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Temps de lecture estimé : 15 mn
23/04/12
Résumé:  Un couple d'étudiants très libres, rencontre Marie, lesbienne.
Critères:  fh ff ffh fbi jeunes copains intermast cunnilingu préservati pénétratio fdanus -couple+f -fbi
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Série : Marie

Chapitre 01 / 05
Marie

Marie




Un soir où nous étions allongés, côte à côte sur le dos, heureux à l’idée de l’amour que nous allions nous faire, Manon me dit :



Après un long silence, et lorsque je lui eus reposé la question, Manon tranquillement me dit :



Comme elle m’aurait dit : « Il fait beau ».



Et au bout de quelques secondes :



Ce que j’en pense ? Comme si ce que j’en pense avait une réelle importance dans la décision qu’elle avait déjà prise. Elle allait coucher avec cette fille puisqu’elle en avait envie et elle préférerait que je sois d’accord ; voilà le vrai sens de sa question.



Elle venait de me poser cette question cherchant de ses yeux mon regard et de sa main mon sexe, déjà émoustillé par cette idée.



Et me caressant :



Et, s’arrangeant pour que mon sexe maintenant bien dressé glisse dans le sien. ainsi assise, elle poursuivit :



Bien sûr que je suis d’accord et que, patiemment, j’attendrai que Manon ait mangé le sexe de Marie et que Marie ait mangé le sien. Et Manon sait bien que je suis d’accord, que je suis toujours d’accord, qu’elle fait de moi ce qu’elle veut.

Nous restâmes ainsi un long moment, Manon se soulevant et redescendant tout doucement pendant que nous poursuivions notre conversation.



Surprise je me réajuste.



Je me sens un peu piégée ; elle veut vérifier que je lui ai dit la vérité. Mais cette situation m’amuse, alors j’écarte mes genoux pour que cette fille, qu’en fait je ne connais pas, regarde mon sexe découvert. Elle réapparaît :



Et nous en sommes restées là, ce jour-là. Depuis, lorsque nous sommes dans un lieu discret, je m’arrange pour qu’elle voie si j’ai ou pas une culotte.



Puis :



Il m’en faudrait bien plus que ça, pour me choquer. Et je ne suis pas mécontent de cette idée car j’ai toujours peur qu’elle ait envie de faire l’amour avec un garçon, ce qui me rendrait très malheureux.



Et le lendemain après le repas :



Marie arrive donc avec des pizzas et un grand sourire. Je la croquerai bien et je voudrais bien être à la place de Manon dont les yeux pétillants me demandent de partir très vite.



J’entre dans un cinéma art et essai où est projeté un vague film roumain sous-titré. Me forçant à lire, je ne pense pas trop aux filles qui doivent saccager mon lit. J’aurais préféré jouer les voyeurs, caché dans un placard mais le film s’achève. Il est bientôt 23 heures et je rentre chez nous. Manon va se faire un plaisir de me raconter sa soirée et nous ferons l’amour comme nous aimons tant le faire ensemble. Je la trouve couchée avec un livre.



Nous sommes alors allées dans la chambre où elle m’a déshabillée et où je l’ai déshabillée et pendant une heure ce fut un festival. Je l’ai mangée à la faire crier et ses cris augmentaient encore mon plaisir. Fantastique ! Cette fille est fantastique. Mais viens vite car tu as quelque chose qu’elle n’a pas et dont j’ai un grand besoin.


Et je lui fis l’amour comme jamais je crois. Elle était excitée comme une puce et j’eus le plus grand mal à me contrôler. Puis nous nous endormîmes, enlacés, repus, amoureux.

Sacré Manon !



Le lendemain Manon allait, comme tous les mercredis, chez JB. Il lui était devenu indispensable. Ce garçon était un gode vivant ; dès que Manon avait passé la porte, il était prêt et il avait appris à durer. Manon ne le voyait que pour cette seule raison. Elle le trouvait prétentieux, stupide mais il avait la capacité de la faire jouir autant qu’elle voulait. Et il était discret ; il savait – Manon l’avait prévenu – qu’il ne devait raconter à personne cette relation. Et il ne la raconterait pas car Manon représentait exactement ce qu’il cherchait chez une fille, et il n’était pas peu fier de la voir autant jouir sous ses assauts. Ils se rencontraient à la fac mais ne s’adressaient presque jamais la parole ; leurs rencontres étaient fixées d’avance. Et moi, j’étais ravi de cette relation.


