n° 14814 | Fiche technique | 42249 caractères | 42249Temps de lecture estimé : 25 mn | 11/02/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Michèle quitte son mari, monte à la capitale et rencontre deux femmes qui vont lui faire connaitre le monde de l'échangisme. | ||||
Critères: grp couplus inconnu boitenuit fsoumise voir exhib miroir lingerie fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio double sandwich fdanus échange partouze attache confession -totalsexe -fbi | ||||
Auteur : VincenLise Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Voir et être vu. Et plus si affinité Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Dans les récits précédents, Vincent et Lise racontent leurs aventures avec d’autres couples. Ils ont commencé leurs échanges grâce à Lou et Marc qui les ont initiés à l’exhibitionnisme puis à l’échangisme. C’est avec Sophie et Alain qu’ils vont visiter un club libertin et recommencer l’échangisme, un moment interrompu du fait d’une expérience mal vécue en Côte d’Ivoire.
Dans ce dernier épisode, ils vont rencontrer une femme qui vient de quitter son mari pour vivre enfin une vie plus intense et libérée grâce à l’argent gagné au Loto.
Qui n’a pas entendu parler des hommes qui, dès qu’ils ont pris leur plaisir, vous tournent le dos et s’endorment ?
Eh bien, si vous pensez que c’est une invention, venez me voir et je vous montrerai mon mari qui, une fois encore, n’a pas pensé un seul instant à me donner du plaisir et qui m’a besognée – oui c’est l’impression que cela me donne – uniquement pour atteindre sa propre jouissance et, avec des petits grognements, cracher son sperme.
Il est vrai que nous sommes mariés depuis vingt ans, que nous avons deux enfants et que la vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Oui, j’ai la quarantaine ! Mais mes copines, les vraies, me disent souvent que je fais nettement plus jeune, que beaucoup envient ma poitrine bien ferme, mes hanches étroites malgré les maternités, et mon petit cul bien rebondi. Je suis encline à les croire car, à la piscine, sur la plage, et même en ville lorsque le soleil vous incite aux tenues légères, le regard des hommes montre que je ne les laisse pas indifférents.
N’allez surtout pas croire que je suis frigide ou que je n’aime pas le sexe ou que je fais tout pour décourager mon mari. Il y a quelques années, j’ai eu une liaison avec un Anglais qui faisait un stage dans la boîte où je travaille. C’était très fort, très sexuel, très pimenté, enfin très… tout. Pas une journée où nous ne faisions l’amour et, lorsque c’était possible, plusieurs fois, dans des endroits les plus insolites et dans des positions que vous ne connaissez même pas.
Lorsqu’il est retourné au pays, j’ai été trop lâche pour le suivre : les enfants, une nouvelle vie, un pays étranger, etc. Voila pourquoi maintenant, j’en suis réduite à me masturber, à la main ou avec mon petit gadget vibrant qui fait mon bonheur lorsque je suis seule à la maison et que personne ne peut entendre mes cris de jouissance.
Mais tout cela va changer.
Vous pensez : « elle s’est trouvé un nouvel amant ou bien elle va quitter son mari ? » Non, rien de cela, ou plutôt tout cela et le reste. J’ai gagné le gros lot à cette loterie où, peut-être, versez-vous votre obole régulièrement. Oui, félicitez-moi ou enviez-moi ! La semaine dernière, en regardant sur le net les numéros gagnants, j’ai reconnu les miens. Dix millions et des poussières, le pactole, la poule aux œufs d’or, tout ce qu’il faut pour faire mentir l’adage : l’argent ne fait pas le bonheur !
J’ai rendez-vous demain à Paris, au siège, pour toucher mon lot et surtout, pour mettre en place ma nouvelle vie car, pour l’instant, je garde le secret et vais profiter seule de cette opportunité. Car cet argent m’appartient et je remercie mon mari qui, pour son magasin, nous a fait établir un contrat de mariage avec séparation de biens.
