Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14911Fiche technique17656 caractères17656
Temps de lecture estimé : 11 mn
12/04/12
Résumé:  Voici le récit de Cynthia une jeune femme qui m'a contactée afin que je vous fasse part de son aventure. Suite à son divorce, elle fait connaissance d'un couple d'origine polonaise.
Critères:  fh voisins grossexe grosseins poilu(e)s fsoumise humilié(e) voir fmast fsodo scato confession -voisins -voyeuroca
Auteur : Deborahborah            Envoi mini-message

Série : Cynthia, à contre sens

Chapitre 01
Descente aux enfers

Je m’appelle Cynthia, j’ai 39 ans, je suis native de Rouen, dans le nord. Je suis petite, ronde mais pas trop. Ce qui me caractérise ? Un tempérament de bosseuse. J’ai travaillé comme une dingue à l’école puis par la suite, je suis devenue Directrice Administrative et Financière ainsi que Directrice des Ressources Humaines. J’ai beaucoup galéré au début, en sortant de l’école ,jusqu’à ce que, du côté de Marseille, je décroche un poste où j’ai cumulé les deux fonctions. Je me suis donc vu propulsée au titre de DAF DRH avec un salaire qui en ferait rougir plus d’un d’entre vous. J’ai occupé ce poste pendant près de sept ans. J’y ai passé mes jours, mes nuits, parfois mes week-ends. Mon patron me chouchoutait.


Physiquement, je ne suis pas un top-modèle mais j’ai une énorme paire de seins et un arrière-train plutôt bien fait qui attire les hommes comme la merde attire les mouches. En parlant des hommes justement ! Ne m’en parlez plus. Je les déteste tous, et en particulier mon ex-mari.


Pendant cinq ans, je me suis donnée corps et âme à mon travail. Avec mon patron, le PDG, nous étions souvent ensemble car je lui servais, à l’occasion, de secrétaire particulière. Nous passions de longues journées de recrutement, de rapports, de dossiers, parfois même des soirées et des nuits sans que jamais rien ne se passe. Du professionnel pur et dur.


Puis un jour, tout a basculé, un coup de déprime sûrement ou je ne sais quoi d’autre, nous avons couchés ensemble. Six mois plus tard, on se mariait pour le meilleur et, en ce qui me concerne, surtout pour le pire. Nous nous sommes mariés avec un contrat de mariage qui stipulait bien que rien de ce qui lui appartenait ne m’appartiendrait jamais et vice-versa.


À part quelques belles économies, je n’avais rien de valeur, tout cela me fut bien égal sur le coup. Rapidement, j’ai été trompée, manipulée, aveuglée par l’amour qui me liait à lui. Lui me baladait en me racontant des conneries et moi, bonne poire, je gobais tout sans sourciller. Sexuellement ? Nul ! C’était finalement plus hygiénique qu’autre chose. Mal pourvu et éjaculateur précoce, nos relations ne dépassaient que rarement la quinzaine de minutes, préliminaires compris bien évidemment. Je n’ai jamais été super accroc au sexe et ses turpitudes mais quand même, un minimum s’impose et j’ai supporté tout ça pendant cinq longues années. Puis…



Puis, ma vie a basculé. Un cauchemar incroyable. Le décès de mes parents dans un accident de voiture, suite à un malaise de mon père, m’a complètement bouleversée. Je me retrouvais seule, sans aucune famille. Mon couple vacillait, je me suis dit que peut-être un enfant nous aiderait à nous retrouver. À 35 ans, il était temps. J’avais besoin de quelqu’un à aimer. Il l’a très mal pris, invoquant mon avenir professionnel, mon efficacité, mes absences et j’en passe…


Deux semaines plus tard, un soir, il est rentré en me disant qu’il me quittait, que j’étais virée pour faute professionnelle grave, sans indemnités, que j’avais quinze jours pour quitter l’appartement et qu’en attendant, il irait vivre à l’hôtel, le temps que je trouve un appart. Je suis restée bouche bée, debout dans le salon vêtue de sa nuisette noire préférée, d’un string assorti et d’une paire d’escarpins noirs à hauts talons.


Comme une conne, je l’ai regardé sortir de l’appartement sans moufter, les bras ballants et les seins à l’air. J’ai pris deux somnifères et je suis allée me coucher. Le lendemain, j’ai essayé de le joindre toute la journée en pleurant, le suppliant de me rappeler pour me donner des explications. Deux jours plus tard, je reçus une lettre recommandée me signifiant mon licenciement à effet immédiat. De rage, j’ai téléphoné à mon avocat, puis aux prud’hommes. Résultat des courses, nous nous sommes retrouvés devant un conciliateur, lui n’est pas venu, et ils m’ont expliqué, en gros, qu’il me proposait de me payer pendant un an si je laissais tomber les poursuites, que je risquais de perdre de toute façon.


