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n° 14915Fiche technique34003 caractères34003
Temps de lecture estimé : 20 mn
16/04/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Elle éclaira l'intérieur du sarcophage, un corps flottait entre deux eaux, imprégné de cette espèce d'huile noire. Je me serais attendu à voir une belle momie bien poussiéreuse, mais pas à ça.
Critères:  fplusag frousses bateau fellation humour aventure québec -humour -aventure
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : La croisière maudite

Chapitre 03 / 06
Le sarcophage

Épisodes précédents : Paul et Marie sont en croisière, et elle lui apprend qu’il y a une momie à bord du navire. Elle veut absolument descendre dans les cales pour filmer ce sarcophage qui doit être livré au British Muséum, mais avant ils prennent un bain et baisent, et Paul, qui devait l’accompagner, s’endort finalement. Tant pis, Marie décide d’y aller seule et rencontre un sosie de Madona, qui la prend, elle, pour le sosie de Marie Lemieux. Amusée, Marie joue le jeu et finit par baiser avec un sosie transsexuel de Lady Gaga. À bord du navire de croisière, une autre personne s’intéresse à la momie, Loric Renoir, un voleur de calibre international. Celui-ci croise Marie par hasard dans un ascenseur, et la prenant lui aussi pour un sosie, lui met la main aux fesses. Bien mauvaise idée.








Le sarcophage




Loric Renoir mit un bon dix minutes à se remettre de ce coup vicieux, après avoir vomi son délicieux homard.



Il se traîna jusqu’à une salle de bains tout près, pour se passer de l’eau au visage et se laver les mains plusieurs fois avant de remettre ses gants de cuir souple, et il reprit sa route dans les profondeurs du navire qui semblait complètement désert. Il descendit des escaliers en suivant son plan, emprunta de nombreuses coursives sans rencontrer âme qui vive, s’emparant d’une hache à incendie au passage, pour entrer finalement dans la cale numéro cinq. Un vaste hangar glacial à peine éclairé, rempli de caisses, de conteneurs et même de véhicules solidement ancrés au sol par de grosses chaînes.


Les puissants moteurs diesel du navire faisaient vibrer le plancher sous ses pieds. Il referma la porte étanche derrière lui et consulta son plan à nouveau, s’éclairant de sa mini-lampe LED, à l’affût du moindre bruit. Cinq minutes plus tard, il trouva le conteneur qu’il cherchait. Celui-ci était barré par un gros cadenas qu’il crocheta rapidement sans l’abîmer, et il ouvrit la lourde porte qui grinça méchamment. Il éclaira l’intérieur et ce qu’il aperçut le déçut terriblement. Il ne s’attendait pas à voir un sarcophage de cuivre étincelant, mais là…


Évidemment, le cuivre s’était oxydé et avait pris une jolie couleur verte au fil de temps, mais en plus, dû à ses séjours au fond de l’océan, il était recouvert de mollusques de toutes sortes, de coquillages, d’étoiles de mer et même de corail, et ça empestait la mer. Comme prévu, un échafaudage de bois maintenait le sarcophage en place, il en démantela une partie avec la hache pour pouvoir l’ouvrir, ce qui lui prit dix bonnes minutes, mais sans rien briser, car il avait l’intention de tout remettre en place. Personne ne s’apercevrait du vol avant que le sarcophage ne soit au British Muséum et même là, personne ne pourrait dire s’il avait été vandalisé un siècle ou deux plus tôt, ou pendant ce voyage. Loric avait songé à apporter des outils de cambrioleur qui dataient du XIXe siècle, comme toujours, il avait pensé à tout. Il savait qu’un tas d’analyses seraient pratiquées par le musée, et peut-être la police, s’ils soupçonnaient un vol, mais ça, il en doutait. Il ne laisserait aucune trace de son passage. Puis, sans plus attendre, il sortit sa trousse à outils et se mit à l’ouvrage, ruisselant de sueur malgré l’air froid qui régnait dans la cale silencieuse.