De retour de Paris, mon nouveau compte en poche, je rassemble la famille et les informe du mensonge que j’ai construit pour que je puisse, au moins provisoirement, faire tout ce dont j’ai envie. Voila :
Eh bien, ce bouleversement est passé comme une lettre à la poste. Je pouvais entendre mon mari penser qu’il serait plus libre pour aller voir sa maîtresse et, de la même façon, mes fils saliver sur le surplus d’argent de poche que je ne manquerais pas de leurs donner. Leurs réactions n’ont fait que renforcer ma détermination de changer de vie.
Il m’a fallu un mois pour tout mettre en place et me retrouver enfin seule dans la capitale. Shopping, balades, musées, théâtres, restaurants sont maintenant mon quotidien et lorsque je rentre chez moi, les bras toujours chargés de cadeaux, tout le monde est heureux.
Oh, je sais ce que vous pensez :
Rassurez-vous ma sexualité s’est également mise en accord avec ma nouvelle position, mais on ne passe pas du jour au lendemain de la mère de famille mal baisée, au statut de libertine, dont vous lisez les exploits sur ce site.
Si vous en doutiez, sachez que Paris regorge de dragueurs de tous âges et de toutes nationalités qui savent identifier en vous une femme, sinon disponible, du moins pas insensible à leurs travaux d’approche. Je dois dire que la plupart sont de bons amants, souvent attentifs au plaisir de leur partenaire et, ce qui ne gâte rien, de parfaits gentlemen.
Pendant ces trois derniers mois, je crois que j’ai joui plus souvent que pendant les vingt dernières années, et que ces amants d’un soir m’ont fait découvrir une autre femme qui se cachait en moi. Une femme plus affirmée, plus sûre d’elle et surtout sans complexe face à sa sexualité.
Parallèlement, j’ai fait la connaissance de deux jeunes femmes qui suivent le même cycle de conférences que moi au Collège de France. Nous avons sympathisé et, comme leurs enfants leurs laissent beaucoup de temps libre, nous passons de longs moments ensemble, au point de devenir petit à petit, des amies. Bien que plus jeunes que moi, elles m’ont prise, d’une certaine façon, sous leur protection et je suis la provinciale guidée par deux amies parisiennes. Bien sûr, nous échangeons quelques confidences et c’est ainsi qu’elles ont appris ma situation de femme récemment séparée qui démarre une nouvelle vie où des rencontres masculines contribuent à ma nouvelle liberté. Je n’ai cependant pas parlé de mon gain au jeu mais plutôt d’un petit héritage qui explique ma venue à Paris.
Un vendredi soir, alors que mon train est retardé de deux heures pour raison de grève, je décide de faire un tour dans le quartier de la gare Montparnasse. À quelques pas, je tombe sur une petite rue, que les parisiens connaissent certainement, où la plupart des magasins sont des sex-shops. Par curiosité, je pousse le rideau qui fait office de porte et me retrouve dans un local assez glauque où des hommes circulent entre revues, sextoys, films, etc. Je suis la seule femme et je ne m’attarde pas car je me sens mal à l’aise, même si personne ne semble faire attention à moi.
Quelques numéros plus loin une affiche attire mon attention, signalant l’ouverture d’une enseigne consacrée à « l’érotisme décomplexé dans un environnement moderne, aéré, confortable ». En effet, dès que l’on pénètre dans ce lieu, on est frappé par la modernité, l’espace et la décoration des salles. Je déambule d’une pièce à l’autre, croisant des clients plutôt jeunes, hommes, femmes et couples, certains en grande conversation avec un vendeur ou une vendeuse. Je ne parle pas de la profusion d’objets, de lingeries, d’accessoires, de DVD, qui remplissent les étagères et présentoirs ni des écrans où vous pouvez sélectionner des extraits de films, des présentations de sous-vêtements et même des démonstrations de gadgets sexuels. À un moment, je suis accostée par une vendeuse alors que je me suis arrêtée devant les rangées de sextoys.
Mais comme je suis perplexe devant tout ce matériel, je finis par la rappeler. Elle comprend que je suis loin d’être une experte et gentiment, sans faire d’esbroufe, elle me fait l’article. Nous arrivons devant des plugs et comme j’ai une sorte de recul devant l’usage de ces gadgets, elle me glisse à l’oreille :
Elle a fini par me convaincre et je suis ressortie du magasin avec toute une sélection d’articles que j’ai laissés à la consigne avant de prendre mon train. Depuis ce jour, je suis ses conseils et souvent il m’arrive de sortir avec un petit rosebud que j’oublie petit à petit, sauf lorsque je m’assois ou monte des escaliers. Il faut reconnaître que c’est très troublant et pas désagréable.
