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Temps de lecture estimé : 12 mn
25/01/12
Résumé:  Christine Yen et Alain partagent une soirée de jeux coquins avec trois couples d'amis. Les choses deviennent chaudes, et Yen n'est pas tout à fait sûre de vouloir continuer. Elle le fait, pourtant.
Critères:  grp couplus extraoffre fête intermast fellation cunnilingu anulingus jeu -entrecoup -jeux
Auteur : FloreanMC  (Auteur en herbe...)            Envoi mini-message

Série : Petits flirts entre amis

Chapitre 02
Petits flirts entre amis, chapitre II

Olivia est la maîtresse du jeu.



Nous sommes attentifs, dans la pénombre. Alain me tient toujours la main.



On se regarde tous, gênés. Sylvie la timide secoue la tête.



Elle regarde son époux Laurent d’un air inquiet. Mais celui-ci la rassure.



Elle sourit à son tour, incertaine. Je parle avant d’avoir réfléchi.



Olivia sourit.



Alain me regarde, étonné. Je suis rouge pivoine. Olivia reprend.



Ils haussent les épaules, hochent la tête, sourient. Alain fait les trois. Il me donne l’autorisation de me laisser tripoter dans le noir - voire sauter… ! Je ne sais pas si je suis plus excitée qu’outrée.



La musique lascive, un slow des années 70, commence. Nous nous prenons toutes par la main et nous réunissons au milieu de la pièce. Les bougies sont soufflées. Une des filles m’embrasse sur la joue, puis sur les lèvres et m’incite à me mettre à quatre pattes. Olivia, je pense. Je détourne le visage. Je sens les têtes des copines juste devant moi, elles sont toutes là, à présenter leur cul dans cette espèce de ronde des chiennes. Je sens leurs cheveux contre mes joues. Un rire étouffé à ma droite. Un nouveau baiser m’est offert, je ne sais pas qui m’embrasse. Je me détourne encore.



Elle a chuchoté, on dirait Sylvie, mais je n’en suis pas sûre. Elle fait courir ses lèvres sur ma joue, puis sur ma bouche. Je rends le baiser, sans la langue, hésitante. Elle sourit sur mes lèvres.



Sa langue trouve la mienne, tandis que mon premier partenaire se présente derrière moi. J’ai les jambes serrées, sa bouche soulève ma petite jupe, mon cul nu lui est offert, protégé par la seule ficelle du string. Il m’embrasse les lobes tour à tour, me sent, me caresse avec son nez. Je me détends doucement. Sa langue descend sur ma moussette, dont il trace les contours à travers le tissu soyeux du string. Je me mords les lèvres.



Les filles se tendent autour de moi, le baiser que j’échange sporadiquement avec l’une d’elles devient plus ardent, elle soupire dans ma bouche, s’éloigne, secoue la tête en gémissant, revient, repart… Les quatre petites chiennes sont prêtes pour la saillie, je me méprise de trouver ça si excitant, d’embrasser une nana à pleine bouche, de m’offrir à d’autres hommes, et d’offrir d’autres femmes à mon mari. La langue de mon partenaire passe sous le string, il me goûte, travaille mon clitoris, l’humecte, le mouille, explore la fente étroite, je me baisse sur mes cuisses, les écarte un peu, pour qu’il fouille plus avant. Il s’excite, colle son visage contre mon vagin, et essaye de me pénétrer avec sa langue, malgré le string qui l’entrave… (Oui)


La musique se termine. Je soupire d’aise, j’ai la tête qui tourne, mon partenaire trace un carré sur ma fesse. Peut-être Alain ? Il s’éloigne. Mon embrasseuse s’affale contre le sol, je reste campée sur mes deux bras, une autre fille cherche ma bouche, je la laisse mordiller mes lèvres, le baiser est doux. Suraya ? Olivia ? (Encore)


Une tête se glisse entre mes cuisses, mon second partenaire semble entreprenant. Je lutte contre un sentiment de dégoût quand sa langue remonte jusque mes fesses, sur la ficelle de mon string, j’essaye d’imaginer que c’est Alain qui est là, et non un des maris des copines. Un gémissement juste devant moi.