Jeudi matin, sortant de la douche, belle comme le jour, Manon me dit :



Posant la question, elle connaissait ma réponse :



Vingt heures précises, la sonnette nous annonce que quelqu’un arrive. Je vais ouvrir à Marie qui m’embrasse sur les deux joues comme si nous étions de vieux amis.



Et plus bas à son oreille :



Et elle entra dans la chambre, jetant ses vêtements n’importe où et sautant sur le lit.


Je m’installai au bureau et me plongeai dans mes notes, me surprenant à me concentrer sur mon travail sans être trop perturbé par les filles qui n’avaient même pas pris la peine de fermer la porte de la chambre et qui faisaient l’amour comme si elles étaient seules au monde. J’appréciai l’extrême liberté qui s’était installée entre Manon et moi. Elle savait que j’étais heureux de la savoir comblée et, à entendre ses cris et ses soupirs, je savais qu’elle l’était.


Elle ne faisait rien pour les dissimuler, tenant à ce qu’à travers eux, je sois associé à ce plaisir. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je lui en étais reconnaissant. Ce qui aurait très bien pu, comme d’ailleurs je le craignais, être un peu pervers, me paraissait, et j’en étais ravi, très naturel. Manon s’envoyait en l’air, dans la pièce à côté, avec une fille, et je trouvais ça naturel ?


Au bout de longues minutes d’intense activité, je n’entendis plus aucun bruit provenant de la chambre. Je décidai d’aller voir s’il y avait un problème. Du seuil de la chambre, je vis ces deux superbes filles se reposant très sagement, allongées sur le dos, côte à côte, l’une Manon, ma Manon, blonde, vrai blonde, l’autre, Marie, rousse, vrai rousse. Magnifique !

J’avais sous les yeux un tableau magnifique.

Toutes les deux me virent et me sourirent. Manon tendit sa main vers moi, me faisant signe de m’approcher. Ce que je fis, saisissant sa main.



Je tirai alors ma main pour retourner à mon travail et surtout pour ne pas perturber leur intimité mais Manon me retint.



Si je m’étais imaginé, il y a seulement cinq minutes, brouter le minou de l’amante de Manon ? Comme je ne répondais pas, Manon décida :



Je vis une langue s’introduire entre les lèvres et les poils et ce spectacle m’enleva les derniers scrupules d’autant que Manon m’encouragea du regard.

Je me mis donc à genoux entre les jambes de Marie, les écartai, sentant tout de même une certaine réticence, et commençai, très doucement à lécher ce fruit que je croyais à jamais défendu à ma langue, découvrant rapidement un clitoris bien plus gros que celui de Manon et que je fis rouler entre mes lèvres.


Marie ne parut pas désapprouver ce que je lui faisais car elle releva ses genoux pour me donner un meilleur accès à ces trésors auxquels j’étais le premier garçon à avoir l’autorisation de toucher. Rapidement j’eus la confirmation sonore, même si sa bouche était très occupée, que le traitement que je lui prodiguai lui donnait toutes satisfactions, et physique, lorsque ses jambes vinrent sur mon dos, retenir ma tête prisonnière de son sexe.


Manon, ravie des caresses buccales de Marie, et surtout heureuse de m’avoir associé à ses amours saphiques, ayant vu le plaisir que Marie avait trouvé à mes caresses, cria, comme elle le faisait lorsque la jouissance était trop forte.

Les filles épuisées reprirent la position dans laquelle je les avais trouvées, sur le dos, mais laissant cette fois-ci, la place pour que je m’allonge comme elles, entre elles.



Marie ne quittait pas des yeux cet appendice qu’elle n’avait jamais vu dans cet état chez aucun garçon et qu’elle était certaine de détester totalement.



