n° 14857 | Fiche technique | 42260 caractères | 42260Temps de lecture estimé : 25 mn | 13/03/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Maryse caresse l'espoir de faire l'amour dans une voiture, fantasme qu'elle n'a jamais réalisé. La Beauce lui offrira-t-elle la possibilité de le faire ? | ||||
Critères: fh fplusag fagée fépilée campagne voiture fsoumise voir exhib noculotte fmast intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus fsodo uro -couple | ||||
Auteur : Mcguil83 (Michel, amoureux des femmes plus âgées que moi) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Femmes d'aujourd'hui Chapitre 04 | Fin provisoire |
Dans l’épilogue du récit précédent (n°14774), Maryse dit ne jamais avoir fait l’amour dans une voiture, avec l’espoir que ce désir se réalise un jour. Je suis de plus en plus proche d’elle et mes journées de loisirs se passent souvent avec elle, en amants. Mon but est de faire aboutir son souhait qui devient de plus en plus un fantasme pour moi.
Parmi mes relations de jeunesse, j’ai gardé contact avec Alain, un camarade de BTS, resté sur Paris après ses études. Il s’est installé comme antiquaire-brocanteur, après un mariage raté et un licenciement économique. Ce n’est pas son métier initial, mais les aléas de la vie l’obligent encore aujourd’hui à aller de brocantes en salons professionnels, parfois loin de chez lui et surtout tous les week-ends quelque soit le temps. Il me raconte son désespoir d’avoir loupé sa vie personnelle et professionnelle, et de ne pas pouvoir trouver une journée de libre pour amener un meuble chez sa mère qui habite dans le Cher. En souvenir de notre amitié de jeunesse, je lui propose de lui rendre ce service, s’il met à ma disposition un véhicule adéquat pour convoyer le meuble qui l’encombre chez lui plus qu’autre chose.
Il accepte ma proposition, d’autant plus que je connais sa mère que je voyais souvent quand nous étions lycéens. D’après Alain, elle serait ravie de me revoir en souvenir du temps passé. Il doit me prêter son 4x4, grand et confortable dans lequel le meuble peut entrer entièrement, facilitant ainsi le transport. Le rendez-vous est pris avec Françoise, sa maman, pour samedi prochain. Je demande à Alain si je peux être accompagné de Maryse pour que la route soit plus agréable et, bien sûr, il n’y voit aucun inconvénient.
De son côté, Maryse est ravie de quitter son appartement parisien pour une escapade provinciale. Je ne pense pas qu’elle imagine un quelconque stratagème de ma part, mais j’y pense très fort.
∞∞∞∞∞
Le jour dit arrive ; Alain est déjà parti depuis plusieurs heures avec sa camionnette sur une brocante dans l’est de la France. Il est convenu que je récupère le 4x4 samedi matin vers 7 h. De là, je file chez Maryse qui m’attend en bas de chez elle et, sans perdre de temps, direction le Berry via la Sologne.
Je suis étonné de voir qu’elle n’a pas mis une tenue de campagne. Elle est habillée coquettement d’une jupe noire, large avec des plis à godets qui descend aux genoux et, sur le dos, elle porte une veste en fourrure. Si ce n’est pas du vison, cela y ressemble ; un sac à main noir en cuir et des chaussures basses de même couleur parachèvent son habillement. Elle est très élégante – pas forcément la tenue de circonstance – mais elle est très à son avantage. Avec les bises tendres d’accueil, je m’étonne de la voir si aguichante ; elle me répond qu’elle ne veut pas me faire honte, mais que si cela me dérange, elle peut encore changer si je lui accorde un quart d’heure maximum. Bien sûr je refuse, trouvant la jupe tout à fait à mon goût pour mes futurs projets. Elle retire sa veste de fourrure pour ne pas l’abîmer dit-elle, et je découvre qu’elle a un joli chemisier blanc en satin et dessus un cardigan bicolore blanc et marron. Sa poitrine est très en valeur dans ce chemisier justaucorps. Je félicite Maryse pour le choix des vêtements et nous prenons place dans le véhicule.
