n° 14774 | Fiche technique | 35073 caractères | 35073Temps de lecture estimé : 21 mn | 23/01/12 |
Résumé: Mon amour pour Maryse m'oblige à ne pas donner suite aux avances de Line, sa meilleure amie. C'est sur l'oreiller que je raconte à Maryse le scénario échafaudé et réalisé pour mes 40 ans. | ||||
Critères: fh fplusag voisins collègues voiture voir noculotte odeurs fmast intermast rasage fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo hdanus hgode confession -fplusag | ||||
Auteur : Mcguil83 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Femmes d'aujourd'hui Chapitre 03 | Épisode suivant |
Dans le cadre d’une Assistance d’Aide à la Personne, je suis au service de Maryse, une femme âgée pour qui ma relation professionnelle est devenue très sentimentale. J’ai même dépassé toute décence avec une de ses amies à la recherche de sensations passées. Maryse me demande de choisir pour poursuivre ensemble notre relation (voir les récits n° 14475 et 14657).
∞∞∞∞∞
Il s’est passé quelques semaines depuis notre triolisme forcé. Probablement que chacun de nous a réfléchi aux scénarii à imposer à l’autre. Pour ma part, j’ai quelques pistes coquines pour l’une et pour l’autre maîtresse. Aujourd’hui, je me décide à aborder le sujet avec Maryse. Cela se passe devant le café d’accueil chez ma patronne. Je suis arrivé un peu plus tôt que d’habitude pour aborder tranquillement le sujet avant mon travail. Maryse est encore en robe de chambre vert-amande, mais je sais qu’en dessous, elle est soit en nuisette courte, soit nue si elle a déjà fait sa toilette intime à califourchon sur le bidet.
Comme de coutume, après les amicales bises et caresses d’usage, elle s’assoit sur mes genoux. Je peux ainsi laisser vagabonder mes mains dans l’échancrure de sa robe de chambre, vers ses seins que je presse comme des éponges. Les pans ouverts découvrent une jambe, un genou, et laissent entrevoir la naissance d’une cuisse désirable. Elle est en nuisette dessous, les conditions sont maintenant réunies pour aborder le sujet en suspend depuis notre visite chez Line.
Mes mains caressent son corps, l’une presse ses seins potelés pendant que l’autre, plus baladeuse, remonte le long de sa cuisse à la recherche de son sexe. Elle n’a pas de culotte et il m’est facile de contourner la cuisse pour diriger mes doigts dans sa chatte rasée entre ses lèvres humides. Elle m’aide dans mon exploration en écartant les jambes tout en se repositionnant plus confortablement sur mes genoux. Dans son entrecuisse, je peux sans souci, aller de sa vulve à l’anus que je pénètre d’un doigt mouillé de cyprine.
Et nous prenons, enlacés, le couloir conduisant de la cuisine à la chambre.
∞∞∞∞∞
Je suis vite déshabillé et Maryse encore plus, n’ayant qu’un peignoir à ôter.
Aussitôt dit, aussitôt fait, j’attrape le rasoir dans le tiroir de la table de nuit et, à sec, je joue au coiffeur. Les volets sont ouverts et le soleil du matin caresse son corps pendant que je visite le mont de Vénus avec grandes et petites lèvres jusqu’au vagin, Maryse est d’autant plus indécente qu’elle ouvre largement les cuisses en passant une jambe par-dessus mon épaule de façon à bien m’offrir son sexe. En quelques minutes, elle a retrouvé un sexe de gamine imberbe, et je sais qu’elle apprécie de se regarder nue devant la glace de sa salle-de-bain ou celle de la porte de l’armoire.
Effectivement, mes rêveries ne durent guère avant qu’elle ne revienne, entièrement nue, tenant à la main mon gode anal lubrifié et je dois accepter qu’elle me l’introduise dans l’anus. Elle pousse sans difficulté ni ménagement le gode de 6 cm de diamètre jusqu’à la garde. Elle vient alors se blottir dans mes bras, au creux de mon épaule, sans bouger. Je sais qu’elle aime se retrouver comme cela, je suis son protecteur dans ces moments très forts pour elle.
