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Temps de lecture estimé : 13 mn
02/04/12
Résumé:  Un professeur d'université, troublé par son étudiant, décide de le séduire.
Critères:  hh hbi hplusag jeunes profélève douche intermast anulingus hdanus hsodo init -inithh -h+prof
Auteur : Hamon      

Série : Le professeur et l'étudiant

Chapitre 01
Le professeur et l'étudiant

Je consulte votre site de temps en temps depuis quelques années sans avoir jamais pensé y publier une histoire. Pourtant, l’aventure qui m’est arrivée l’année dernière, et qui continue par intermittence cette année, m’a incité à franchir le pas, sans doute poussé par ce désir d’exhiber mon plaisir, mon trouble, et celui de mon jeune amant.








Mon histoire a donc commencé à l’automne 2010, et s’est développée peu à peu jusqu’au passage à l’acte, en mai 2011. J’ai la cinquantaine sportive, je suis mince, environ soixante-quinze kilos, je mesure un mètre quatre-vingts, mes cheveux sont très courts, presque rasés pour cacher une calvitie. Mon allure professionnelle oscille entre le BCBG et le look bobo. Je suis divorcé depuis quelques années, j’ai deux enfants que je vois très régulièrement, et je suis bisexuel depuis très longtemps. Mon milieu me permet de naviguer assez facilement entre les amantes et les amants. Je suis professeur de littérature dans une université parisienne.


En octobre 2010, j’ai commencé à diriger plusieurs travaux de recherche avec une petite dizaine d’étudiants. Ces projets ne sont pas très élaborés, ils sont surtout le moyen d’évaluer les capacités de chercheurs des étudiants. L’un d’eux, Nicolas, avait décidé de travailler sur le personnage de Charlus dans « La recherche du temps perdu ». Au début, je ne le rencontrais qu’une ou deux fois par mois sans faire plus attention à lui qu’à mes autres étudiants. Peu à peu cependant, son projet a tourné autour de l’homosexualité et de ses codes au début du XXe siècle. C’est alors qu’il a commencé à m’intéresser, notamment parce que je percevais chez lui le trouble diffus que procuraient ses lectures et ses découvertes. Visiblement, ce projet devenait aussi une recherche sur sa propre identité, une exploration de ses désirs. Pour ma part, j’étais moi aussi troublé devant son désarroi. Il était plutôt joli garçon, assez grand, mince, avec des cheveux noirs, des yeux bleu-vert cerclés par de petites lunettes métalliques et ovales. Il devait avoir vingt-deux ou vingt-trois ans. Je l’apercevais quelquefois dans les couloirs de la fac avec une fille qui avait l’air d’être sa petite amie.


Vers mars, nos réunions sont devenues hebdomadaires. Je le poussais dans ses recherches, l’engageais dans des lectures que je savais toujours plus troublantes pour lui. Lors de nos rencontres, je lui demandais de me lire à haute voix les passages les plus explicites, nous les analysions ensemble. Il y avait quelquefois de longs silences, je le voyais rougir devant mes questions. À aucun moment, nous ne sortions strictement du cadre universitaire, de la relation professeur/étudiant, mais nous nous retrouvions souvent dans une zone toujours plus ambiguë, pleine de doubles-sens qui m’excitaient de plus en plus. Son projet de départ avait fortement évolué, je lui avais fait lire Gide, Cocteau, Genet, sous le prétexte de lui donner un corpus plus solide. À chaque fois, je le sentais perdre davantage ses certitudes d’hétérosexuel.


Vers la mi-mai, le sentant mûr pour passer à l’acte, et voyant arriver la fin de l’année universitaire, j’ai décidé qu’il était temps de l’aider à vaincre ses dernières réticences, et de le séduire. J’avais passé le printemps dans un état de toujours plus grande tension érotique, et je ne voulais pas voir tout mon travail d’approche anéanti par les vacances d’été.


J’avais annulé à la dernière minute, et par dessein, notre réunion hebdomadaire dans mon bureau, en lui proposant en échange cependant de le rencontrer dans mon appartement le jour suivant, ce qui était tout à fait logique puisque son projet avançait, et qu’il devait très bientôt me soumettre un premier brouillon. Il est donc arrivé chez moi le lendemain vers quatorze heures. En entrant, je pouvais constater avec plaisir sa gêne et sa timidité, et sa surprise de me voir habillé en jean, en polo et pieds nus, lui qui m’avait toujours vu dans la tenue « officielle » du professeur. Je l’ai fait s’asseoir sur le grand canapé de mon salon, et je lui ai proposé du café qu’il a tout de suite accepté. Je suis revenu ensuite de la cuisine avec deux tasses, je me suis assis près de lui, à sa gauche, et nous avons commencé à parler.