J’ai essayé de leur dire que je n’avais que ce boulot, qu’il était tout pour moi et qu’il m’allait être difficile de trouver quelque chose d’autre. Rien n’y a fait. En fait, il avait les achetés. J’ai accepté. Mais là où je me suis fait baiser en beauté, pour une fois, c’est qu’il y avait dans mon contrat une clause de non-concurrence de deux ans, d’une valeur de vingt mille euros, j’avais aussi complément oublié dans mon désarroi, qu’il m’avait fait mettre toutes mes économies dans des placements à son nom pour qu’il puisse défiscaliser un maximum. Je me suis retrouvée sans un sous avec un salaire honorable mais que pour douze mois. J’ai trouvé un appart dans un HLM miteux, au loyer très abordable en attendant de trouver du travail.


Pendant six mois, ça a été la grosse déprime. Médecins, psychologues, pharmacie, etc. Je ne sortais pas de chez moi, je fumais, je buvais, je pleurais beaucoup et le maudissais énormément. Puis un jour, je me suis dit qu’il fallait que je trouve du travail. J’ai acheté un ordinateur portable, pris une connexion internet et j’ai commencé à postuler. Il m’a fallu quasiment six mois pour obtenir un entretien. Il m’avait grillé de partout, en me faisant passer pour une hystérique, une voleuse, une magouilleuse. Les vingt mille euros de clause de non-concurrence n’arrangeaient rien à l’affaire pour ceux qui auraient eu la volonté de m’embaucher.


Pour le premier entretien, j’ai voulu remettre mon joli tailleur noir, sauf que… sauf que j’avais pris du poids et que j’ai eu un mal de chien à rentrer dedans. Il me moulait les fesses d’une manière obscène et je ne pouvais quasiment pas fermer la veste et impossible de mettre mon chemisier. Trop tard pour aller faire des courses, obligée d’y aller comme ça. Mon un soutien-gorge balconnet qui, lui aussi, commençait à être trop petit. Car nous les femmes, nous prenons de la poitrine lorsque nous prenons du poids. Comme si j’avais eu besoin de ça. J’ai donc mis mon soutien-gorge à balconnet et par-dessus, uniquement ma veste. Le string assortit puis ma jupe qui moulait tellement mon gros fessier qu’on voyait la marque du string. Que faire ? Ne pas en mettre. Je n’étais pas prête pour ça à l’époque, plutôt paraître ridicule. Je me rends compte que j’ai sans doute eu tort et que j’aurais dû m’en passer. Bref !


Je suis arrivée au rendez-vous. Un homme d’une cinquantaine d’années m’a reçue très gentiment et l’entretien c’est plutôt bien passé. Plus de nouvelles pendant trois mois malgré mes relances. Nouvelle déprime. Mon compte en banque fondait à vue d’œil. Un jour, un coup de fil pour me rencontrer à nouveau. Il m’a proposé d’aller chez lui. J’ai accepté comme une conne, je me suis laissée faire, il m’a baisée. Mal. Je n’ai pas eu le poste.


C’est la première fois que je refaisais l’amour depuis un an. Effet désastreux ! Ma libido était anéantie. Mes nouveaux voisins, un couple d’émigrés polonais que j’entendais gémir de temps en temps au travers de la cloison de nos chambres qui sont juxtaposées, m’agaçaient à m’empêcher de dormir. Surtout elle ! Je me demandais ce qu’il pouvait bien lui faire pour qu’elle gueule comme ça. Je ne pouvais plus la voir, cette grande saucisse plate comme une limande, au teint blafard et à l’accent prononcé. Je la détestais de faire tant de raffut pour si peu, il était, pour moi, inconcevable, qu’on puisse prendre un plaisir aussi bruyant. Ça ne pouvait-être que du cinéma.



Six heures du matin !


Comme tous les matins, c’est ce vieil aspirateur poussif qui fait un bruit de turbine d’avion de chasse qui me réveille. Six heures du mat… Sans rire, ce n’est pas une heure pour se réveiller. Surtout quand on est au chômage. Ils se lèvent tous les jours à la même heure. J’imagine déjà le café chaud de Beledni posé sur la table basse de leur petite salle à manger pendant qu’il regarde la télé confortablement assis sur son fauteuil, et sa femme passant l’aspirateur. Ça fait un boucan terrible ! Les autres voisins ne disent rien et moi la première ! Il faut dire que Beledni est un peu la terreur du quartier.


