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n° 15104Fiche technique16672 caractères16672
Temps de lecture estimé : 10 mn
13/08/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Nous allons dans l'appartement du couple dont j'ai fait la connaissance. J'ai l'impression d'être leur jouet.
Critères:  fhh hbi jardin hsoumis fdomine hdomine exhib lingerie hféminisé hmast -couple+h
Auteur : Alpin en string            Envoi mini-message

Série : La Roche-sur-Foron

Chapitre 02
Deuxième rencontre

Résumé du premier épisode :


Après une première rencontre avec un couple au parc de la Roche-sur-Foron, nous nous sommes revus, avons pris un café ensemble et fini par échanger nos numéros de portable… et des photos coquines.








Mercredi midi


Mon téléphone vibre pour me prévenir de la réception d’un texto. Ce sont eux. Nous avions bien échangé quelques messages rapides en une semaine, mais les dialogues furent brefs, juste amicaux. Nous n’avions pas eu beaucoup de temps à nous consacrer les uns aux autres. Au premier abord, celui-ci n’échappe pas à la règle.



Mais le message est, cette fois, accompagné d’une photo du plus bel effet. Madame pose de dos, au loin on distingue le château du parc. Ses longues jambes sont gainées de nylon noir, pardon de bas noirs, car sa courte jupe est légèrement remontée, dévoilant le haut de ses bas autofixants. La dentelle délicate de la jarretière est très haute sur ses cuisses, juste en dessous de ses fesses qui semblent nues, à peine habillées par un string. Il ne m’en faut pas plus pour, finalement, décider d’aller me balader un peu. Je tape rapidement ma réponse :



Dix minutes plus tard, je remonte les vieilles rues pavées de la Roche-sur-Foron sous un grand soleil à peine rafraîchi par un petit vent agréable. Je franchis le portail du parc et les cherche du regard. Ils sont là, assis dans l’herbe. Fidèle à la photo, elle porte une petite jupe courte, un haut avec un décolleté qui, sans être provocateur, est des plus charmants et ses bas noirs viennent admirablement habiller ses longues jambes irrésistibles. Je viens vers eux en souriant, heureux de les retrouver.



Sa femme lui fait les gros yeux mais avec un petit sourire coquin qui en dit long. Ils ont décidément le chic pour me mettre à l’aise et créer une atmosphère mutine fort agréable. Je rajoute d’ailleurs :



Nous nous levons, sortons du parc. Sans perdre de temps nous descendons la vieille ville, passons près de la mairie puis pénétrons dans un immeuble proche, le tout presque sans un mot. Nous prenons l’ascenseur, nous retrouvant serrés les uns contre les autres dans l’étroite cabine. Elle est entre nous deux et à chacun de ses mouvements ses jambes gainées de nylon frottent doucement contre nos pantalons. Les regards se croisent, des sourires s’esquissent.



Comme pour vérifier ses dires, elle pose ses mains sur nos entrejambes, malaxant doucement nos sexes à travers le tissu de nos pantalons. La situation est, en effet, très excitante. Son mari appuie alors sur le bouton de blocage de l’ascenseur.



Je croise son regard. Son œil pétille d’une petite lueur qui indique que le coquin apprécie la situation. Je pose doucement la main sur la cuisse gainée de nylon de sa femme. Elle gémit doucement de plaisir à l’idée de ce qui va suivre. Ma main remonte pour la première fois le long de ses bas avec l’agréable sensation d’une caresse tiède, douce.


En tremblant, je glisse sur la jarretière, effleure sa peau avant de sentir sous mes doigts la dentelle délicate de son string. J’appuie plus fermement mon majeur qui s’enfonce lentement entre ses lèvres humides, tout en passant mon autre main sous sa jupe, la posant à peine, effleurant la courbure de ses fesses nues. Elle se cambre en gémissant à nouveau, déclenchant à chacun de ses mouvements une nouvelle caresse sur l’une ou l’autre de mes mains. La sienne se referme autour de ma verge bien dure, la malaxant, à peine gênée par le pantalon. Je relève le doigt, leur montrant tout poisseux de cyprine.


Le voir ainsi me donne envie de le lécher goulûment. Je n’ose pas, ne les connaissant pas suffisamment. Elle a dû s’en apercevoir car elle saisit ma main, l’approche de ma bouche d’un mouvement ô combien tentant, avant de l’écarter brusquement pour finalement poser mon doigt sur sa langue et refermer ses lèvres sur lui. Lentement, goulûment, elle le retire, prenant soin de nettoyer toute sa mouille, avec des yeux plus coquins que jamais.


Son mari réenclenche alors l’ascenseur et bientôt les portes s’ouvrent, nous sommes arrivés à leur étage. Elle sort la première, se retourne non sans nous lancer un regard mutin, cherche les clés dans son sac avant d’ouvrir la porte et d’entrer dans leur appartement. Nous la suivons. Enfin tranquilles !


Leur appartement est sobre mais joliment décoré, même si, je dois bien l’avouer, je n’y prête pas trop attention. Tout ce qui occupe mon esprit actuellement, c’est cette superbe femme qui marche lentement vers moi. Elle a ôté ses escarpins, sa petite jupe a glissé le long de ses jolies jambes avant d’être lancée sur le côté de la pièce d’un coup de pied rapide. Elle vient de déboutonner son corsage pour laisser apparaître la dentelle mauve de son soutien-gorge assorti à son string. Et elle se dirige vers moi, d’un pas décidé sous le regard approbateur de son mari.