Direction la route du Sud : périphérique jusqu’à la porte d’Orléans, autoroute A6, puis A10, puis la RN20 direction Orléans. Ce samedi matin, il y a peu de monde malgré le temps ensoleillé, il faut dire que la température est au gel et ce n’est pas une période de congés scolaires. Le long serpent de bitume de la RN20 défile vite à travers la plaine de la Beauce. À perte de vue, il y a des champs labourés bien dessinés, dans lesquels on aperçoit des cultures qui commencent à germer. D’ici quelques semaines, tous ces champs seront verts, jaunes, ou couleur d’or ; en attendant que le printemps revienne, c’est encore l’hiver. Maryse semble distante, égarée dans ses pensées, peu bavarde, elle qui d’habitude a toujours quelque chose à raconter, alors je m’en inquiète :
Je crois avoir trouvé, mais je respecte son choix. Je pose ma main droite sur sa cuisse pour toucher ce que j’espérais… les jarretelles, le haut du bas plus épais et la peau jusqu’à la culotte. Entre deux doigts, je pince la jarretelle qui est parée de dentelle et le bouton d’attache carré me confirme que je connais le porte-jarretelles dont Maryse est vêtue. Je ne passe pas la main sous la jupe, je préfère rester dans l’imaginaire du fantasme.
Je brûle de dévoiler ma pensée mais je préfère lui laisser l’illusion de la victoire. Les kilomètres passent, agrémentés d’un peu plus de discussions à deux. La radio fait un fond d’ambiance que nous n’écoutons pas. À une vingtaine de kilomètres au Nord d’Orléans, nous décidons de nous arrêter prendre un petit-déjeuner. Je suis sûr d’être à moins de 18 km d’Orléans car, de la nationale, on aperçoit le rail de béton de l’aérotrain de l’ingénieur Bertin qui espérait relier Orléans à Paris en 20 min à la fin des années 60. Malheureusement, la crise pétrolière de 1972, ou d’autres raisons, valurent de faire capoter ce projet futuriste, le conduisant tout droit à une faillite programmée. Quelque 40 ans plus tard, il ne subsiste que les vestiges d’un support de béton pour graffiti. Dans le village, nous trouvons une place pour stationner et un café qui rappelle l’histoire de cet aérotrain.
Maryse choisit un chocolat chaud et moi un double express avec deux croissants pour chacun. Cela fait du bien de se détendre en refaisant l’histoire d’un projet avorté. Il nous faut revenir à la réalité, passer aux toilettes pour Maryse et payer la note pour moi. Quand Maryse se renseigne pour les WC, le patron, désolé, se confond en excuses, disant que suite aux intempéries et au gel, les toilettes ne sont pas utilisables.
Je pose 10 € sur le comptoir et sans dire ni merci, ni au revoir, nous quittons les lieux. Maryse peut encore attendre pour une pause-pipi dans la nature dès que possible, et tant pis pour le froid.
∞∞∞∞∞
J’ai encore cette pensée en tête, lorsque tout à coup je crois rêver en voyant sur une aire de dégagement de la nationale, une voiture arrêtée, les deux portières de droite ouvertes et dessous, entre l’asphalte et le métal, le cul d’une dame accroupie en train d’uriner. Je lève le pied en même temps que j’en informe Maryse :
Malheureusement, dans ce genre de circonstance, même en ralentissant, le temps passe trop vite et je n’ai pas la possibilité de détailler l’intimité de la dame. Je klaxonne en passant à la hauteur pour bien lui signifier que je l’ai vue et dans le rétroviseur, j’ai la chance de voir cette femme se redresser prestement toute robe relevée et d’apercevoir une touffe brune une fraction de seconde au milieu de mon écran de vision. Puis la robe retombe, la dame fait un geste que je ne comprends pas, puis plus rien, nous sommes trop loin.
