Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14803Fiche technique16724 caractères16724
Temps de lecture estimé : 10 mn
07/02/12
Résumé:  Des retrouvailles qui se poursuivent sous la douche et encore au lit. Inépuisables ces amants !
Critères:  fh frousses douche intermast cunnilingu pénétratio québec -amourpass -couple
Auteur : Ed Benelli  (Je suis sur une lancée en ce moment! Je me croirais en 2005)            Envoi mini-message

Série : Rêves interrompus

Chapitre 02
L'arrivée - 2

Rêves interrompus




Dans le premier épisode, le personnage principal, un jeune homme de Montréal, retrouve sa copine, une Française. Après quelques mois de séparation, elle est prête à s’installer à Montréal et à découvrir. Mais tout d’abord, ils doivent bien se retrouver.




L’arrivée – 2



Ma salle de bains n’est pas très grande, mais la vanité est bien assez solide pour supporter une belle jeune femme assise et embrassant un beau jeune homme. C’est notre activité présente, alors que nos mains à moi et Sophie, virevoltent sur nos corps, y cherchant la chaleur, la douceur et les frémissements. Je palpe entre mes doigts un sein rond dont le téton s’érige quand je le pince délicatement et elle me flatte le dos ou les bras ou le ventre.


Les bruits de lèvres qui se désirent se mélangent aux gémissements et au son léger du frottement de chair à chair. J’apprécie le velouté infini de la chute de reins de Sophie et mon érection qui revient graduellement, commence à frotter entre ses cuisses ou contre son sexe, tambourinant à la porte de l’envie. Des doigts agiles, qui ne sont pas les miens, s’en saisissent pour le caresser et le masser, lui redonner toute cette envie dont il ne manque plus tant.


En soupirant je profite des caresses que Sophie me prodigue et mon érection revient tout à fait, prête à tout. Rejetant ses mains derrière elle, Sophie soulève son bassin et sans cesser de nous embrasser, je mets mon sexe à l’entrée du sien.


C’est elle qui entame la pénétration en glissant ma queue dans sa chatte douillette. Une fois pubis contre pubis, nos bouches se séparent pour nous laisser le loisir de respirer alors que je m’active à faire grimper notre plaisir.

Mes doigts se fraient un passage entre nos ventres pour aller titiller son clitoris, ce qui fait sursauter Sophie.



Mon autre main sur son sein applique au téton pointu le même mouvement de rotation dont je fais souffrir son clitoris.



En continuant de la prendre, j’approche ma bouche de l’autre sein pour mieux le happer entre mes lèvres et le mordiller ou le téter. Et Sophie qui continue de gémir en bougeant sur moi, en s’aidant de son bassin pour mieux me masser et me pétrir le sexe de tout son corps.



Les dents serrées, elle aspire une longue bouffée d’air et ses cuisses se serrent autour de moi.



Son corps tremble sous l’effet d’un orgasme puissant et je me gonfle de fierté. Même si je ne jouis pas, je profite pleinement des contractions de son sexe sur le mien. Mes lèvres d’un côté lui embrassant le cou tendrement, la main de l’autre, pour mieux soutenir sa tête, Sophie savoure les dernières vibrations de son plaisir. J’ai ressorti d’elle ma hampe engluée de nous. Et nous recommençons à nous embrasser. Le rythme de sa langue, doux et calme, m’apaise légèrement.



Mutine, elle approche son visage en souriant, incline la tête et prend mes lèvres dans les siennes. Ses mains dans mon dos remontent et passent autour de mon cou. J’en profite pour palper la chair de ses avant-bras, puis ses épaules et ses flancs, sachant que je suis à quelques centimètres de ses seins.


Je suis heureux. Je constate que nous sommes toujours à l’aise et désireux l’un envers l’autre et que les quelque 6000 km qui nous ont temporairement séparés sont maintenant histoire du passé. Il fait bon la sentir contre moi, savoir qu’elle peut se raconter à moi et que je peux me raconter à elle.



Je lui souris en massant délicatement sa peau pour me refaire en mémoire un relief parfait de chaque centimètre carré de Sophie soyeuse.



Ses lèvres et ses dents me mordillent vaillamment la bouche et elle rit.



Sophie glousse.



D’une poussée, elle se dégage de moi et se penche sur la baignoire, sans pudeur, confiante de son corps et de l’effet qu’il me fait. Nous faisons couler l’eau et mes mains n’ont de cesse de la cajoler, attirées inexorablement sur elle.