J’ai le sexe en érection totale, calé au creux de ses reins, tenant son sein gauche de ma main disponible. Nous nous endormons ainsi une petite demi-heure avant d’être réveillés par la chaleur de son corps. J’ai toujours la queue en érection, et Maryse me facilite le passage pour que je l’introduise dans son vagin. Ce que je trouve extraordinaire chez elle, c’est la lubrification quasi constante de son puits d’amour. J’essaie de rester sans faire de va-et-vient, mais la coquine de Maryse me titille en faisant des contractions avec ses muscles vaginaux. La conclusion ne tarde pas à venir et je dois éjaculer mon sperme en elle en poussant très fort pour éviter de ressortir trop tôt. Je pétris toujours ses seins comme deux pamplemousses trop mûrs.
∞∞∞∞∞
La matinée est maintenant bien avancée. Nous sommes toujours couchés l’un contre l’autre lorsque le soleil est à son zénith.
Je réfléchis quelques minutes, faisant un rapide kaléidoscope de mes aventures érotiques avant de me décider et dire :
» C’est donc le midi, à l’heure du déjeuner, que nous quittons la société pour gagner en voiture la forêt toute proche. Ce rendez-vous est fixé à l’avance et le matin, nous n’avons pas besoin de le confirmer car si Christine porte une jupe large, je sais que c’est d’accord. À 12 h 30, nous nous retrouvons, et dix minutes plus tard, nous sommes cachés dans un endroit discret que nous seuls connaissons où nous sommes rarement dérangés par des promeneurs. N’étant pas adepte de l’amour en pleine nature à cause des insectes environnants, nous restons dans la voiture. Le scénario est souvent le même : nous passons sur le siège arrière, plus spacieux. Christine a déjà anticipé la suite, sans culotte avec des bas et un porte-jarretelles pour plus d’excitation visuelle, et bien-sûr la jupe ample dont j’ai déjà parlé. Je peux ainsi aisément la caresser pendant qu’elle me fait une fellation. Nous prenons ensuite une pose en 69, fellation pour elle et cunnilingus pour moi, avant de terminer notre affaire à califourchon pour Christine et moi assis sur le siège, le pantalon baissé et les fesses à l’air cachées dans les plis de sa jupe. À cette époque, le Sida n’existait pas et nous faisions toujours l’amour sans préservatif, si bien que c’est le vagin bien rempli de sperme et à peine essuyé que Christine remettait une culotte avant de regagner la société et reprendre le travail après être passée par les toilette se refaire un semblant de beauté.
∞∞∞∞∞
Je rentre du travail vers 18 heures et, dans l’immeuble où je vis avec Denise, ma concubine de l’époque, j’ai aussi une ex-amie de 71 ans, Huguette, qui est restée amoureuse de moi malgré ma liaison récente avec Denise. Je la revois de temps à autre pour la bagatelle, en remerciements de quelques petits services rendus. Pas besoin de rendez-vous, elle est toujours chez elle et quand je viens la voir, elle sait pourquoi ; soit que je lui amène des courses trop lourdes pour elle, soit… et de toutes les façons, je me gratifie en nature.
Huguette est une femme qui a dû plaire à beaucoup d’hommes dans sa jeunesse. Elle a des jambes encore magnifiques, sans varices et bien galbées. Toujours bien habillée, elle me plaît beaucoup.
Dring !
J’entends un bruit de talons sur le parquet se rapprochant de la porte, puis une clé qui tourne dans la serrure avant que la porte ne s’ouvre.
