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n° 14802Fiche technique15402 caractères15402
Temps de lecture estimé : 9 mn
07/02/12
Résumé:  Au hasard d'une balade dans un parc, première rencontre avec un couple coquin. L'expérience se poursuit deux jours plus tard...
Critères:  fhh hbi extraoffre inconnu jardin caférestau travail hsoumis cérébral voir exhib nopéné -couple+h -hbi
Auteur : Alpin en string            Envoi mini-message

Série : La Roche-sur-Foron

Chapitre 01
Rencontre à La Roche-sur-Foron

Lundi midi



Comme souvent à ma pause de midi, je me balade dans le centre ville médiéval de La Roche-sur-Foron. La journée est belle et c’est un plaisir de vagabonder dans les vieilles ruelles et remonter en direction du château. Les terrasses des restaurants et des cafés sont remplies, les gens déambulent dans les rues. Tous semblent heureux de profiter du beau temps. J’arrive au parc et profite un moment de la vue offerte. La vision est nette, le paysage est enfin débarrassé de la couche de nuages qui recouvre habituellement la vallée en hiver. Quelques enfants jouent au terrain de jeux, des personnes seules ou en groupe pique-niquent dans l’herbe, je m’assoie à mon tour sur un banc pour profiter tranquillement de ce petit moment de bonheur tout simple.


Un couple avance sur l’allée devant moi. D’un certain âge, ils présentent bien sans être pour autant sophistiqués, elle, toute mignonne avec sa jupe courte, ses longues jambes gainées de nylon noir et un petit haut légèrement moulant qui met bien en valeur les courbes de sa poitrine sans être vulgaire. Il émane de ce couple un sentiment de douceur, de sensualité, renforcé sans doute par l’atmosphère régnant au parc. Je ne peux réprimer l’esquisse d’un sourire.


J’étais perdu dans ces agréables pensées lorsque je croise le regard de celui que je suppose être le mari. Il me regarde intensément depuis quelques secondes apparemment. Il a dû remarquer avec quelle insistance je déshabillais sa femme du regard et je sens soudain mes joues rougir de gêne. Cette réaction incontrôlée provoque un sourire franc sur le visage de l’homme visiblement satisfait de l’effet qu’il provoque. Un peu confus, je lui fais un petit signe de la tête alors qu’ils passent devant moi.


Je me lève ensuite pour reprendre le chemin du retour et j’ai juste l’occasion de le voir murmurer quelque chose à sa femme qui éclate ensuite d’un rire joyeux avant qu’ils ne disparaissent derrière un talus. J’imagine qu’il a dû lui dire qu’elle avait le don d’attirer de nombreux regards et de rivaliser avec les jeunettes…


Je descends tranquillement les rues pavées et bifurque ensuite en direction de la mairie. Je remonte les arcades et m’arrête quelques instants devant l’atelier de photographie qui propose, comme toujours, de superbes tirages noir et blanc en vitrine. Je suis en train d’admirer les natures mortes, les portraits et les quelques nus académiques quand je sens une présence derrière moi.



Je me retourne et me trouve, étonné, face au couple du parc. J’arrive à garder les idées claires et à répondre sans trop balbutier.



Ils semblent tous les deux s’amuser de la situation, me souriant comme deux adolescents. Une fois de plus, je sens comme une sérénité m’envahir en leur présence et je leur retourne leur sourire. Je tente une question plus intime.



Une satisfaction non dissimulée se devine sur son visage quand la femme finit par regarder sa montre.



Elle se tend sur la pointe des pieds pour embrasser son mari avant de partir sous les arcades. Sa silhouette se dessine, superbe, en contre-jour. Je la vois disparaître, tel un ange. Son mari me sort de ma torpeur.





Mercredi midi



Hier, j’avais eu pas mal de boulot et j’avais préféré travailler entre midi et deux. Le temps maussade ne m’avait rien fait regretter. Mais aujourd’hui, le soleil est revenu et je compte bien profiter à nouveau du centre-ville de La Roche… et des couples qui pourraient s’y promener. Enfin, surtout un en particulier. Je flâne donc sous les arcades, remonte le long de l’église, passe devant les mesures à grains et me dirige à nouveau vers l’entrée du parc. Seront-ils là ? Rien n’est moins sûr.


Je m’engage sur le chemin qui fait le tour du parc et, juste après un virage qui contourne un bosquet, j’entends avec plaisir une voix qui ne m’est pas inconnue me saluer.



Ils sont là tous les deux, assis dans l’herbe, se tenant la main tels des collégiens. Il porte un polo manches courtes qui laisse deviner une carrure sportive comme peuvent l’avoir les sportifs de la région habitués à courir la montagne. Quant à sa femme, elle est encore plus belle à mon goût. Une jupe mi-cuisse nous offre la charmante vision de ses belles jambes habillées de bas noirs étendues sur l’herbe. Elle porte un t-shirt à travers lequel se dessinent timidement les contours de la dentelle de son soutien-gorge et dont les contours mettent en avant les courbes, ô combien sensuelles, de sa poitrine. Encore une fois, un sentiment de sensualité et douceur émane de ces deux personnes et éveille en moi des désirs coquins.



