues gentiment.

Je m’écarte un peu, romps le baiser.



Ses doigts m’explorent une dernière fois, et quittent ma chatte en feu (Encore, encore !) .



Elle boit une gorgée de bière, je me rhabille hâtivement. Elle m’imite, sans remettre son soutif.

J’ai honte. Je ne sais pas exactement pourquoi. Est-ce pour avoir partagé cette étrange étreinte ? Ou pour l’avoir interrompue ?

Olivia ne semble pas décontenancée du tout. Je l’admire.




*********




INVITATION


Chers invités, pour nos jeux coquins de vendredi soir, ces messieurs devront porter jean et chemisette, ces dames devront avoir une robe courte et moulante. Vous devez choisir pour votre partenaire les sous-vêtements que vous souhaitez lui voir porter. Enfin, nous voterons en début de soirée pour voir si nous évoluons dans le noir, ou si les bougies restent allumées.


Olivia.



*********





DEUXIÈME SOIRÉE



Les dés lancés par Olivia roulent et s’arrêtent. Ils sont à peine visibles à la lumière des bougies. 2 et 3. Elle fait tourner la bouteille en verre, à plat sur le sol, au centre du cercle que nous formons tous les huit, assis en tailleur. La bouteille tourne, et tourne, ralentit. Le goulot s’arrête dans ma direction. Mon cœur se serre. Je suis moins bourrée que je ne le devrais. J’ai bu, pourtant, mais l’ivresse se refuse à venir.


Elle a fait moins de 6, et pas de double, ce sera donc une carte « question simple ». Pas de détails à donner, juste la vérité, point. Olivia pioche dans le tas de droite, celui de gauche contient des cartes « action », en cas de score supérieur à 6, et celui du milieu, les « actions spéciales », pour un double 6. Elle lit la carte en souriant.



J’ai parlé sans réfléchir, choquée, la réponse a fusé, je rougis, je me sens écarlate. Les autres éclatent de rire.



Alain a l’air mal à l’aise. Je répète, la voix serrée, hyper gênée.



C’est Alain qui pique un fard, maintenant.



Olivia me regarde.



Je suis sur la défensive. Je déteste cette conversation !



Elle jette un œil de tigresse vers Stephen.



Stephen me dévisage en souriant. Je l’imagine soudain, tendu derrière moi, me pénétrant lentement, et la sensation de mon anus qui s’ouvre pour son sexe massif, dévoilant des plaisirs insoupçonnés. J’inspire, la tête légère, l’alcool commence à réclamer son dû. Alain n’ose pas me regarder. Je suis furax. Olivia me tend les dés.



Je jette les cubes de bois machinalement. 4 et 4. Une carte « action » – fille ou garçon – pour la personne désignée par la bouteille, et, comme c’est un double, je dois aussi exécuter l’action.

La bouteille tourne, tourne, ralentit, et s’arrête sur… Alain.

Je déglutis. Il sourit. Je tremble en prenant la carte. Suis-je la seule à être dans cet état de nerfs ? Je lis.



Je demande :



Olivia a réponse à tout.



Il me regarde, un air d’excuse sur le visage, se lève et va vers Sylvie. Il s’accroupit devant elle, l’enlace et l’embrasse avec conviction. Je me tourne vers Laurent, juste à côté de moi. Il sourit, me prend dans ses bras et sa bouche se colle à la mienne, nos langues se mêlent, je ferme les yeux, le baiser est merveilleux, sensuel, émoustillant.


Les autres rient et applaudissent, je les entends à peine. Laurent s’écarte, je l’embrasse encore, désirant prolonger l’étreinte, mais il me repousse gentiment. Je me rends compte qu’Alain a regagné sa place, et qu’il m’observe, l’air curieux. Je rougis. Comment puis-je embrasser un autre homme devant lui ? Sylvie me fait un clin d’œil en levant le pouce. Elle a aimé le baiser d’Alain ? Ou m’encourage-t-elle à bécoter son mari ?


