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n° 14903Fiche technique17964 caractères17964
Temps de lecture estimé : 11 mn
08/04/12
Résumé:  Après un incident technique, je me retrouve avec une érection permanente qui va bouleverser ma vie. Voici mes aventures.
Critères:  h fh médical fellation pénétratio humour -humour
Auteur : Jean57            Envoi mini-message

Série : Les aventures de Barre d'Acier

Chapitre 01
Chapitre 1 - La piqûre

Tom-la-punaise court comme un fou sur le tronc du cerisier. Il a entendu dire qu’une centaine de ses congénères participent à une orgie monstre au sommet d’une des branches. Poussé par l’excitation montante qui l’habite et guidé par les odeurs, il se précipite à toute allure vers le groupe. La situation originale lui donne encore plus d’énergie pour grimper. Il a toujours aimé les circonstances peu banales. L’accouplement au soleil, c’est bon pour la punaise commune, mais lui a besoin de davantage. Et quoi de plus excitant qu’une nuit chaude, orageuse et éclairée par intermittence par les éclairs.

Enfin, il aperçoit le tas en train de forniquer. Il s’élance et saute sur la masse, prêt à prendre le premier partenaire qui se présente, son désir décuplé par les effluves environnants.


Le tonnerre se fait entendre de plus en plus, pendant que Tom-la-punaise, à la recherche de l’extase, perfore de son sexe sa première victime. Puis soudain la foudre s’abat sur le cerisier. Tom, électrisé, se retrouve propulsé dans les airs. Pour éviter la chute, il déploie ce qui lui sert d’ailes et, porté par le vent, il vient heurter un mur.


Il s’accroche à celui-ci et se met à parcourir la surface en courant en tous sens, toujours sous l’effet de l’excitation récente. Il trouve enfin un trou et il s’y engouffre. Après plusieurs minutes à courir dans le noir il sent quelque chose qu’il décide de longer. Il suit en fait un câble électrique et il accélère parce des picotements lui agacent le bout des pattes. Il flaire finalement de l’air et aperçoit une légère lueur mais, avant qu’il ne puisse réagir, il tombe. Pas le temps de déployer ses ailes qu’il atteint déjà une masse douce et molle. Il recommence alors sa course, excité par une nouvelle odeur. Dans le noir, il se hâte à la recherche de sa victime sexuelle. Il est arrivé, il en est sûr. L’odeur vient de là, l’excitation est à son comble. Il touche une matière molle sous ses pattes, c’est là qu’il doit piquer, il en est certain. Avec précipitation, il plante son sexe dans cette chose toute molle.




Je me réveille soudain à cause d’une douleur vive. Je sursaute hors du lit en soulevant les draps. Je crie de douleur, les deux mains sur le sexe tout en sautant sur place d’une jambe sur l’autre. J’allume enfin la lumière.



J’aperçois alors une vulgaire punaise qui court par terre. J’attrape ma savate et, d’un coup sec, j’écrase l’insecte.

La douleur est encore là, je vais dans la salle de bain et devant le miroir je découvre dans mon reflet un petit point rouge sur mes bourses. Sans doute la piqûre de ce maudit insecte. Ah, si je ne m’étais pas rasé, sans doute la punaise n’aurait pas pu approcher si près. Je jette un œil au réveil posé sur la tablette au-dessus du lavabo. Une heure du matin. Encore bien tôt. Je bois une gorgée d’eau avant de retourner me coucher en pensant à ma copine. La nuit précédente, j’avais couché avec elle pour la première fois et j’avais été en-dessous de tout, éjaculation en moins de deux minutes. J’avais alors trouvé une excuse bidon pour partir rapidement et honteusement.

Un dernier coup d’œil au radioréveil avant de me rendormir assez facilement.


Deux heures trente du matin, je n’arrête pas de me retourner dans mon lit. Je finis par me réveiller avec une érection terrible. Je me lève et, dans le noir, me dirige vers la salle de bain. Une fois dans la pièce, j’allume la lumière et je découvre avec étonnement dans le miroir mon sexe en érection.


C’est la première fois que mon sexe est aussi grand. Je pose la main dessus et je le sens beaucoup plus dur que d’habitude. Un désir de plus en plus grand m’envahit et je commence lentement à me masturber. L’excitation grandit en même temps que le plaisir monte. Je continue mes mouvements de va-et-vient de plus en plus vite. Je prends même mes deux mains pour bien serrer l’engin et le branler encore plus fort. Je cambre les reins pour bien mettre en avant mon pénis dont l’image dans le miroir m’excite davantage. Après un long moment, je sens la jouissance venir en moi et des frissons me parcourent la colonne. D’un coup, du sperme est propulsé jusqu’à atteindre le haut du miroir. Une seconde giclée toute aussi puissante suit. Puis une autre. Et chose étrange, la jouissance ne se transforme pas en gêne et je continue à me masturber. Je continue encore et encore à éjaculer, prolongeant mon orgasme.