Je ne suis pas pressé de trouver un endroit tranquille pour que Maryse soulage sa vessie et Orléans est déjà derrière nous quand, ne pouvant plus se retenir, elle me demande instamment de m’arrêter.
Devant le ton persuasif de Maryse, je m’exécute et je m’arrête sur un parking le long de la route. La voiture à peine immobilisée, Maryse bondit à l’extérieur, avance deux à trois mètres devant le capot, relève sa jupe jusqu’à la taille, dévoilant ses bas, ses jarretelles noires, passe ses doigts dans l’élastique de sa culotte qu’elle descend, fait volte-face et s’accroupit en me tournant le dos. Je ne vois pas sa petite chatte rasée mais le jet d’urine qui dessine un ruisseau doré qui fume de suite au contact du bitume. Je me délecte du spectacle de sa croupe dénudée, enregistrant cette image à vie dans mon esprit. La route est calme, pas de voiture derrière mais devant, au loin, une voiture se rapproche rapidement. Si elle ne se relève pas rapidement, le conducteur va profiter du spectacle comme moi tout à l’heure et même plus car Maryse lui fait face dans son champ de vision. La voiture est maintenant toute proche et Maryse continue d’uriner, la marre de pipi s’agrandit. Le chauffeur apercevant une femme la culotte en bas des jambes et de plus en dessous sexy, ralentit, donne plusieurs coups de klaxon pour montrer qu’il a tout vu, puis continue sa route vers Orléans, arborant un grand sourire en croisant mon regard au passage à ma hauteur. Je pense que lui aussi se souviendra longtemps de ce spectacle gratuit et imprévu.
Maryse est enfin soulagée et, sans remonter sa culotte, revient vers moi et dit :
Au lieu de chercher le mouchoir, je descends et fais le tour de la voiture pour m’asseoir sur le siège passager. J’attrape Maryse par les hanches pour la basculer sur mes genoux.
Maryse s’exécute, approche vers moi, relève sa jupe jusqu’à la taille, fait glisser sa culotte le long des cuisses puis des jambes et la retire définitivement en levant un pied, puis l’autre. Elle se couche sur mes genoux en écartant les jambes. J’ai tout loisir d’admirer cette chatte imberbe de poils que j’essuie avec la pièce de tissu en dentelle noire. Je passe ma main droite à l’intérieur des cuisses pour l’inciter à les écarter davantage et sans plus attendre, je glisse ma main dans l’entrejambe. Mes doigts écartent les grandes lèvres et deux d’entre eux plongent dans le vagin. Maryse cambre les fesses vers l’arrière pour mieux sentir la pénétration. J’en profite pour lui titiller le clitoris et mettre le pouce dans l’anus. Je fais plusieurs va-et-vient que Maryse accepte sans rien dire. Jugeant la remontrance suffisante, Maryse trouve le mot de la fin :
Devant autant d’arguments justes, j’arrête mon jeu, baisse la jupe de Maryse et lui rends sa place de passagère. Je garde cependant sa culotte pour qu’elle n’ait pas l’idée de la remettre aujourd’hui, et de concert, nous reprenons la route vers Vierzon.
∞∞∞∞∞
Il reste encore une bonne heure de route, sans autre anecdote notoire à raconter. Je programme sur le GPS la destination du lieu-dit « Le Creux Bisson », heureusement que le navigateur connaît car je n’y suis jamais allé. Maryse me questionne sur la personne que nous allons rencontrer pour paraître un peu moins godiche.
Un jour que nous faisions nos devoirs ensemble, une dame est entrée dans le séjour pour nous proposer un rafraîchissement car c’était l’été et il faisait très chaud. Elle avait de jolis cheveux blonds et était vêtue d’une robe chasuble sans manches, à fleurs de couleur claire avec un décolleté aguichant. Quand tu as 19 ans et que tu aperçois une telle femme sur le pas de la porte, ton sang ne fait qu’un tour dans les veines ! Mais la réalité reprend vite le dessus pour t’obliger à rester à ta place.