Alain jette les dés. Double 2. Il fait tourner la bouteille qui s’arrête sur Souleymane. Carte question. Alain devra répondre aussi.



Souley réfléchit.



Suraya éclate de rire.



Olivia n’oublie pas le jeu.



Je suis intéressée, nous ne parlons jamais de ces choses, à la maison.



Olivia explose de rire.



Je suis sur le cul. Je demande :



Il est gêné.



Les mecs hochent la tête, compréhensifs, les filles rient.



Suley lance les dés. 6 et 6.

Olivia applaudit.



Tout le monde se met debout. Personne n’a l’air aussi gêné que moi. J’ai une boule au ventre. Je ne veux pas montrer mes seins, et encore moins que mes copines voient le sexe d’Alain ! Olivia rejoint Stephen.



Elle ouvre sa braguette et extrait le sexe soyeux, gonflé, en érection. Il a une bite très longue, massive, blonde, telle que je l’imaginais.



Elle baisse le haut de sa robe sans manche, et expose ses seins parfaits.



Suraya a déjà baissé le pantalon de Suley, dont la pine noire est tendue, couverte de veines gonflées. Suraya expose ses seins tout neufs, ils sont luisants, enflés, parfaits, des seins d’actrice X. Surnaturels dans la lumière des bougies. Stephen se caresse la bite en les regardant, comme si c’était normal.


Sylvie ouvre les boutons de sa robe, soulève son soutif en dentelle blanche. Ses seins blancs tachetés de roux sont mignons. Je ne veux pas être la dernière, je baisse à contrecœur le haut de ma robe en stretch en attrapant mon soutif sans bretelles au passage. Mes nichons bondissent, soulagés de ne plus être serrés dans leur gangue.



Souleymane se branle en me matant, je sens mes joues chauffer. Suraya ne le prend pas bien, elle va vers Alain et lui baisse son pantalon.



Alain bande comme un âne en nous regardant toutes tour à tour. J’avais beau m’y attendre, je suis choquée. Qu’est-ce que nous faisons dans ce genre de soirée ? Suraya le caresse longuement. Je détourne le regard : Laurent bande mou, Olivia s’est agenouillée devant lui et se caresse les seins d’une manière suggestive.



Je souris, Sylvie glousse silencieusement. Laurent est plus mal-à-l’aise encore que moi. Olivia prend sa queue sans sa main et le masturbe sans honte. La bite enfle et grossit, devient raide sous la caresse. J’en oublie presque ma nudité partielle. Suraya a laissé Alain, elle bécote Souleymane en le masturbant. Alain les regarde, queue à l’horizontale. Stephen s’approche de moi.



Il empaume mes seins en les fixant de manière insistante. Sa queue effleure mon ventre, comme par accident. Je ne recule pas.



Ma voix est minuscule. Je m’éclaircis la gorge. Suraya tourne la tête et nous regarde, en branlant toujours Suley. Jalouse de mes nichons naturels ? Alain s’approche, il passe derrière moi, colle son sexe dressé sur mon cul sous ma jupe – il n’a pas voulu que je porte de culotte ce soir pour, je cite, « être sûr qu’elle ne disparaisse pas » – et soulève mes seins par derrière pour mieux les montrer à Stephen. Sa queue bat sur ma peau quand il dit :



Je ne sais plus où me mettre. Stephen me pince les tétons pour les faire durcir. Le plaisir est immédiat, mes seins sont très sensibles aux caresses. Alain se frotte à moi de manière suggestive. Sa bite écarte les lobes de mes petites fesses. A-t-il encore à l’esprit ces idées de sodomie ? Stephen se penche et goûte mes petits mamelons dressés. Une main d’Alain passe devant ma robe, descend sur ma chatte nue, fraîchement épilée… la queue de Stephen touche ma main, je la saisis, la tâte, en teste la dureté… puis la relâche, m’en éloigne, je ne peux pas !



