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Temps de lecture estimé : 28 mn
04/02/12
Résumé:  Au retour d'une soirée chez des amis, un couple se souvient comment ils ont découvert le voyeurisme et l'exhibitionnisme avant d'envisager d'aller plus loin..
Critères:  2couples couplus voisins jardin voir exhib photofilm intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo -entrecoup -voyeuract -exhib
Auteur : VincenLise      Envoi mini-message

Série : Voir et être vu. Et plus si affinité

Chapitre 01 / 03
Voir et être vu. Et plus si affinité, 1

Nous rentrons d’une soirée entre amis et cette belle nuit de septembre me rappelle des souvenirs. Ma femme, Lise, assise à côté de moi, silencieuse, se tourne de mon côté et me dit dans un souffle :



Bien sûr que je me souviens. Qui pourrait les oublier ? Nous avons passé de si bons moments ensemble. C’est la vie qui nous a séparés.



Tout a commencé cinq ans plus tôt.


Comme ce soir, nous rentrons d’une soirée passée chez des amis, à la seule différence qu’à l’époque ce n’était encore que de nouveaux voisins. La nuit est magnifique de douceur, le ciel d’une pureté qui laisse les étoiles et la voie lactée comme à portée de la main et les quelques pas qui nous rapprochent de notre maison sont propices à la rêverie. Nous marchons main dans la main comme des amoureux, mais après tout, cela ne fait que deux ans que nous vivons ensemble. Lise me dit alors :



Une alarme se déclenche dans mon cerveau et une petite voix intérieure me dit : « Attention danger, bien réfléchir avant de répondre. C’est un piège pour te tester… » Il faut dire que ma femme est hyper jalouse, c’est même son principal défaut. Pourtant je suis fidèle et rien dans ma conduite n’est équivoque. Il faut faire avec et j’ai appris à ne jamais la provoquer sur ce sujet, même par la plaisanterie. C’est pourquoi je réponds :



Décidément, ce jour est à marquer d’une pierre blanche. Lou apprécie une belle femme sans se sentir en compétition et elle me charrie sur mon manque de sport. Je réponds :



La soirée s’est terminée dans l’escalier, avant même d’atteindre la chambre. Dès la première marche, j’ai passé ma main sous sa jupe et j’ai trouvé son intimité bien humide pour me recevoir sans préliminaires. Rien ne vaut une belle partie de sexe dans les escaliers. Cela paraît moins confortable qu’un lit ou qu’un divan, mais les marches incitent à des positions plus acrobatiques qui décuplent le plaisir. Tous les orifices se placent naturellement à bonne portée. Lise s’est facilement prêtée à ce petit jeu et m’a même gratifié d’une « gorge profonde » avec la conclusion suprême de jouir dans sa bouche. Ce n’est pas tous les jours que j’ai droit à cette gâterie.


Notre vie sexuelle est comme notre escalier. Nous avons commencé tout en bas avec une technique très basique, et petit à petit, Lise a accepté quelques variantes. Et c’est ainsi, marche après marche, que nous avons construit notre sexualité. Maintenant le cunnilingus, la fellation, la sodomie font partie de notre quotidien avec quelquefois l’utilisation de jouets érotiques. Le plaisir, c’est comme la vie, plus les choses sont difficiles à atteindre, meilleur est le résultat.



Quelques jours plus tard, plus exactement quelques nuits plus tard, je m’installe au fond de mon jardin avec mon matériel d’astronomie afin de profiter de la pureté de l’air pour mes observations. Il faut dire que l’astronomie est ma passion et qu’il m’arrive de passer des heures à observer le ciel, surtout par ces belles nuits de printemps.


Au bout d’un moment, l’œil rivé à ma lunette, il me semble entendre des bruits sourds, des grognements, des gémissements qui proviennent de l’autre côté de la haie, chez mes nouveaux voisins. Il n’est pas nécessaire d’être devin pour comprendre qu’un couple se livre à une activité qui se pratique d’habitude dans une chambre – ou éventuellement dans un escalier (pour les acrobates !). Je suis sûr que vous auriez fait la même chose, aussi je m’avance de quelques pas du feuillage et d’une main, en écartant délicatement une petite branche, je peux voir ce qui se passe à côté, quelques mètres plus loin.


