Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14924Fiche technique31333 caractères31333
Temps de lecture estimé : 18 mn
21/04/12
Résumé:  C'était un bien étrange spectacle que de voir le jeune Skull, tatoué des pieds à la tête, baiser Marie tandis qu'elle...
Critères:  fhh frousses bateau fellation pénétratio double humour aventure québec -humour -aventure -couple+h
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : La croisière maudite

Chapitre 05 / 06
Les joyeux naufragés

Épisode précédent : Loric Renoir prend Marie pour un sosie et pour une voleuse professionnelle tout comme lui. Il est bien décidé à lui reprendre le codex qu’elle a trouvé à l’intérieur d’un sarcophage dans une des cales du navire, et par tous les moyens. Pendant ce temps, Paul et elle se préparent, en pleine panne de courant, pour se rendre à une petite fête organisée par un groupe de sosies, mais Marie ne lui a pas dit que toutes les jolies filles qu’il allait y rencontrer étaient des transsexuelles. La fête tourne tout de même à l’orgie pendant qu’une vague scélérate fonce droit sur le navire.







Les joyeux naufragés



Quand le commandant reprit ses esprits, quelqu’un l’aidait à maintenir sa tête hors de l’eau. Il crut qu’il était tombé à la mer, ce qui signifiait la mort assurée, il avait si froid que ses dents s’entrechoquaient et il ne sentait plus ses membres. Puis une lumière rouge clignota et s’alluma, puis une autre, il vit alors la cabine de pilotage en partie inondée et remercia le Bon Dieu. Le navire n’avait pas coulé, mais gîtait terriblement vers bâbord, et il y avait quelque chose d’étrange, il ne bougeait plus, aucun roulis. Ça, ça ne voulait dire qu’une seule chose pour le marin aguerri qu’il était.



Dès qu’elle le fit, la cabine se vida rapidement et elle peina à la refermer à cause des rafales de vent, quelqu’un dut l’aider. Puis ils réussirent tous à se relever tant bien que mal, en se tenant au mur tellement le bateau était incliné. Presque toutes les fenêtres avaient disparu, la pluie neigeuse s’y déversait et le bruit de la mer se brisant sur les rochers, plusieurs étages plus bas, était assourdissant. Le commandant vit que tout le monde était là, et qu’ils avaient tous des plaies et des contusions y compris lui, et que tous étaient frigorifiés, claquaient des dents et se frottaient les bras ou les mains.



Un craquement sourd et sinistre raisonna longuement, le bateau vibra et bougea un peu quelque part vers l’arrière, puis se stabilisa. Ils se regardèrent tous, pétrifiés, puis ils n’entendirent plus que le vent qui soufflait, et le ressac.




Ayant un peu perdu la tête, Loric Renoir ne se rendit pas compte de la chance qu’il avait d’être toujours en vie. Les yeux fous, encore une fois couvert d’huile noire, sa fausse barbe et ses lunettes envolées, il cherchait à s’extirper du conteneur en serrant contre lui sous son bras gauche un cylindre de métal qu’il avait trouvé dans le sarcophage avant que tout ne se mette à tourner. Il avait pris dans sa veste une autre lampe de poche, celle qu’il tenait dans les mains avait disparu, et il marcha sur la momie qui traînait sur le sol – dont les vieux os craquèrent – pour sortir de là. Intrigué, il s’aperçut quelle avait deux pénis noirs.


Aussi loin qu’il pouvait éclairer, il vit qu’à peu près tout s’était détaché dans la cale ; les chaînes s’étaient rompues, les cordages et la cargaison s’étaient accumulés sur bâbord, du côté où gîtait le navire. Là il y avait une immense fissure par où le vent et la pluie s’engouffraient en mugissant.


Il dut grimper de peine et de misère sur un amas de caisses et de voitures renversées, grelottant, pour se retrouver sur le plancher. Penché vers l’avant, il réussit à atteindre l’écoutille, à l’ouvrir et à sortir de la cale. Encore une fois, il était recouvert de bactéries et gardait les lèvres bien serrées même si ses dents claquaient. « Cette croisière maudite est en train de me rendre complètement fou », pensa-t-il en souriant bêtement.


