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Temps de lecture estimé : 14 mn
07/03/12
Résumé:  Une aventure avec une jolie Haïtienne peut s'avérer parfois... dangereuse.
Critères:  fh hplusag grosseins travail intermast pénétratio humour sorcelleri québec -occasion -extraconj
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Maudit vaudou !

Chapitre 01 / 05
Tahina

Salle de réunion des Chasseurs d’entités – 21 h



Toute l’équipe de production était réunie autour d’une grande table ovale : réalisatrice, recherchiste, cameraman, preneur de son, moi et Marie, ma femme, magnifique comme toujours en tailleur noir, blouse blanche avec ses longs cheveux roux encadrant son visage mince et superbe. La belle grande Marie Lemieux, ancienne lectrice de nouvelles au réseau national encore considérée aujourd’hui, à 52 ans, comme l’une des dix femmes les plus sexys du Québec. Elle avait démissionné de Radio Canada et maintenant produisait et animait sa propre émission, la nôtre, en fait (les Chasseurs d’entités). On essayait de trouver ou de démystifier différents phénomènes paranormaux et les cotes d’écoute étaient plutôt excellentes. Grâce, en bonne partie, à la grande beauté de Marie évidemment mais surtout à l’expérience qu’avait de la télé ma belle bombe qui était devenue ma tendre moitié depuis quelques semaines seulement.


La salle était plongée dans la pénombre, seuls de petits plafonniers nous éclairaient et les écrans de quelques ordinateurs portables. Sur les murs tout autour de nous étaient accrochés des laminages de l’émission, ma conception.



Personne ne releva, juste quelques sourires.



Petite, une jolie peau couleur chocolat, un beau visage en ovale, des yeux noisette, une bouche étroite aux lèvres épaisses et charnues avec de longs cheveux noirs permanentés, attachés en queue de cheval qui lui donnaient l’allure d’une prêtresse vaudou. Ses parents étaient d’origine haïtienne, mais elle était née ici et avait l’accent québécois. Je n’avais jamais eu d’aventure avec une Noire et cela me travaillait depuis qu’on l’avait engagée, surtout qu’elle était en plein mon genre, un peu ronde avec une poitrine démesurée. Ma femme, grande et svelte, style mannequin, était l’exception.


Tahina était particulièrement en beauté ce soir ; en bas noirs, mini-jupe grise et chandail beige à col roulé, gros anneaux d’argent aux oreilles et lunettes sur le bout du nez. Une petite merveille qui me jetait des regards narquois à l’occasion. Wow !


Elle commença à lire sur son portable :



Je me mis à rire comme un fou, impossible de m’arrêter ce qui fit rigoler toute l’équipe de production. Marie en pleurait tête renversée en arrière en se claquant dans les mains.

Il nous fallut cinq bonnes minutes pour reprendre notre sérieux en s’essuyant tous les yeux tout en se passant une boîte de mouchoirs en papier.



Elle voulut continuer mais elle repartit à rire de plus belle incapable de lire. L’écran de son ordinateur se reflétait dans ses lunettes ovales à fine monture métallique. Dieu, qu’elle était mignonne la petite Noire avec sa poitrine généreuse écrasée contre la table ! Mon vieux cœur en palpitait.



Elle approcha le portable de Tahina devant elle et commença à lire en ramenant ses longs cheveux roux derrière ses oreilles :



Je repartis à rire comme un fou le front sur la table.



Et soudain elle perdit son sourire et me regarda méchamment tête penchée en croisant les bras.



Marie secoua la tête découragée en souriant et prit son téléphone qui vibrait, elle venait de recevoir un texto. Un long silence et :



Petit Jésus !


Discrètement, je lui rendis la politesse en posant une main sur sa cuisse très ferme.



Silence total, on aurait entendu réfléchir un fantôme de fonctionnaire. J’étais déjà bandé dur en glissant ma main sous la jupe courte de Tahina qui écarta les jambes légèrement ce qui me permit de toucher la peau douce là où les bas s’arrêtaient puis son slip de coton. Ses beaux grands yeux noirs se fermèrent un petit peu.