Sophie aime bien, remue ou ondule doucement, se laisse désirer et laisse monter le désir en elle. La douche crachote deux trois fois puis l’eau jaillit de la pomme pour nous éclabousser les mains. Je la laisse grimper la première sous l’eau et l’observe un instant se délier les cheveux sous l’eau et admire immanquablement la course de l’eau entre ses seins, ou le long de ses doigts ou encore sur son dos.


Je monte aussi dans la baignoire et ne peux m’empêcher, le plus clair de mon temps, de la frotter allègrement.



De son côté, je vois sa main masser délicatement son sexe avec du savon et entreprendre un nettoyage en règle. Ce n’est pas vraiment érotique, bien sûr, mais de toute manière j’ai passé mes bras autour d’elle et l’embrasse à nouveau.


Ses lèvres s’entrouvrent et me quittent, laissant échapper un soupir, alors que je passe une main derrière elle pour palper ses fesses, ses reins ou son dos et une main devant elle pour profiter d’un abricot doux et chaud. De petits mouvements de bassin m’encouragent dans mon massage, l’air de dire :



Sophie laisse reposer sa tête sur mon épaule, mordille mon cou, alors que j’investis sa chatte d’un doigt impérieux que rien n’a empêché d’avancer entre des lèvres désireuses. J’impose une cadence saccadée, de grands coups forts, de petits coups rapides, des vrilles.


Déposant baiser sur baiser sur mon torse et ma gorge, je finis par être totalement excité et ses mains saisissent ma hampe pour la faire coulisser vivement.



Sophie fait une moue qui se veut boudeuse mais me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue recommence à jouer avec la mienne et nos lèvres humides se caressent et se provoquent. Je la serre contre moi et nos sexes se touchent, se frottent. L’eau augmente les sensations et j’aime palper ce corps brûlant. D’un mouvement qui me fouette les sangs, elle se sépare de moi pour me tourner le dos, m’offrant à nouveau cette croupe délicieuse, galbée et où l’eau glisse gracieusement. Une telle offrande ne peut que rendre un homme heureux, prêt à mourir.


Ou alors à bander ?


Un pas et je suis plaqué contre elle, contre ses fesses rebondies.


Un pas et je suis en elle, prêt à nouveau à m’enliser dans notre plaisir. Et surtout à lui en procurer le plus possible, parce que de l’entendre soupirer suffit à me faire attendre le nirvana.


Sophie n’a pas perdu une once de mouille et d’envie, ses genoux se fléchissent et ses reins se creusent, alors que je la pénètre d’un mouvement lent au début, mais augmentant en rapidité. Mon bassin claquant son cul, mes mains emprisonnant ses seins, je me mets à la pilonner de plus en plus sauvagement, appréciant d’elle chacun de ses soupirs et de ses mouvements saccadés qui massent ma queue. Dès que je pose mes doigts sur son petit clitoris, elle frémit et râle.



Je pince délicatement son bouton et la voilà qui jouit bruyamment en rejetant sa tête et ses cheveux derrière elle. Sophie, à bout de souffle m’éjecte de sa chatte pour à nouveau m’embrasser en gémissant.



On se sourit, on se bécote.


Enfin, on sort de cette douche qui tient maintenant plutôt du sauna. Je l’enveloppe dans une serviette et j’en passe une autour de ma taille. On se sèche en s’observant, appréciant le corps de l’autre.



Il est vrai que j’aimerais qu’elle aime mon pays, ma ville, mon quartier et mon appart. L’idée qu’on emménage bientôt ensemble me vient à l’esprit. Pour l’instant, on trouvera un autre appartement pour Sophie, pour qu’elle y crée son nid à elle.



Ma splendide rousse entreprend de se sécher les cheveux, étirant ses bras et dévoilant impudiquement tout son corps. Ma proposition lui fait briller les yeux, mais elle se défile :



Je sors et passe directement dans ma chambre pour aller défaire le lit et grimper un peu le chauffage. Elle me suit dans le lit, se débarrassant élégamment de sa serviette d’un mouvement sensuel et, sans doute, complètement involontaire. On se blottit dans les bras l’un de l’autre. Moi sur le dos, elle lovée contre moi, sa main s’égarant sur mon torse, ses doigts jouant avec mes poils et mon nez enfoui dans ses cheveux.