Ma voix est toute petite. Olivia en est presque à sucer Laurent, qui bande comme un taureau maintenant. Elle se reprend à temps. Sylvie soupire discrètement, je ne suis pas sûre qu’elle ait apprécié l’échange entre son mari et notre copine. Stephen et Alain sortent de leur transe, et s’écartent de l’étreinte, comme si de rien n’était.




*********




Les gars sont allongés, en croix. J’ai une longue bite entre les doigts, dans le noir. L’érection est… formidable, il n’y a pas d’autre mot. Dure. Puissante. Totale. Je pense que c’est Souleymane.



Le but est de… de quoi au juste ? D’estimer quelle fille branle le mieux ? Ou est-ce juste l’occasion de s’exciter mutuellement, sans autre objectif que cet échangisme non-dit ? Je prends le sexe à deux mains, je le caresse, l’étire, lentement, fermement. Je le masturbe, sur toute sa longueur. La pine réagit, enfle, bat, puissamment. Une main du mec (Suley ?) se pose sur mes fesses, passe sur ma cuisse, cherche ma moussette, constate l’absence de culotte, et tourne sur ma vulve, humide bien malgré moi. Je le branle plus vite. Son majeur jaillit soudain, me pénètre, j’ouvre la bouche au-dessus de la bite énorme et commence à haleter. Je crache un filet de salive sur le gland, que je cajole entre mes doigts, ça glisse, la queue se tend, un index rejoint le majeur, j’écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès, il me pénètre plus loin, plus vite, dans un bruit de succion très évocateur. Je me penche, et lèche le dessous de son gland, ma langue se fait pointue, coquine, le goût est fort, salé.


Clap de fin. La musique s’est arrêtée.

(Non ! Pas déjà !)


Il extrait ses doigts de mon hymen, je trace ma croix sous sa queue, il me caresse le visage. Je passe à droite. Second mec. Seconde queue, dressée. Moins grosse. Mais l’érection est belle, solide. Je le branle rapidement, encore toute chavirée des caresses précédentes, je crache un épais filet de salive dans ma paume, et l’applique sur le gland, main fermée, serrée, tandis que l’autre caresse les couilles.


Est-ce Alain ? La taille du sexe correspond. Sa main court sur ma cuisse, mes fesses, monte le long de mon dos, son bras m’enlace, il m’attire à lui, vers sa tête, je ne résiste pas, sa bouche est là, nous nous embrassons. C’est Laurent, je reconnais son parfum, son baiser, je me demande s’il pense que je suis Sylvie. Sa bite bat dans ma main, je le masturbe fermement, il se tend, m’embrasse le nez, le front, les yeux, le menton, le cou. Je me soulève et lui donne mes seins, qu’il lèche et mordille, je presse sa queue, la caresse, la branle, j’ai envie de le chevaucher, je l’enjambe, il continue de mordre mes nichons tandis que je me frotte contre sa queue gonflée (Baise-moi !) , je le place à l’entrée de mon vagin, humecte son gland de mon jus intime, et je m’empale sur lui, les deux mains sur sa poitrine. Mon bas-ventre explose de sensations merveilleuses, urgentes, je vais et viens sur sa pine en geignant doucement.

Clap de fin.

(Non ! Baise-moi ! Baise-moi !)


Je m’enfonce sur lui une dernière fois, lui trace ma croix sur la poitrine, l’embrasse en souriant (merci) et le libère, à contrecœur.


Vers la droite, troisième mec. La queue est là, tendue dans sa main. Je pose un baiser sur ses lèvres. C’est Alain. Je tâte sa bite, pour vérifier, la taille et la grosseur correspondent. Je descends sur son nombril, et le suce un moment, il sent la cyprine, une fille l’a sauté ? (jalousie !) Son sexe se met à tressauter de plaisir dans ma bouche. Je remonte et l’enjambe, je le chevauche, le baise, (oui ! oui ! oui !…) tout à mon plaisir.


