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n° 14807Fiche technique48780 caractères48780
Temps de lecture estimé : 28 mn
09/02/12
Résumé:  Au retour d'une soirée chez des amis, un couple se souvient comment, dix années plut tôt, ils ont découvert le voyeurisme et l'exhibitionnisme avec des voisins. Maintenant ils vont aller plus loin.
Critères:  2couples couplus extraoffre vacances piscine sauna boitenuit voir exhib vidéox intermast fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio double sandwich échange partouze gangbang -totalsexe -entrecoup
Auteur : VincenLise  (Un couple passe de l'exhibitionnisme au partage et plus.)      Envoi mini-message

Série : Voir et être vu. Et plus si affinité

Chapitre 02 / 03
Voir et être vu. Et plus si affinité, 2

Au retour d’une soirée chez des amis, un couple se souvient comment, dix années plut tôt, ils ont découvert le voyeurisme et l’exhibitionnisme avec des voisins. Le texte précédant s’arrêtait au moment où ils avaient rendez-vous avec ces voisins pour un partage des conjoints.







La semaine nous semble bien longue, enfin samedi arrive.


Le repas expédié, nous allons au salon où j’ai fait du feu dans la cheminée, ce qui éclaire la pièce d’une lueur chaude et diffuse. Voilà, le moment est arrivé. Il a été convenu que les nouveaux couples se forment dès le début, ainsi Lise se dirige vers Marc alors que je me place face à Lou. Nous sentons comme une gêne, sauf Lise qui commence à déshabiller son partenaire. Décidemment, ma femme se révèle pleine de ressources et j’entends encore les mots de Marc au début de notre rencontre : « C’est l’occasion qui fait le larron. On ne peut pas dire tant que l’on n’a pas essayé ».


Elle défait les boutons de la chemise et s’empresse de glisser ses mains sur le torse et les hanches de son partenaire. Pas de doute, elle fantasmait sur ses muscles, que je lui envie. Il faudra que je m’occupe mieux de mon corps à l’avenir. Puis elle s’agenouille pour défaire et faire glisser le pantalon et le slip. À cet instant le sexe de Marc, encore au repos, est seulement à quelques centimètres de son visage. Va-t-elle oser le prendre dans sa bouche ? Non, elle se relève et se tourne afin que Marc puisse faire glisser la fermeture éclair de sa robe qui tombe immédiatement sur le sol. Voilà, elle est nue. Manifestement elle n’a pas jugé utile de mettre des sous-vêtements. Son partenaire ne s’en plaint pas et tous deux commencent à se caresser.


Pendant ce temps, je m’occupe de Lou et tous deux nous nous retrouvons aussi dans le plus simple appareil. Je commence à la caresser lorsqu’elle me dit à l’oreille :



Nous nous installons donc sur le canapé, nos époux à quelques pas. Pendant un long moment leurs mains se promènent sur leur corps et, à ce petit jeu, on peut voir la poitrine de Lise se gonfler avec les pointes, que je sais par expérience, dures et sensibles. Lou le remarque également et elle me susurre à l’oreille :



Alors Lise tourne son visage vers moi et, doucement se baisse pour se placer à genoux face à son amant. Son intention est évidente et son regard semble demander mon autorisation. Je la rassure d’un sourire et sans perdre de temps, elle avance ses lèvres pour doucement recouvrir le gland et l’enduire de salive. Dans un premier temps, elle ne fait que jouer de la langue pour lécher le sexe des bourses au méat. Par moments, elle se penche un peu plus pour atteindre les couilles, les lécher et les gober l’une après l’autre. Le sexe est si raide que, dès que Lise le lâche, il vient se plaquer contre le ventre de son propriétaire.


Je sais que maintenant, ma femme veut s’approprier ce beau sucre d’orge. Pour cela, elle plaque ses mains sur les fesses de Marc, avance sa bouche pour gober le gland et lentement, millimètre par millimètre, se l’enfonce au fond de la gorge. Lorsque ses lèvres butent sur la base de la tige, elle s’immobilise quelques secondes avant de repartir lentement dans l’autre sens jusqu’à sa complète libération. Je sais que ce n’est que le début d’une longue série de va-et-vient.


Voilà, cela s’accomplit devant moi. Ma femme suce un homme sous mes yeux. Elle s’applique comme je lui ai appris et elle le fait avec plaisir. Je suis sûr qu’elle mouille, se préparant à être prise par cette queue.

Mais, à côté de moi, je sens Lou se déplacer pour se mettre à genoux sur le canapé et me demander :



Pas de doute, elle aussi est excitée par le spectacle, mon doigt glisse dans son vagin déjà bien humide. Aussitôt elle pousse un petit soupir, écarte les cuisses et se penche sur moi, amenant ses lèvres sur mon gland.