Ce matin, j’ai rendez-vous avec mes amies et nous avons convenu de nous retrouver chez Lise. Lorsqu’elle m’ouvre la porte, elle est encore en peignoir et s’excuse.
Je la suis et me retrouve dans sa chambre. La seconde d’après, elle enlève son peignoir et je la vois totalement nue, déambuler dans la pièce à la recherche de ses habits. En réalité, elle passe des sous-vêtements, puis les enlève pour en choisir d’autres.
Devant ma surprise, elle insiste.
Et, sans attendre, elle m’enlève ma veste, ne me laissant pas le temps de réagir. Je me retrouve en petite tenue.
C’est si naturel que je lui obéis et elle me fait essayer sa lingerie, toujours avec ce grand miroir qui renvoie l’image d’une femme, tantôt provocante, tantôt sensuelle, voire carrément pousse-au-crime avec ces strings et ces soutiens-gorge demi-balconnet. Pendant ce temps, Lise tourne autour de moi, m’aide pour les essais, une main effleurant ma hanche, une autre positionnant un sein dans son écrin de dentelle, faisant glisser un slip, tirant sur le triangle minimaliste pour recouvrir mon pubis. Elle ne peut pas ignorer que cela me trouble, c’est évident, je suis écarlate mais ne fais rien pour arrêter son entreprise de séduction.
Alors elle se place derrière moi et, tout en plaquant son corps contre le mien, elle m’embrasse tendrement derrière l’oreille, avec son regard qui, dans le miroir croise le mien pour quémander mon accord. Puis, tout en continuant de m’embrasser dans le cou, la nuque, l’oreille que j’ai si sensible, ses mains caressent mon corps que je ne contrôle plus.
C’est par un long baiser qu’elle me guide jusqu’au lit où elle m’allonge avant d’explorer, par la bouche, la langue et les mains, pour doucement descendre jusqu’à ma vulve en abandonnant au passage mes seins gonflés avec les pointes érigées de plaisir. Sa langue s’attaque au capuchon de mon clitoris pendant qu’elle passe ses mains sous mes fesses pour faire basculer mon bassin et tendre ses bras pour que ses doigts reviennent presser mes deux tétons. C’est divin, féminin et si délicat cette façon de jouer avec mon clito que ses lèvres extirpent de l’enveloppe protectrice. Cette façon aussi de pincer mes petites lèvres et de glisser sa langue dans mon vagin, simulant une pénétration mais ô combien plus douce. Elle continue, mais :
Je l’avais complètement oublié celui-là. Mais ce n’est pas cela qui l’arrête et elle l’enlève pour continuer son exploration. Il est trop tard pour avoir la moindre pudeur et je me laisse doucement conduire à la jouissance que Lise cueille de sa langue pour me la faire goûter dans un dernier baiser.
Mais on sonne à la porte et d’un bond elle se lève pour aller ouvrir, toujours totalement nue, pour faire entrer Sophie. Je n’ai pas le temps de réagir que toutes deux font irruption dans la chambre.
Avant même que je ne réponde, Lise lui dit :
Et se tournant vers moi :
Alors, je raconte mon histoire et, de fil en aiguille, nous échangeons des confidences sur nos pratiques et fantasmes. Elles me content leurs soirées où elles se livrent au plaisir de l’échange et je suis bien obligée de reconnaître que c’est un monde que je ne connais pas. Elles sont très enthousiastes et me vantent le charme du plaisir en toute sécurité, avec le mari de sa propre amie et sous ses yeux. Je remarque :
La présence des enfants pendant le repas me fait oublier la raison de ma venue et du coup, je suis plus décontractée. Mais quand Lise dit :
Elle nous laisse seuls et pour prendre une contenance, je me lève pour débarrasser la table, mais Vincent se place derrière moi pour m’enlacer et m’embrasser dans le cou. Alors je me retourne et mes lèvres rencontrent les siennes pour échanger un baiser fougueux avec nos langues qui bataillent et font connaissance. Cela fait une éternité qu’on ne m’avait embrassée de cette façon et j’avais oublié combien cet échange peut être sensuel et presque sexuel.