Quel ravissant spectacle uniquement éclairé – comme mis en scène – par des bornes solaires tout autour des artistes. Il s’agit, vous l’avez compris de Lou et Marc, en charmante position qui montre Marc, debout, tenant la tête de Lou entre ses mains et la guidant vers son sexe dressé qu’elle se fait manifestement une joie d’engloutir dans sa bouche. Maintenant, je suis assez près pour entendre :



Sa partenaire prend le temps de sortir lentement le sexe de sa bouche et provocatrice, tout en regardant son mari, répond :



Alors elle se penche en avant, en appui sur la table de jardin, sa croupe en offrande, aussitôt rejointe par Marc qui, d’un seul mouvement, présente sa queue à l’entrée de la grotte humide et la fait pénétrer jusqu’à la garde. Pas de doute, l’endroit est largement lubrifié pour si bien accueillir ce bel organe. Lou ne dit rien mais le plaisir se lit sur son visage, les yeux fermés, la bouche ouverte comme si l’air venait à lui manquer. Mais cela ne dure pas car Marc la baise avec vigueur, les mains sur ses hanches pour mieux la posséder. J’entends clairement le choc des fesses sur le bas-ventre avec ce clapotis si caractéristique des bonnes bourres. Ils sont à quelques mètres de moi et j’ai peur de me faire remarquer, aussi je ne bouge pas alors que je sens ma verge se durcir et se dresser dans mon pantalon.



Le spectacle est torride. Marc va de plus en plus fort. Ils sont si proches que je peux voir ses couilles battre le rythme de son mouvement. Il crie :



Lou lui répond :



Et elle se positionne pour que le sperme de son mari gicle sur sa poitrine. Dans un cri, Marc éjacule son jus que Lou étale consciencieusement tout en prélevant quelques gouttes avec un doigt qu’elle porte à sa bouche pour le lécher avec gourmandise.


Après quelques instants, ils s’embrassent tendrement et se dirigent vers leur maison. Je peux enfin bouger et, après avoir rangé mon matériel, je rentre chez moi, avec l’espoir que Lise ne dorme pas encore car tout cela m’a bien excité. Malheureusement, je suis resté comme un couillon avec mon désir. C’est à la main que j’ai été contraint de me soulager. Comme je me sentais coupable de voyeurisme, je n’ai pas osé parler de cela avec mon épouse.


Quelques jours plus tard, en rentrant du travail, je rencontre Marc dans le train de banlieue. Nous bavardons de choses et d’autres et bien sûr, nous commentons la météo qui continue de nous prédire du beau temps. À un moment il dit :



Pensant qu’il veut parler de mes observations astronomiques, je réponds :



Mais il me coupe :



Alors je me sens comme un coupable pris sur le fait :



C’est comme cela que le samedi suivant, dès 22 h, je me dirige dans le fond du jardin avec mon équipement. Il fait très doux avec une belle lune, tout ce qu’il faut pour notre petit scénario. J’échange quelques mots avec les voisins et nous en profitons pour enlever quelques petites branches afin de favoriser la vue dans leur jardin.


Voilà, tout est en place. Je retourne à la maison et retrouve Lise langoureusement allongée sur notre lit, apparemment toute concentrée sur sa lecture. Je me demande si elle n’avait pas une petite idée derrière la tête car sa nuisette ne couvre pas grand-chose. Mais le destin est en marche, aussi je dis :



Enfin elle accepte et nous descendons dans le jardin. Je lui prends la main et, en lui faisant signe de ne pas faire de bruit, je l’amène près de la haie. Immédiatement elle comprend ce qui se passe. Il faut dire que Marc encourage Lou à le sucer et que nous avons une parfaite vue sur leur terrain de jeu. Le premier réflexe de Lise est de reculer, comme si elle voulait partir, mais d’une pression de la main, je l’encourage à rester. Je la place devant moi, aux premières loges, pour le spectacle où Lou agenouillée absorbe le sexe de son mari avec fort bruits de succion. Marc de son côté, l’encourage en la traitant de bonne suceuse, de salope chérie, etc.


