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Temps de lecture estimé : 7 mn
04/05/12
Résumé:  Première fois dans un thé dansant pour un jeune homme lâché au milieu de cougars...
Critères:  fh fplusag fagée inconnu nympho boitenuit voiture collection lingerie pied chaussures fellation confession -bourge -boitenuit
Auteur : Scorpiondeluxe            Envoi mini-message

Série : Le jeune homme et les cougars

Chapitre 01
Thé dansant

Voici une histoire vraie qui s’est déroulée à la fin des années 90. J’avais alors pile trente ans, parisien et célibataire, je n’étais pas particulièrement un noctambule invétéré, mais alors que les sites de rencontre par internet n’en étaient qu’à leurs balbutiements, je recherchais un moyen facile pour draguer…


L’idée m’est venue un dimanche après-midi, alors que je passais devant un « dancing » près de la place de la Madeleine à Paris, et que je vis quelques aimables quinquagénaires – des cougars comme on dirait aujourd’hui – qui attendaient sur le trottoir l’heure d’ouverture du club pour aller à leur « Thé Dansant ». Ce qui m’a d’abord frappé, ce sont leurs toilettes : elles avaient toutes des talons vertigineux, des bas noirs, des robes courtes et sexy, des coiffures qui allaient du blond peroxydé au roux intense, des ongles longs et des bijoux de partout, parfumées et maquillées à outrance (pour ne pas dire franchement et vulgairement « comme des putes ») avec – je le fantasmais – cette franche envie de se taper un mec… Bref, un bon plan pour de la drague facile et me rassurer sur mon pouvoir de séduction… Néanmoins, je pris également soin de regarder comment étaient habillés les hommes, afin de me fondre le mieux dans le « décor » : ils avaient tous l’air d’anciens mafieux, bedonnants, un peu rougeauds et en tout cas la compétition masculine s’annonçait… tranquille…


C’est donc habillé de mon plus beau costume, avec une chemise noire et une cravate sombre, que je me rendis au dancing le dimanche suivant, prenant soin – comme dans les soirées mondaines – de ne pas arriver à l’ouverture, mais dans le milieu de l’après-midi, quand la fête « battait son plein ». Inutile de vous dire que même si nous étions en plein hiver, j’avais la gorge sèche, un sentiment mêlé de frisson et d’interdit, un peu comme si j’allais faire une grosse bêtise… Plus je me rapprochais du dancing et plus mon pas se faisait pressant…


À l’accueil, la dame assise derrière la caisse me regarda sans plus, certainement habituée à voir de jeunes gigolos fréquenter ce genre d’endroit… Je déposai négligemment mon manteau au vestiaire et descendis les marches qui menaient à « l’arène ». Une musique plutôt rétro, du style tango, m’accueillit et dans la semi-pénombre, je devinai quelques yeux qui me scrutaient… Comme la semaine précédente, les femmes, la plupart dans la cinquantaine bien frappée, s’étaient parées de leurs plus belles tenues, comme si elles venaient fêter une soirée de réveillon ou une soirée très chic.


Je dois avouer que d’avoir cette possibilité de côtoyer et de discuter avec de belles bourgeoises « en manque » m’excitait au plus haut point. Je commandai une vodka au bar – histoire de me donner un peu de courage et d’être plus léger pour attaquer une conversation – puis je fis un rapide tour d’horizon, afin de voir sur quelle femme j’allais jeter mon dévolu. Je me rappelle de cette première fois comme si c’était hier, je m’assis d’abord négligemment à côté d’une jolie brunette en cuissardes avec qui j’essayai bien maladroitement d’entamer la conversation – le niveau sonore n’aidant pas… Pas de chance : elle me fit rapidement comprendre qu’elle était venue avec un « ami », lequel ami était en train de revenir du bar avec deux coupes de champagne… Ça commençait pas terrible, heureusement le DJ mit une musique « disco », ce qui provoqua un afflux certain sur la piste de danse.