Il avait enfilé une salopette, un chaud manteau usé et avait une casquette du navire sur son crâne chauve. Marie lui donnait seize ou dix-sept ans, pas tellement plus, et espérait pour lui qu’il ne regrette jamais tous ces tatouages. Mais elle le trouvait très sympathique, pas le genre imbu de lui-même, et une fois habituée à son look étrange, plutôt mignon. Mais elle n’arrivait toujours pas à croire qu’elle avait accepté aussi vite de lui faire une pipe, ça, ce n’était pas elle du tout, et cela l’excitait en plus. « Le vin, probablement », se dit-elle.



Marie sourit d’entendre ça.



Marie imita le geste de masturber un gars en rougissant un peu, lui aussi d’ailleurs, elle trouva ça cute.



« Ce jeune-là est un vrai fan de moi », se dit-elle.



Marie sentit une vague de chaleur la traverser en réfléchissant rapidement.



Un silence et :



Décidément Marie aimait ce petit jeune, et décidément son cul faisait fureur ce soir.



Marie commençait à l’apprécier le jeune.



Marie se contenta de sourire, embarrassée, elle ne se souvenait pas de ça. Elle détestait se regarder à la télé. Les portes s’ouvrirent. Marie ne fut pas surprise de voir que le gars qui lui avait pris les fesses avait été malade.



La salle de bains n’était pas luxueuse, mais propre, Skull l’amena dans l’une des trois cabines, Marie abaissa le couvercle de la cuvette et s’y assit, troublée, jambes écartées. Il tourna sa casquette à l’envers et ne fit que sortir sa bite et ses couilles en se branlant sous son nez, les yeux luisants. Stupéfaite, Marie vit que, là aussi, des tas de petits os avaient été tatoués, même sur les testicules sans poils.



Il décalotta son gland, même là c’était tatoué. Marie, encore une fois, se mit à saliver devant une bite et sentit des frétillements dans son bas-ventre.



Elle lui sourit en détachant son manteau sans hésiter, se contentant de l’ouvrir, et comme tout à l’heure elle remonta simplement son chandail et son soutien-gorge. Ses seins tombèrent en se balançant mollement, Skull déglutit en les fixant. Elle sentit aussitôt ses mamelons s’iriser à cause de l’air froid, mais aussi parce que cela l’excitait. Elle avait envie de faire plaisir à son fan, mais « pauvre lui » se dit-elle, « il ne saura jamais qu’il a vu les seins de la vraie Marie Lemieux, finalement, et qu’elle l’a même sucé. »



Elle plissa les yeux en sentant les mains chaudes qui ressemblaient à des mains de squelette lui presser les seins, les plaquer ensemble, les soulever, lui caresser les mamelons avec les pouces tout en douceur, ils doublèrent de volume et ça la chatouilla agréablement. Elle agrippa sa bite pour le masturber, la sentant enfler sous ses doigts, une bouffée de chaleur lui monta aussitôt aux joues. Elle se sentit toute chaude et prête à lui faire sa pipe même si, sur le coup, elle avait envie de beaucoup plus. Elle mouillait terriblement, encore une fois.



Marie sourit en se penchant vers lui sans lâcher son pénis bandé dur, en repoussant son sac sur ses reins. « C’est ma soirée pipe », pensa-t-elle.


Elle agrippa le phallus et les couilles, bien plus petites que celles de Lady Gaga, et le branla un peu pour le faire bander encore plus dur, avant de l’avaler au complet et facilement. Skull plissa les yeux de plaisir en lui posant les mains sur la tête.



Marie paniqua en ressortant la bite de sa bouche.



Elle le ravala en salivant et recommença à donner de la tête, sentant son cœur battre plus vite et ses seins lourds se balancer.