Du bout des doigts je sentais la forme bombée du sexe de la belle Haïtienne sous le tissu léger du slip et la chaleur qui se dégageait de sa vulve probablement humide.



Tout le monde grimaça, mais moi pour une tout autre raison. Tahina pressait mon sexe durci sous mon jean, ça m’électrisa.



J’avais de grosses chaleurs.



Encore des rires tandis que je soupirais.



Tahina descendit la fermeture éclair de mon jean lentement, fourra la main dans ma braguette puis sous mon slip, agrippa mon membre durci et le sortit tant bien que mal sous la table pour commencer à me branler avec une douceur des plus agréables. La salle était si sombre que notre petit jeu passait inaperçu, enfin je l’espérais, mais tout de même, cela me donnait de sacrées sensations et me rendait un peu nerveux. Essayez de ne pas grimacer dans une situation pareille, ce n’est pas évident.



Il y a juste Tahina qui leva la main, celle qui me masturbait, la droite resta sur son ordinateur que Marie lui avait retourné. Elle la rabaissa l’air de rien et reprit mon membre à deux mains.


Deux !


Son autre main était toujours sur son clavier et elle paraissait aussi nerveuse et surprise que moi. Je tournai la tête pour regarder Pierre assis à ma gauche, il me fit un clin d’œil complice. Pierre était gay et ne s’en cachait pas. Dans la trentaine, yeux bleus, menton carré, cheveux platine coiffés style tempête dans l’Atlantique et il me souriait un bras sous la table.


« Merde ! » me dis-je les doigts toujours sous la petite culotte de Tahina qui avait compris elle aussi et souriait tout en me masturbant avec lui. Mon vieux cœur cherchait de l’énergie supplémentaire. Popa avait ben chaud.



Je sentais les grandes lèvres ouvertes et même les petites.



Veut, veut pas, leurs mains qui allaient et venaient produisaient l’effet escompté. Après tout, ce n’était pas la première fois qu’un homme me masturbait. J’étais un peu bi moi aussi, mais ça, même Marie ne le savait pas.



D’autres rires.



Là, tout le monde rit. Les deux mains me lâchèrent, mais ma bite était sortie et bandée dur, pas question que je me lève.



Marie plissa les yeux, amusée. Elle savait, j’en étais certain.



Je regardai Marie qui se contenta de sourire avant de rajouter en se levant et rangeant ses affaires dans sa mallette tandis que tout le monde s’en allait déjà y compris le petit comique de Pierre qui me fit un autre clin d’œil en passant la porte :



Elle me donna un bisou et fila en saluant le groupe. Elle était de ma taille et les dépassait tous. J’adorais ma femme.

On avait un peu menti au prêtre en se jurant fidélité lors de notre mariage médiéval cet automne en Abitibi après notre chasse au loup-garou. On savait très bien l’un et l’autre que l’on continuerait à avoir des petites aventures à gauche ou à droite.

Elle avait à peine fermé la porte de la salle de réunion que je voulus sauter sur Tahina. Mais…




Le gri-gri



C’est elle qui me sauta dessus en s’assoyant sur mes genoux et plaquant sa bouche de rêve sur la mienne en glissant ses mains sous sa jupe relevée pour placer mon sexe dans son vagin en écartant simplement son slip. Elle était si mouillée qu’il entra tout d’un coup et bien profond.



Elle plissa les yeux en prenant mon visage entre ses petites menottes, pencha la tête et m’embrassa à nouveau. Mes mains, évidemment, se plaquèrent aussitôt sur sa grosse poitrine par-dessus son chandail et je pressai les seins très fort sous le coup de l’excitation tandis que nos langues commençaient à jouer ensemble. Puis elle se redressa en me regardant les yeux brumeux pour faire passer son chandail par-dessus sa tête et le jeter sur la table. J’en profitai pour lui prendre les fesses dures et fermes. Surpris je vis un étrange collier pendant entre ses seins par-dessus le magnifique soutien-gorge de dentelle noire qu’elle détacha, mains dans le dos, libérant les mamelles lourdes qui roulèrent près de son nombril. C’était un minuscule crâne d’animal, un oiseau probablement à long bec, plus des plumes brunes et blanches et des osselets, tout ça attaché à son cou par une fine lanière de cuir noir.