Petit à petit, je vois Lise se décontracter devant le spectacle et à un moment, elle se retourne vers moi avec un sourire aux lèvres. Mais maintenant Marc place son épouse en appui sur la table de jardin et commence à la lutiner de la langue. C’est à elle maintenant de l’encourager, entre deux gémissements, de titiller son clitoris, de lécher la raie des fesses en insistant sur le petit trou, d’introduire sa langue dans les deux orifices, etc.


Maintenant je vois bien que Lise est littéralement hypnotisée par ce qu’elle voit et surtout ce qu’elle entend. Si ces pratiques nous sont familières, jamais l’un ou l’autre n’avons été plus loin qu’un « encore, c’est bon » ou « continue ». En tout cas, cela lui fait de l’effet car je vois sa main qui, doucement se glisse vers son entrejambe alors que l’autre caresse un sein. Je n’ai qu’un pas à faire pour lui faire sentir que moi aussi je suis excité par ce qui se passe. Mon sexe, raide comme un bâton, vient se placer contre ses fesses alors que mes mains, soulevant le tissu de la nuisette, viennent envelopper ses deux seins tout en effleurant les tétons en érection. Lise apprécie ce contact et me le fait savoir en ondulant de la croupe, ce qui m’incite, en quelques secondes à libérer ma verge de mon pantalon.


Pendant ce temps Marc s’est relevé et glissant sa queue dans le vagin de Lou, dit :



Marc n’a pas attendu cet encouragement pour besogner avec vigueur, alternant les poussées rapides et profondes avec les sorties et réintroductions lentes. Les deux amants ne parlent plus. On entend seulement les grognements et les soupirs qui ponctuent les va-et-vient.


De notre côté, Lise n’est pas restée inactive et, comme pour se synchroniser avec nos voisins, elle s’est penchée en avant de façon à ce que ma verge gonflée de désir trouve naturellement le chemin de sa grotte. Je ne bouge pas et c’est elle qui avance et recule, venant se baiser à sa propre cadence. Je suis sur un nuage de volupté et de plaisir au point que je dois faire appel à tout mon contrôle pour ne pas éjaculer. Je sens que Lise jouit de son côté et qu’une fontaine de jus coule de son sexe. Elle ne peut pas se retenir de gémir et je suis sûr que les voisins ont entendu ses feulements. Aussi, comme pour les couvrir, Lou dit :



Maintenant Marc ralentit sa cadence mais pourtant ne cesse pas ses mouvements amples et profonds qui, par instant, permettent d’entrevoir sa queue luisante sous la lumière des bornes solaires. Lise de son côté ne cesse pas de venir se faire du bien sur mon vit et j’ai même l’impression qu’elle calque ses mouvements sur ceux du voisin. Mais Lou reprend :



Et en quelques secondes, la messe est dite. La queue de Marc disparaît de notre vue en envahissant le cul de sa femme. Quel dommage que nous les voyions de profil. J’aurais aimé voir la rondelle se dilater lentement sous la pression du gland et caresser la tige du maître des lieux.


Mais, que se passe-t-il ? Lise semble avoir un moment de faiblesse et elle se baisse pour se mettre à genoux. Une fraction de seconde mon cœur s’arrête, mais que fait-elle ? Oh, la bougresse. Sa position est sans équivoque. Elle est à genoux, le visage appuyé sur le sol, les jambes largement ouvertes et surtout, ses deux mains écartent la raie des fesses pour montrer le chemin de son anus. Quel spectacle ! Jamais elle ne s’était prêtée à une telle provocation. Et si Marc avait raison ? Mais ce n’est pas le moment de réfléchir. Il faut assurer. Je me baisse à mon tour, lubrifie de la langue le chemin offert et doucement, avec tendresse et amour, je fais entrer mon sexe, gonflé comme jamais, dans le cul de mon épouse.