Je me levai, et allai chercher le livre en question que je posai sur la table basse. Je l’ouvris devant lui en m’arrêtant plus longtemps sur certaines pages, commentant les croquis qui mettaient en scène des éphèbes nus allongés impudiquement avec des sexes démesurés et des testicules poilus et pendants. Certains dessins montraient des hommes en train de se masturber mutuellement, se sucer, ou faire l’amour dans des positions toujours plus lascives. Cocteau était particulièrement talentueux pour montrer l’égarement des esprits et les plaisirs des corps. En tournant chaque page, j’observais du coin de l’œil les réactions de Nicolas, ses surprises devant chaque nouvelle position. Ses joues avaient rougi, il se raclait régulièrement la gorge, et il me semblait que son entrejambe avait enflé sous son pantalon.



Et je continuai, inquisiteur, poussant mon avantage :



Tout en parlant, j’avais posé ma main sur sa cuisse dans un geste qui pouvait encore se prétendre professoral, ou amical. Je sentais sous mes doigts la fermeté de ses muscles qui me troublait toujours plus. Et puis je continuai :



À ce moment précis, je dois dire que j’étais moi-même sur le point de perdre mes moyens de professeur, je ne savais plus vraiment ce que je disais. Il était là, près de moi, désemparé.



D’une main posée sur son épaule gauche, je le poussai doucement à s’étendre contre le dossier du canapé. Il était à présent presqu’allongé, les yeux à demi fermés, le souffle court.


Je décidai alors de le faire basculer.


Pendant que ma main droite lui massait la poitrine tout en le maintenant allongé, ma main gauche lui caressait la cuisse, et se rapprochait peu à peu de son entrejambe. Je pouvais deviner sous l’étoffe que son sexe était à demi-bandé. N’y tenant plus, j’ai posé ma main sur sa bite. Il s’est alors abandonné dans un soupir. J’ai su alors qu’il était à moi, qu’il allait être ma chose.



Mes mains ont exploré pendant un court instant son corps à travers ses vêtements, comme pour en prendre possession, m’assurer de sa docilité. Puis, j’ai entrepris de déboutonner son pantalon, d’ouvrir sa braguette, et j’ai commencé à fouiller son caleçon. J’ai senti sa bite, toute chaude, roulant et vibrant de plaisir à se faire toucher pour la première fois par un homme. Nicolas poussait des soupirs plus longs et plus profonds. Je le regardai se mordre les lèvres. J’ai eu peur un instant qu’il n’aille jouir tout de suite.



Visiblement, il était trop à l’étroit dans son caleçon que je fis glisser avec son pantalon jusqu’à mi-cuisse. J’eus alors le souffle littéralement coupé devant la scène qui s’offrait à moi, ce mélange de pudeur et d’impudeur. J’étais particulièrement surpris par le contraste entre la finesse de ses traits, de son corps, et la quasi rusticité de sa bite : elle était grosse, longue, veineuse, luisante, et à demi décalottée par mes caresses précédentes. J’entrepris de la caresser de nouveau, d’abord du bout des doigts, descendant le long de la hampe jusqu’aux couilles que je pris dans mes mains, puis je tirai doucement sur le prépuce pour dénuder complètement son gland violacé, et j’ai commencé à le masturber. Pendant tout ce temps, la respiration de Nicolas s’était muée en une succession de soupirs irréguliers, sentant qu’il allait jouir, j’ai arrêté mes caresses.



Il enleva maladroitement et rapidement ses vêtements pour se retrouver complètement nu, assis près de moi. J’approchai, tremblant, mes lèvres de son cou que j’effleurai, que je butinai, et je lui chuchotai à l’oreille, pendant que mes mains avaient repris possession de son corps :



À ces mots, je guidai sa main vers la bosse de mon jean et l’incitai à me caresser. Il était d’abord hésitant, puis ses mouvements se firent plus insistants. Il prenait visiblement de l’assurance, et du plaisir à toucher la bite de son prof.