Ça a recommencé. Je me raisonne. Nous sommes dans le noir, l’homme qui m’explore ne sait pas qui je suis, et ne le saura pas. Je me détends, me cambre, et écarte les jambes, cul en l’air. Une fille soupire d’aise à ma droite. Elle susurre :



Ses seins ? Ses tétons ? Les dents s’agrippent à mon string et le tirent vers le bas, en passant juste sur mon vagin trempé, le contact des lèvres qui m’effleurent est délicieux, il me soulage, je me rends compte à quel point je suis excitée, rien à voir avec l’amour, juste du sexe pour le sexe. Le string glisse jusqu’à mes genoux, élastique tendu. Je suis bonne pour la levrette… si je mets la main, ce qui ne sera pas le cas. (J’espère.)


Je me cambre encore quand mon visiteur commence à me sucer, la langue, agile, remontant du clitoris au périnée, je gémis comme mes trois copines, dont deux s’embrassent à pleine bouche à quelques centimètres de mon visage. (Et moi ?)


Mon coquin s’échauffe, il plonge une langue pleine de salive dans ma vulve déjà bien mouillée, je halète piteusement, tête vers le ciel, en poussant vers l’arrière pour l’accueillir plus loin. Ses mains se glissent soudain sur mon dos, sous le T-shirt, et, langue toujours fourrée dans ma moussette, il dégrafe mon soutif d’un geste leste et en un mouvement rapide et fluide ses paumes recouvrent mes nichons dorés, les palpent, les étirent, les pincent. Sa bouche remonte vers mon cul, il me lèche tour à tour l’anus et le périnée, je gémis plus fort, Alain doit savoir que c’est moi qui prends ce plaisir bruyant, j’ai honte mais je ne peux ni ne veux me retenir.



Le bout de langue du mec (qui est-ce ?) humecte mon anus avec mon jus intime et essaye d’y pénétrer, en continuant une ronde vagin-périnée-contact anal, je suis gênée, et curieuse de ces sensations nouvelles, je me laisse faire, je ne sais pas comment réagir, c’est inhabituel et particulier (mais pas désagréable). Une des filles - Souraya, encore, je pense - se met à haleter en un long murmure rauque.



On entend les claquements de peau de cuisses contre cuisses, je rougis en imaginant qu’une copine se fait sauter juste là, devant moi… (peut-être par mon mari ?) La langue de mon partenaire inconnu continue son manège sur ma pastille souple… Cette situation est ridicule, je me fais… brouter… le cul par le mari d’une de mes amies alors que mon mari à moi ne m’a jamais encore léchée de cette manière… le contact cesse soudain. (Hé ! Non !) Je pousse vers l’arrière pour retrouver la langue malicieuse, mais le gars retire ses mains de mes nichons, trace un S sur mon cul et disparaît dans le noir. La musique a cessé.



Les filles protestent en chuchotant, l’une d’elles frotte ses lèvres sur mon visage. Elle mord le bout de ma langue tendue entre mes lèvres, pas trop fort mais avec passion.



Elle est aussi frustrée que moi ! Sans réfléchir, je fais passer une main sous moi et me caresse la minette, deux doigts dans le vagin, le plaisir est immédiat, ça me soulage.


Un paso doble brésilien commence. Un garçon me trouve. J’ôte vite ma main de ma moussette. Je ne veux pas qu’il y ait de quiproquo et que je me retrouve obligée d’accepter un autre sexe que celui de mon mari (peut-être) en moi. Ses doigts me caressent, des fesses nues jusqu’aux seins bien pleins - et sensibles. Il trace alors une croix sur mon dos, suivie… d’un signe… un point d’interrogation ? J’ai le cœur qui bat.