Je ne sais plus si nous avons accepté le rafraîchissement proposé mais dans mon émoi et pour me donner une contenance, quand la dame est sortie, j’ai dit à Alain :
Et Alain de répondre :
Il faut dire que sa grand’mère était jeune et lorsque j’ai vu sa mère, donc Françoise, que je ne connaissais pas encore, elle m’apparut être sa sœur. Alain m’expliqua que l’une et l’autre avaient eu leurs enfants vers 18 ans et que 18 + 18 + 19 donnaient pour sa grand’mère 55 ans et Françoise 37 ans. Mon erreur était pardonnée car sa grand’mère avait l’âge de ma mère à moins de cinq ans près.
Cette discussion de mise au point avec Maryse nous a rapprochés du but et « Julietta », la fille du GPS nous annonce une arrivée imminente.
∞∞∞∞∞
Il est 11 heures et la maison de Françoise est pratiquement en vue. C’est une maison basse, toute en longueur, sans étage avec des murs à colombages, un immense jardin engazonné mais triste en cette période de l’année. Je stoppe le 4x4 devant le portail de bois et sonne. Une dame apparaît, plutôt dans le style décrit par Maryse que l’inverse. J’avais juste oublié que Françoise a en plus une poitrine généreuse. Elle est parée d’une robe droite bleu et blanc avec une ceinture. Elle est ravissante et je la salue.
Maryse me tire la manche et je comprends que je dois rester à ma place, j’en profite donc pour faire les présentations.
Je laisse les deux femmes faire connaissance, pendant que je dégage le meuble du coffre du 4x4. Françoise sollicite Bernard un voisin pour m’aider, il est dans mes âges et très courtois. Moins d’un quart d’heure se passe pour vider la voiture de son chargement. Je ne pensais pas qu’il y avait autant de place dans ce coffre, on pourrait presque y dormir à deux si ce n’était pas l’hiver.
Voilà maintenant la bonnetière en place dans le séjour de la maison. C’est un magnifique meuble Louis XIII à pointe diamant avec deux portes et deux tiroirs sur la façade pour la partie bonnetière et deux portes latérales pour la partie vaisselier. Je n’ai jamais vu un tel meuble, c’est paraît-il assez rare, seuls douze exemplaires originaux existent en France. Enveloppé dans le coffre du 4x4 avec des couvertures pour le protéger, je n’avais même pas pensé que je convoyais une telle beauté.
Françoise insiste pour que nous restions déjeuner tous les quatre. J’allais accepter lorsque Maryse me rappelle sa présence par un coup sur l’avant-bras. Je décline l’invitation, prétextant un faux rendez-vous à Paris en fin d’après-midi avec un dîner auquel je ne peux pas me soustraire. Françoise regrette sincèrement, disant que ce ne sera que partie remise et qu’au moins nous ne pouvons pas refuser l’apéritif. J’accepte avec plaisir et il est presque 13 heures lorsque nous reprenons la route du retour après avoir fait nos adieux à Françoise et à Bernard. En embrassant Françoise, elle me dit doucement à l’oreille sans que Maryse puisse entendre :
Je repars tout chamboulé par ces paroles qui sont venues me piquer le cœur. C’est vrai que Françoise est attirante mais je respecte Maryse qui me le rend bien alors, même si nous avons eu instantanément de l’attirance, je dois l’oublier.
∞∞∞∞∞
À mon tour d’être dans mes pensées ; par crainte que l’intuition féminine me culpabilise, je décide de faire la conversation, bien sûr sur notre visite chez Françoise, mais Maryse n’est guère enthousiaste pour en parler, je n’insiste pas et change de sujet.