Marc, qui a vu sa femme se positionner, demande à Lise d’arrêter sa fellation et tous deux nous regardent avec ce petit sourire qui montre leur assentiment et leur complicité. Lou ne les voit pas, elle est concentrée sur ma verge qu’elle explore de la langue et des lèvres. De mon côté, je ne suis pas inactif et mes doigts explorent sa caverne et je sais qu’elle apprécie car elle ondule doucement du bassin. Je l’accompagne, lorsqu’elle se penche plus en avant pour descendre jusqu’à mes couilles, en titillant son anus avec mon pouce. C’est bon de sentir mon gland dans sa bouche avec les lèvres pressant le frein et la langue qui tourne, suce, étale sa salive.


De ma main libre, je fais signe à nos spectateurs que j’apprécie le traitement, mais comme je veux tenir la distance, je fais relever ma suceuse et l’invite à se placer debout sur le canapé, face à moi, ce qui amène sa fente juste au niveau de mon visage. J’ai sous les yeux ce qu’on appelait autrefois le jardin secret, sauf que maintenant le jardin est tondu de près et que rien n’arrête mon regard. Je reste un instant immobile, ne sachant par où commencer.


Si, je sais ! Au dessus de la fente humide et déjà bien entrouverte par mes doigts, se dresse une petite pointe de chair qui semble avoir forcé le chemin de son enveloppe pour quémander des caresses. Qu’il est mignon ce clitoris, si différent de celui de Lise toujours petit et timide. J’avance mes lèvres que je plaque tout autour de l’objet et, de la langue, je commence une douce caresse qui déclenche aussitôt un véritable tsunami dans le corps de ma maîtresse. Mes doigts retrouvent le chemin de son sexe et pendant que je suce son bouton, maintenant aussi gros qu’un téton, je la branle. De temps en temps, je retire mes doigts pour les diriger contre son anus que je dilate petit à petit pour qu’il accueille un, puis deux de ces petits bâtons tout humides du jus de son sexe. À ce petit jeu ma maîtresse s’enflamme de plus en plus et ses gémissements se transforment en petits cris et en paroles d’encouragement :



Et son plaisir arrive, répandant quelques gouttes sur mon torse. Nous restons quelques secondes immobiles mais nous entendons du bruit du côté de nos époux. Lorsque Lou descend du canapé nous pouvons alors voir ce qu’ils font.


Ils ne sont pas restés inactifs, Lise est allongée sur la table basse, les cuisses reposant sur les épaules de Marc qui lui donne du plaisir de la bouche et de la langue pendant que, de ses doigts, il triture les tétons de sa maîtresse. Connaissant mon épouse, je sais qu’elle ne pourra pas résister longtemps à ces caresses et très vite, elle saisit de ses mains la tête de Marc pour le guider tout en projetant le bassin à sa rencontre.


Elle jouit presque en silence, si ce n’est un « Ah… » Mais son corps s’exprime à sa place, parcouru par ce frisson que je connais si bien et qui est le signal d’une jouissance abondante et goûteuse. Marc a l’air d’apprécier, car il reste le visage dans l’entrecuisse de ma femme pendant un long moment. Lorsqu’il se relève, il donne l’impression d’un enfant se léchant les babines après avoir mangé un pot de confiture, sauf que l’enfant montre un sexe raide, dressé vers le ciel, encore humide de la salive de sa suceuse, et qu’il le présente à l’entrée du vagin où il disparaît sans bruit.


Voilà encore une étape de franchie dans notre jeu sexuel. Ma femme se fait baiser par un autre, sous mes yeux et en plus, j’apprécie. Je ne suis pas le seul car Lou me prend par la main et me dit :



Nous nous rapprochons, chacun d’un côté de la table où ma femme se fait baiser. Mais ce mouvement semble perturber le couple qui, craignant peut-être une réaction de notre part, nous regarde avec une certaine appréhension. La tension est manifeste et nous comprenons que nous devons faire quelque chose pour les rassurer. Aussi Lou se glisse derrière son mari, prend son sexe en main et le pousse pour lui faire retrouver le chemin du vagin grand ouvert de ma femme, tout en lui disant :



En effet, de mon côté je m’occupe de mon épouse, en lui caressant les seins et en faisant doucement glisser une main vers son clitoris que je branle un peu, sentant par moment la queue de son amant qui va-et-vient. Je la rassure également par ces paroles :



J’invite Lou à venir de mon côté, lui explique que je veux qu’elle s’installe en 69 sur ma femme, et aussitôt je présente mon gland pour explorer ce territoire encore vierge pour lui.