Mais qu’est-ce qu’ils peuvent bien foutre ? Elle n’en finit pas ce matin !


Je suis sous la couette, elle-même remontée jusqu’aux oreilles, la tête sous l’oreiller, mais rien y fait ! Je ne peux me détacher de ce putain d’aspirateur de merde. Puis soudain un bruit de dispute, des cris ou des pleurs. L’aspirateur tourne toujours mais d’après le vrombissement, il doit être maintenant immobile. Nos appartements forment un angle, pratique pour voir chez les autres et être vu. Depuis la fenêtre de la cuisine, là où je me prépare mon café soluble – c’est moins cher que du vrai et je me suis promis d’acheter du VRAI café dès que j’aurais ENFIN un travail – je vois les deux voisins se disputer une énième fois, Beledni ne fait pas dans la dentelle, il aboie sur sa femme et celle-ci accepte, tête baissée.


Bis repetita…


J’allume la télé… et merde encore des parasites… Je dois avoir un problème de raccordement à l’antenne, mais je n’y comprends vraiment rien… je laisse tomber. Ça fait deux ans que je laisse tomber, depuis mon divorce et mon chômage… Les infos à la radio sont toujours les même. Dans un grésillement, j’entends dans le désordre : la crise, les guerres qui en sont mais dont on ne dit jamais qu’elles en sont, la flambée des prix, l’impunité des puissants, la météo pourrie, le trafic du périphérique bouché comme tous les matins… la gerbe…


Tout cela me donne la nausée. Mais il n’y a pas que ça. Mon mariage raté. Cinq ans de vie de merde. La nausée me monte. Plus même. Sept, depuis la rencontre avec ce connard qui m’a ruiné la vie et que j’ai pourtant essayé d’aimer en vain. Il faut que je vomisse.


Je traverse la cuisine, tourne la poignée des WC… « BLAM ! »



Je regarde autour de moi, non ! Rien.


Les voisins ? Je regarde par la fenêtre vers la porte-fenêtre, celle-ci est grande ouverte, elle a dû claquer à l’envers en s’ouvrant. Mais ?


Irina se tient, enfin, s’accroche comme elle peut, au dossier du canapé, sa robe de chambre remontée sur ses hanches. Son visage est déformé, sa bouche se tord et ses yeux sont perdus dans le vague. Beledni est derrière, il a ouvert son peignoir et la tient fermement par les hanches. Il est en train de la baiser. Putain comme il la secoue, il est fou ce type. Il change de position et se mettent de profil.


Mon Dieu !


Il est monté comme un âne ! Il lui remet à grands coups de gourdin. Il la sodomise le salaud, enfin c’est ce qu’il semble et, vu la tête qu’elle fait, je doute qu’il en soit autrement. Irina crie enfin. Elle pleure de douleur et de plaisir. Je l’entends de ma cuisine où je me suis planquée, je n’ai plus envie de vomir, plus du tout. Mon bas-ventre me rappelle que ça fait des mois et des mois que je n’ai pas fait l’amour et là, d’un seul coup, tout se réveille en moi. Ma chatte s’humidifie, elle me brûle, m’irradie.


Beledni pilonne toujours sa femme. Pilonner c’est le terme. Il ne cherche pas à lui donner du plaisir, c’est évident, il prend SON plaisir. Il la sodomise, comme d’autres planteraient des clous au mur, ou pire frapperaient du poing leur pire ennemi. Elle hurle maintenant, de la bave et des larmes lui coulent du visage et tombent sur l’accoudoir où elle se tient.


Je suis hypnotisée par la queue de Beledni. Elle est énorme, c’est tout juste un concombre. Un concombre avec des poils et deux grosses couilles. La puissance qui s’en dégage est phénoménale, j’ai chaud, j’ai des bouffées de chaleur terrible. Je me sens mouiller et, pour la première fois depuis longtemps, j’ai envie. Ça fait tellement de temps que je n’ai pas eu de plaisir, ce ne sont pas les deux ou trois fois que je me suis fait baiser à la va-vite par des couilles molles qui ont pu assouvir ma faim. Ce moment volé réveille en moi toutes mes frustrations et toutes mes pulsions. Je serre les doigts et essaye d’en faire rentrer trois dans ma chatte, d’une certaine manière je communie avec ma voisine. J’ai envie de me sentir à sa place. Pas dans le cul, non. Je ne l’ai jamais offert à personne. En fait, je ne communie pas… je suis jalouse !