Avec ce double objectif, la route paraît plus gaie en traversant la forêt domaniale d’Orléans. Maryse semble avoir oublié qu’elle n’a toujours pas de culotte, ou plutôt elle sait que je suis strict sur le sujet et qu’il ne sert à rien d’en parler sinon attiser un peu plus mon excitation. D’ailleurs, je trouve que la route manque d’érotisme alors je pelote la poitrine de Maryse qui ne s’en offusque pas. Je déboutonne un, puis deux boutons du chemisier, introduis une main à l’intérieur et pénètre dans le soutien-gorge. Je pétris une mamelle sans grand ménagement, caresse le téton qui, bien au chaud, est gros comme une petite arachide.
Maryse ne dit rien, alors je passe la main dans le dos pour dégrafer la pièce de lingerie que je remonte au-dessus de la poitrine et je palpe à pleine main ses seins dans tous les sens. La main droite me suffit pour satisfaire ce fantasme, l’autre reste précautionneusement sur le volant. Comme Maryse ne s’en étonne pas, je lui demande de retirer complètement son soutien-gorge. Avec à peine un semblant de rébellion, elle s’en débarrasse en passant les bretelles par les manches du chemisier pour ne pas avoir à le retirer. Pour finir, elle le range dans son sac à main.
Nous voilà à Orléans-la-Source, arrivés au restaurant. Maryse ne sollicite pas le désir de se rhabiller. Elle a pourtant, dit-elle, l’impression d’être toute nue. Elle sort de la voiture, en espérant ne pas rencontrer des gens avant de mettre le manteau de fourrure que je lui présente. Il fait froid, elle se plaint du vent qui s’engouffre sous sa jupe, entre ses jambes. Il lui rappelle – comme si elle avait pu l’oublier – qu’elle n’a pas de culotte. Elle vérifie qu’elle a toujours sa jupe. Non, sa jupe est toujours là. Elle marche rapidement vers le restaurant, en essayant de ne regarder personne. Le vent lui pénètre dans la raie des fesses, lui caresse sa chatte nue et joue avec la fente de son pubis. Ce serait presque agréable en d’autres circonstances, mais la perspective d’être durant le temps d’un repas, ainsi en public, l’angoisse quand même un peu, surtout qu’elle va devoir retirer son manteau à table !
Le gérant nous accueille et propose à Maryse de lui confier son manteau. Elle refuse tout de go, prétextant qu’elle a froid pour le moment. Il nous installe à une petite table en bordure de la salle, face au feu de bois. J’insiste pour que Maryse prenne place sur la banquette, face à la salle et au feu. Elle aurait préféré tourner le dos à la salle pour cacher ses seins lourds et tombants, mais je ne lui laisse pas le choix. Avant de s’asseoir, elle va aux toilettes, avec le manteau sur le dos. Quand elle revient, elle retire son manteau et je suis persuadé qu’elle a remis son soutien-gorge aux toilettes à mon insu pour me mettre devant le fait accompli. En prenant le manteau, je caresse discrètement le chemisier sur les seins et surprise, ils sont toujours libres et pesants dans le corsage.
Nous choisissons le menu grillardin, plat plus dessert avec pour Maryse une papillote de poissons et pour moi, un confit de canard avec des frites bien grillées. En dessert, ce sera une faisselle de fromage blanc au coulis de fruits rouges, une demi-Brouilly et deux cafés. Il n’y a plus qu’à attendre les plats et j’en profite pour aller aux toilettes qui se trouvent de l’autre côté de la salle, face à notre table. Je n’ai pas précisé la faveur que je veux demander et là encore, surprise ! En revenant dans la salle de restaurant, Maryse écarte largement les jambes pour me dévoiler toute son intimité féminine. En me rasseyant elle ajoute :
Le repas se passe rapidement, car à cette heure avancée du déjeuner, il y a peu de convives dans le restaurant. J’admire la poitrine non maintenue de Maryse, mais le chemisier de satin blanc est trop opaque pour en deviner un quelconque reflet par transparence, par contre les tétons manifestent leur excitation d’être en contact avec le tissu. Une fois, pendant le repas, je demande à Maryse de s’arranger de me montrer sa petite chatte de manière innocente. Elle a donc ouvert les cuisses et j’ai plongé sous la table pour ramasser ma serviette tombée par intérêt, afin d’admirer son entrejambe avec la tenue magnifique de ses bas accrochés au porte-jarretelles.