C’est après, des minutes ou des heures, que je me suis aperçu que les voisins n’étaient plus là alors que j’étais encore sur le dos de Lise qui semblait comme moi hors du temps. Nous rentrons à la maison, sans un mot, comme des somnambules. Une fois au lit, j’entends Lise qui sanglote :



Et je conclue par un langoureux baiser, avant que nous tombions dans le sommeil.


Quelques jours après, je reçois un appel de Marc qui me dit :



C’est ainsi que deux semaines plus tard, alors que nous faisons des courses dans un supermarché de jardinage, ma femme attire mon attention sur des « bornes solaires vraiment magnifiques et pas chères ». Bien entendu, je suis d’accord, et le jour même j’installe ces bornes suivant ses directives. Je ne dis mot, mais ces bornes ne sont pas positionnées le long d’un chemin, mais plutôt, suivant les paroles de Lise. « Elles mettront en valeur cette magnifique haie de lauriers que nous avons trop négligés ». Que c’est agréable de jouer au chat et à la souris.


J’attends, mais rien ne vient. Il faut dire que la pluie s’est mise en travers de son chemin car ce printemps si ensoleillé laisse la place à huit jours de pluie ou plutôt d’un crachin qui ferme l’accès au jardin. Pourtant chaque soir, ma tendre épouse me fait remarquer depuis la fenêtre de notre chambre que « vraiment cette haie est maintenant bien mise en valeur ». Mais il n’y a pas que la haie qui est mise en valeur car Lise me joue le grand jeu avec de la lingerie à damner un saint, que je ne suis pas. Enfin le soleil revient et presque aussitôt je reçois un SMS de Marc qui annonce que tout se met en place pour samedi prochain.


Voilà, le repas se termine. Nous prenons l’air sur la terrasse et nous avons bien besoin de faire une pause car, prétextant que les plats fins demandaient de bonnes bouteilles, j’ai bien rempli nos verres. Nous sommes bien, gais, avec cette légère ivresse qui désinhibe et décomplexe tout en gardant un parfait contrôle de soi. Lise est très en beauté. Elle a passé son après-midi chez le coiffeur et l’esthéticienne, porte une petite robe qui la moule et j’ai bien l’impression qu’elle a oublié le soutien-gorge. Une vraie entreprise de séduction à laquelle je ne résiste pas.


Je la câline, lui prodigue des baisers langoureux, glisse ma main sur sa poitrine et commence à vouloir pousser plus loin mes caresses quand, en riant, elle s’échappe dans le jardin. Bravo le stratagème pour nous amener plus près de la haie et de l’éclairage. Je me prête volontiers à son jeu et elle se laisse attraper facilement à l’endroit qu’elle a choisi. Je la prends dans mes bras et, tout en l’embrassant avec fougue, mes mains s’aventurent sur son corps ou plus exactement sur ses hanches et ses fesses car elle est littéralement soudée à moi, frottant son ventre contre le mien. Très rapidement je constate qu’à part la robe, aucun tissu ne barre le chemin de ses fesses. Non rien, pas même la ficelle d’un string. Alors je lui dis à l’oreille :



Alors elle fait un pas en arrière et, lentement, fait glisser sa robe à terre. Le geste est à la fois théâtral et sensuel mais surtout, une borne lumineuse se trouve, comme par hasard, juste à ses pieds, éclairant son entrejambe d’une lumière douce et diffuse. Mais c’est comme si un projecteur était braqué sur son sexe car aucun poil ne fait de l’ombre à son intimité.



Quelques secondes plus tard, je me retrouve nu avec mon épouse à mes genoux mais…



Eh oui, la honte. Mon sexe n’est pas dans la position qui devrait être la sienne avec le charmant spectacle que ma femme m’a présenté. Je pense « tu bandes comme un turc lorsque tu es le voyeur et il n’y a plus personne lorsque c’est toi qui dois assurer ». Je comprends alors le dur métier que celui de hardeur. Mais heureusement Lise prend les choses en main et en quelques secondes tout est en ordre.