Huguette est une mamie géniale avec moi, toujours disponible, elle sait que lorsque je viens la voir, cela se termine toujours au lit quand je ne la culbute pas sur la table du séjour suivant mon désir du moment. Je dois dire aussi que Mamie Huguette, avec l’expérience de son âge, sait m’attirer pour faire quelques petits travaux de bricolage ou des courses pénibles sans voiture comme : l’eau, le lait et autres produits ménagers. C’est le sauf-conduit vis-à-vis de Denise, ma légitime, trompée sans le savoir par une voisine de l’immeuble rencontrée par hasard et désireuse de perpétuer sa libido.
Un petit porte-jarretelles blanc à la main, je reviens vers la salle-de-bains où Huguette est assise à califourchon sur le bidet. Elle a les fesses à l’air après avoir retiré ses sous-vêtements.
Huguette s’exécute et la voilà maintenant assise face à moi, comme sur une cuvette de WC, la vulve largement offerte. Je mets une noisette de lait corporel sur mes doigts et je passe sur sa touffe poilue, puis sa chatte, puis sur les fesses jusqu’à l’anus. Je ne le ménage pas et j’introduis prestement le majeur à l’intérieur. Plusieurs fois j’entre et je sors mon doigt pour bien nettoyer son rectum.
Pendant ce temps, je ne reste pas inactif ; je me déshabille totalement sous la ceinture avant d’introduire ma verge dans la bouche d’Huguette tout en continuant l’exploration de sa vulve en titillant son clitoris et en introduisant un, puis deux doigts dans son vagin.
La chatte et les fesses sèches, je m’offre le plaisir d’agrafer le porte-jarretelles dans son dos, puis les bas aux quatre jarretelles. J’admire l’ensemble de face puis de dos, en réglant les jarretelles pour que les bas tendent au maximum, et j’achève mon œuvre par quelques tapes sur les fesses.
∞∞∞∞∞
J’étale un drap de bain sur la table, Huguette se positionne au bord après avoir retiré sa combinaison. Je l’aide à s’allonger sur le dos et je la glisse vers le centre pour que ses talons reposent sur le plateau de la table. Je lui écarte largement les cuisses, prends une chaise sur laquelle je m’assois et je lui fouille la foufoune avec ma langue pour humecter sa chatte propre et sèche. Je suce le clitoris, puis l’entrée du vagin, et je la tire jusqu’à moi et remonte ses jambes par-dessus mes épaules pour lécher la raie culière et l’anus que je déflore avec ma langue.
Tout en maintenant en l’air les jambes d’Huguette avec un bras, je prends du recul pour admirer encore mieux ce tableau érotique. Ses seins tombent de part et d’autre de son torse lorsqu’elle ne les palpe pas de ses mains.
Je décide alors de laisser aller mes doigts à explorer son intimité. Avec le pouce, je caresse le clitoris, tout en introduisant deux doigts dans le vagin que je fouille avidement en pressant le point G. Puis je quitte la chatte d’Huguette, je continue de titiller le clitoris avec le pouce et j’introduis le majeur directement et profondément dans l’anus tout propre et bien humide.
Je replace les jambes d’Huguette sur mes épaules et j’approche ma queue vers ses grottes du plaisir.
Je passe ma verge du clitoris au vagin, jusqu’à l’entrée de son anus. J’appuie doucement et délicatement sur la rondelle plissée.
J’invite Huguette à plus de décontraction et je pousse ma verge à l’intérieur de son rectum. Attendu que j’ai au préalable bien lubrifié l’endroit lors du cunnilingus, je sens à peine une petite résistance avant de pénétrer ma queue jusqu’à la garde et entamer un va-et-vient. Le spectacle qui m’est offert excite encore plus mon désir de prendre cette femme pour la satisfaire.