La minute suivante, je me retrouve nue, allongée sur le lit de la chambre, mon amant dans le même état, explorant mon corps de ses mains et de ses lèvres. Plus que des caresses, ce sont des effleurements, des attouchements où la main ne fait que passer comme pour une promesse de ce qui doit venir. Elle monte du genou, par l’intérieur de la cuisse, pour se plaquer sur le pubis et continuer son ascension avec les doigts qui caressent en passant mes lèvres et mon clitoris. De mon côté, j’ai pris possession de son sexe bien gonflé et tendu que je branle doucement.
Ce petit jeu dure jusqu’à ce qu’il me fasse changer de position pour m’installer à genoux sur le bord du lit, cambrée, la tête en appui sur le drap. La glace me renvoie l’image d’une femme offerte, prête à tout pour avancer dans le plaisir. Et cette femme, c’est moi ! Je vois aussi Vincent attraper un préservatif qu’il déroule sur son sexe bien droit puis arroser ma fente d’un liquide qu’il étale consciencieusement. Même, dans un moment pareil, je ne peux m’empêcher de penser que mon amant a prévu de faire tiédir le liquide pour éviter la désagréable surprise du froid qui pourrait me contracter.
C’est donc une femme soumise qui reçoit l’hommage de ce membre, pénétrant sans résistance dans son vagin. Le passage est grand ouvert et pas besoin de lubrifiant pour aider à la possession. Dieu que c’est bon ! Et pourquoi faut-il chercher d’autres chemins pour jouir ? Mais, Vincent n’oublie pas que son objectif est ailleurs et c’est au bord de mon œillet qu’il présente son gland que j’imagine luisant de ma mouille et du lubrifiant.
Je n’ai pas le temps de réagir que, la seconde suivante, je sens mon sphincter céder à l’aimable pression de cette queue qui frappe à sa porte. J’ai une pensée pour la vendeuse, mais aussi je me félicite d’avoir préparé ce moment avec assiduité et clairvoyance. Vincent me questionne cependant :
Malgré mon encouragement, il retire son gland et à nouveau, ajoute du liquide lubrifiant. La seconde pénétration passe comme une lettre à la poste et, lorsqu’il a fait disparaître tout son mandrin dans mon cul, j’ai la révélation de ce que signifie l’expression « se sentir pleine ». Non, je n’ai pas mal, mais c’est étrange de sentir ce bâton si dur que j’ai peur de bouger de crainte de le casser ou qu’il me déchire. Mais mon amant n’a pas cette angoisse et il entreprend tout doucement de le faire aller et venir comme pour apprivoiser le conduit qui le reçoit. C’est agréable et je ressens une douce chaleur qui, petit à petit, diffuse vers mon sexe qui se sent pourtant bien abandonné. Je glisse une main dans sa direction et tout naturellement mon clitoris l’arrête en chemin pour quémander une caresse. Je le trouve déjà gonflé et sensible, signe que sa maîtresse apprécie le traitement fait à son cul.
Et puis cette sensation si nouvelle et si différente, renouvelée à chaque fois que Vincent avance et recule, augmentant tout doucement son rythme, faisant ressortir totalement sa verge de mon anus avant de le transpercer à nouveau. Pas de doute, c’est du plaisir qui monte doucement et qui m’arrache des gémissements que mon amant reconnaît comme les prémices de la jouissance. D’ailleurs lui aussi apprécie car mon enculade devient plus frénétique, moins contrôlée, plus violente.
Mais que c’est bon ! Quel plaisir ! Quelle jouissance ! Et dans un cri, moi si silencieuse d’habitude, je hurle :
Mais comme Vincent continue de me posséder, je ressens une hypersensibilité qui se transforme vite en gêne comme un clitoris peut devenir trop sensible après de longues sollicitations.