À cet instant, je regrette de ne pas avoir prévu une caméra pour fixer cette figure mémorable. Pourtant tout est là, sous mes yeux, le sexe d’un homme dans le con de ma femme et mon propre sexe dans le con de ma maîtresse. Savoir que mon épouse a sous les yeux, mon sexe qui s’active à donner du plaisir à ma maîtresse, et qu’elle sait que moi aussi, j’ai une vision identique, est d’un érotisme total. Sans m’en rendre compte mes va-et-vient sont si forts et si profonds que Lou est déséquilibrée et il me faut la maintenir par les hanches.


Marc qui est face à moi me fait un signe de connivence pour que nous synchronisions nos mouvements. Nous alternons les attaques rapides et fortes avec les vagues lentes mais profondes, jusqu’à ressortir nos sexes de leur écrin, aussitôt happés par les bouches gourmandes de nos épouses, qui se font un plaisir d’en sucer le nectar produit par le vagin de la copine.

La pièce retentit du bruit humide des bouches et des sexes avec des gémissements de plaisir qu’aucun d’entre nous ne peut retenir. Je ne sais pas lequel ou laquelle a joui le premier, mais je sais que lorsque ma jouissance est arrivée j’ai craché une quantité de foutre que je ne pensais pas pouvoir produire. C’est seulement en me relevant que j’ai vu que, non seulement du sperme coulait de ma maîtresse, mais que ma femme en avait aussi de grandes traînées du menton jusqu’aux seins.


Quelques minutes plus tard, un verre à la main, confortablement installés dans des fauteuils, nous échangeons nos impressions sur cette « première fois ». Pas de doute, à l’unanimité, c’était géant, aussi bien pour la tête que pour le physique. Lou et Marc remercient Lise d’avoir, même indirectement, provoqué cette soirée où ils ont découvert une sexualité amplifiée par l’échange.

Comme je reste silencieux, Lise me provoque en disant :



Et, dans un geste théâtral, elle étale mes projections sur son corps sans oublier de porter sa main à la bouche pour la lécher et déclarer :



Inutile de dire, que cette soirée et de très nombreuses autres nous ont permis de découvrir que le partage, en amour, ouvre des horizons nouveaux. Changer de partenaire est vraiment enrichissant et je ne vous parle pas des combinaisons possibles à quatre. Nous nous faisions totalement confiance et jamais il n’a été envisagé d’inviter d’autres personnes dans notre club, enfin, jusqu’à cette journée d’été.



Nous avions loué, pour tout le mois de juillet, une magnifique villa en Côte d’Ivoire, avec tout le confort possible et surtout avec le personnel pour toutes les tâches ménagères et d’entretien. Les gens sont à la fois, sympathiques, serviables et discrets. Jamais une remarque ou un refus ou même un sourire en coin. Et pourtant, malgré nos précautions, je suis sûr qu’ils ont, plusieurs fois, été les témoins de ce que nous appelons nos séances de sport. À notre décharge, il faut reconnaître qu’ils sont tellement discrets que nous oubliions leur présence et que le charme de la piscine et du jardin poussent à faire l’amour dans ces endroits exotiques.


Enfin, pas un nuage de contrariété pendant les trois premières semaines, jusqu’à ce que le vieux jardinier cède la place à un plus jeune qui, manifestement, n’est pas insensible aux appas de nos femmes qui ont pris l’habitude de s’exposer au bord de la piscine. Nous dissertons sur la bosse qui déforme son short et deux hypothèses s’affrontent. Les femmes pensent que son sexe est au repos alors que nous pensons plutôt à un sexe en érection. C’est l’éternel choc des cultures avec les idées toutes faites ; les noirs sont mieux montés que nous.


C’est vite devenu un jeu entre nous et nos épouses, jusqu’à ce que Marc lance :



Mais j’ai une idée derrière la tête, car je sais qu’Abouo, notre jardinier, nous a épié lorsque nous faisions l’amour tous les quatre.



Il ne faut pas longtemps pour que je sois chargé de tout organiser. Abouo, évidemment, a sauté sur l’occasion et, spontanément, a proposé de venir avec un cousin. Je n’ai même pas eu besoin d’aborder le côté féminin de la soirée car il me dit :



Rendez-vous est pris pour la soirée, veille de notre départ. Il est prévu qu’ils apportent la musique et le nécessaire pour préparer un apéritif.



J’ai rapporté ses propos et nous décidons d’être prudents sur la boisson et même d’en boire uniquement si nos invités nous accompagnent. De la même façon, je m’approvisionne en préservatifs, sélectionnant uniquement les marques connues en France.