Après quelques minutes d’allers-retours, je sors ma queue de son fondement et en vainqueur je dis :
Huguette vaincue s’exécute et prend ma bite à pleine bouche pour me pomper le sexe. Elle ne dit rien, pas de mimique de dégoût sur son visage, cela ne semble pas lui déplaire. Le jeu dure quelques minutes avant que je me décide de terminer ce coït en la prenant plus classiquement. Il ne se passe pas plus d’une minute avant que j’éjacule ma semence dans son vagin qui se serre et se desserre sur ma verge.
Je quitte Huguette, ma seconde conquête de ces 24 heures marathon pour l’anniversaire de mes 40 ans.
∞∞∞∞∞
Je monte à l’étage retrouver Denise, celle qui partage mes nuits quotidiennes. Je rentre et trouve ma dulcinée dans la cuisine à préparer le dîner. Elle est vêtue d’une robe légère, jaune paille croisée sur le devant. Je sais qu’elle est nue dessous, comme d’habitude, mais en l’embrassant dans le cou, je ne peux pas m’empêcher de passer une main dans le décolleté pour attraper un sein par le dessous pour le soupeser et le serrer.
L’heure à venir est classique avec ma douche, le repas et la TV avant de faire couler le bain de Denise auquel j’ajoute les produits relaxants qu’elle aime bien. Je la rejoins dans la cuisine, ouvre son peignoir et lui dis : « Le bain de Madame est prêt ».
Je retourne devant le téléviseur, zappant d’une chaîne à l’autre en laissant vagabonder mes pensées vers quelques fantasmes érotiques envers cette proie qui s’offre à moi. N’entendant plus de bruit hormis quelques clapotis sur l’eau, je regarde depuis le canapé vers la salle-de-bains dont la porte est restée ouverte, et je vois une jambe ou un genou qui dépasse de la surface de l’eau, rien d’autre. Je me lève et m’avance vers Denise immergée jusqu’au cou, ses deux grosses mamelles flottent sur l’eau. Je plonge la main et pelote ses seins.
C’est un moment très attendu pour moi, lorsque Denise se penche pour nettoyer la baignoire. Elle exhibe ses fesses et sa chatte rasée comme la croupe d’une vache qui lève la queue pour pisser. C’est toujours l’image qui passe dans ma tête et je ne résiste pas à venir l’attraper par les hanches pour enfourner ma bite dans la chatte qu’elle me présente.
Aussitôt dit, aussitôt fait, et nous nous dirigeons vers le lit douillet pour nos ébats amoureux. Je positionne Denise face à l’armoire, de façon à suivre mes va-et-vient en direct dans la glace. J’adore voir ses nichons se balader aux rythmes des coups de boutoir de mon sexe dans son vagin. Mon éjaculation n’est pas longue à venir avec tous les films que je me suis faits auparavant pour faire grandir mon désir. Il n’y a pas plus de 9 heures depuis mon premier quart-temps, ce midi, avec Christine, et déjà trois réussites.
∞∞∞∞∞
La nuit est calme et sage avec Denise. Ce matin je travaille sur Paris, de façon à être disponible à l’heure du déjeuner, car j’ai arrangé un rendez-vous avec Marguerite pour le dernier quart-temps prévu dans mon scénario.
Marguerite est une amie de Denise. C’est une femme de 66 ans, très bien conservée avec des cheveux poivre et sel, toujours coquette, petite, un peu rondelette sans être grosse. C’est une ancienne coiffeuse et, outre ses jolis cheveux toujours bien coiffés, elle a la classe et la culture des dames du monde. J’aime beaucoup la côtoyer depuis que nous avons été mis en relation, par hasard. Ce midi, elle m’attend pour déjeuner, mais elle sait ce qui va se passer car malgré son âge, elle n’est pas en reste pour la bagatelle.
À midi, je sonne à l’interphone de son immeuble.
Par l’ascenseur, je grimpe au dixième étage et je retrouve Marguerite toute jolie, légèrement maquillée avec du fond de teint et un peu de rouge aux joues et aux lèvres. Sa mise en plis est fraîchement refaite, elle porte une robe droite bleu foncé avec un parement blanc en V sur la poitrine.