Je ne sais pas si c’est sa prise en bouche avec une langue qui glisse du gland aux couilles et qui enduit mon dard de salive ou le regard provocateur que me lance ma femme, mais mon sexe s’allonge, se gonfle et tressaute comme un cobra envoûté. Ce n’est pas moi qui domine ma maîtresse, mais c’est elle qui mène le jeu avec gourmandise. Ma queue est tellement enduite de salive que je peux voir la bave s’écouler au coin des lèvres lorsqu’elle m’absorbe jusqu’aux couilles. Et toujours ce visage qui se lève vers moi, les yeux pétillants, le sourire aux lèvres et cette langue impudique qui passe de ses lèvres à mon gland avant qu’il ne disparaisse à nouveau dans sa bouche. Lise me suce comme une reine mais il faut que je me retienne. Aussi je la fais s’arrêter, m’allonge en l’entraînant avec moi et la fais se placer sur moi en 69. Bien sûr je prends soin de nous placer parallèlement à la haie afin que nos voyeurs soient aux premières loges.


J’ai maintenant le sexe de ma chérie à portée de mes lèvres et de ma langue. Tout de suite, je retrouve cette odeur si caractéristique du liquide qui suinte de son vagin et j’ai envie de goûter à ce fruit rouge où ma langue se lance à l’assaut. Je titille les petites lèvres, lèche l’entrée de la grotte en prenant bien garde de ne pas toucher le clito, descends faire le tour de l’œillet, abandonnant beaucoup de salive pour préparer une bonne lubrification. Lorsque j’introduis ma langue dans son sexe, Lise se cambre et se redresse en gémissant, m’étouffant presque sous la pression de ses fesses.


Je veux qu’elle jouisse par ma bouche, aussi je dégage le clito de son capuchon puis saisis délicatement son petit sexe entre mes lèvres. Oh, il est vraiment gonflé par le désir et je n’ai aucune difficulté à le sucer. Lise se tortille, pousse des grondements. Je sens qu’elle est prête mais je n’arrive plus à respirer, la bouche collée au clito et le nez qui dilate l’œillet comme un sexe. Alors, de mes deux mains, j’attrape les pointes de ses seins et tout en les pressant comme elle l’aime tant, je la force à se pencher, me libérant ainsi de sa douce pression. Je peux reprendre mes caresses et très vite mon amante atteint le plaisir en gémissant de plus belle, libérant dans ma bouche son jus que je recueille comme la récompense du travail bien fait.


Après avoir repris son souffle et gratifié ma queue d’une dernière série de va-et-vient buccaux, ma douce se retourne et s’allonge sur moi tout en faisant pénétrer mon pieu dans son sexe. Son vagin est tellement dilaté et glissant de jus et de salive que je suis déjà au fond sans avoir rencontré aucune résistance. Pas de doute, elle est tout à fait à l’aise sous le regard des autres et ses réactions montrent que cela lui plaît. Je profite que son visage est à côté du mien pour dire à son oreille :



Aussitôt elle se redresse et commence à se baiser sur ma verge que je sens palpiter. En même temps, elle place ses mains en coupelle sous ses seins, me signifiant que je dois m’occuper des pointes, qu’elle a tellement sensibles qu’il m’est déjà arrivé, de la faire jouir uniquement par cette caresse.


Pendant plusieurs minutes elle semble absente, uniquement concentrée sur son plaisir, les yeux mi-clos, un sourire aux lèvres encore humides de sa salive. De temps en temps, je retire mes mains pour admirer les balancements de sa poitrine dont les pointes se dressent sous mes caresses et son excitation. J’ai à ce moment une pensée pour Lou qui doit faire la comparaison avec la sienne, plus forte mais aussi un peu moins ferme. Lise sort de sa torpeur, comprend mon regard et, comme elle sait combien j’apprécie cette vision, me sourit. Sa réponse se traduit par de douces contractions de son vagin qui pétrissent ma verge comme de petites bouches. J’ai de plus en plus de mal à me retenir, d’autant que ma partenaire jouit à nouveau et que je sens son jus couler sur mes couilles.