C’est un murmure, mais il l’a entendu. Il dessine un ovale sur ma fesse. Je souris, prête au plaisir cette fois. Il plonge sa langue dans mon intimité, je frissonne de désir, son contact m’électrise, son nez est dans mon anus souple, sa langue joue au bord de ma vulve, et, sans m’en rendre compte vraiment, je glisse à nouveau ma main sous moi, fais courir mes doigts sous mon ventre, puis sur mon clitoris avide de caresses. (Baise-moi !). Il se redresse, colle son pubis contre mon cul et me soulève silencieusement, ses bras croisés sur mes seins. (D’accord !). Il m’éloigne du groupe, me repose au sol, toujours à quatre pattes, je n’ai pas protesté, pas émis un son, ma culotte est tombée quelque part en chemin. Sa queue se love dans la raie de mon petit cul, trouve ma chatte ouverte, et s’y glisse lentement, par petits à-coups. (Baise-moi !).


Je pousse sur sa queue, je l’encourage, l’aide, ses bras m’enserrent, je le sens en moi, je sais pourquoi il m’a éloignée du groupe, on a six minutes pour jouir, pour se rencontrer, pour se connaître (pour s’aimer). Je me masturbe en touchant sa bite sous moi, je lui presse les couilles, je m’ouvre à lui, pleinement, je me donne à cette pine inconnue qui me transperce et me comble. Ses mains reviennent sur mes gros nichons, ajoutent à mon plaisir, à la construction de ma jouissance, je tourne la tête, cherche ses lèvres, les trouve. (Embrasse-moi, baise-moi plus fort !). Sa langue tourne dans ma bouche, sa grosse queue déchire ma chatte étroite, je gémis urgemment, je me fiche des autres, d’Alain qui reconnaîtra mes couinements, je veux jouir avec lui, mon ventre hurle de désirs et de plaisirs inassouvis, je me cambre, me cabre, je pousse vers l’arrière, me plante sur son sexe, lascivement, lentement, profondément, il m’emplit, me remplit.



Il accélère le rythme, je pars, la respiration me monte à la tête, il relâche mes seins (non, continue à les presser !) se redresse, attrape mes hanches fermement et me baise comme une chienne, (oui, comme ça) en levrette, son pubis tape contre mon petit cul, (baise-moi baise-moi) dont il tâte les lobes modestes, je continue à malaxer ses couilles et me rends compte qu’il les a épilées, le contact est doux et suave sous mes doigts. Il me laboure le sillon, sa queue fend ma chatte comme une épée vibrante, je m’écrase contre le sol, cherche une jouissance qui me fuit, à grands renforts de geignements très audibles.



Je sursaute, il sort sa bite de mon vagin en feu, me repousse à regrets, je suis sur le parquet, je n’ai pas entendu la musique s’arrêter ! Une allumette craque, je me relève d’un bond, les jambes flageolantes, et rejoins les filles en réajustant mon soutif - toujours dégrafé.

La première bougie. Je n’ose pas regarder Alain dans les yeux, mais je vois qu’il referme les boutons de son pantalon. A-t-il fauté aussi ? Notre couple est-il mort ici, ce soir ? Seconde bougie. Les couples se sourient, rouges, débraillés, je rattache mon soutif l’air de rien, les bras repliés dans le dos, sous le T-shirt. Coupable, mais naturelle. Ma culotte a disparu. La honte. Olivia se recoiffe et redresse sa jupette. Elle a l’air ivre. Comme nous toutes.



On se regarde tous, incertains. Je suis gênée, encore, mal-à-l’aise, ma pudeur reprend le dessus, alors que la cyprine mêlée de salive et de transpiration coule en gouttes épaisses entre mes jambes. Sucer Alain alors que tout le monde sait parfaitement ce qui se passe ? Exposer son sperme à mes copines ? Olivia tape dans ses mains, amusée.



Petits papiers. Je vote oui. Dépouillage.



Elle ferme la porte. Je regarde mon mari dans les yeux.



Je hoche la tête. Il me caresse les fesses, puis la moussette. Il ne me fait aucune remarque sur ma culotte disparue, ne me demande pas si j’ai fauté, ne teste pas ma moiteur intime.