Ouvrir ce damné sarcophage lui prit beaucoup plus de temps que ce qu’il prévoyait. Il dut briser la serrure à clef qui le barrait avec un vieux burin et un marteau, pas le choix, le mécanisme intérieur était bien plus complexe pour l’époque que ce qu’il avait déjà connu. Mais au bout d’une bonne heure de travail, il put enfin soulever le couvercle et il se figea d’effroi. Un corps momifié flottait, mais à peine, dans un liquide ressemblant à du goudron à l’odeur fétide. Le corps nu avait fini par devenir tout aussi noir. Il grimaça de dégoût devant ce bain de bactéries, et eut un haut le cœur même s’il savait un peu à quoi s’attendre d’après les renseignements qu’il avait. Il allait changer ses gants de cuir contre de longs gants de caoutchouc quand soudain…




J’ouvris les yeux, réalisant que je m’étais endormi. Merde ! Plus de Marie, plus de caméra, et mon sac avait disparu. Je compris vite qu’elle devait être à la recherche de sa momie. Inquiet pour elle, je m’habillai chaudement et sortit prendre l’ascenseur pour me mettre à la recherche de ces maudites cales. En sortant au tout dernier niveau, je vis que quelqu’un avait été malade ici. Je passai devant une salle de bains d’où provenaient des gémissements et des murmures évocateurs, ceux d’un gars qui se fait tailler une pipe. Quelqu’un s’éclatait là-dedans.




Marie salivait de plus en plus, ça débordait de sa bouche pour couler sur son menton puis ses seins et elle s’en foutait. Mains sur les cuisses du crâne, elle le laissait se mettre dans sa bouche, se contentant d’agiter la langue. Elle mouillait toujours et du sperme coulait de son vagin dans sa petite culotte, pas beaucoup heureusement, mais c’était désagréable comme sensation et elle n’y pouvait rien pour le moment.


Elle n’avait jamais rechigné à sucer un homme, même qu’elle aimait cela depuis son adolescence. Chaque fois qu’elle posait la main sur une bite ça l’allumait, comme elle se tenait toujours avec des garçons plus jeunes, elle avait commencé tôt. Elle se demandait parfois si ses amis d’enfance se vantaient de s’être fait sucer par elle, sûrement.


Elle avait hâte de voir le sarcophage, enfin si elle pouvait, mais elle était aussi contente de faire plaisir au jeune qui avait un fix sur elle. C’était plutôt flatteur à l’âge qu’il avait, et faire ça dans une toilette publique lui rappelait sa jeunesse, surtout son cégep. La pointe de ses seins était si dure que ça lui faisait presque mal à présent. Elle réprima une forte envie de se lever et de baisser son jean pour se faire mettre à nouveau. Mais elle ne voulait pas brûler sa couverture.


Soudain, sortant de ses pensées, elle réalisa que le jeune allait venir. Skull accéléra, bouche entrouverte et gémissant plus fort. Marie referma une main sur la bite, gardant le gland sur sa langue, et le pompa avec force, il jouit, dents serrées, en grognant, un jet puissant de sperme salé lui arrosa le palais et lui remplit la bouche, suivit aussitôt par un autre et encore un. Elle avala rapidement le foutre liquide jusqu’à la dernière goutte et le suça encore un peu avant de le lâcher, essoufflée.


Elle s’essuya les lèvres avec du papier de toilette, puis les seins, le visage échauffé, un peu gênée, en ravalant de la salive mélangée à du sperme. Elle replaça ses cheveux tandis qu’il se la secouait, encore sous le choc de l’orgasme.



En rattachant son manteau, une fois sortie de la cabine, et en se regardant dans un grand miroir pour voir qu’elle avait du sperme sur le menton qu’elle lava, elle se surprit à penser qu’elle aimerait bien se retrouver au lit avec lui, et peut-être aussi avec sa copine Suzie avec qui elle avait échangé de nombreux e-mails avait d’embarquer sur ce navire.



