n° 14821 | Fiche technique | 12479 caractères | 12479Temps de lecture estimé : 8 mn | 19/02/12 |
Résumé: Les premiers émois lesbiens d'une femme mariée. | ||||
Critères: f ff vacances voir exhib fmast init -mastf | ||||
Auteur : Totobas Envoi mini-message |
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Cette histoire s’est déroulée avant les événements relatés par mon mari dans « Une initiation particulière » (n°14729).
Nous avions loué une maison calme et spacieuse pour une semaine avec Corinne et Éric, son mari. Leur couple battait de l’aile, et ce séjour semblait être leur dernière chance. Corinne m’avait confié qu’ils n’avaient pas fait l’amour depuis plus d’un an et qu’ils s’adressaient à peine la parole. Seule la présence des enfants faisait qu’ils restaient ensemble. Pour les vacances, ils les avaient laissés chez leurs grands-parents, tout comme nous d’ailleurs. Le début du séjour s’était déroulé sans problème apparent. Nous passions nos journées à la plage et les garçons nous choyaient pour les repas. Bref de vraies vacances. Lors de nos discussions sur la plage, Corinne m’avait raconté que rien n’avait changé dans sa relation avec Éric. Ils faisaient même chambre à part.
C’était le dernier jour de notre séjour, le soleil s’était levé depuis longtemps et je me prélassais dans mon lit, en rêvassant. Les vacances touchaient à leur fin et j’en profitais pour me reposer. Je décidai de m’habiller avec la robe blanche d’été légèrement transparente que j’aime beaucoup, parce que très agréable à porter et surtout très sexy. Le style de robe que l’on ne peut porter qu’à la mer. Sortie de la chambre, je me suis engagée dans le couloir. Il n’y avait pas âme qui vive. Les garçons étaient partis faire des courses, et ils ne seraient pas de retour avant une heure ou deux. Soudain, je perçus des bruits étouffés en provenance de la chambre de Corinne. Je me suis approchée tout doucement, la porte était entrebâillée. Je vis alors Corinne, allongée sur le lit, en train de se procurer du plaisir. Je restais un moment interdite devant le spectacle qui s’offrait à moi. Corinne se caressait par dessus la culotte. Elle agitait sa main avec frénésie en appuyant sur son sexe, assez pour y entrer légèrement les doigts. J’en avais le souffle coupé. Son excitation était manifeste, au vu de la tache qui maintenant ornait sa jolie culotte. Le spectacle devint carrément torride lorsque Corinne l’enleva délicatement. Je pus alors distinguer son intimité particulièrement luisante. Tout en continuant sa masturbation, Corinne huma sa culotte, puis elle la lécha. Cela lui provoqua un spasme et elle poussa un long gémissement. Je sentis alors une boule se former au creux de mon estomac. Toute chamboulée, je retournai vite dans ma chambre, telle une voleuse, pour constater que ma culotte était aussi trempée que celle de Corinne.
Il me fallut plusieurs minutes pour me calmer et reprendre mes esprits. Je ne savais pas quoi faire. La vision de Corinne m’avait troublée. Certes, lorsque nous faisions l’amour, mon mari m’avait souvent décrit des situations dans lesquelles je me trouvais avec une autre femme, mais jusqu’à présent, cela n’était qu’un fantasme (bien agréable). La réalité était en train de me rattraper. Tout ce que j’avais pu imaginer dans mes rêves les plus fous faisait surface. Des souvenirs me revinrent alors à l’esprit.
Je me remémorai la période durant laquelle nous partagions avec Corinne le même appartement, vingt ans plus tôt. Il m’était souvent arrivé de la voir se balader en petite tenue. En tant qu’adepte du naturisme, elle n’était nullement gênée de se promener en dessous devant moi. J’avais le souvenir de ses petits seins ronds et fermes souvent ornés de pointes dressées. Une fois même, j’étais rentrée à l’improviste et j’avais trouvé Corinne entièrement nue vautrée sur mon propre lit en train de lire. Un string était glissé sous l’oreiller, et puis, il y avait aussi cette tache d’humidité sur les draps. Corinne était devenue toute rouge en s’excusant prétextant qu’elle venait de prendre une douche et qu’elle n’avait plus d’affaires propres, c’est pourquoi elle voulait m’emprunter une culotte. La vision fugace de sa nudité m’avait légèrement troublée, mais j’avais mis ça sur le compte de la fatigue. Cela dit, le soir même, en me mettant au lit, la présence persistante de la tache sur les draps m’avait émoustillée. Je m’étais branlée furieusement en m’efforçant de penser à mon copain, mais c’étaient les images de la scène qui me venaient à l’esprit et ce, bien malgré moi. Aujourd’hui, je revivai la situation, et mon émoi était sans équivoque.
Corinne s’était levée, et je l’entendais préparer le petit-déjeuner dans la cuisine. Je n’osais pas la rejoindre de peur qu’elle ne découvre mon trouble. Enfin je me décidai.
Son contact m’électrisa, faisant darder mes seins bien plus que je ne l’aurais souhaité, d’autant que ma robe était particulièrement transparente. Une lueur passa dans ses yeux, et elle me dit avec un large sourire :
J’en rougissais, surtout que son regard se faisait de plus en plus insistant. Son sourire en coin était soudain d’un érotisme torride, et je me sentais fondre, au propre comme au figuré.