Est-ce que quelque part, ces mots tout simple, ne voulaient pas dire « je t’aime ». Doit-on forcément s’encombrer du protocole ?



Je me tourne à demi vers elle, amusé et grisé par le désir auquel elle ne peut et ne veut résister.



Sophie couvre ma mâchoire de baisers et mes lèvres accueillent sa langue. Le baiser est langoureux, presque libidineux. Sa langue, pleine et agile, s’enroule autour de la mienne et nos salives se mélangent, pour transformer le baiser en prémisse affriolant et irrésistible. Sur mon torse, ses doigts courent délicatement, me caressent la peau et les miens se glissent sur son ventre plat, jouent un instant avec son mignon piercing de nombril. Je le tire légèrement et elle me mordille la lèvre un peu férocement, pour me signifier son mécontentement. Je souris et la pousse gentiment sur le dos, mes lèvres contre les siennes. Sophie s’étend de tout son long et m’attire contre elle de ses mains derrière ma nuque. Je glisse mes lèvres loin des siennes pour mieux couvrir son cou de baisers et descendre lentement le long de son corps pour mieux en déguster chaque centimètre carré. J’embrasse sa gorge, puis je caresse la peau de ses seins de ma langue, jusqu’à ses jolis mamelons érigés déjà, juste pour moi. Je les titille un moment avec le bout de la langue, puis prends tout le mamelon en bouche pour sucer doucement dessus et me régaler de ses soupirs d’aise.


Sophie inspire bruyamment en me glissant ses doigts dans les cheveux. Ses yeux sont fermés et, nue entre mes bras, elle me semble encore plus magnifique, les seins gonflés par le désir, la bouche entrouverte expiant ses gémissements qui me mettent hors de moi.


La pointe de ma langue court le long de son ventre, que Sophie creuse sans le vouloir, tortillant son bassin en effervescence.


J’atteins son mont de Vénus et ses quelques poils roux que j’embrasse doucement, encore humides de la douche. L’odeur est enivrante ici et je ne peux résister à l’envie de m’installer entre ses cuisses pour doucement souffler sur sa petite chatte appétissante. Je glisse ma langue dans la fente pour l’écarter et débusquer au bout, le clitoris qui se gorge de sang et enfle de fierté.



Ses doigts me pincent les cheveux.


Je la regarde parfois, par en dessous, me perdant entre ses seins voluptueux, appréciant ses petites mains allant de ma tête à ses mamelons, ou à son visage. J’aime voir sa bouche se tordre, ses lèvres s’ouvrir pour absorber le bout de ses phalanges et les humecter de sa langue.


Son bassin ondule doucement, au rythme de mes coups de langue et je me repais du goût si doux de sa liqueur. J’augmente la cadence de mes mouvements sur son bourgeon et, en même temps, je présente un doigt à l’entrée de son sexe glabre. Il pénètre vivement cette grotte humide, se retourne pour se crocheter à l’intérieur. À l’instant où le bout de mon doigt touche le point sensible, son bassin se cambre, m’expulsant de son clitoris. Je n’en démords pas et continue de masser son sexe, léchant les lèvres frémissantes.



Je sens sa chatte se resserrer dans des mouvements saccadés et sa cyprine se fait plus abondante, m’inondant le menton. Je me délecte de son plaisir alors que l’orgasme la prend toute entière.



Son corps tremble, se tend, elle râle et gémit à la fois. C’est mon bonheur de savoir qu’elle jouit, qu’elle vibre sous mon doigt, que je fais tourner doucement avant de le retirer. Retrait qui lui fait à nouveau expulser en soupir.


Je sais son petit bouton devenu sensible après l’orgasme, si bien que je le laisse en paix après un ou deux coups de langue et je remonte en la cajolant, sentant sous mes doigts ses derniers frissons. Je reprends sa bouche avec la mienne, cette fois tendrement, amoureusement.



Dans le noir, je devine son sourire. Je lui embrasse le front et elle se blottit contre moi en passant une cuisse sur les miennes.



Sa respiration se calme, s’apaise et bientôt, elle dort.

Dans le noir, je profite des ombres de son corps, de ses courbes gracieuses et de la chaleur de sa peau.

Je lui chuchoterais bien que je l’aime, mais j’ai horreur de la réveiller.


Demain, je le lui dirai.