Et, sans que sa volonté intervienne, sa main s’approcha de cet objet insolite et le toucha.



Manon ne la quitta pas des yeux, surprise de cette réaction. La main s’enhardit à se saisir de ce qu’elle découvre, à toucher mes testicules, à les soupeser, à revenir serrer ma verge. Les yeux de Manon et de Marie se croisent et cette dernière y voit un encouragement à poursuivre la découverte.



Puis, me lâchant :



Je sens Marie prête à accepter. Elle est intelligente et ne veut pas mourir idiote. Elle sait que le fait de prendre le sexe d’un garçon entre ses lèvres ne la rendra pas définitivement hétéro, que personne ne la forcera à faire ce qu’elle ne souhaiterait pas. Et puis, elle a confiance en Manon qui, bien que préférant les garçons, aime bien les filles, elle en avait la preuve.



Manon s’était levée, avait contourné le lit pour se retrouver derrière Marie dans le sexe de laquelle elle glissa deux doigts. Un soupir sortit de la bouche de Marie qui me laissa pénétrer plus profondément. Les caresses de Manon se faisant de plus en plus précises, Marie fut bientôt paniquée ; elle ne savait plus ce qu’elle devait faire. Elle me lâcha et, se tournant vers Manon lui demanda :



Manon se saisit de son sac, en sort un préservatif qu’elle s’empresse de m’enfiler. Elle fait ensuite se lever Marie qui m’enjambe.



Et je me sens comme aspiré par ce sexe étroit, serré – il va falloir que je me contrôle ! – au fur et à mesure que descend Marie qui semble trouver cette pénétration très agréable si j’en crois le soupir qu’elle laisse s’échapper de ses lèvres.



Le premier entreprit de rouler ce sur quoi il s’était posé, le second, après être allé chercher le lubrifiant nécessaire entre ses lèvres à elle, de forcer cette résistance qu’elle sentit bien faible.

La bouche de Manon et celle de Marie se joignirent en un baiser qui étouffa leurs cris car la main de Marie avait glissé entre les cuisses de Manon et avait trouvé ce que Manon attendait.

Marie fut prise d’une agitation violente, emportée par une jouissance subite et inattendue, et Manon, écartant ses cuisses au maximum jouit sous les caresses de son amante.

Et moi, sur le dos, je vis ces deux superbes filles atteindre le septième ciel.

Lorsque l’orage fut terminé, Marie, qui n’avait pas changé de position, nous dit :



Marie se leva alors d’un bond :



Puis au bout d’un moment :



Et ensemble :



Et à Marie :



Et je pénétrai Manon, très lentement, sous le regard attentif et curieux de Marie. Et je commençai un pilonnage dont je connaissais l’issue, qui ne tarderait pas du fait du traitement et du spectacle que les deux filles m’avaient imposé.

La main de Marie glissa sur le ventre de Manon pour rejoindre le point sensible que Manon avait déjà trouvé, mais qu’elle céda volontiers à Marie.

Manon commença à pousser des petits cris que je connaissais bien et qui annonçaient une grande explosion qui arriva dès que je lui dis :



Et que je m’appuyai, me cramponnant à ses hanches.



La douche prise, Marie se rhabilla, serrant Manon dans ses bras et l’embrassant goulûment une dernière fois puis, ne sachant trop comment se comporter avec moi, elle m’embrassa sur les joues et s’en alla.

Une fois recouchés nous sommes restés un moment sans rien dire mais pensant tous les deux à la soirée que nous venions de vivre. Rien à voir avec nos aventures estivales avec Martine, sans lendemain, et déjà oubliées. Ce qui venait de se passer avec Marie était différent. Manon brisa le silence :



La pénétrer fut instantané ; elle m’attendait.

Je bougeai à peine, couvrant de baisers son visage tandis que ses mains caressaient mon dos.



Puis au bout d’un moment pendant lequel j’allais et venais dans son sexe, elle ajouta, ravie :



Et elle explosa quand elle me sentit partir et ce fut, comme toujours, un vrai bonheur de jouir ensemble.