Irina est en pleurs, elle dit des choses à son mari et celui-ci, excédé, la gifle brutalement, puis il lui attrape les cheveux et tire son visage en arrière pour la forcer à se cambrer plus. Elle va casser ! Son corps prend une telle courbure qu’elle va finir par casser. Il intensifie son pilonnage, il lui en met plein le cul. Depuis la cuisine, je peux entendre le « ploc-ploc » que fait sa bite en percutant le trou du cul de sa femme. Je me fouille la chatte, mes jambes tremblent, c’est trop bon. Je synchronise mes mouvements avec ceux de la queue. De plus en plus fort, de plus en plus loin dans ma chatte. Malgré moi, ne voulant rien perdre de ce spectacle abject, je ferme les yeux, trouve une position un peu plus confortable en me redressant et en écartant bien les cuisses. Il risque de me voir. Une forte odeur de cyprine me monte au nez et les pointes de mes gros seins explosent. Beledni sort maintenant complètement sa queue avant de la replanter en entier dans sa femme. Je vois son gland turgescent, énorme, gorgé de sang à en éclater. Sa bite est complètement souillée de sécrétions de sa femme, il lui casse tellement le cul qu’elle ne peut se retenir. Ma main glisse sur le rebord de la table et entraîne ma tasse qui s’explose au sol.


Prise de panique, je m’accroupis comme je peux, le cœur à mille à l’heure.


Beledni m’a vue !


J’ai cru croiser son regard juste un instant, ou peut-être est-ce mon imagination ? L’excitation d’être ainsi découverte fait monter d’un cran mon niveau de plaisir. Je risque un œil ? Il ne m’a pas vu, ouf !


Beledni s’immobilise son visage se crispe, mais pas un son ne sort de sa bouche. Il semble jouir longuement dans le cul de sa femme. Elle, on dirait un pantin désarticulé, une jolie poupée cassée, jetée de trop haut et éclatée au sol.


Il sort entièrement sa queue…


Wow, elle est énorme, on dirait les bites que parfois ont les acteurs pornos. Elle est complètement maculée d’un truc marron. C’est dégueulasse. J’ai un haut-le-cœur. Il ne lâche toujours pas Irina, il la fait se mettre à genoux et lui colle sa queue pleine d’immondices dans la bouche. La pauvre est anesthésiée, même son regard ne se défend plus. Comme une bonne petite femme soumise, elle lui lèche chaque centimètre de peau, elle passe sa langue là où une miction marron et gluante recouvre son phallus et avale tout.


Beurk !


La gerbe me revient encore plus qu’avant. Je n’en peux plus, je ne soutiens plus ce spectacle immonde et fonce cette fois-ci pour de bon aux WC. Ce mec est crade, me dis-je en courant aux toilettes. Je plonge la tête dans la cuvette et vomis trippes et boyaux pendant un long moment.


Je me remets doucement de mes émotions et file à la douche. Malgré moi, je ne peux m’empêcher de revoir la scène. Une fois de plus, mon bas-ventre se remet en ébullition. Je n’ai même pas eu le temps de me finir. Je me caresse passant le jet de la pomme de douche contre mon clito. Ça y est je sens que ça vient. Je me surprends à parler seule à voix haute.



Mes jambes flageolent, j’ai du mal à tenir debout, je m’assois sur le rebord de la baignoire. Il y avait longtemps que je n’avais pas joui de la sorte. Mon dieu !


Toute la journée, je me suis baladée au centre-commercial, errant comme une décérébrée entre les rayons et la galerie-marchande avec cette image qui revient sans cesse. Cette grosse queue qui entre et qui sort du cul de ma voisine. Quelle conne celle-là ! je pouvais déjà pas la voir, mais voilà en plus qu’elle possède une bite de cheval pour son usage personnel. Puis la scène de la pipe finale me revient à l’esprit, la nausée me reprend. J’ai l’impression d’avoir une odeur de merde dans le nez, je vais vomir. J’entre dans une boutique de parfum et rapidement l’ambiance surchargée d’odeur me fait penser à autre chose. C’était moins une…


Je rentre tard me prépare une soupe dans la cuisine et regarde mélancoliquement par la fenêtre qui donne sur le balcon et jette un œil chez mes voisin.


Quelle queue ! Mais mon dieu, quelle queue !