Nous allons vers la chambre où le lit est préparé. La pièce est inondée de lumière en cette belle journée d’été, et par la fenêtre ouverte j’aperçois un ciel bleu sans nuage.
Je m’assois sur le lit, Marguerite me tourne le dos et je descends tout doucement la fermeture de sa robe. Puis, je dégage ses épaules pour laisser tomber la robe jusqu’aux hanches. Avec mes mains baladeuses, je caresse ses petits seins prisonniers du soutien-gorge, puis en libérant les hanches de la pièce de tissu, je descends les mains vers les cuisses à la rencontre des jarretelles qui retiennent des bas couleur vison doré.
Je vérifie que les quatre jarretelles sont bien en place et je m’y attarde quelques instants. Puis je passe sous la combinaison bleu-pastel et je remonte vers la culotte. Je passe mes doigts dans l’élastique et je la descends d’abord au milieu des cuisses puis jusqu’aux chevilles où elle rejoint la robe aux pieds de Marguerite. Je caresse sa chatte poilue, osant un doigt vers l’intérieur à la recherche du clitoris bien encapuchonné dans la vulve. Marguerite me serre dans ses bras et nos lèvres se rencontrent pour un long baiser langoureux. En reprenant nos esprits, Marguerite me dit :
Je jette un coup d’œil sur le réveil posé sur la table de nuit, il est tout juste 12 h 30… Mon objectif personnel est en passe de réussir avec quatre femmes en moins de 24 heures pour mes quarante ans.
Je décide de prendre Marguerite en 69 pour un cunnilingus très visuel. Elle n’hésite pas à me sucer la queue pendant que je plonge dans l’entrejambe, léchant sa chatte odorante de foutre, à la recherche du clitoris que je décalotte pour titiller le bouton du plaisir.
Pour sa part, Marguerite a vraiment un don au-delà de me sucer. Avec sa main, elle serre ma verge sous le prépuce et lorsqu’elle descend ou remonte la peau, elle passe sur le frein et sa main douce m’excite au plus haut point, à la limite de la jouissance. Ne souhaitant pas en arriver là si vite, je concentre mes pensées ailleurs, vers le ciel bleu à l’extérieur de l’appartement où un avion trace sa route d’une traînée blanche.
Jugeant que ces préliminaires ont assez duré, j’invite Marguerite à se tourner sur le côté et je m’allonge contre elle pour introduire ma verge dans son vagin lubrifié. Dans la glace de l’armoire, je vois le corps dénudé de Marguerite avec ses petits seins que je presse comme des oranges. Je commence mes va-et-vient, lentement pour retarder mon plaisir. Au bout de quelques minutes, Marguerite ouvre les jambes et d’une main commence à se caresser le clitoris. Je ne lui ai rien demandé, elle fait ce geste d’elle-même, laissant aller son désir. Quelques minutes plus tard, son corps n’est plus indifférent à sa masturbation. Elle entre en transe, provoquant mon éjaculation que je ne peux plus retenir. Je regrette qu’elle soit venue si tôt, empêchant probablement Marguerite d’atteindre l’orgasme.
Nous restons ainsi enlacés l’un dans l’autre pendant plusieurs dizaines de minutes. Je crois même que nous nous sommes assoupis quelques minutes. De toutes les femmes de mon entourage à cette époque, Marguerite est probablement celle qui me donne le plus de plaisir et pour qui j’ai le plus de désir.
Il est presque 13 heures lorsque nous passons par la salle-de-bain, prélude au déjeuner que je veux plein de tendresse et d’affection pour cet amour improbable mais réel.
∞∞∞∞∞
● Faire l’amour dans la voiture,
● Être prise sur une table,
● Saisie en levrette comme un animal,
● Ou bien, en 69 dans un lit.
Maryse n’hésite pas pour me répondre :
∞∞∞∞∞