Je leur explique alors que je ne travaille pas très loin et que j’apprécie de venir me détendre ici avant de reprendre le travail, appréciant tout autant le coin nature du parc que les vieilles pierres de la cité médiévale. J’apprends en retour qu’ils rentrent chez eux manger le midi et qu’ils flânent un peu ici avant de retourner également travailler. Au cours de la discussion, j’ai du mal à quitter des yeux les jambes de mon interlocutrice, qui se croisent et se décroisent régulièrement, faisant remonter doucement la jupe sur le haut de ses cuisses et laissant apparaître la jarretière de ses bas autofixants.



Nous acquiesçons, nous relevons et nous mettons en route, profitant de la marche pour faire plus ample connaissance.


Nous rentrons dans un bar, commandons les boissons et nous asseyons à une table, les hommes d’un côté et madame en face de nous.



J’accuse le coup mais doit paraître suffisamment surpris et gêné pour qu’il rajoute aussitôt :



Elle se met à rire.



Il ajoute :



À mes mots, ils s’échangent un clin d’œil et il me faut quelques instants pour réaliser ce que mes paroles laissaient entendre. J’ai dû rougir car elle s’est empressée d’ajouter :



En disant cette dernière phrase, elle tend la jambe en direction de son mari. Elle a ôté sa chaussure et son pied gainé de nylon commence à masser son entrejambe.



À peine avais-je prononcé ces mots que leurs yeux se tournaient vers moi, amusés.



Je m’exécute et pose délicatement ma main sur le nylon, sur le pied, le caressant au rythme de ses va-et-vient sur le sexe de son homme dont les contours apparaissent désormais sous le tissu du pantalon.


Elle retire doucement son pied pour le remettre aussitôt en place mais en poussant cette fois-ci ma main directement contre la queue de son mari. Me voilà pris dans un piège délicieux, coincé entre le nylon caressant et la grosse queue chaude que je sens tressaillir. L’expérience est exquise mais l’horloge accrochée au mur me rappelle, hélas, qu’il est grand temps de prendre congé de ce couple décidément bien surprenant et charmant. Avant de partir nous échangeons nos numéros de portable.




Mercredi après-midi



Je retourne donc au boulot et passe l’après-midi à essayer tant bien que mal, de me concentrer sur mon travail. Je reste un peu plus tard pour compenser les heures de ma pause de midi, quand soudain mon portable se met à vibrer. Un SMS de leur part.



Je rédige une petite réponse, heureux de ce petit message sympathique.



Moins d’une minute plus tard, le téléphone vibre à nouveau. Une petite conversation semble s’engager par textos interposés.



Le SMS est accompagné d’une superbe photo montrant les belles fesses de madame bien mises en valeur par les bas noirs qui habillent ses longues jambes et un string simple mais mignon et du plus bel effet. À la découverte de ce cliché coquin, je sens une goutte d’excitation perler de mon gland. Je réfléchis un moment, me demandant comment faire. Puis je décide de me rendre dans les toilettes du boulot pour essayer de prendre à mon tour une photo. Je referme la porte derrière moi, baisse mon pantalon, prends une pause que j’espère avantageuse et tente, non sans maugréer en moi-même de ne pas avoir le bras plus long, de faire un cliché qui soit un tant soit peu reconnaissable, où ils pourraient voir mes fesses mises en valeur par le string.


Je m’assois sur la cuvette et rédige ma réponse accompagnée de la photo que je viens de prendre.



Le temps semble s’arrêter. Je n’entends plus que mon cœur qui bat assez fort avec cette aventure d’un genre nouveau et, ma foi, bien excitante. Une ou deux minutes se passent avant que mon téléphone ne vibre à nouveau.



Une nouvelle image accompagne ce message. Madame est maintenant de face, toujours cadrée au niveau du bassin. Elle porte toujours ses bas mais le string a laissé place à un pubis rasé où subsiste une petite touffe de poils décorative du plus bel effet. À ses côtés, se tient son mari, nu, exhibant une belle queue de bonne taille, le gland un peu recouvert par le prépuce. Je me prends une nouvelle position, déclenche avec l’appareil photo du téléphone et tente de leur taper une réponse. Ma main tremble comme mon corps tout entier. Sans doute l’excitation et la nervosité engendrées par cette situation inhabituelle, où l’on sait que chaque pas en avant nous empêche un peu plus de faire marche arrière… Je renonce au texto et seule ma photo part sur les ondes.


Je reste sans bouger, scrutant l’écran du téléphone, attendant leur réponse, inquiet de leur réaction quand ils découvriront mon cul encore plus offert, le string écarté pour laisser apercevoir ma rondelle excitée. Mais les secondes, puis les minutes s’égrènent sans la moindre réponse de leur part. Déçu, je me rhabille alors et décide enfin de quitter les toilettes que j’occupe déjà depuis un certain temps, espérant que personne ne s’en sera aperçu. Je retourne ensuite à mon poste de travail essayant de chasser les idées coquines qui m’assaillent.


Ce n’est que cinq minutes plus tard que leur réponse m’est parvenue.



Je découvre plus excité que jamais leur nouvelle photo : plan serré sur la chatte et le haut des bas de madame. On devine que ses lèvres sont bien humides et un jet épais de foutre s’étale sur le nylon du haut de ses cuisses. Je prends une profonde inspiration et leur réponds aussitôt.



La réponse ne s’est pas fait attendre longtemps :



Je jette un coup d’œil à ma montre, il est temps de partir. Je n’ai pas vu l’après-midi passer.