Elle s’affaira sur le comptoir de la cuisine, me tournant le dos, m’offrant une vision magique de son postérieur. J’étais tétanisée. Elle évolua à quelques centimètres de moi, virevoltante, pleine de vie, si près que je pus sentir son odeur enivrante. Le petit-déjeuner fut un supplice. Je tentais de rester naturelle, mais cela sonnait faux, et Corinne s’en rendit compte.
Je n’osai pas la regarder dans les yeux. Tant de choses se bousculaient dans ma tête. Soudain elle me prit les mains avant de m’embrasser sur la joue.
Je rougis une nouvelle fois en déclinant son invitation.
Je la vis se lever pour se diriger vers les toilettes. Dieu qu’elle était belle. Je me levai à mon tour et je l’entendis faire pipi. Le bruit particulier me fit un effet pire que tout. Il fallait absolument que je me soulage !
Elle sortit dans le couloir en se dévêtant, puis elle jeta T-shirt et culotte dans le couloir avant de s’engouffrer dans la salle de bain. À ce moment-là, je ne sais pas ce qui m’a prise, mais j’ai ramassé sa culotte et je me suis ruée dans ma chambre. Mes jambes tremblaient. Jamais je n’avais été aussi excitée. J’ai glissé ma main sous ma jupe en approchant doucement le fin morceau de tissu de mes lèvres. Il était empreint des effluves de sa jouissance. J’osai alors faire comme elle, je me mis à lécher sa culotte. Les images les plus folles me traversèrent l’esprit. Je jouis plusieurs fois, le goût de Corinne dans la bouche. Quelle extase…
Lorsque je repris mes esprits, Corinne se tenait dans l’embrasure de la porte, une serviette autour de la taille. Elle arborait un large sourire, quand nous entendîmes la voix des garçons qui rentraient.
Je réalisai alors que sa culotte était toujours dans ma main. Pivoine, j’essayai de remettre de l’ordre dans ma tenue pour aller à la rencontre des garçons. J’étais dans un état second. Corinne m’avait observée au plus fort de mon intimité. Elle ne pouvait pas ignorer mon geste et j’avais peur de sa réaction. Mais son sourire éclatant et son « cadeau » me laissaient à penser que mes craintes n’étaient pas fondées.
Le reste de la matinée se déroula rapidement. Il fallut commencer à préparer les valises. Au cours du repas, Corinne fit comme si rien ne s’était passé. Pendant que les garçons débarrassaient la table, je sentis quelque chose m’effleurer la jambe. Je levai les yeux vers Corinne, et je vis une pointe d’anxiété dans le regard. Son pied se fit plus insistant, et lorsque je lui souris, elle poussa un léger soupir de soulagement.
Nous sortîmes sur la terrasse pour prendre le café, et Corinne s’installa face à moi. Les garçons discutaient de l’itinéraire du retour, pendant que nous papotions de choses et d’autres. Lorsque Corinne décroisa ses jambes, je constatai qu’elle était nue sous sa robe. Elle poursuivait la conversation, mais sa voix était empreinte d’une certaine émotion. Elle écarta un peu les cuisses m’incitant à plonger un peu plus mon regard dans son intimité (si c’était possible). Une nouvelle fois cette délicieuse sensation d’une boule au creux de l’estomac me reprit.
J’avais bien conscience de la perversité de la situation, mais sur l’instant cela m’était égal. Son sexe perlait et c’était la plus belle image qu’il m’avait été donné de voir. Sûre de son effet, Corinne continua son petit manège et me fit signe d’écarter également les jambes. Elle me fit discrètement comprendre qu’il fallait que je me mette également en tenue d’Ève sous ma robe. Je m’absentai donc quelques instants pour répondre à son désir que j’aurais souhaité être un ordre en mon for intérieur. L’idée me fit mouiller et, lorsque je m’installai en face de Corinne, ma crainte fut de tacher ma robe. Je décidai de la soulever en m’asseyant, posant ainsi mes fesses nues sur la chaise. Puis j’écartai lentement mes jambes, dévoilant mon intimité à celle que je rêvais d’avoir pour amante. Mon petit effet fit se dresser les pointes de ses seins, et je la vis se mordre la lèvre en se tortillant sur sa chaise.
La proximité de nos maris rendait la situation surréaliste. Des frissons me parcouraient le corps. Le désir était intense, mais le passage à l’acte était impossible. J’ai vécu ces instants comme dans un rêve. Corinne poursuivit son petit manège. Discrètement, elle posa le doigt sur sa chatte pour récolter le fruit de son excitation avant d’en enduire ses lèvres. Je la voyais sentir son doigt en humectant ses lèvres. Elle étalait un large sourire. Elle prit alors sa petite cuillère et l’introduisit dans son sexe. Elle fit ensuite mine de remuer son café qu’elle avait déjà terminé, puis elle lécha la cuillère. Elle faisait vraiment tout pour me faire craquer.
Corinne « salit » à nouveau sa cuillère puis la mit sur la sous-tasse de mon café.
Je me suis délectée de son jus, telle une offrande, mais il fallait finir de ranger avant de partir.
Le retour en voiture fut emprunt d’une grande langueur, jusqu’à ce que je reçoive un SMS de la part de Corinne me demandant de fouiller mon sac. J’y trouvais un minuscule string complètement trempé. Un second SMS me confirma qu’il n’y avait pas que de la cyprine, Corinne m’avouant s’être essuyée avec. Je sentis discrètement mes doigts et retrouvais son odeur. Le string allait devenir mon fétiche durant les longues semaines qui se sont écoulées avant que nous ne nous revoyions chez nous au bord de la piscine, mais ceci est l’histoire de mon mari, que je compléterai peut-être bientôt.
Nathalie