Après des dizaines de giclées, je ne compte plus, je constate que mon sexe est toujours aussi droit, aussi long et aussi dur. Je décide d’arrêter bien que l’envie soit très forte de faire durer le plaisir. Je regarde fièrement ma queue et la complimente verbalement. Je jette un œil à l’heure, plus d’une heure que je me branle et mon pénis ne ramollit pas. Je bénis cette punaise de m’avoir piqué. La fatigue étant là, je retourne me coucher, persuadé que plus rien ne sera comme avant.

J’ai beaucoup de mal à m’endormir mais je finis par trouver le sommeil.


Quand je me réveille, bien plus tard, je constate que mon sexe est toujours en érection. Je me lève et remercie d’un signe l’insecte écrasé sur le sol en passant à côté. Direction la salle de bain. Et là, je constate les dégâts. Le miroir est souillé des coulures de mon sperme, bien au-delà de ce que je pensais. Pas de chance il faut tout nettoyer. Nettoyage forcé, donc. Et il y a du boulot vu la quantité de sperme sur quasiment toute la surface. Un quart d’heure plus tard le miroir est propre et de nouveau l’image de mon sexe en érection m’excite et je recommence à me masturber. Mais cette fois je m’applique à éjaculer dans la cuvette des toilettes. De nouveau la jouissance ne s’arrête pas et c’est de moi-même que je stoppe ma branlette. Pas de bol, il y en a à côté. Nettoyage de nouveau. Une petite douche. J’en profite pour gaiement arroser les murs de mon sperme, je peux nettoyer plus facilement. Une fois terminé, direction la cuisine pour un bon petit déjeuner. Toujours nu et toujours ma queue aussi raide, je me dis que j’ai bien de la chance.


Le petit déjeuner une fois terminé, je me dirige vers les toilettes et là problème : comment faire avec cette raideur ? Complications, difficultés, quelques essais, il y en a partout. De nouveau, me voilà qui nettoie le sol et les murs. Maudit insecte ! Et c’est reparti pour une nouvelle douche avec ce qui va avec.


Dans la matinée, après quelques recherches fructueuses sur internet, je comprends qu’être constamment en érection peut se révéler dangereux. J’envisage alors de consulter un médecin et m’habille. Je constate que, malgré mon jean, il est facile de deviner mon pénis énorme en érection. Je mets un pull-over autour de ma taille pour essayer de masquer mon énorme bosse. Trop chaud dehors pour mettre une veste. Et me voilà parti pour le cabinet médical au bout de la rue.


Arrivé à l’immeuble, j’entre après avoir sonné et je pénètre dans l’ascenseur, le cabinet médical se trouvant au cinquième étage. Au moment où les portes se referment une main s’insère dans l’ouverture pour empêcher la fermeture. Un homme entre dans l’ascenseur en me souriant et en me faisant un clin d’œil. Et merde ! C’est l’homo de l’immeuble. Je l’ai déjà vu plusieurs fois et j’essaie toujours de l’éviter.



Gêné, j’appuie sur le bouton. J’essaie d’éviter son regard mais je sais qu’il m’observe, surtout sous ma ceinture. J’espère qu’il ne remarque pas mon érection, mais il ne faut pas rêver. J’ai chaud et je n’ai jamais trouvé cet ascenseur aussi long. Je suis persuadé qu’il m’examine là où c’est indécent. J’espère qu’au moins, il ne voit pas que je suis tout rouge. L’ascenseur finit par s’immobiliser et les portes s’ouvrent. Enfin libéré, je sors de l’ascenseur. Une main se pose sur mon épaule.



Je me retourne peu rassuré.



Il me met sa carte dans la main me donne une petite tape sur l’entrejambe et retourne dans l’ascenseur en faisant un clin d’œil. Les portes se referment. Je reste comme un con. Pour qui se prend-il celui-là ? C’est pas parce qu’il est grand, brun, musclé et qu’il a les yeux bleus qu’il doit tout se permettre. Je ne mange pas de ce pain-là, moi, monsieur. Je ne marche pas du même côté du trottoir. Non mais ! J’examine la carte. Ainsi il s’appelle Jean. J’ai chaud.


J’enfouis la carte dans ma poche et j’entre dans la salle d’attente. Je suis seul. Je n’aime pas ça. Je sais ce que cela signifie. Mon médecin est en congé et un autre médecin le remplace. C’est incroyable, les remplaçants ont un immense pouvoir : ils arrivent à vider les salles d’attente du seul fait de leur présence.


Je repense au coup de l’ascenseur. S’il croit que je vais monter, il se met la bite dans l’œil. Euh, je veux dire le doigt, bien sûr. De toute façon, je suis certain qu’il en a une toute petite. Un gars bien baraqué comme ça, et si aimable, doit avoir un point faible. Elle doit être toute flasque, bien molle. Dans tous les cas bien moins imposante que la mienne.