Une fois dans le couloir incliné, s’appuyant au mur pour aller prendre des escaliers sans comprendre ce qui avait bien pu se passer, les lumières de sécurité clignotèrent et se rallumèrent tout à coup. Il leva les yeux et commit l’erreur de regarder un flash rouge au plafond qui se mit à tournoyer.




Je repris conscience, la tête reposant sur des fesses, très douces mais vertes, sentant toujours la bite dans mon cul et un corps sur moi avec des seins menus. Marie me tapait la joue, elle tenait un des bâtons fluorescents. Ses cheveux étaient tout croches et son visage couvert de sang, elle avait une vilaine coupure au front. Moi, le cuir chevelu me brûlait derrière la tête, une blessure sans doute et du liquide poisseux s’en écoulait. Le bateau était penché et on était tous plus ou moins empilés les uns sur les autres au travers des vêtements. Heureusement les lits et les meubles étaient rivés au sol. Merveilleuse idée !



Le jeune sosie de la chanteuse rock se retira de mon cul facilement, il avait débandé, comme tout le monde.


Lady Gaga se retourna, me mettant son pénis flasque sous le nez.



Quelqu’un rit avant de grogner de douleur.



Marie m’aida à me remettre debout, la cabine était penchée et sens dessus dessous, tout le monde se plaignait de petites blessures en se relevant tant bien que mal. Le chien commença à geindre en tremblant, rassuré aussitôt par sa maîtresse qui le sortit de sous un manteau pour le coincer entre ses seins plantureux et le caresser. Je ne savais pas qu’il était possible de se faire poser des implants aussi gros.



Tout à coup le bateau remua, ce fut suivi d’un brouhaha d’enfer, tout le monde cria, puis plus rien sauf un vacarme de moteur emballé, comme si les hélices tournaient dans le vide.


On finit par se rhabiller, pas mal terrifiés et frigorifiés, mais ce fut long le temps de démêler nos vêtements tous appuyés contre le mur. Le son des turbines stoppa et on entendit plus que le vent, et étrangement comme un bruit lointain de ressac. Ouf ! On n’avait pas sombré, je compris qu’on devait être échoués.


Au même moment, il y eut une annonce du commandant nous expliquant que la vague géante avait soulevé le navire pour le déposer au pied d’une falaise sur une île rocheuse, donc aucun danger que l’on coule, et qu’ils avaient lancé un SOS et une balise de repérage GPS, et que des secours ne tarderaient sans doute pas. Il demanda à ce que les blessés qui le pouvaient se présentent à la clinique du pont B, pour les autres, les membres d’équipage allaient les aider.



Tout le monde acquiesça mollement, un peu hagard.



Deux filles l’attrapèrent de justesse avant qu’elle ne heurte le sol.





On s’organise




Deux heures plus tard, du café chaud et des couvertures étaient distribués dans le grand hall du pont A. J’avais laissé Marie aux bons soins du médecin de bord, les girls m’avaient aidé à la transporter, plusieurs étaient restées là-bas, mais le sosie de la jeune chanteuse rock ne me lâchait pas d’un pouce, visiblement apeurée. Une infirmière lui avait simplement appliqué un bandage autour du torse pour sa côte cassée et donné des antidouleurs.


J’aurais bien voulu demeurer avec ma belle, mais on m’avait ordonné de sortir après avoir pansé ma petite blessure, la salle d’attente était trop bondée. Je m’étais donc rendu avec Avril, qui s’appelait Sylvie en réalité, tant bien que mal à notre cabine chercher la caméra, mais se déplacer dans un navire aussi incliné ce n’était pas évident. On se tenait par la main elle et moi, j’avais un peu l’impression d’avoir une grande fille à protéger. Là, je filmais le capitaine penché qui s’adressait à la foule penchée, mais étrangement calme vue la situation, mais je compris vite que si l’on avait été encore en mer avec la menace de couler, là, c’eut été bien différent. Le commandant aussi avait été blessé et, comme moi, il arborait un joli bandage autour de la tête. À peu près tout le monde avait des plaies et des bosses, et des couvertures sur le dos ou de chauds manteaux.