Inutile de nier que nous sommes à la fois impatients et anxieux avant qu’ils se présentent devant nous. Mais, nous avons presque honte, car ils forment deux charmants couples, élégants et bien élevés. Marc et moi sommes aux anges car les deux jeunes femmes pourraient tenir leur rang parmi une armée de mannequins. Nos épouses, qui n’ont pourtant pas à se plaindre, leurs jettent des regards légèrement assassins, mais cela ne dure pas. Bien que tout le monde connaisse le vrai but de cette soirée, le jeu de séduction se met en place. Bavardages, petits fours, boissons alternent avec les danses qui permettent de faire connaissance plus intimement avec sa partenaire.


C’est certainement la chaleur qui nous fait retrouver, petit à petit, nus comme au premier jour. Les couples sont formés et nous dansons ainsi, les uns à côté des autres, si près qu’une main peut toujours s’égarer pour caresser en passant la croupe de sa femme ou d’une autre. C’est alors que Marc propose :



Et nous guidant, il fait asseoir les hommes, sur un banc, alternant blancs et noirs. Puis il invite les femmes à se placer, à genoux, face à leur nouveau partenaire. Il nous fait remarquer que cette disposition, alternant le blanc et le noir, lui fait penser au clavier d’un piano et, en éclatant de rire, ajoute :



Tout le monde s’esclaffe mais aussi c’est le vrai départ de la nuit. Les femmes s’occupent de nos verges avec attention et je suis sûr qu’elles vont y mettre tout leur savoir faire car, sans le dire, ce soir une compétition va s’installer entre nous. Qui sucera le mieux, qui sera le plus endurant, qui fera jouir la femme de l’autre, etc. À propos de compétition, en regardant à ma gauche et à ma droite, je peux voir les sexes d’Abouo et de son cousin. C’est vrai qu’Abouo est bien pourvu. Tiens, c’est ma femme qui s’en occupe, juste retour des choses car ma queue glisse dans la gorge de sa copine. Échange parfait. Pour son cousin, je dois attendre que Lou veuille bien le laisser ressortir de sa bouche, pour constater que son sexe est d’une taille, je dirais, occidentale.


Ce n’est que le début d’une série de jeux où, échangeant nos partenaires, inventant de nouvelles positions, oh la souplesse de ces jeunes femmes, nous avons jouis, baisés sous le regard des autres. Lorsqu’Abouo a introduit son sexe pour la première fois dans le con de mon épouse, j’ai arrêté de baiser ma gazelle pour profiter du spectacle. Vraiment, je comprends maintenant cet érotisme exacerbé qu’apportent les relations sexuelles entre races différentes.


Et puis, je me réveille en plein soleil couché sur un canapé au bord de la piscine. Oh, j’ai un mal de tête, comme un lendemain de fiesta ! Quelques mètres plus loin, Lise, Lou et Marc émergent également. Ils sont comme moi, vaseux, l’esprit embrumé. C’est seulement après la douche et devant un petit déjeuner minimaliste que nous essayons de faire le point et nous constatons alors que personne ne se souvient de ce qui s’est passé après minuit. Ce qui est sûr, c’est que nos épouses sont éreintées et qu’elles ressentent de l’irritation au niveau du sexe et de l’anus.


Marc se souvient tout de même qu’il avait installé sa caméra, dissimulée derrière un arbuste, pour immortaliser la soirée prévue avec le jardinier et ses amis. Quelques minutes plus tard, nous nous installons dans le salon pour visionner le film. Les premières images confirment bien que tout le monde prend son pied et que nos épouses épuisent leurs deux partenaires au point de se plaindre, presqu’avec violence, qu’elles en veulent encore. Le son n’est pas bon mais on peut tout de même les entendre dire que ce n’est pas assez, qu’elles veulent encore des queues, plein de queues… Et nous de rajouter :



C’est complètement surréaliste, on dirait des ados. Au même moment, quatre hommes sortent de l’ombre, comme s’ils attendaient ce signal. Nos femmes poussent des cris de joie, comme des groupies devant leurs idoles, et se précipitent vers eux, leur arrachant leurs vêtements pour atteindre leur sexe.


Pendant plus d’une heure, elles se sont livrées entièrement à ces quatre mâles, rejoints par les deux autres lorsque leur sexe est revenu bien dur. Marc et moi n’étions pas en reste pour participer à cette orgie, exigeant que nos femmes soient prises par tous les orifices, comme elles le demandaient d’ailleurs, n’hésitant pas à guider ces verges vers les orifices choisis. Pas étonnant que ce matin elles soient irritées !

Pas un mot n’est prononcé pendant que nous assistons, effondrés, à nos ébats et c’est avec soulagement que Marc arrête le film.