De retour à la voiture, je dépose un long baiser langoureux sur les lèvres de Maryse en la remerciant de se montrer aussi proche de mes désirs et même au point de souvent les devancer.
C’est ce que Maryse appelle l’intuition féminine, elle sait maintenant que je vais bientôt la culbuter au milieu de la forêt ou des champs, puisque c’est pour cela que je l’ai invitée à m’accompagner aujourd’hui.
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Nous traversons Orléans et quittons la RN20 pour prendre la direction de St-Lié. Nous traversons la forêt mais il y a trop de monde en cet après-midi ensoleillé, pour espérer trouver un endroit tranquille. Sur la route de Saclas, la Beauce n’est qu’un damier de champs uniformes en cette période de l’année. Je quitte la départementale où nous sommes pour m’engager sur un chemin peu accueillant, mais avec le 4x4 et le gel aidant, les ornières ne nous retiennent pas trop. Lorsque je m’arrête après 1 ou 2 km de tape-cul, nous sommes isolés avec des champs tout autour de nous.
Maryse est de plus en plus surprenante. Au lieu de se cacher de moi, elle se positionne devant le 4x4, retrousse très haut ses jupes jusqu’au milieu du ventre, fait tranquillement un tour complet sur elle-même, sans se presser, pour me laisser le temps de bien apercevoir son cul nu, sa chatte imberbe et le porte-jarretelles noir qui soutient des bas bien tendus. Elle tourne la tête vers moi pour s’assurer que je l’observe bien et s’accroupit face à moi. Elle est pratiquement assise sur un siège imaginaire et je vois distinctement sa fente qui s’ouvre pour laisser passer une miction urinaire qui dure plusieurs dizaines de secondes, une minute peut-être. Je ne résiste pas à saisir mon appareil-photos posé à portée de main et à travers le pare-brise, je prends la scène en gros plan, avec sa chatte en train de pisser. J’ai la tête toute chamboulée, car je ne m’attendais pas à une telle scène érotique de la part de cette femme, comme quoi la campagne lui fait oublier ses préjugés de citadine.
Elle remonte dans le véhicule et me demande si le strip-tease m’a plu ? Pour réponse, je prends sa main que je pose sur mon sexe, l’invitant à le dégainer et à le prendre en bouche pour une fellation dont elle a le secret. Pendant ce temps, je ne reste pas inactif, je pelote les seins d’abord, puis je déboutonne le chemisier, pour les attraper de ma main gauche et je les sors de leur réserve. Mal à l’aise avec le levier de vitesse comme obstacle, je propose à Maryse de gagner « la chambre à coucher » improvisée à l’arrière du 4x4.
La surface, la longueur et même la hauteur sont suffisantes pour des amoureux en attente de sexe. Nous nous allongeons sur le plancher moquetté où j’ai déplié plusieurs couvertures. Il y en a suffisamment même pour se rehausser la tête. Ses tétons n’attendent que d’être titillés par des doigts adroits ou une langue experte et je ne m’éternise pas en préambules. Assuré de ne pas être dérangé, je retire complètement mon pantalon et mon slip. Allongé contre Maryse blottie au creux de mon épaule, je roule ses tétons entre mes doigts pour les exciter, en les pinçant jusqu’au seuil de la douleur mais sans violence. J’invite ensuite Maryse à prendre une position en 69, elle dessus pour une fellation sur mon membre dur et moi dessous pour la prendre en cunnilingus. J’ai passé les mains devant ses cuisses pour la tirer à moi par les hanches de façon à la pénétrer très profondément avec ma langue, c’est presque un face-sitting.