Elle commença à remuer les hanches de gauche à droite, bien accrochée à mes épaules.



Elle mouillait tellement que cela me coulait jusque sur les couilles. Son parfum étrange m’envoûtait, sans doute un parfum exotique. Je mis mon visage entre ses seins, fasciné par leur couleur et leur lourdeur.



Je fis semblant d’y croire, je savais bien que toutes ces histoires-là se passaient justement dans la tête.



Sa peau foncée lisse et douce, sans aucun défaut, ses hanches étroites et son ventre un peu rebondi puis son nombril creux percé par un petit bijou.



Un pur délice.


Je la laissai se démener à son rythme un long moment la laissant prendre son plaisir bien accrochée à mon cou en lui suçant les mamelons goulûment, mains sur ses fesses à nouveau. Elle commença à gémir faiblement à mon oreille tandis que je me retenais déjà pour ne pas jouir trop vite. Au bout d’un moment elle dit en laissant mon sexe sortir du sien :



Le bec pointu du satané crâne d’oiseau me chatouillait le bout du nez tandis que ma belle Haïtienne me tenait mains plaquées sur la table de conférence en se déhanchant bien assise sur mon membre à nouveau. Sa peau d’ébène me fascinait, ses seins lourds étirés se balançaient merveilleusement et elle m’empêchait de les toucher par jeu en gémissant de plus en plus. Sa vulve étroite enserrait trop bien mon membre, mon scrotum était déjà tout contracté.


Soudain, la porte de la salle de réunion s’ouvrit derrière moi et, à l’envers, je vis un grand Noir dans la trentaine en complet-cravate entrer pour s’arrêter tout près de moi. Mes couilles se contractèrent encore plus. C’est qu’il avait l’air drôlement fâché, le monsieur.


Petit Jésus !



J’écoutais l’échange en créole sans y croire et en grimaçant un peu mal à l’aise.



Cela faisait se contracter son vagin contre ma bite plus dure que jamais et elle me tenait toujours les poignets et encore plus solidement sous l’effet de la colère. Ça me coupait la circulation, mes mains étaient déjà tout engourdies.



Là, le gars semblait s’adresser à moi en me fixant droit dans les yeux. Les siens étaient tout injectés de sang. Il sortit une bouteille bleue à long goulot d’une des poches de son complet, en prit une gorgée qu’il me cracha au visage et se sauva avant que Tahina n’eût pu faire quoi que ce soit. Elle me regarda médusée en se redressant, me lâchant finalement les yeux tout ronds tandis que je me passais les mains toujours engourdies sur la face. C’était de l’alcool et ce n’était pas mauvais.



« Ah, ces croyances ! » me dis-je en fixant sa magnifique poitrine. « Navrant ! »



Et là, j’entendis, « Oh ! Eh ! Je ferme la porte, monsieur Lemieux. » Une voix de femme, je ne regardai même pas.


N’en pouvant plus je la retournai sur le dos pour la besogner fiévreusement en lui plaquant à mon tour les mains sur la table. Elle ferma les yeux, bouche entrouverte et croisa ses petites jambes musclées sur mes reins tandis que nos pubis se tamponnaient furieusement. Je fixais, plus excité que jamais, ses énormes seins complétement aplatis sur son torse qui se balançaient tout doucement avec le crâne d’oiseau qui semblait me narguer.



N’en pouvant plus, j’accélérai en serrant les fesses pour finir par jouir tandis qu’elle gémissait les yeux révulsés pour ensuite m’écrouler sur elle épuisé.

Elle m’enlaça très fort un long moment, le maudit gri-gri m’égratigna le torse.


Elle tenta encore de me convaincre d’aller voir son docteur vaudou tout de suite tandis que je la raccompagnais chez elle, mais j’étais vraiment épuisé et je ne pensais qu’à rentrer à la maison. Il était déjà 10 h du soir et je bayais aux corneilles. Mais on se donna rendez-vous pour le lendemain midi.


Je n’y croyais pas une miette, mais je voulais la baiser à nouveau. Ça oui !