Le bateau était sens dessus dessous ; un piano à queue s’était incrusté dans une boutique, déserte heureusement, des hublots avaient explosé, des gens avaient failli périr noyés, d’autres étaient passés tout près de se faire écraser par des meubles, et ainsi de suite. Tout ce qui n’était pas rivé au plancher s’était ramassé du côté bâbord du navire. Bref c’était le bordel. Mais il n’y avait aucun décès, un vrai miracle. Plusieurs plaisanciers me demandaient des nouvelles de Marie, et Sylvie finit par me regarder avec ses magnifiques yeux bleu gris, se doutant de quelque chose, et dit :



J’acquiesçai en lui expliquant pourquoi elle préférait passer pour son sosie pour le moment. Elle me promit de garder le secret et me demanda :



À la voir comme ça, habillée sexy comme le sont les filles de son âge, c’était difficile d’imaginer que c’était un gars dans la vingtaine.





Loric était toujours figé devant cette maudite lumière rouge qui tournait et tournait, la pile de sa lampe de poche était morte. Paralysé, incapable de cligner les yeux, ceux-ci lui brûlaient tout comme sa cervelle, il avait fini par se pisser dessus en soufrant le martyr et il était en train de discuter tranquillement avec Dieu en personne. Puis deux membres d’équipage qui vérifiaient les cales l’aperçurent. En le voyant, l’un d’eux appela son chef par radio pour signaler qu’il devait y avoir une fuite de mazout, puis ils l’emmenèrent. Dès qu’il cessa de regarder la lumière d’urgence, il s’évanouit, heureux, et sans lâcher le cylindre.




Marie était à l’infirmerie avec des dizaines de personnes qui attendaient de faire soigner leurs plaies et leurs contusions. Elle dormait ou perdait connaissance et revenait à elle, couchée sur une civière appuyée contre le mur à cause de l’inclinaison du navire, et soudain en ouvrant les yeux, elle aperçut un homme couvert d’huile noire étendue sur le brancard à côté du sien, elle reconnut aussitôt le voleur. Incroyable, pensa-t-elle, il ne s’était même pas lavé, et il tenait serré dans ses bras un cylindre aussi sale que lui. « Il y est retourné, comprit-elle, et il a dû trouver la carte ». Comme elle n’avait rien vu à part le codex dans le compartiment secret, elle s’était dit que cette histoire de carte était peut-être fausse, mais là, ce tube en métal provenait sûrement du sarcophage, et pas question qu’elle le laisse repartir avec. Comme personne ne faisait attention à eux et que les autres passagers et membres d’équipage blessés somnolaient tous plus ou moins en attendant de rencontrer le médecin, elle souleva la couverture que lui avait apportée Paul et… le voleur cligna des yeux et la regarda.


Loric n’y croyait pas en reprenant ses sens, il aperçut la maudite rousse étendue devant lui et sa robe rouge et… paralysé à nouveau les yeux grands ouverts… Nouvelle communication avec Dieu.


Marie hésita, mais le gars semblait absent, il fixait le vide, il ne clignait même pas des yeux et ceux-ci étaient tout injectés de sang. Il paraissait être en catalepsie, et elle ne ressentait aucune pitié pour lui. Elle se leva, pieds nus sur le carrelage glacial, empoigna son sac à main, le passa en bandoulière et frissonna en agitant ses doigts devant le visage de l’homme. Aucune réaction, elle prit le cylindre poisseux, un peu dégoûtée, puis posa la couverture sur ses épaules et partit vers sa cabine tant bien que mal, un peu étourdie.


Loric put fermer les yeux dès qu’elle fut hors de son champ de vision, sa tête voulait exploser, mais Dieu venait de lui confier une mission : il fallait qu’il tue la rousse, qu’il l’élimine à tout prix, il était né pour ça, c’était son but ultime, son destin… Il se retourna sur le dos, ayant tout oublié du cylindre, du codex, et chancelant, il se remit sur pieds sans s’occuper des regards des autres qui s’écartaient sur son passage en grimaçant, et il sortit de l’infirmerie. Une fois seul dans le couloir sombre, il la vit emprunter une coursive, il prit son arme de poing toujours dans l’une des poches intérieures de son veston, enleva la sécurité et d’un pas décidé il la suivit en longeant le mur.