Je titille le clitoris, je lape sa moule ouverte, je lèche son fondement du pubis à l’anus. Maryse ondule du bassin pour me signifier son plaisir quand j’accompagne mes stimulations buccales par des caresses manuelles, le pouce masse le clitoris, pendant que je plante le majeur dans l’anus. Puis, j’introduis le même pouce dans le vagin, en ajoutant l’index en plus dans l’anus et je pince le périnée. Maryse continue de pomper mon gland, jusqu’au prépuce maintenant bien décalotté. Je vais probablement bientôt éjaculer car mon excitation est trop forte, alors j’invite Maryse à revenir s’allonger près de moi, en me tournant le dos, nos corps enlacés forment un 99 pour le bouquet final. Lubrifiée qu’elle est de partout, je descends mon corps sous ses fesses pour terminer le coït en sodomie. Je n’ai aucune peine à la pénétrer, mais Maryse se dégage pour présenter l’entrée du vagin au bout de mon braquemart et pousse d’un coup sec ma queue à l’intérieur. Je ne bouge plus, elle se masturbe le clitoris et joue avec ses muscles vaginaux pour contrôler mon éjaculation. Tout à coup, c’est l’extase de deux êtres qui s’abandonnent à une jouissance partagée avec des manifestations sonores que nous sommes les seuls à entendre. Vidés et heureux, nous restons collés l’un dans l’autre et nous nous endormons.
Combien de temps sommes-nous restés ainsi ? Ce que je sais c’est que le jour est déjà sur le déclin lorsque des aboiements de chiens au loin nous tirent de cette somnolence amoureuse. Nous sommes toujours l’un dans l’autre, ma queue est moins rigide, mais collée par le sperme, elle est restée dans le vagin de Maryse.
Doucement, je m’en sors en relevant la tête pour apercevoir au bout du chemin deux chasseurs et quelques mètres devant, trois chiens qui courent dans notre direction. Nos poses incongrues, fesses nues pour tous les deux et seins à l’air pour Maryse, m’obligent à réagir vite sinon cela va être une catastrophe pire que l’exhibition de Maryse ce matin.
Les fesses à l’air et la queue dégoulinante, je passe tant bien que mal par-dessus les sièges avant pour regagner ma place de conducteur. Maryse tapie au fond du coffre ne bouge pas, cachée dans les couvertures, mais les chasseurs sont encore trop loin pour la voir. Je réussis à démarrer le moteur avant que les chiens arrivent jusqu’à nous, et c’est cahin-caha à 2 km/h, à travers les ornières du chemin, que je sors le 4x4. Heureusement que je n’ai pas un véhicule surbaissé et que le temps gelé est un allié. Cent mètres plus loin, virage à gauche, puis cent mètres encore pour tourner à droite. Le chemin devient un chemin vicinal avant de retrouver une route plus roulante. Les prédateurs sont éloignés et avant de regagner la nationale, je m’arrête pour nous rhabiller et nous donner une apparence de gens de la ville. Maryse retire totalement son chemisier. J’ai une dernière attirance pour sa poitrine défraîchie et en soupesant ses seins, je viens en sucer les pointes devenues rose cramoisi. Je l’aide à remettre son soutien-gorge que j’attache moi-même et j’arrange au mieux sa poitrine dans les balconnets. Maryse finit de s’habiller, sort de la voiture pour s’essuyer la chatte en s’accroupissant entre le siège et la portière, mais elle ne réclame pas sa culotte que je garde dans ma poche de pantalon. C’est cul nu, comme convenu qu’elle finira la route jusqu’à Paris.
∞∞∞∞∞
Nous sommes heureux de ce qui vient de se passer mais quand je demande à Maryse si c’est ce qu’elle espérait aujourd’hui, elle commente :
Au départ de Paris, j’aurais été habillée d’un tailleur de grand couturier, un manteau de fourrure en queues de vison, un chapeau à l’ancienne, peut-être avec une voilette, bien sûr des dessous affriolants avec une culotte fendue ou si nous en avions convenu auparavant, pas de culotte du tout et un soutien-gorge à balconnets sous un chemisier transparent.