Presque aussitôt, Lise s’effondre en pleurs et criant :



J’essaye de la consoler en justifiant nos débordements par :



Concluant par un petit rire :



Le ciel nous tombe sur la tête car, ce n’est pas nécessaire d’être un génie des maths, pour voir qu’il est impossible que tous les rapports aient été protégés. Marc le vérifie immédiatement en faisant des zooms mais il n’est pas possible de voir si les sexes sont toujours couverts de latex. Alors, comme des fous, nous faisons le tour de la piscine, fouillons les poubelles et comptons les préservatifs utilisés. C’est glauque mais on en retrouve assez pour penser qu’ils en avaient apportés avec eux. Mais, du fait de notre amnésie passagère, le doute peut subsister.


Nous avons vécu trois mois avec une épée de Damoclès sur la tête mais heureusement, aucun de nous n’a été positif.



Ce faux pas, car nous étions fautifs, bien plus que nos invités choisis ou non, a évidemment mis un frein à nos relations. Notre libido s’est doucement reconstruite, en couple d’abord, puis ensemble, mais quelque chose s’était cassé car nous n’avons jamais retrouvé la spontanéité d’avant. Les femmes, en particulier, semblaient toujours se contrôler, évitant les mots un peu crus et plus à l’écoute du plaisir de leur partenaire que du leur, certainement marquées par le spectacle autour de cette piscine. D’ailleurs, elles avaient exigé que le film soit détruit, tellement elles avaient honte, mais Marc et moi avons décidé d’en garder chacun une copie. Il m’arrive de la regarder en cachette et maintenant, avec le recul, j’aime nous voir totalement désinhibé par cette boisson, même si par moment c’est assez bestial.


Et puis le désir d’enfants est arrivé, supprimant bien sûr, les relations extraconjugales. Une mutation à Paris a distendu un peu plus les liens, modifiant progressivement nos relations avec Lou et Marc.



Cinq ans ont passé et, comme je le disais tout au début notre histoire (voir l’épisode précédent, n°14799) , nous avons fait, à travers nos enfants, la connaissance d’un couple qui a fait remonter de notre mémoire, tous ces événements. Pourtant Alain et Sophie ne ressemblent pas du tout physiquement à nos amis Marc et Lou. Sophie est bien charpentée avec des rondeurs sur les hanches, et Alain bien enveloppé, presque bedonnant. Mais ils font partie de ces gens que vous avez l’impression de connaître depuis longtemps et avec lesquels vous parlez librement, car eux-mêmes n’hésitent pas à se confier. Notre conversation a donc été libre, quelquefois leste, mais sans jamais être vulgaire.


Alain m’avait charrié lorsque j’ai parlé de mon goût pour l’astronomie en disant :



Ce à quoi j’avais répondu, sans vraiment réfléchir :



Ma réponse surprend et surtout je vois Lise piquer un fard que tout le monde peut remarquer. Mais, Sophie vient à son secours en disant à son mari :



Je ne termine pas ma phrase.



Ma femme ne sait pas bien comment répondre, aussi, je le fait à sa place, en essayant d’être à la fois honnête mais sans trop m’avancer.



Nos hôtes ont alors la délicatesse de ne pas continuer sur le sujet, d’autant que j’espère avoir été assez vague pour que l’imagination fasse, ou ne fasse pas, le reste du chemin.



Le lendemain de cette soirée, je reçois un mail d’Alain pour tester nos adresses électronique et comme je réponds que c’est OK, par retour il m’envoie ce mot : « J’ai pensé que vous aimeriez voir un aperçu des photos que j’ai faites ». En effet, un lien me redirige vers un site personnel où sont stockées une vingtaine de photos. Nous les regardons. Il s’agit de photos de Sophie, dans le plus simple appareil, sur une plage, manifestement naturiste. La plupart sont assez sages, sauf les deux dernières où la pose est plus provocatrice.


Nous décidons de répondre :


« Compliments, beau sujet, belles photos, surtout les deux dernières. »


Une heure après, nouveau mail, nouveau texte et nouveau lien :

« Merci du compliment. Nous avons sélectionné d’autres photos. Excusez le flou du visage pour des raisons de sécurité ».


Bien que le visage du modèle soit caché, on reconnaît bien Sophie, mais une Sophie nettement plus aguicheuse et provocante. Ses poses ne cachent rien de son intimité et ses gestes sont sans équivoque. Elle se caresse. Le visage doit exprimer du plaisir derrière le flou.

Après un moment de réflexion nous décidons de continuer ce petit jeu avec eux.


« Espérons que le photographe a su éteindre le feu ardent de la belle ».


La réponse ne tarde pas avec un nouveau lien. Lien est bien le mot, car Sophie apparaît attachée, de façon très élégante d’ailleurs, livrée à la merci d’un homme qui « abuse » d’elle. Il est évident que cet homme, le visage masqué, n’est pas son mari. C’est très chaud. Par cet envoi, ils nous font comprendre que leur sexualité est très libre, mais aussi, c’est une sorte d’invitation à les rejoindre. Cela demande réflexion.