Elle sait que je suis au bord de l’explosion mais en se penchant vers moi me glisse à l’oreille :



Alors là, je suis scotché. Jamais je n’ai entendu le mot « cul » dans la bouche de Lise. Pour elle, se faire sodomiser est normal, cela fait partie des pratiques sexuelles, mais le dire à haute voix dénote de la vulgarité. Je veux profiter de cet instant et je propose :



Et je me déplace pour que mes jambes soient en face la haie.


Sans même me répondre, Lise me chevauche, guide par la main mon gland au bord de l’œillet et d’une pression régulière le fait entrer dans son conduit, ne s’arrêtant que lorsque mes bourses bloquent la progression. Là aussi, la lubrification facilite l’introduction mais mon sexe est pressé de toutes parts par les parois de son anus qui sont loin de libérer le même espace que le vagin. Je suis à l’étroit mais c’est bon de se sentir ainsi, le gland complètement libéré de sa peau protectrice. Le moindre mouvement m’excite et Lise ne me ménage pas en bougeant avec une violence inhabituelle.


Normalement elle est économe de ses mouvements et c’est lentement qu’elle s’encule. À ce rythme, je ne peux plus me retenir et je peux presque sentir mon sperme se précipiter dans ma queue et jaillir avec violence en plusieurs éjaculations. On pourrait croire que je n’ai pas fait l’amour depuis longtemps tellement la quantité est abondante et j’imagine des filets de mon foutre s’écouler du cul de ma belle enculée.


Petit à petit nous reprenons notre souffle et je sens Lise frissonner, encore alanguie sur moi, mon sexe glissant hors de sa conquête. Je ramasse nos vêtements et, encore sous le charme, rentrons main dans la main.



Les jours suivants, nous n’abordons pas le sujet et reprenons notre quotidien. Seul Marc brise le silence en m’envoyant le SMS suivant : « Bravo ». Je suis presque surpris qu’un si court message me fasse tant plaisir. Donc nous avons été à la hauteur et j’en suis fier. Cependant je ne peux pas en parler à Lise car je suis censé ne pas être au courant de ses confidences avec la voisine.


Enfin, un soir je sens que ma femme est mal à l’aise. Deux solutions : soit elle va me faire une scène pour un regard malheureux sur la croupe d’une passante, soit elle a quelque chose à me dire et elle ne sait pas comment aborder le sujet. Le repas se passe normalement, nous regardons un navet à la télé, et nous montons dans la chambre. À mon retour de la salle de bain, Lise est allongée sur le lit et tient une pochette de DVD à la main. À ma question muette elle répond :



Une minute après nous voilà installés sur le lit avec la vidéo qui commence sur l’écran juste en face. Dès les premières images, nous apparaissons, collés l’un à l’autre échangeant un baiser fougueux avec mes mains plaquées sur ses fesses. Je fais l’étonné et commence « mais, c’est… ». Aussitôt Lise me coupe la parole pour dire :



Et elle prend ma main pour la glisser dans son entrejambe.


Alors là, chapeau ! C’est une idée extraordinaire de regarder cette vidéo de nos propres ébats, comme des étrangers. Nous serons acteurs et spectateurs en même temps, il fallait oser !



Les images défilent sur l’écran avec des gros plans sur Lise en train de me sucer avec ardeur.



Elle hésite à dévoiler par la parole ses plaisirs les plus secrets. Aussi j’essaie de l’aider.



Pendant toute cette tirade sa main me masturbe pendant que la mienne pousse les doigts à explorer son sexe et caresser son clitoris. Nos paroles nous excitent encore plus que nos gestes.