Marie se rendit à la cabine de France qu’elle trouva déserte, elle ramassa un des bâtons lumineux et repartit vers sa suite en resserrant la couverture grise sur ses épaules, sans savoir qu’une ombre sinistre planait sur elle. En montant les escaliers, elle croisa des gens qui descendaient tête basse, tels des fantômes, s’appuyant à la rambarde comme elle. Ils étaient tous plus ou moins zombies, et plusieurs d’entre eux s’inquiétèrent de son état, elle les rassura.


Loric cacha son arme en croisant des passagers, tout en continuant à grimper derrière la rousse tandis que Dieu lui expliquait les grands mystères de la vie. Un sourire niais sur le visage, il écoutait, ému, pendant que la voix lui racontait que notre univers à nous, les humains, était contenu dans une toute petite larme de jeune vierge en pleurs dans un autre monde titanesque. Quand cette larme tomberait au sol, elle sécherait et finirait par disparaître, donc nous aussi dans quelques milliards de nos années, ce qui correspondait à juste un instant dans l’autre univers.


La rousse prit un couloir désert, il leva son arme pour tirer, mais elle disparut dans une suite pendant que Dieu lui ordonnait de se suicider quand sa mission serait terminée, car son corps grouillait de vilains germes qui allaient le transformer en momie noire et purulente. Il sourit encore plus en entrant dans la cabine dont la porte était restée ouverte à cause de l’inclinaison du navire.


Marie décida de mettre le cylindre en sécurité avec le codex dans le coffre-fort dissimulé dans la salle de bain sous le grand miroir mural. Quelqu’un avait laissé une lampe de poche sur le lit, Paul sans doute, elle l’alluma et crut percevoir un rire sardonique. Elle regarda la lampe, surprise, puis entendit un bruit derrière elle et se retourna. Elle déglutit en apercevant le voleur qui souriait bêtement, appuyé contre le mur à côté de la porte de la suite, et qui la tenait en joue avec un revolver. Comprenant qu’elle n’avait pas le choix, elle leva les mains en l’air en s’en voulant de ne pas avoir refermé la maudite porte. Dans la droite, elle avait la lampe de poche, dans la gauche le cylindre, et la couverture glissa de ses épaules.




Ayant de la misère à me réchauffer, je repris donc un bon café chaud que distribuaient les employés des cuisines. La petite blonde m’avait quitté avec le producteur de leur spectacle pour rejoindre ses amies, je décidai donc d’aller voir Marie, mais elle avait disparu de l’infirmerie quand je m’y présentai. Quelqu’un l’avait vue partir seule. Anxieux, je me rendis à notre cabine et la trouvai assise dans le fauteuil incliné, jambes croisées, et elle dormait avec un cylindre sur les genoux, poisseux d’huile noire, et une arme de poing dans la main. Étonné, je vis l’homme que j’avais surpris dans le conteneur et toujours recouvert de goudron nauséabond, debout à côté de la porte, mais comme statufié, il ne clignait même pas des yeux et pointait une main comme pour tenir une arme vers ma douce qui ronflait. Pas croyable !



Elle ouvrit les paupières, sursauta et me visa avec le petit revolver. Je levai les bras aussitôt.



Loric était bien, confortablement assis devant un bon feu de camp à boire du cognac de cinquante ans d’âge avec Dieu qui parlait et parlait et qui, étrangement, malgré sa longue barbe blanche, ressemblait à s’y méprendre à sa défunte mère. Et Dieu portait une magnifique robe rouge qui le fascinait.




Une fois notre voleur sous les verrous, le commandant demanda à me rencontrer et Marie de retour à l’infirmerie. Je lui racontai en prenant un autre café notre petite histoire, sans parler évidemment ni du codex, ni du cylindre, ni de Skull. Il grimaça un peu quand il apprit que moi et Marie nous étions entrés dans les cales pour filmer le sarcophage, mais finit par sourire.