Mais je sais que lui n’a pas encore eu son plaisir et je lui dois bien cela. Aussi, je me retourne pour prendre sa verge dans la main, enlever le préservatif et, tout en léchant son gland parfumé à la fraise, je le branle d’une main que j’espère experte. C’est lui qui me prévient d’un « Je viens » me donnant le temps de reculer mon visage et de diriger ses jets de sperme sur ma poitrine et mon ventre.
Quelques instants plus tard, nous échangeons un délicieux baiser comme deux amants peuvent le faire après l’amour, lorsque la porte s’ouvre et que la tête de Lise apparaît pour demander :
Bien sûr, nous lui avons raconté. Et cela n’a été que le début d’une série d’aventures où j’ai également fait la connaissance du mari de Sophie, Alain. Très vite j’ai été invitée à leurs soirées et ils m’ont initiée à des pratiques bien agréables. C’est avec eux que j’ai découvert le petit jeu de la domination, révélant ma nature de dominatrice, certainement la revanche de toutes ces années de femme marié insatisfaite. Lise et surtout Sophie apprécient que je les prépare pour devenir les victimes de Vincent et Alain.
Un soir où Sophie avait été la victime consentante de nous quatre et où elle avait été particulièrement gâtée par des jouissances qui l’avaient laissée épuisée, Alain lui dit :
Devant mon ignorance, ils m’expliquent ce week-end dans ce club échangiste et, dans la série des confidences, Vincent et Lise me content leurs aventures en Côte d’Ivoire. Je suis tellement surprise par ce récit que je les accuse, en plaisantant, de fantasmer sur une relation femme blanche, homme noir. C’est à cet instant que Vincent lance :
Une heure après, nous étions fixés. Pas de doute, c’était vrai et cette Lise, quel tempérament ! Jamais je n’avais vu une telle frénésie dans le besoin de se faire prendre et de jouir.
Finalement c’est Lise qui conclut par ces mots :
La seule limite que nous nous sommes imposée, à l’entrée du club, c’est de rester ensemble. C’est une soirée couple et femmes seules, les hommes non accompagnés ne sont pas admis. Comme nous sommes venus de bonne heure, nous profitons du bar et de la piste de danse, pour faire connaissance avec d’autres couples. C’est le moment où chacun peut choisir un partenaire pour le début de la soirée.
De mon côté, je me fais draguer par un jeune homme, Paul, plutôt beau gosse, ce qui d’une certaine façon me rend assez fière. Nous bavardons tout en dansant, alors que je suis collée contre lui, ses mains plaquées sur mes fesses. Comme je sens sa verge déjà dressée contre mon ventre, je lui propose de venir avec moi et suivre mes amis dans les coins câlins.
C’est une vraie beauté, grande, un corps mis en valeur par une robe moulante, en grande conversation avec la barmaid.
Que dire, d’un tel aveu. Il me la présente. Elle accepte de nous suivre, pas crispée du tout et, comme nous tous, franchit la porte sans un seul morceau de tissu sur le corps. Tous les hommes remarquent sa présence et je suis sûre que certains font déjà des plans pour changer de partenaire. S’ils savaient !
Nous trouvons facilement une chambre suffisamment grande pour nous accueillir, il faut dire que nous formons un groupe de onze personnes. Dans un premier temps chacun s’occupe de son, de sa, partenaire d’un soir et, de mon côté, je suis entièrement concentrée sur ce sexe qui remplit ma bouche et que je sens plein d’ardeur. Je suis sûre que son propriétaire va me montrer ou plutôt veut montrer à son amie qui n’est pas loin, que c’est un bon amant, sensible, délicat, attentionné et qu’une femme peut jouir grâce à lui.
Rapidement la pièce se remplit de gémissements et de cris de plaisir et, bien que la luminosité soit faible, on peut voir des corps s’agiter dans tous les sens, dans toutes les positions. C’est la première jouissance, celle qu’il faut avoir pour soulager le corps et laisser la place à l’esprit qui attend pour échafauder des plans, des positions, des situations qui vont exacerber nos sens.