Mais le film avance et notre propre spectacle nous inspire. La seule position qui nous permette de nous admirer sur l’écran tout en profitant de nos sens à vif, est la levrette. Je besogne avec ardeur ma maîtresse alors que sur l’écran c’est elle qui se baise sur ma queue. Le rythme est identique et, si le son du film était meilleur, je suis sûr que nous pourrions entendre le même clapotis humide de mon ventre contre les fesses de Lise. Mais les acteurs ralentissent et la femme se penche sur son mari pour lui dire quelques mots à l’oreille. Je décide de profiter de cette situation pour provoquer Lise. Je me retire de son vagin, la laissant insatisfaite et lui dis doucement à l’oreille :



Je me penche pour lécher son œillet, introduisant un, puis deux doigts que je fais tourner et osciller dans son conduit. Elle se cabre et vient au-devant de mes caresses, comme la femme s’encule à l’écran. Alors je m’arrête et dis :



Bien sûr, j’obéis et dans l’instant mon gland trouve le chemin, dilate encore un peu plus l’œillet et trace le passage de la hampe. Lise participe au mouvement et je la travaille avec force, comme un forcené, m’agrippant à ses hanches pour la plaquer contre moi. Dans le film, nous sommes près de la fin, aussi je le mets sur pause car je veux que nous jouissions de concert, artistes et spectateurs. Mon enculée se démène avec force et, petit à petit, je sens mon jus qui monte. Alors je relance le film et dans un accord presque parfait, je jouis comme dans la télé. Je vois mon sperme qui coule le long de ma queue dans un gros plan que Marc a fixé en zoomant, mais ce qui me satisfait le plus, c’est ce que j’ai sous les yeux. Ma queue qui ramollit glisse doucement hors du cul de Lise, laissant son œillet dilaté, duquel s’écoule lentement ma semence. Je reste immobile, le regard fixé sur ce spectacle qui pour moi est le summum du plaisir. Il faut un bon moment pour que le conduit se vide, laissant des coulées blanchâtres dans la fente de ma maîtresse et finissant par goutter sur le drap de lit. Alors seulement l’œillet se referme montrant une souplesse qui me surprend à chaque fois.


Quelques instants plus tard, nous sommes au lit, encore humides de nos liqueurs et bien sûr, il faut que Lise explique comment elle est en possession de ce film et surtout pourquoi Lou a osé lui confier. Elle se fait chatte pour avouer que tout ceci était organisé. Alors, de mon côté, j’avoue le subterfuge de l’autre soir pour jouer les voyeurs. Ainsi nous sommes complices et rions de toutes les ruses que nous avons utilisées de crainte que l’autre soit trop prude pour ces jeux. Nous bavardons longuement et, pour la première fois, parlons très librement et crûment de notre sexualité passée et surtout de ce que nos voisins nous ont fait découvrir.



Tout l’été nous avons joué avec nos amis au petit jeu des voyeurs et des exhibitionnistes. Les femmes organisaient ces soirées avec des scénarios qui nous mettaient en compétition. Nous nous recevions régulièrement mais, assez étrangement, comme d’un commun accord, nous n’abordions pas le sujet. Ce qui se passait dans les jardins n’était jamais évoqué. Et puis…


Encore une fois nous avons passé une excellente soirée chez nos amis. Ces dernières semaines, le temps n’a pas favorisé nos sorties de nuit et, même si nous avons maintenant une bonne collection de films amateurs, cela ne remplace pas le goût du fruit défendu qui ne pousse qu’au fond de nos jardins. Je sais que les femmes envisagent l’utilisation de webcam mais pour l’instant rien ne vient.


Au moment de nous lever pour rentrer chez nous, Lise se plaint d’une douleur lombaire qu’elle n’arrive pas à faire passer. Marc, qui est chiropracteur, lui propose de l’ausculter et de la « manipuler » si nécessaire. Il l’entraîne alors au sous-sol de la maison où une pièce est aménagée pour recevoir ses clients du quartier. Une heure passe pendant laquelle Lou et moi bavardons de choses et d’autres et puis nos époux reviennent. En voyant le visage et l’attitude de Lise – elle est écarlate et mal à l’aise – je ne peux m’empêcher de lui demander :



Mais c’est Marc qui répond :



Une fois au lit, je ne peux pas m’empêcher de questionner Lise :



Le lendemain, Lise passe un long moment au téléphone avec Lou qu’elle n’a pas osé affronter de face. Après avoir raccroché, elle vient pour me raconter :



Lise les appelle aussitôt et nous convenons de nous revoir samedi prochain, dans notre maison.




À suivre