Ses doigts me saisissent la taille, montent vers mes seins, je ne veux pas qu’il m’identifie en les caressant, j’écarte ses bras, et pose ses mains sur mon cul. Il en parcourt la raie, et place son index sur mon anus, de manière insistante. Pense-t-il que je suis Olivia ?


Je lui masse la queue avec mon vagin, je le baise, je cherche mon plaisir, son index pénètre mon petit trou, ajoute à mon extase, je pousse en arrière pour que sa bite aille plus loin en moi, je tressaille (je vais venir… oui… encore encore…) son index gagne du terrain, j’ai la tête qui tourne, je gémis…

Clap de fin.

(Encore ! Encore !…)


La jouissance m’échappe, le charme est brisé, je l’embrasse sur la bouche, trace ma croix sur sa joue, et cherche mon dernier partenaire.


La bite est grande, humide, collante. Stephen ? Sans doute. Je ne perds pas de temps, je l’enfourche, (Baise-moi !) il me pénètre, loin, loin en moi, je gémis, il me prend les seins et en pince les tétons, (Ouiiii !) je sais qu’il m’a reconnue, je le baise de tout mon être, je sens sa queue me déchirer les entrailles, je reprends là où mon mari s’est arrêté, je la sens venir, l’extase, le soleil de la jouissance m’illumine, je contracte ma moussette sur la bite blonde, serre son corps contre le mien, l’embrasse sur la bouche en remuant le bassin et en couinant comme une chienne, l’orgasme dure, enfle et désenfle au gré de ses coups de reins. Olivia a de la chance, son homme est un dieu de l’amour, son sexe est long et doux, son corps musculeux, et sa bouche merveilleuse. Il continue de me baiser par-delà mon orgasme, il chuchote à mon oreille  »croix croix croix croix oh croix croix oh croix », c’est mon ovale adoré, je prolonge mon plaisir, et le sien, et plonge dans sa litanie en gémissant des  »encore, encore, encore, encore » à son oreille.

Clap de fin. La musique s’arrête.


Je me rends compte qu’elle couvrait les geignements et râles de mes amis, qui s’étreignent dans le noir. Des rires épuisés se font entendre, des soupirs, des « oui », des « merci », des baisers. Je reste collée à mon ovale, mon Stephen, et lui chuchote un merci à l’oreille, avant de lui tracer ma croix sur les lèvres avec ma langue.


Je me relève les jambes flageolantes, je replace ma robe sur mes fesses et sur mes seins, je me recoiffe vaguement.



Les bougies s’allument. Olivia est presque entièrement nue. Sa robe est roulée jusqu’à sa taille, en haut et en bas. Son sexe est épilé, la fente est bien visible, et les petites lèvres forment des petits morceaux de chair qui en dépassent légèrement. Elle est rayonnante.



Suraya et Sylvie, seins nus, acquiescent. Elles ont un sourire épuisé aux lèvres. Je crois que moi aussi. Suraya a sa culotte à la main.



Seule avec chaque garçon pendant une minute ? (Seule avec Stephen !) Pourquoi pas ?

Je hoche la tête. Les autres aussi. Les garçons se concertent en chuchotant.

Puis Stephen annonce :



Mon cœur manque un battement.

Olivia annonce déjà :



Les bougies sont soufflées.

J’entre dans la cuisine. Je me demande ce que je vais bien pouvoir faire durant ces quatre minutes. Mon premier partenaire me suit.