Nous attendons plusieurs jours pour répondre. Après avoir longuement discuté, nous constatons que nous sommes prêts à reprendre l’exhibition et même le partage si nos partenaires nous conviennent.

Lise se charge de la réponse.


« Nous avons bien apprécié vos dernières photos, Vincent en particulier. Seriez-vous libres le week-end prochain ? Nous pourrions faire une soirée photo/ vidéo ».


La soirée photo s’est merveilleusement bien passée, avec une ambiance intimiste, qui nous a amenés aux confidences. Chaque couple a fait part de ses expériences, de ses réussites et parfois de ses échecs. Nous avons été complimentés pour la qualité et l’audace de nos vidéos.

Quinze jours plus tard, je réponds à un appel téléphonique d’Alain.



Un mois plus tard, nous voilà en route pour le fameux château, où nous sommes très bien accueillis. Les chambres sont spacieuses et confortables, le dîner remarquable avec des vins parfaits, ce qui conforte Alain dans son jugement. Nos épouses ont rivalisé d’élégance dans des choix différents. Lise porte cette robe fourreau qui lui va si bien et qui met en valeur sa taille de guêpe que la maternité n’a pas déformée. Elle attire le regard des hommes et je suis particulièrement fier. Sophie joue dans une autre catégorie, celle des femmes pulpeuses, avec de belles rondeurs que sa grande taille lui permet d’assumer avec sensualité. Elle aussi ne laisse pas indifférent, son décolleté en particulier qui fait loucher le serveur.


Il est minuit passé lorsque nous frappons à la porte du club. Alain se présente au gardien qui manifestement a des consignes car il nous emmène à la direction où le patron nous reçoit :



Il prend son téléphone et demande à « Marylou » de le rejoindre. Moins d’une minute plus tard entre dans le bureau une jeune femme à laquelle il s’adresse.



Puis se tournant vers nous :



Et nous suivons notre guide. Croyez-moi, une guide comme cela, je connais peu d’hommes qui prendraient le risque de se faire distancer. Déjà, j’avais remarqué sa poitrine totalement offerte aux regards, sous ce chemisier blanc scandaleusement transparent, mais en plus, sa jupette minimaliste n’était pas lestée, comme les robes de la reine anglaise, et ne servait qu’à mettre en valeur ses fesses qu’aucun tissu ne protégeait des courants d’air.


Bien sûr, nous ne sommes pas surpris par l’ambiance qui règne au bar, sur la piste de danse ou dans les canapés. Bien qu’Alain pense nous faire une surprise, nous savions depuis longtemps – merci internet – que ce club est un club libertin. C’est donc en toute connaissance de cause que nous avons accepté de venir. Oh, on est loin des clichés où des couples qui baisent dans tous les coins, c’est beaucoup plus feutré.


Le temps de s’installer et Marylou revient avec une bouteille, fait le service et pendant que nous dégustons le champagne qui porte le nom d’une veuve célèbre, elle nous explique les règles qui s’appliquent impérativement dans l’enceinte du club. On peut résumer en deux mots : respect et protection. Comme nous affirmons l’avoir bien comprise, elle se lève pour nous emmener au fond de la piste de danse où, passé une porte, on se retrouve dans une sorte de vestiaire.



La minute suivante nous sommes nus, mais personne ne prend de peignoir. Alors commence la visite des lieux. Tout est prévu pour réaliser les fantasmes. Plaisir de regarder, plaisir de s’exhiber, plaisir de s’offrir, plaisir d’offrir, jeux à deux, trois, quatre ou plus. En quelques pas, on peut voir de nombreux couples se caresser, faire l’amour, jouir sous le regard de spectateurs où peut-être se trouve un époux ou une épouse qui offre son conjoint à d’autres. Puis Marylou s’arrête devant une porte des plus banales et nous dit :



Elles hésitent et Marylou ajoute « personnellement j’adore ». Alors elles se décident. La porte est à peine refermée derrière elles, qu’un couple de femmes nous interroge.



Comme nous ne comprenons pas pourquoi elles nous posent cette question, Marylou intervient :



On ne peut que donner notre accord. Aussi ce sont cinq personnes qui entrent, les deux femmes se guidant à tâtons vers nos épouses pendant que Marylou, qui nous tient par la main, nous guide au plus près. Aucun bruit jusqu’à un « oh » qui signale le premier contact. Puis doucement le silence se meuble de petits bruits de succions et j’imagine ma femme léchée par une langue qu’elle n’imagine pas féminine. Mon imagination me la représente cambrée pour faciliter les caresses intimes, ses mains plaquées sur sa propre poitrine, pour frotter de sa paume ses tétons en érection. Les gémissements se font plus forts, venant manifestement de plusieurs gorges, faisant penser que Sophie subit le même plaisir.