Elle se colle contre moi, laissant à peine la place pour sa main plaquée à nouveau contre mon sexe. Je suis tellement excité que même mon pantalon est moite. Elle s’en aperçoit, se recule et porte ses doigts à son nez pour sentir l’odeur de mon désir avec un sourire de satisfaction. Elle entreprend ensuite de défaire ma ceinture, d’ouvrir mon pantalon. Elle se plaque à nouveau contre moi alors que je sens ses mains se glisser dans mon pantalon, suivre les pourtours de mon bassin pour enfin caresser la peau nue de mes fesses. Le pantalon glisse sur mes chevilles et finit à son tour contre le mur. Ses mains passent ensuite sur mon torse, sous mon t-shirt qui, bien vite, rejoint le reste de mes vêtements. Me voilà nu, en string, devant eux deux.



Je sens très vite ses mains puissantes qui se posent sur mes fesses. D’instinct je me cambre, comme pour mieux lui offrir mon cul.



Je lance un regard interrogatif à sa femme qui visiblement ne connaît pas plus que moi les intentions de son mari. Mais il revient bien vite avec, à la main, une paire de bas nylon noir.



Je m’exécute, mettant tant bien que mal les bas autofixants qu’il m’a tendus. Par chance, ils sont à ma taille et m’arrivent en haut des cuisses.



Ils recommencent tous les deux à me caresser. Je reprends ma position offerte, m’appuyant sur la table, plus excité que jamais. À chaque frôlement de leurs mains sur ma peau ou sur le nylon de mes cuisses, je sens d’ailleurs une grosse goutte perler de mon gland et venir souiller mon string de plus en plus moite. Une main se glisse soudain entre mes fesses, remontant le long du string jusqu’à mes bourses sur lequel bave mon gland.



Il retire sa main et exhibe sous mon nez ses doigts tout poisseux de ma propre excitation.



Il les pose sur mes lèvres, appuie doucement pour en forcer le passage. Ce n’était pas nécessaire, je les écarte aussitôt pour accueillir dans ma bouche ses gros doigts moites et les lécher goulûment avec application.



Elle retire alors son corsage, dégrafe son soutien-gorge pour se retrouver la poitrine nue. Ses jolis seins ont le bout tout tendu d’excitation.



En effet, elle me fait me redresser et entreprend sur le champ de m’enlever mon string, le faisant rapidement glisser le long de mes jambes gainées de nylon. Son mari en profite pour quitter son pantalon et son slip, exhibant désormais une belle bite bien raide.



À peine l’a-t-il dans ses mains qu’il le regarde et me dit :



Nos regards se croisent. Ce n’est pas un air de défi mais juste interrogatif. Le temps semble suspendu une ou deux secondes. Je ne sais pas si j’en ai envie ou si je souhaite simplement lui faire plaisir, lui obéir tout en repoussant doucement mes limites. Quoiqu’il en soit, je tends ma langue pour lui signifier mon accord. Il ne se fait pas prier, me présente le tissu poisseux de mon string. Je pose aussitôt ma langue dessus et entreprends de le lécher de mon mieux, déclenchant la satisfaction des deux coquins qui m’entourent.



Elle se met à genoux devant moi, prend en main ma bite désormais bien raide et commence, tout en la branlant, à essuyer mon gland sur sa poitrine. Son mari se masturbe également : je sens derrière moi tantôt ses mains, tantôt sa queue humide frotter contre mes fesses ou le nylon de mes cuisses. Je suis tellement excité que je sens que je ne vais pas tarder à jouir. À l’écoute de ses partenaires, elle s’en aperçoit.



J’explose de grosses giclées de foutre sur sa poitrine, ses mains guidant toujours ma bite qu’elle dirige de manière à se badigeonner les seins de sperme frais. Son mari a déboutonné son pantalon, baissé son slip et se masturbe franchement devant le spectacle que nous lui offrons.



Elle se couche, le dos sur la table, exhibant sous mon nez sa poitrine toute poisseuse et dégoulinante de ma semence encore chaude. Je viens de jouir, mon excitation retombe mais je me force à aller vers elle pour ne pas décevoir mes deux coquins. Je me penche, la langue pendue et la pose doucement sur sa peau souillée. Je commence à laper, à lécher tout le foutre pour la nettoyer au mieux. Son mari s’approche de son visage, la bite tendue. Très vite elle la saisit d’une main, la dirige vers sa bouche gourmande grande ouverte et entreprend une belle fellation.



Je glisse alors ma main sous son string et, dès que je pose un doigt sur sa vulve détrempée, elle frémit de plaisir. Devant un tel message d’encouragement, je me mets tantôt à frotter son clitoris, tantôt à plonger mon doigt au plus profond de sa chatte. Je n’en oublie pas pour autant mon travail de nettoyage de sa poitrine.

Ainsi sollicitée, elle ne tarde pas à jouir à son tour, précédant de peu son mari dont la bite explose dans sa bouche. Après avoir tout avalé, elle se redresse et ouvre soudain des yeux éberlués en regardant l’horloge.



Je ne peux hélas que constater l’heure déjà tardive, m’empresse de quitter les bas, de remettre mon string encore moite, mes vêtements et de partir au plus vite, non sans les avoir salués et remerciés chaleureusement. Arrivé au boulot, je leur envoie rapidement un texto :



Ils me répondent bien vite :



Mon téléphone ne tarde pas à sonner. Ce sont eux.



Voilà une idée qui me convient tout à fait, ayant été moi même un peu frustré par cette limitation durant ce premier échange. J’acquiesce donc et nous raccrochons ensuite bien vite, chacun retournant à son travail ou ses occupations.


Le soir, en rentrant à la maison, je dis à ma femme que j’ai fait la connaissance d’un couple de Rochois au parc.