Puis elle réalisa, tandis que Skull s’allumait une cigarette, que c’était parce qu’on la prenait pour son sosie. Elle pouvait se permettre des choses que normalement elle ne pourrait pas faire. Comme sucer un jeune gars qui pourrait être son fils dans une toilette publique, ça se saurait inévitablement. Marie, gênée comme elle l’était, avait toujours eu une peur bleue que sa vie sexuelle fasse la une des journaux à potins. Le fait qu’elle soit bi surtout, elle ne l’aurait pas supporté, en tout cas, difficilement. Mais là, sur ce bateau, tout était possible, et puis il n’y avait pas de journaliste à bord et on la prenait pour une autre.




Je vis un plan vissé au mur et dû descendre des escaliers, emprunter des coursives sombres et glaciales sans rencontrer personne, pour finalement trouver des portes numérotées le long d’un grand couloir, les cales. J’entendis des coups sourds, comme un marteau qui tape sur un burin, provenant de la porte cinq, mais avec précaution. Merde ! Marie devait être en train de violer le sarcophage, ou c’était quelqu’un qui travaillait, mais à cette heure-là après le souper j’en doutais, même sur un bateau, sauf en cas d’urgence. J’ouvris la porte étanche et la refermai doucement, celle d’où provenait ces cognements, pour me retrouver dans un grand hangar pas très éclairé, et glacial. Me guidant au son, je contournai des véhicules de luxe, de la machinerie agricole, des caisses, puis des conteneurs, et j’en aperçus un dont la porte était entrouverte.


Je m’approchai en douce, certain que c’était ma belle rousse, il n’y avait rien à son épreuve. Je ne vis qu’une silhouette noire avec une mini-lampe de poche qui éclairait un sarcophage ouvert. Je décidai de lui faire une belle frousse et j’avançai à pas de loup pour lui mettre la main sur l’épaule.


Un homme hurla et bascula avec sa lampe torche dans le cercueil rempli d’une espèce d’huile noire nauséabonde, et le couvercle se referma bruyamment. Tout s’était passé si vite que je n’avais pas eu le temps de réagir. J’étais figé de stupeur, et ce fut le noir complet pendant quelques secondes, puis on m’éclaira par derrière, me faisant sursauter, et au même moment j’entendis :



Je reconnus la voix de ma femme. En me retournant, je fus aveuglé et plissai les yeux.



Et là, je la vis s’approcher, suivie par un jeune homme portant un masque de crâne, tandis qu’on entendait le gars se débattre dans le sarcophage.



On le fit et on aida l’homme complètement paniqué à sortir de là. Il semblait recouvert de pétrole ou de goudron qui empestait la vieille vidange et en cracha longuement en reprenant son souffle, on ne voyait que ses yeux blancs et ceux-ci s’arrondirent en apercevant Marie et il déguerpit sans un mot. Éberlués, on resta sans voix un moment, fixant la porte ouverte du conteneur, le gars au visage de crâne nous tendit une guenille pour qu’on s’essuie les mains, et il demanda :



Je clignai des yeux sans trop comprendre, mais bon, elle devait avoir ses raisons. Et puis tout devenait bizarre tout à coup, comme d’habitude.



Elle éclaira l’intérieur du cercueil, un corps flottait entre deux eaux, imprégné de cette espèce d’huile noire. Je me serais attendu à voir une belle momie bien poussiéreuse, mais pas à ça. Je grimaçai de dégoût comme les autres. Le mort était nu et remuait encore un peu, et on aperçut furtivement qu’il avait deux pénis flasques et goudronnés.



Là, je réalisai en le lui expliquant rapidement qu’il ne portait pas un masque, mais que son visage était tatoué. Pas croyable et franchement, dans la pénombre du conteneur, il donnait la chair de poule et je me dis que ce devait être le fameux contact de Marie.



Elle jubilait.



Marie éclaira le sol.



Marie soupira, évidemment, le codex et la carte. Comment avait-elle pu oublier ça ? « Les pipes, idiote », se dit-elle, « arrête de penser au cul. »


Là, ma belle rousse me regarda les yeux luisants, l’air découragée. Ce n’est pas le genre de Marie d’avoir des trous de mémoire.