Au restaurant, le manteau retiré, mes seins auraient eu beaucoup de mal à garder leur place dans des bonnets trop petits, ce qui t’aurait énormément excité de savoir que je pouvais être regardée. De même, sous la table, sans culotte ou avec une culotte ouverte, j’aurais écarté les jambes en joignant mes deux plantes de pieds l’une contre l’autre de façon à écarter au maximum mes genoux pour dévoiler toute mon intimité au grillardin, mais aussi à tous les messieurs sortant des toilettes.
Arrivés en Beauce, j’aurais aimé que tu m’enlèves sauvagement en quittant la nationale pour les chemins cahotants après un brutal coup de volant. Sans préliminaires, j’aurais aimé que tu bascules le siège en position « couchette », que tu m’embrasses goulûment et que tu me retrousses la jupe pour découvrir un porte-jarretelles sans slip et une vulve rasée déjà bien humide.
J’aurais aimé qu’il m’arrive, qu’il t’arrive, qu’il nous arrive cette chose irréelle imaginée dans mes pensées…
J’aurais voulu, après m’avoir roulé un patin, peloté copieusement mon 95C au point que mes seins sortent de leurs nids, et m’avoir fait sérieusement jouir à main nue, j’aurais voulu que tu m’obliges à faire des choses indécentes…
Me faire sortir de la voiture pour m’obliger à te faire un strip-tease en suivant tes commandements sur un ton sans équivoque du genre : « Désape-toi avec grâce et sensualité ! Caresse-toi la chatte… Mieux que ça ! »
Je me serais exécutée, en retirant mon manteau de vison, puis ma veste de tailleur, laissant apparaître mon chemisier transparent dévoilant mes seins hors des balconnets. J’aurais cependant dû conserver mon chapeau à voilette telle une bourgeoise qui ne veut pas totalement se dénuder.
Puis la jupe aurait glissé à terre, laissant apparaître une femme toujours coiffée de sa voilette, en chemisier transparent, en porte-jarretelles et cul nu.
Tu m’aurais ensuite ordonné d’ôter mon chemisier avant de me masturber d’une main devant toi tout en caressant mes seins de l’autre. Devant ton souhait de tout voir, j’aurais caressé les mamelons en les roulant entre mes doigts pour les faire encore plus grandir et d’une façon provocante, j’aurais glissé l’autre main entre mes jambes, écarté les grandes lèvres à la recherche des petites lèvres et du clitoris. Je me serais masturbée ainsi jusqu’à l’orgasme.
Tu m’aurais ensuite rappelée à toi près de la voiture, pour que je suce ton sexe, à genoux comme une pénitente, puis tu m’aurais ordonné de me coucher sur le dos sur le capot, en repliant et en écartant largement les jambes. Trouvant la pose insuffisamment érotique, en t’aidant d’un bras tu aurais relevé encore plus mon postérieur, accentuant la cambrure qui serait devenue plus qu’indécente, dévoilant la totalité de mon anus offert. Tu aurais introduit alors d’un seul coup ton sexe dans mon vagin pour une succession de va-et-vient jusqu’à l’orgasme tant désiré.
L’étape suivante aurait été d’être retournée à plat-ventre sur le capot de la voiture pour offrir mon anus et en écartant les fesses avec les mains, offrir au mieux mon cul. Soumise, tu m’aurais enculée sans problème jusqu’à atteindre un nouvel orgasme.
Toujours avec ma voilette sur la tête, pour conclure ce rêve, je t’aurais fait une superbe fellation jusqu’à l’éjaculation dans ma bouche et mon fantasme se serait terminé par une long baiser plein de sperme
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Dring ! Il est 6 heures du matin, le réveil sonne pour me ramener à la vie ! Maryse est blottie tout contre moi au creux de mon épaule. Je m’en dégage pour arrêter la sonnerie. Je suis en grande transpiration, les images d’un rêve plein la tête :
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