Le lendemain




La tempête ne s’était pas calmée, et la pluie avait tourné en neige, le bateau et l’île étaient recouverts d’un magnifique manteau blanc. La coque tenait bon, nonobstant une immense fissure, mais les vents violents et la mer déchaînée empêchaient encore apparemment les secours de nous atteindre. Les génératrices fonctionnaient toutes à présent, l’électricité était revenue, tout comme le chauffage, et la vie à bord ne se passait pas si mal finalement malgré l’inclinaison du navire. Les restaurants avaient rouvert peu à peu, mais toujours aucune communication. Toutes les antennes avaient été arrachées par la vague géante, apparemment.



On était assis tous les deux par terre dans notre cabine, adossés au lit, et on regardait par la fenêtre la tempête qui bouchait la vue sur l’île en prenant un bon verre de vin. Les rafales de neige poudreuse crépitaient contre la vitre et nous donnaient le frisson. Même si le chauffage fonctionnait, le fond de l’air restait plutôt froid. Marie avait eu la permission de quitter l’infirmerie après avoir passé des radios. Une légère commotion, mais elle avait tout de même eu cinq points de suture au front. Moi, ma tête se remettait également.



Là, elle rit et dit :



Marie soupira longuement en se calant contre moi tout en fixant la tempête.



Elle rit, un peu découragée de moi comme toujours.



Toc ! Toc ! Toc !



On se regarda et on sourit.




C’était un bien étrange spectacle que de voir le jeune Skull, tatoué des pieds à la tête, baiser Marie tandis qu’elle me faisait une pipe. Elle était à quatre pattes dans notre lit incliné vers l’arrière, il la tenait par les hanches en la besognant et moi, j’étais bien assis jambes écartées, des oreillers calés au creux des reins, et je fixais sa bouche magnifique bien arrondie par mon membre en caressant ses cheveux soyeux. Les joyeux naufragés s’en donnaient à cœur joie. Marie me regarda, elle avait toujours un petit bandage sur le front, elle lâcha ma bite et dit les yeux vitreux :



Ça, je ne l’avais jamais essayé, et visiblement à voir l’expression d’étonnement de Skull, lui non plus, surtout pas avec sa vedette préférée. Le pauvre gars avait failli s’évanouir quand Marie lui avait appris la vérité tout en se déshabillant devant nous. Et moi également, j’avais failli tourner de l’œil quand Skull s’était dévêtu. Petit Jésus !


Elle s’avança au-dessus de mon phallus qu’elle empoigna, le jeune avait suivi le mouvement sans sortir d’elle et Marie plaça mon gland contre son sexe en enserrant nos deux bites solidement et s’assit dessus lentement, par à-coups, jusqu’à ce que nos membres compressés soient enfoncés en elle profondément. C’était vraiment étrange de sentir la queue de Skull contre la mienne dans le vagin, et je n’avais jamais vu Marie avec une telle expression sur le visage, elle semblait planer complètement en se plaquant sur moi joue contre joue. Skull commença à bouger en lui palpant les fesses, Marie se pâma aussitôt et moi aussi. Je relevai les genoux et les pieds bien à plat sur le lit, je me mis à la fourrer également.


On la baisa ensemble dans cette position un long et fantastique moment, en écoutant le mugissement de la tempête tout en caressant et admirant son corps magnifique. Quand nos glands se frottaient cela me procurait des sensations incroyables, sans parler de nos couilles, et soudain Marie gémit plus fort et jouit la tête sur mon épaule, secouée par des spasmes. Skull stoppa, bouche entrouverte et les yeux fermés, il râla et je le sentis éjaculer contre ma bite, et cela me fit venir aussi. Les trois en même temps, sans doute une première mondiale.


Marie était aux toilettes quand Skull partit et que Popa s’endormit.




Le jour suivant toujours la tempête, pas d’hélicoptère en vue ni de Kevin Cosner. Navrant. En avant-midi il y eut un bruit épouvantable, le bateau se déchira un peu plus.


Oups !


Une heure plus tard, un officier vint nous annoncer que le voleur avait disparu de sa cellule.


Oups !


Finalement en soirée, on nous apprit également que l’on quitterait le navire dès le lendemain matin pour s’installer sur l’île. Des marins avaient trouvé l’hôtel abandonné, et il était habitable semblait-il. La nouvelle fissure à la coque rendait ce déménagement nécessaire pour les passagers et une partie de l’équipage, seul le personnel indispensable resterait à bord.