Moi aussi j’ai joui et j’ai même crié mon plaisir, peut-être un peu par provocation pour cette femme qui nous regarde. Je suis une vraie garce, car en réalité, il faut la plaindre d’assister à tous ces plaisirs qu’elle ne connaît pas. Oh, elle doit l’aimer ce jeune homme qui m’a fait jouir, pour assister, sans réagir, à ce spectacle.
Mais ce n’est qu’un hors d’œuvre car le vrai but de cette soirée se trouve dans la salle à côté, celle que je découvre pour la première fois et qui faisait fantasmer mes amis. Pour l’instant elle est vide, la nuit ne fait que commencer, et cela permet d’avoir une vue d’ensemble. Je craignais que la pièce ne fût froide, sans âme, mais ce n’est pas le cas car les murs sont recouverts de tentures et un système de rideaux permet de la cloisonner. Par contre ce n’est pas le matériel qui manque, liens fixés au plafond, croix de Saint-André, chaînes, fauteuils avec bracelets. Chut, ne le répétez pas, mais j’ai étudié le sujet depuis la découverte de mon plaisir pour la domination.
Aidée par leurs maris, j’installe mes amies Sophie et Lise, face à face, écartelées, les bras tendus vers le plafond pendant que leurs jambes sont immobilisées par des liens au sol. Ainsi, elles sont accessibles de tous côtés et les liens sont suffisamment souples et élastiques pour qu’elles gardent assez de mouvement.
D’ailleurs, j’ai prévu un peu de musique pour l’ambiance et, dès les premières mesures, Vincent et Lise comprennent que ces tam-tams sont un appel pour revivre, le bon côté, de leurs aventures africaines.
J’invite deux hommes à venir rendre hommage à la beauté des deux soumises en les plaçant afin qu’ils puissent de la langue, de la bouche et des doigts caresser la chatte, le sexe, le cul qu’elles ne tardent pas à tortiller de plaisir. C’est le début de la fête et comme si le tam-tam avait sonné le rappel, la salle se remplit de spectateurs qui comprennent rapidement le scénario des captives offertes à leur bon plaisir.
Mes amis m’ont donné carte blanche pour organiser, ou plus exactement profiter de la présence de nombreux mâles pour fournir aux femmes des partenaires infatigables.
Priorité est donnée aux maris que je place en position de prendre par derrière leur maîtresse. Je suis aux premières loges pour voir les deux verges pénétrer sans difficulté dans l’anus, certainement déjà distendu par les caresses des deux adorateurs que j’invite à se relever pour prendre possession du vagin des soumises.
C’est le sandwich parfait, certainement pas le plus confortable, mais le plus visible, le plus exposé, le plus « bandant » pour les spectateurs. D’ailleurs, petit à petit, le cercle se forme autour d’eux pour profiter pleinement du spectacle. Vincent et Alain sont à la fois spectateurs, car ils sont face à leur femme, et partenaires actifs avec leur queue dans le cul de l’amie de l’épouse.
Pour l’instant, c’est le round d’observation où les deux verges sont poussées doucement au plus profond. Je regarde le visage de mes amies qui me sourient et par ce geste, nous partageons ce moment que seules les femmes peuvent partager. Enfin je parle des femmes qui ont déjà pratiqué la double pénétration. Pour moi, c’est une aventure toute récente et la première fois où Vincent et Alain m’ont prise de cette façon j’ai joui presque aussitôt, sans qu’ils ne fassent le moindre mouvement.
À propos de mouvements, ils commencent à bouger, d’abord de façon désordonnée, puis petit à petit, ils prennent un rythme où chacun avance son dard pendant que l’autre recule pour lui laisser un peu de place. C’est assez lascif et le corps de la belle suit les mouvements que les mâles imposent. Ils travaillent en flexion pour monter et descendre et je pense que si la jouissance tarde, ils vont se retrouver sur les genoux, sans jeux de mots.
L’assistance est silencieuse, tous regardent et les hommes présentent souvent de belles érections. Cela me permet de voir que chaque sexe est unique, petit, long, large, droit, courbé, avec des glands recouverts ou dégagés, j’ai l’embarra du choix. Mais pour l’instant, c’est une spectatrice que j’invite, pour la placer derrière Vincent qui a de si belles fesses, que toutes femmes aimeraient les caresser. Elle ne se fait pas prier pour le faire, glissant même une main en dessous pour flatter les testicules qui pendent. Je fais de même avec Alain et je joue avec ses testicules pendant que d’un doigt, je titille sa rosette que je sais sensible.