La porte s’ouvre sur le remplaçant. Euh… je devrais plutôt dire la remplaçante ou encore la jeune et jolie remplaçante. À peine sort-elle des études. Et zut, c’est gênant. Elle m’invite à la suivre et à prendre place dans son cabinet.



Mon regard se perd, j’observe mes pieds. Comment lui dire. Oh, après tout, elle est bien jeune et j’en sais peut-être plus qu’elle. Aller je me lance, je vais lui sortir ma science, lui montrer tout de suite à quel mec intelligent elle a à faire.



Honte. Me voilà ridiculisé. Je voulais passer pour un intello et maintenant je ne suis qu’un imbécile.



Elle jette rapidement un œil à sa montre.



C’est quoi ces questions à la con ? Bien sûr que c’est une vraie érection. Je m’y connais quand même beaucoup mieux qu’elle.



Non, tu crois ?



Et voilà que j’essaie de me justifier maintenant.



Situation gênante. J’hésite mais je finis par enlever pantalon et slip. Me voilà nu et je remarque tout de suite les yeux de la remplaçante qui pétillent d’excitation à la vue de mon engin. Elle est comme hypnotisée par la chose.



Elle me parle tout en fixant mon sexe. Je m’allonge et elle s’approche. Elle enfile des gants toujours sans quitter des yeux ma queue. Elle commence à palper mes bourses, elle soulève mes testicules, l’un après l’autre. Elle ne remarque pas la piqûre de la punaise. Dois-je lui en parler ? Elle continue son examen par ma tige. J’avoue que je suis gagné par une excitation grandissante.



Elle a parlé sans même me regarder. Je ne réagis pas et elle saisit à pleine main ma queue. Elle commence lentement à la masturber et je la regarde faire avec plaisir. Après un moment elle accélère puis s’aide de sa seconde main. Plus vite les va-et-vient m’amènent bientôt à la jouissance. Le sperme jaillit par saccades abondantes et, tant qu’elle continue, les giclées se succèdent. Elle arrête enfin.



Oh là, c’est quoi ce langage ? Un peu de retenue !



Eh ben, elle se laisse aller la doctoresse. Sans même que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, elle gobe ma queue et commence son travail. Sa langue tourne autour de mon gland puis elle enfonce mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Enfin, elle essaie. Il est vrai que mon engin est assez impressionnant et qu’il n’entre pas entièrement. Elle s’applique à l’astiquer par des mouvements de plus en plus rapides. Je finis par balancer la sauce. Sans rechigner, elle avale tout au début, mais la quantité de sperme devient vite trop importante. Elle arrête finalement la fellation.



Ah ? On se tutoie maintenant ?



En deux temps trois mouvements, elle fait voler sa blouse et ses autres vêtements. La voilà nue devant moi. Je n’en reviens pas. Elle est très jolie avec des seins généreux et très excitants.



Enfin un discours médical. Sans tarder, elle me grimpe dessus et sans que j’aie le temps de dire ouf elle s’assoit sur ma queue. Extraordinaire cette chaleur humide. Sa chatte est serrée ou alors je n’ai pas l’habitude d’avoir une si grosse bite. Elle commence à aller et venir sur ma queue. C’est sûr qu’elle est très excitée et pour l’exciter encore plus, je lui caresse les seins et lui titille les tétons. Ses ahanements de plus en plus rapides prouvent qu’elle s’approche de l’orgasme. Mais c’est moi le premier qui atteint l’orgasme. Où est cette punaise, que je l’embrasse ? Un dernier cri puissant annonce l’orgasme de madame. Après je ne sais combien de giclées de sperme et de soubresauts de ma partenaire, celle-ci s’écroule sur moi, sa bouche près de mon oreille.



Comment connaît-elle mon nom ? J’entends son souffle encore assez rapide. Après quelques minutes, elle semble reprendre ses esprits. Ma queue est toujours bien plantée dans sa chatte. Elle m’embrasse à pleine bouche et étrangement le goût est agréable et légèrement sucré. Mon sperme serait-il sucré ? Elle finit par rompre le baiser.



Elle s’enlève de mon pénis, descend de la table et va s’habiller.



Pendant que je m’habille, elle m’explique les conséquences désastreuses d’une érection prolongée. Elle me rédige une ordonnance puis nous discutons un peu de choses diverses avant qu’elle ne m’accompagne à la porte. Elle ne peut pas s’empêcher de m’embraser et de me caresser un peu le sexe à travers le pantalon.



Et voilà, je me retrouve devant l’ascenseur songeur. Elle m’a excité avec cette histoire de soubrette. En plus, elle a oublié de me faire payer. Machinalement je mets ma main dans ma poche et j’en ressors la carte de visite de Jean. Il peut toujours se brosser celui-là. S’il croit que je vais sonner à sa porte juste à cause de son sourire ravageur et son beau corps musclé. Il rêve ce mec. La porte de l’ascenseur s’ouvre, j’entre, je remets la carte dans ma poche et j’appuie sur le bouton numéro 6.