Je le prends par la main, et vais jusqu’à la table, à tâtons. Je me retourne. Il m’enlace, m’embrasse, tendrement. C’est Laurent, encore. Je me perds dans le baiser, sa langue est douce, souple, ce mec est bon à croquer. Il se place entre mes jambes, sans briser le baiser, et trempe son sexe dans ma moussette. J’avance le bassin, il me prend, je gémis sur ses lèvres, il sourit, et me baise, sans hâte, jusqu’à la garde. Il caresse ma poitrine à travers ma robe, me prend plus fort, je l’aide en donnant des coups de bassin lascifs, je gémis plus fort.


On cogne à la porte. Le mec suivant entre. Laurent se love tout au fond de moi, me chuchote un merci à l’oreille, et se retire. Il n’est pas encore sorti que mon second partenaire m’enlace, m’embrasse, son corps est puissant, je lui caresse le dos, il est grand et musclé, sa peau est douce. Mes mains se posent sur sa bite, grosse, pleine de veines saillantes. Souleymane. Je joue de son sexe sur mon clitoris, sur ma vulve, son gland énorme me transperce, je le serre contre moi et le laisse me pénétrer de toute la longueur de sa queue.

Il reste là, lové contre moi, sa bite bat dans ma moussette, il a cessé de respirer, il se tend… puis se détend, doucement.



Le murmure grave ôte le dernier doute, c’est bien Suley. Je suis flattée qu’il ait failli jouir juste en me pénétrant, je dois l’exciter à mort. Je relâche mon étreinte et ondule le bassin.



J’ai parlé bas, j’espère qu’il n’a pas reconnu ma voix.



Il fait glisser sa longue verge dans mes tréfonds, lentement, je lui griffe les fesses pour qu’il vienne plus loin, plus loin encore.

On cogne à la porte. Un nouveau partenaire pour moi.

Souleymane se retire dans un bruit de succion. Mon vagin chauffe.



Il a murmuré à mon oreille. Je souris. Il sort.


Le troisième larron m’attrape par les épaules, et me retourne. Il me serre contre lui, baisse le haut de ma robe, caresse mes seins de ses grandes mains douces.

Il s’écarte, pose la main sur mon dos pour que je me baisse, et que je lui présente mon cul. Je me presse contre la table, sur les coudes, debout, fesses nues en arrière, prête à être prise en levrette comme une petite chienne. Il s’accroupit, et me fait lever un pied, au travers duquel il glisse quelque chose. Il renouvelle l’opération avec l’autre pied.

Ma culotte de la dernière fois !

C’est Stephen.

Il remonte ma culotte jusqu’à mes genoux, se relève, et plonge sa langue dans mon anus, qu’il titille, humecte, écarte, pénètre. Je glisse une main sous moi et me masturbe. Il vient coller sa bite contre mon petit trou. Écarte les lobes de mes petites fesses avec ses mains. Son sexe enfle contre ma pastille vierge. Il ne pousse pas, mais les plis de mon anus s’étirent pour lui laisser le passage. Je sais ce qui va arriver. Je l’accepte. M’abandonne.

(Prends-moi !)


On cogne à la porte. Stephen oscille, au bord de mon abandon. Se retire. S’en va. Sans un mot.

J’ai la tête qui tourne. Je me redresse. On m’enlace. M’embrasse. Je saisis la bite entre mes doigts et la branle, sans y penser,



Alain. Il sait que c’est moi ?



Il rit.



Je le branle toujours. Il m’embrasse.



Je suis furieuse, soudain.



Il m’embrasse.



Il me presse les seins, je sens sa queue sur ma chatte. Comment peut-il rester zen ? Est-ce qu’il m’aime vraiment ? N’est-il pas jaloux ?

Il me baise, de tout son être, la culotte est tombée à mes pieds, je m’offre à son désir, à son ardeur, sa bite me lime jusqu’à la garde, il me presse les nichons, je voudrais que ça dure…

On cogne à la porte.

Il m’embrasse encore en remuant en moi comme un dératé.



Je le suis. Si ça lui convient comme ça… Je vais prendre mon pied, ce soir.


Le « jeu » n’est pas terminé.