Dans ce genre de situation, les yeux contribuent autant que le corps, au plaisir donné et au plaisir reçu. Lise et Sophie sont, non seulement possédées du cul et du con, mais elles ont aussi le spectacle de leur mari et de leur amie à quelques pas, juste en face. Cela incite les hommes à essayer de se synchroniser mais c’est trop demander aux sens de se retenir.
Chacun finit par jouer cavalier seul mais, manifestement ce n’est pas au détriment des femmes qui montrent rapidement des signes de plaisir, qu’elles s’empressent de partager avec ceux qui les dominent. C’est le moment où on s’attend à voir couler du sperme qui, malheureusement reste prisonnier des préservatifs.
Doucement les sexes ramollissent et glissent, qui du vagin, qui de l’anus, abandonnant mes deux amies alanguies par tant de plaisir. Mais, je ne laisse pas le temps pour le repos et j’invite quatre nouveaux à venir prendre leur place, en choisissant les queues les plus fines pour la sodomie. Il s’agit de ne pas les blesser, même si le chemin est bien préparé par les précédents. Parmi eux, Paul, mon jeune amant qui se fait un plaisir de répondre présent. Enfin, cerise sur le gâteau, c’est un beau membre noir, que je sélectionne pour prendre ma chère Lise par-devant. Le destin est avec nous car lui et son amie viennent d’arriver. Lise, de toute façon a dépassé le stade de la retenue et elle accueille l’hommage de ce partenaire par une remarque qui doit lui paraître bizarre.
Pendant que tous s’activent, je remarque qu’Agnès, la belle femme frigide, se déplace pour se rapprocher et suivre du regard le travail de baise du black, qu’elle ne quitte pas des yeux, comme si elle était fascinée par ce sexe noir qui entre et sort de Lise. On la sens troublée par ce spectacle au point que, comme certaines femmes spectatrices, elle se caresse d’une main plaquée sur son pubis. Je ne peux m’empêcher de souffler à l’oreille de son ami.
Tout en continuant de sodomiser avec ardeur la douce Lise, il surveille son amie qui maintenant avance pour se placer derrière le noir. Ses mains caressent le corps, que dans une autre époque, on aurait qualifié d’ébène, descendant des épaules, caressant les flancs, les hanches pour disparaître plus bas.
C’est Lise qui profite de la situation, car ses partenaires sont excités, l’un par le spectacle de son amie, l’autre par des mains baladeuses. Les sexes imposent un tel rythme et une telle force que son corps oscille sous les coups de butoir et elle se laisse emporter par cette furie, les yeux fermés. Je suis sûre que dans sa tête défilent les images d’une femme blanche soumise, mais consentante, aux assauts de ces hommes noirs de Côte d’Ivoire. Maintenant son corps se souvient de tout et, dans un flash, le plaisir monte, la jouissance arrive, l’emporte comme un tsunami. Elle gémit, crie, hurle.
Son corps se tend comme un arc, tous les muscles tétanisés pendant de longues secondes où les deux queues qui la possèdent doivent être immobilisées par la contraction des parois intimes. Enfin, elle se relâche, laissant ses amants libres de jouir à leur tour.
La jouissance de Sophie et de ses deux amants paraît bien faible à côté de ce que nous venons de voir.
Après de tels moments, nous libérons nos deux captives et nous quittons la salle en même temps que les spectateurs qui ne manquent pas de les féliciter. Alors que nous bavardons depuis plusieurs minutes dans le couloir, je vois passer Agnès, son mari et le couple de noirs, alors qu’ils se dirigent vers une chambre à câlins. Ce qui attire mon attention, c’est que Paul, qui donne la main à son épouse, la tient assez fermement et l’entraîne comme si elle était réticente. Je décide de les suivre car, en tant que femme, je me sens solidaire d’Agnès et ne veux pas qu’on lui impose quoi que ce soit.