Fébrilement, il enleva mes vêtements. Nous étions nus, nos deux sexes bandés. Je prenais autant de plaisir à le regarder qu’à m’exposer à lui, fier d’exhiber ouvertement mon désir pour lui. Moins timide, il avait recommencé à me caresser. C’est moi désormais qui soupirais sous l’effet de ses phalanges qui me branlaient avec de plus en plus d’assurance. J’avais pour ma part repris mes baisers dans son cou, remontant jusqu’à ses lèvres pour finalement l’embrasser. Il me donna sans plus aucune pudeur sa bouche, sa langue qui tournoyait autour de la mienne. Il continuait à me branler, je lui caressai les couilles, écartant ses cuisses, mes doigts explorèrent ses fesses, trouvèrent son anus, que je massai doucement, sans chercher encore à le pénétrer. Il ne put retenir un profond gémissement que je sentis échapper sur mes lèvres. Mais le désir était trop fort, ses mains devenues expertes allaient bientôt me faire jouir, comme je ne voulais pas jouir si tôt, je m’allongeai un instant sur le dos pour reprendre mes esprits. Il continuait cependant à me branler. Je le regardais faire, il fixait avec fascination ma bite.



À ces mots, il se glissa entre mes cuisses, à genoux par terre, et commença à m’embrasser les cuisses et le bas du ventre. Le guidant de mes mains sur ses cheveux, je l’attirai vers mon pénis en le dirigeant aussi de la voix :



Il m’a sucé pendant quelques minutes, jouant avec ma bite, léchant, suçant mon gland et mon sexe avec une expertise lubrique, vicieuse. Mon étudiant timide se laissait désormais aller à toutes ses pulsions, sans aucune retenue. Finalement, je me suis relevé, nous nous sommes de nouveau embrassés, et je l’ai allongé sur le dos en travers du canapé. À genoux entre ses cuisses, j’ai caressé sa bite avec la mienne, frottant nos deux glands l’un contre l’autre. Caresse qui déchargeait de véritables décharges électriques à travers nos corps. Nos respirations, nos presque grognements se répandaient dans la pièce. Un de ses bras était replié sous sa tête, son autre main me caressait la hanche, et il me gémissait, complètement offert :



J’entrepris ensuite d’unir nos deux sexes et de les masturber dans un même mouvement, puis je ralentis et l’embrassai de nouveau. Ces nouveaux baisers étaient plus tendres et plus profonds encore, il se donnait complètement, enroulant ses jambes et ses cuisses autour de mes fesses et mon dos. Mes lèvres descendirent ensuite sur son cou, sa poitrine, léchant et mordillant un instant ses tétons, une caresse qui le surprit. Comme je lui embrassai le ventre, je sentis contre mon cou sa bite palpiter. Je la pris alors dans mes mains, et je me mis à le sucer. Un long gémissement est sorti du fond de sa gorge, ses hanches ondulaient, il semblait vouloir se relever, mais je le maintenais allongé d’une main sur sa poitrine, ses muscles se tendaient, il poussait à présent des petits cris impudiques, et je continuais à caresser sa bite avec mes lèvres et ma langue, sentant sa jouissance monter inexorablement, du plus profond de lui-même. Il s’est tendu une dernière fois, ses doigts se sont crispés sur mon crâne, et il a éjaculé sur mes lèvres, son ventre, sa poitrine, le tissu du canapé, en poussant des grognements de barbare, de longues giclées suivies de spasmes profonds.


Nous sommes ensuite restés de longues minutes allongés l’un à côté de l’autre, hébétés, épuisés, nus et gluants de tout son sperme. Je lui ai offert un verre de jus d’orange, et je lui ai proposé ensuite de prendre une douche pour nous nettoyer. Je n’avais toujours pas joui et je bandais encore. Sous la douche, tout en passant le savon sur mon corps, il commença à me masturber, me lécher le cou, la poitrine et le ventre, et sans un mot, il me fit une autre fellation, à genoux devant moi. Mais je voulais désormais plus que sa bouche, je le relevai, l’embrassai goulûment, et entrepris à mon tour de le laver. La savonnette rendait plus aisé l’exploration des replis de son corps, elle s’introduisait facilement dans la raie de ses fesses, flattait son anus, caressait ses couilles et sa bite. Avantage de ses vingt-deux ans, il bandait de nouveau, j’étais émerveillé ! Ne pouvant résister plus longtemps, je lui dis crûment :



Nous nous sommes séchés rapidement, et je l’ai entraîné dans ma chambre en tenant dans ma main sa queue tendue vers le plafond. Je l’ai allongé sur le dos, et j’ai entrepris de sucer sa belle bite. Cette fois-ci, il semblait plus maître de lui et de son plaisir. Son sexe veineux palpitait dans ma bouche et sous ma langue sans donner cependant les signes d’une jouissance proche. Nicolas perdit cette assurance quand, d’une geste autoritaire, je relevai ses cuisses contre son ventre, exposant sa plus tendre intimité, et que ma langue commença à explorer, à lécher son périnée, son anus. Il laissa échapper un soupir de surprise et de plaisir. Il releva de lui-même les cuisses pour s’exposer davantage à cette nouvelle caresse en laissant échapper de nouveaux petits gémissements.