Cette situation est torride et pourtant je ne vois rien. Je n’ai pas besoin de voir pour savoir que mon sexe apprécie la situation car je le sens gonfler, se raidir et pointer vers mon nombril, quand une main, montant le long de ma cuisse, vient le saisir et servir de guide à une bouche qui caresse doucement mon gland. Un instant je pense « Alain où Marylou ? » mais aussitôt la bouche repart et seule la main reste et branle lentement ma tige. Voilà, c’est notre guide qui, alternativement, nous suce, passe d’un gland à l’autre. Ce n’est pas une vraie fellation mais juste un effleurement des lèvres avec une langue mutine, comme une promesse. Mais à quelques pas, elles ont dépassé le stade des promesses et les gémissements ne transforment en cris de plaisir. Les voix de nos épouses se confondent dans la jouissance que les deux maîtresses ont conduite de concert.



Puis on sent un mouvement, les deux femmes se lèvent et leurs amantes les remercient.



Nous profitons du mouvement pour sortir et attendre nos épouses. Lorsqu’elles franchissent la porte, les deux femmes sont déjà parties, aussi rien ne peut faire penser que nos épouses ont joui sous la langue d’autres femmes.



Une minute après, nos sexes sont glissés dans des trous, exposés de l’autre côté de la paroi, mis à la disposition de celle qui voudra bien jouer avec. Plusieurs hommes sont dans la même situation, mais nous n’avons pas été autorisé à regarder du côté « femmes », aussi tout n’est qu’imagination.

C’est après que nos épouses nous ont raconté ce qui s’était passé. Encore une fois notre guide a tout organisé. Elle leur a dit :



Et en effet, c’est la plus belle fellation que j’ai vécue. Pourtant Lise n’est pas la plus mauvaise et j’ai en souvenir les pipes de Lou, mais là c’était grandiose. J’ai craché mon sperme dans un temps record. Mon seul regret c’est de ne pas éjaculer dans une bouche tiède et accueillante mais sécurité oblige.


Notre visite continue et notre guide nous fait pénétrer dans une pièce, unique en France d’après elle, où deux « fuckingmachines » sont disponibles. Les spectateurs sont nombreux pour entourer les deux femmes qui les utilisent. C’est assez surprenant car dans un tel club on pourrait penser que ces dames trouveraient facilement des bâtons de chair pour les satisfaire. Mais c’est peut-être pour réaliser le fantasme d’un partenaire, en tout cas elles montrent tout les symptômes du plaisir.


En particulier, celle qui chevauche un cheval imaginaire, dont la selle présente deux belles protubérances qui pénètrent alternativement dans les deux orifices de la cavalière, crie sa jouissance. Il faut dire qu’un écran, placé en face d’elle, montre en gros plans, les deux godes trouver leur chemin dans son sexe et son anus. D’ailleurs sa jouissance n’est pas simulée car on voit très bien son jus s’écouler sur les vits de plastique.


La pièce suivante est dédiée aux jeux de domination. Là aussi, de nombreux spectateurs se pressent, manifestement avec l’espoir d’être sélectionné par l’homme ou la femme qui met son partenaire à disposition. Cette pièce est plus « feutrée » que la précédente avec des rideaux qui créent une sorte d’intimité, sans pour autant empêcher la circulation. Là aussi, les soumises et les soumis, n’ont pas l’air de souffrir, et pourtant certains sont ligotés dans des positions inconfortables qui les rendent ouverts et disponibles.



Dommage, j’aurais bien aimé voir Sophie et Alain se mettre en situation. Mais en attendant, le spectacle est très chaud, très excitant, d’ailleurs mon sexe reprend un peu de vigueur. Il faudra que je demande à Lise si elle ne serait pas tentée, peut-être dans un endroit plus intime. Nos amis, qui manifestement utilisent cette pratique, pourraient nous conseiller. Autour de nous les gémissements se mêlent à l’encouragement des partenaires pour ne former qu’un brouhaha de plaisir.


L’atmosphère est nettement plus sage dans le sauna, si ce n’est quelques caresses et préliminaires. Ce serait risquer la mort de se livrer à de trop gros efforts et une certaine nonchalance s’installe comme si chacun se réservait pour plus tard. Cela n’empêche pas cependant de voir quelques sexes bien raides et des chattes bien humides, amoureusement entretenus par une bouche câline ou une main caressante. Ma douce Lise se prend au jeu et tout naturellement sa main trouve le chemin de ma verge et, bien sûr, je réponds par de légères pressions sur sa fente.