Lorsque je pénètre dans la chambre, l’homme est déjà assis sur le lit et je vois Paul placer son épouse face à lui, la forcer à s’agenouiller et il lui dit, d’un ton de commandement :
Je vais pour intervenir, mais la femme de l’homme me fait un signe de la main et, m’entraînant un peu à l’écart, me dit :
Paul continue sur le même ton :
Paul peut crier, mais Agnès n’est manifestement pas une oie blanche et elle sait s’y prendre pour que le sexe d’abord flasque, retrouve sa force et se déploie. Elle a de plus en plus de mal à le faire tenir dans sa gorge.
Agnès obéit et fait de son mieux.
Enfin il la fait se relever pour la placer en levrette sur le lit et comme il glisse sa main vers sa vulve, il s’écrie :
Le temps de passer un préservatif et le sexe est absorbé sans aucune difficulté. La queue n’est pas énorme, mais c’est un beau morceau qui ne rentrerait pas facilement si le vagin était sec.
Paul a littéralement crié les dernières paroles et on entend un « Oui » presque timide comme réponse, qui donne toute liberté à son baiseur. Agnès est tellement surprise des premiers coups qu’elle se retrouve presque allongée sur le lit et il lui faut se cramponner pour ne pas avancer sous les coups de son amant. Car il ne la ménage pas, c’est brutal, presque violent. D’ailleurs, de temps en temps, il ressort son sexe pour s’en servir comme matraque sur les fesses, accompagné de petites claques du plat de la main.
Paul semble presque inquiet de cette ardeur mais comme Agnès ne proteste pas, personne ne bouge. Il faut un long moment de ce traitement où nous n’entendons que les « han » de bûcheron, saccadant les pénétrations avec le choc de son bas-ventre contre les fesses d’Agnès, pour que petit à petit, la baisée se fasse entendre. D’abord ce ne sont que des gémissements qui feraient craindre un refus, une douleur, si ce n’est qu’Agnès n’est plus figée dans sa levrette mais qu’au contraire elle semble onduler de haut en bas et de gauche à droite, plus active que soumise. Puis les gémissements se transforment en petits cris, en mots incompréhensibles, comme si elle se parlait à elle-même. Paul la questionne, reprenant son ton dominateur.
L’homme continue toujours alors que sa maîtresse se relâche après la jouissance, mais sa femme qui comprend qu’Agnès est épuisée et sanglote de bonheur, tire son mari en arrière, lui enlève le préservatif et par la bouche entreprend d’accorder sa récompense au mâle dominant. C’est sur la vision de ce sexe crachant son sperme sur le visage de la femme que je m’esquive pour rejoindre mes amis.
Plus tard dans la soirée, Paul et son amie viendront nous remercier, car c’est le spectacle de mes amies qui leurs a fait comprendre qu’Agnès pouvait être sensible à certaines situations et que sa libido avait besoin de cela pour participer pleinement, et enfin pouvoir atteindre le plaisir.
Finalement ce week-end a été profitable à tout le monde. Il faut dire que moi aussi j’ai été gâtée, car Paul, Vincent et Alain ont voulu me remercier à leur façon. C’est sous les yeux de mes amies et d’Agnès qu’ils ont inversé les rôles en me transformant en objet sexuel, dominée et au service de ces messieurs. C’est la première fois – il y a un début à tout – que trois sexes m’ont pénétrée par la bouche, le con et le cul et je vous souhaite de connaître un jour le plaisir que j’ai ressenti à ce moment-là. Vous savez, Mesdames, cette jouissance, quasi ininterrompue qui devient presque douloureuse si elle dure trop longtemps et ce liquide qui coule que s’en est presque gênant.
En tout cas, je me suis promis de recommencer le plus vite possible.
C’est au club que m’est venue l’idée de placer mon argent dans cette demeure hôtel-restaurant-club libertin et d’en prendre la direction. La présence et la sensibilité d’une femme sont tout à fait adaptées pour rendre ce type d’endroit accueillant et rassurant. Mon plaisir est de recevoir des couples qui viennent pour la première fois, de leurs montrer nos installations et, s’ils le souhaitent, les guider dans des voies où plaisir et jouissance riment avec amour, douceur et échanges.