Je continuai encore plusieurs minutes, léchant profondément désormais toute la raie de ses fesses, m’attardant quelques fois sur ses couilles et sa bite, toujours bandée. Puis je me relevai rapidement pour prendre du gel et je me mis à sa grande surprise à quatre pattes sur lui, ma bite et mes couilles à hauteur de son visage.



J’avais levé ses jambes en l’air, si bien que son anus était complètement exposé. J’enduisis son petit trou de gel. Mon index commença par titiller doucement son anus, peu à peu, je le pénétrai du bout du doigt, guettant sa réaction, puis j’enfonçai une phalange, puis deux. Je le sentais respirer et gémir sur ma bite et mes couilles.



Pendant qu’il me parlait, je lui avais mis deux doigts dans le cul et j’allais et venais profondément. Comme pour se soustraire au plaisir et à la douleur, il se mit à me sucer la bite et à me lécher les couilles et le cul de manière désordonnée, comme une petite salope. Je l’encourageai :



Finalement, n’y tenant plus, je me dégageai, lui plaçai un oreiller sous le dos pour le cambrer au maximum, lui écartai bien les jambes, et approchai mon sexe de ses fesses.



Hors de moi, la tête en feu, il commençait à savoir ce qui m’excitait ce petit vicieux, je pressai mon gland contre son anus. Malgré la préparation de mes doigts, il était toujours assez étroit, et résista quelques instants à mes assauts puis, en forçant, mon gland passa la barrière du sphincter. Nicolas poussa un cri où se mélangeaient la douleur et le plaisir. J’arrêtai de bouger quelques secondes pour le laisser reprendre son souffle, mais tout de suite après, il écarta davantage les cuisses, relevant ses genoux sur sa poitrine, il me regarda dans les yeux, beaux comme une madone, toujours égaré entre la douleur et le plaisir :



Je le saisis alors par les hanches, et m’enfonçai profondément en lui. Son cul était étroit autour de ma bite, il était brûlant, je pouvais sentir ses muqueuses annelées contre mon gland et ses couilles contre mon ventre, c’était délicieusement pervers. Il gémissait sans retenu, grognait, criait, il m’attirait à lui en me tenant par les fesses, me regardait droit dans les yeux, non pas par défi, mais pour se donner encore plus complètement.



Il se retourna rapidement, m’offrit ses fesses en se cambrant au maximum. Cette fois-ci, je n’eus aucun mal à le pénétrer. Je le tenais des deux mains et je le prenais complètement en de puissants va-et-vient. Complètement délirant, il m’encourageait entre deux grognements :



Je le voyais qui se masturbait plus frénétiquement, il se cambrait plus, ondulait davantage sur ma bite, et comme foudroyé, il se mit à jouir dans un cri de soulagement douloureux. Je sentis tout autour de ma bite les spasmes de son éjaculation, son sphincter se comprimait à la base de mon sexe. Je sentais venir aussi en moi cette jouissance qui venait de le terrasser, j’accélérai mes va-et-vient. Ma bite était en feu :



À ces mots, Nicolas avait commencé à caresser mes couilles velues, à les prendre à pleine main pour m’attirer en lui encore davantage :



J’éjaculai alors à gros bouillons au plus profond de son cul, agité par des tremblements dans tout le corps, retenant Nicolas le plus longtemps possible par les hanches alors qu’il me pressait toujours les couilles comme pour en extraire le maximum de sperme. Nous nous sommes ensuite étendus sur le lit, en sueur, épuisés après ce qui avait été un des moments les plus intenses de notre vie érotique à tous les deux, et bien décidés à recommencer.




Nicolas est toujours mon étudiant, et il est toujours avec sa petite amie, mais nous nous voyons régulièrement chez moi pour explorer toutes les complexités de l’homosexualité masculine.