Et il se plaça devant le cercueil en enlevant sa casquette et posant fièrement tout sourire. Petit Jésus ! Il me faisait penser au Baron samedi, que j’avais déjà malheureusement rencontré.



Là je le regardai éberlué. Prendre Marie pour un homme, et quoi encore, faut vraiment avoir l’esprit englué. J’ouvris la bouche pour lui conseiller de lâcher la drogue, les médicaments et l’alcool, mais Marie s’écria :



Je fis ce qu’elle disait, comme d’habitude, tandis que le crâne nous fixait drôlement un instant, avant de s’intéresser lui aussi au sarcophage. Je commençais à être un peu perdu dans ces histoires de sosies, mais je partais encore du principe que ma belle Marie devait bien savoir ce qu’elle faisait, quant au jeune…


Elle tâtonna sur le panneau, il y eut un déclic et il s’ouvrit brusquement, un gros livre avec une couverture métallique argentée lui tomba dans les mains. Elle le rattrapa de justesse avant qu’il ne tombe dans le liquide. On fixa l’ouvrage ancien tous les trois un long moment, comme s’il avait quelques pouvoirs mystérieux, d’étranges symboles étaient gravés dessus et une serrure impressionnante empêchait de l’ouvrir. Je le filmai en gros plan.



Petit Jésus ! Mes genoux fléchirent quand elle me le jeta sur les bras, Marie le couvrit de son paletot, s’empara de la caméra et filma encore un peu la momie, mais elle semblait chercher autre chose. Elle vérifia à nouveau le compartiment secret du couvercle puis le referma.



On regarda le crâne tous les deux, étrangement je me sentais démasqué.



Le voleur avait laissé des traces d’huile noire jusque devant l’ascenseur et à l’intérieur. Marie appuya sur tous les étages.



Je jetai le livre dans les bras du crâne qui grimaça, ses genoux fléchirent aussi. Vu à la lumière il faisait tout aussi peur.



Encore le crâne.



Toujours le crâne et tout sourire.



Marie se contenta de sourire, elle me connaissait trop bien maintenant, j’aimais la taquiner, mais je déglutis à l’idée que c’était elle que j’aurais pu faire basculer dans la soupe de pétrole. Ça, elle ne me l’aurait pas pardonné de si tôt.


L’ascenseur s’arrêtait à chaque étage, et les genoux du crâne fléchissaient de plus en plus, il me redonna le codex. Arrêtés au S3, il sortit, retint les portes et dit.



Il fila et je regardai ma blonde.



Je filai à la nôtre avant que mes genoux ne cèdent. Marie vint m’ouvrir avec la carte magnétique et repartit, elle revint deux minutes plus tard en disant.



Elle fila dans la salle de bain, une vraie déesse.


Soudain les lumières clignotèrent et s’éteignirent, ce fut le noir complet et le silence, puis j’entendis un boum et sacrer ma blonde.



En entrant en catastrophe dans sa salle de bain, il s’était aussitôt fait vomir avant de se rincer la bouche une bonne dizaine de fois et de se jeter sous la douche, furieux.



Il se sécha et se rhabilla en vitesse avec des vêtements neufs, et en sortant de sa cabine il vit les traces qu’il avait laissées sur le parquet dans sa panique. Sa mâchoire se décrocha.


Enragé comme un policier qui vient de surprendre un voleur à baiser sa femme, il partit à la recherche d’une brosse, d’un seau et de produit nettoyant et là, tout s’éteignit, au bout d’un instant les lumières de sécurité s’allumèrent et ce fut un moment de silence absolu, avant que des passagers ne commencent à sortir de leurs cabines.


Loric soupira longuement, épuisé.








Vocabulaire :


Wais : ouais


Cute : mignon


Cégep : le collège (Collège d’Enseignement Général Et Professionnel)


Il n’y a rien à son épreuve : rien ne lui est impossible


Chut : je suis