Il déboutonne son pantalon, sa trique est énorme, gonflée, je me baisse et la prends dans ma bouche avec reconnaissance (et culpabilité). Il se branle avec vigueur, sur ma langue. J’ai à peine le temps de le goûter.



J’approche la flûte de son sexe, qui explose déjà en un jet puissant et abondant, et éclabousse les parois translucides. Le sperme sort en courtes saccades rapides, urgentes, Alain jouit pleinement, les yeux fermés, je masturbe lentement sa belle queue en veillant à recueillir la semence blanchâtre qui s’accumule au fond du verre étroit. Il soupire de soulagement et se détend, une dernière goutte grasse coule du méat sur mon pouce, je la racle au bord de la flûte, la perle se fige sur la paroi. Il ouvre les yeux et me sourit, repu, je reconnais ce regard apaisé, rassasié.



Je me détends à mon tour et acquiesce en souriant (il ne s’est rien passé), je le branle encore et le prends dans ma bouche, je lèche son gland enflé, qui bat sur ma langue au gré de mes caresses. Il se penche, me relève, me serre dans ses bras, m’embrasse longuement.



Je souris. Nos bouches se mêlent.



J’ai la coupe de sperme dans la main.



Il reboutonne son pantalon.



Il me pousse contre la table de la cuisine, se met à genoux, soulève ma jupe, écarte mes cuisses et plonge sa langue dans ma chatte en feu. Il me regarde intensément pendant qu’il me triture le clito et m’explore le vagin. Je presse sa tête contre moi avec conviction, il me lèche partout, du nombril au périnée, puis s’écarte.



Je souris en plissant mes yeux bridés, ce qui me donne un air coquin.



Je me fais mutine.



Il sourit, fait courir sa langue dans ma petite fente trempée, et se relève.



Nous entrons dans le salon. Toutes les copines sont là, leurs flûtes pleines de sperme à la main. Elles rient en nous voyant arriver, tout le monde applaudit, tout le monde s’embrasse.



Olivia montre sa coupe contenant le sperme de Stephen comme si elle portait un toast.



Elle pose sa flûte sur le comptoir. Suraya n’hésite pas.



Elle imite Olivia. Sylvie me regarde. Boire le sperme d’un des mecs ? Je déteste déjà avaler celui d’Alain, j’évite quand je peux… c’est gluant, ça me donne des haut-le-cœur… non, je ne veux pas aller jusque-là. Je secoue la tête. Sylvie sourit, pose la sienne.



Elle me fait un clin d’œil. Olivia applaudit et s’écrie :



Garçons et filles se mettent à scander :



Alain n’est pas le moins enthousiaste. Très bien. Je me sens bien petite quand je traverse la pièce pour poser ma flûte à côté de celle des autres. Pas le choix. Je prends alors celle qu’Olivia a posée, et la lève pour que tout le monde la voie.



Je porte la coupe à mes lèvres et en fais couler le contenu glaireux et abondant dans ma bouche. J’attends que les dernières gouttes aient coulé sous ma langue tirée avant d’avaler le sperme amer et épais dans une grimace. Je dé-tes-te ça !!! Nouveaux applaudissements.



(C’est Stephen qui a parlé. J’espère que c’est l’ovale, et qu’il a ma culotte.)



Les autres filles ont échangé leurs flûtes et boivent tour à tour.



Suraya le regarde droit dans les yeux en écumant la jute claire.



Sylvie aspire le sperme épais de Suleymane, puis embrasse Suraya sur la joue en riant aux éclats.



Olivia me fait un clin d’œil en buvant la semence de mon mari.



Je me rapproche d’Alain, qui s’assied dans le canapé et m’attire à côté de lui. Nous écoutons Olivia expliquer qu’elle a de nouvelles idées. Alain m’embrasse sur la joue. Je serre les cuisses, consciente de la moiteur exquise qui s’est accumulée dans ma moussette. Il ne s’est rien passé.