S’immerger dans l’eau du jacuzzi après la fournaise est un bonheur, même si mon érection faiblit au contact du liquide. Il faut reconnaître que le propriétaire a bien fait les choses et que son établissement est très bien équipé. Dans une vaste pièce contiguë au sauna, trois jacuzzis sont mis à la disposition des clients. Comme ils sont au niveau du sol et séparés par des passages assez larges, on ne ressent aucune promiscuité. Nous sommes seuls, nos amis en face de nous car Marylou est partie saluer des connaissances un peu plus loin.


Bien qu’immergés jusqu’aux épaules, on peut deviner que Sophie et Alain continuent les caresses commencées dans le sauna, comme nous le faisons de notre côté. Il faut dire qu’à quelques mètres de nous, un couple est sorti du bain pour s’adonner à une levrette des plus bandantes. Mais Sophie nous fait un signal qui ne demande pas une formation en morse pour être compris et qui est, en réalité, le vrai but de ce week-end. « Faisons-nous un échange de partenaire ? » La question que je me pose personnellement est la suivante :



Elle se tourne vers moi, quémandant une réponse et comme je lui fais signe, que c’est à elle de décider, après un moment d’hésitation, elle se lève pour traverser les quelques mètres d’eau et Moise ouvrant les eaux de la mer rouge n’aurait pas fait mieux.


Deux couples profitent de ce bain bouillonnant et si les caresses sont identiques, les partenaires ont changés. Marylou, qui devait avoir une œil sur nous, se rapproche discrètement et observe. Alain, qui est certainement comme moi, c’est-à-dire le sexe raide et douloureux, se lève un instant pour attraper un préservatif et après avoir recouvert son sexe, se replonge dans les eaux tourbillonnantes. Alors Lise, ma douce épouse, glisse doucement pour chevaucher son nouveau partenaire et, même si mes yeux ne voient rien, j’imagine sa chatte glisser doucement sur cette queue immergée et nouvelle. Elle a eu la bonne idée, ou bien un éclair de perversion, de se placer face à nous, ce qui me permet de lire sur son visage cette expression de plénitude que tout mari conciliant recherche chez son épouse partagée.


Je suis tellement absorbé par cette vision que c’est ma partenaire qui se charge de recouvrir ma queue d’un préservatif avant de lui faire suivre le même chemin. Nous voici, face à face, hommes et femmes les yeux dans les yeux, amants, maîtresses, qui est qui ? En tout cas notre position fait que ce sont les femmes qui conduisent la mesure, montant et descendant sur nos sexes au rythme qu’elles imposent. À ce moment, Marylou se rapproche et passant d’un couple à l’autre prodigue des caresses sur la poitrine de nos cavalières ou glissant une main vers leur chatte entrant par moment en contact avec nos verges pour titiller le petit sexe dans sa gaine protectrice.


Sous ces attouchements, Lise gémit et se penche en avant, quémandant encore plus de caresses et comme elle redescend, je me demande si elle n’a pas choisi un autre chemin pour laisser son vagin libre pour les doigts de notre guide. En tout cas Sophie, elle aussi, apprécie car elle se conduit doucement à la jouissance pour terminer par un cri de plaisir que tout amant aime entendre. De mon côté, je n’ai pas encore joui car, même si c’est politiquement incorrect, le latex diminue ma sensibilité et il me faut une plus longue stimulation pour conclure. Je soulève ma cavalière pour la faire se redresser et s’appuyer sur le bord du bain me permettant alors de l’enfiler par derrière dans une levrette aquatique. Je la prends avec vigueur, ne cherchant pas à la ménager, presque brutal, uniquement intéressé par mon plaisir. Mais Sophie apprécie ce traitement d’homme dominant et elle ne cherche pas à se soustraire, au contraire elle m’encourage.


C’est seulement après avoir enfin craché mon sperme dans ma capote et repris un peu ma respiration, que je remarque que Lise et Alain sont dans la même situation. Alain, doucement, tendrement, baise mon épouse dont le visage est tourné dans ma direction. Ses yeux sont fermés, un sourire aux lèvres, poussant de petits gémissements à chaque fois que son amant extrait puis réintroduit son sexe dans sa chatte. Marylou, elle aussi, apporte sa contribution en caressant la poitrine de Lise que même les lois de la gravitation ne peuvent enlaidir. Tout le monde est conscient de l’instant magique car de nombreux spectateurs nous entourent, silencieux, comme s’ils savaient l’importance de ce moment.


Voilà, ma chérie ouvre les yeux et si j’ai crains un instant, que le public ne la dérange, je suis rassuré car elle prend tout le monde à témoin :



Et en l’embrassant à pleine bouche, pendant que sa jouissance arrive, je comprends que nous allons pouvoir recommencer nos soirées, si agréables, sans tabou ni souvenirs gâtant notre plaisir.




À suivre