L’alcool aidant, je me dirigeai vers le dance-floor pour me mettre dans le rythme. Je voulais « allumer », soutenir le regard d’une femme, puis d’une autre, bref, m’amuser. Je pris d’ailleurs un malin plaisir à me déhancher de manière exagérée, histoire de montrer que je n’avais pas de rhumatismes comme j’imagine la plupart des hommes qui fréquentaient cet établissement… C’était assez grisant de côtoyer ces belles bourgeoises divorcées, délaissées, délurées et pour certaines, j’imagine, en vrai manque d’amour et de sexe… De belles chaudasses, oui… Puis la musique disco se changea en bal musette et je saisis l’occasion pour me rasseoir.


C’est alors que je vis Brigitte. Elle devait avoir la bonne cinquantaine, belle blonde platine, habillée en robe noire moulante qui soulignait ses seins comme des obus, des bas noirs couture, des escarpins à hauts talons vertigineux noirs vernis, une petite chaîne en or à la cheville, des bagues en veux-tu en voilà, bref, une certaine image de la bourgeoise « salope », une « demi-mondaine » quoi. À l’époque, il était autorisé de fumer, et sa fine cigarette rajoutait au côté femme fatale. Ni une ni deux, mon regard croisant le sien, je m’installai à côté d’elle et commençai à engager la conversation en la complimentant d’abord sur sa toilette et surtout son parfum que je trouvais « envoûtant »… Elle me demanda comment je m’appelais, puis on commença à converser aimablement. Bien entendu, je lui proposai de lui offrir une coupe de champagne – ce qu’elle ne refusa pas – et j’avoue que sa manière de croiser les jambes quasiment en me frôlant la jambe avait le don de m’exciter au plus haut point… Peu à peu, l’alcool aidant, je rapprochai ma main de son épaule, comme pour me mettre plus à l’aise, et elle se laissa faire. On jouait à se provoquer. C’était grisant. Je commençais à sérieusement bander dans mon pantalon… Puis le DJ mit un slow et je l’invitai à danser.


Elle devait avoir des talons de quinze centimètres au moins, et à la serrer contre moi pour danser, je sentis son parfum m’envahir… Mes mains, d’abord sur ses hanches, descendaient au fur et à mesure du rythme sur ses fesses puis sur le haut de ses cuisses, où je sentis l’empreinte de jarretelles… Elle me susurra au creux de l’oreille un « ça te plait, on dirait… » qui n’eut pour seul effet que de tendre un peu plus mon membre déjà bien à l’étroit dans mon pantalon. Elle avait compris qu’elle pouvait s’amuser avec moi et elle en profitait… Elle se colla ensuite contre moi, ses seins lourds qui s’écrasaient contre mon torse, elle mit sa tête dans le creux de mon épaule et me déposa un baiser, tout en remontant avec sa langue le long de mon cou. J’en avais des frissons partout. Puis on retourna s’asseoir dans un coin un peu à l’écart, dans une semi pénombre, et on commença à se toucher. Je caressai ses belles jambes gainées de bas noirs – « en soie », prit-elle le soin de me confirmer – je glissai mes doigts jusqu’à cette lisière noire qui fait tant fantasmer les hommes, tandis qu’elle massait négligemment ma bosse à travers le pantalon, tout en me fixant en léchant ses lèvres avec sa langue. C’était divin.


Les heures passaient comme des secondes et j’étais entre le paradis et le nirvana. Vint le moment de partir et je me proposai de la raccompagner. Elle eut alors ce geste si délicat et si sexy de défaire son escarpin pour y retirer le ticket du vestiaire qu’elle avait mis au fond de sa chaussure. D’un geste tout aussi délicat, je ne pus m’empêcher de lui caresser doucement son pied gainé de noir, comme pour la masser, et à la manière dont elle fermait les yeux sous mes caresses, j’en déduisis que ça lui plaisait…


… Arrivés à la sortie du dancing, on s’embrassa à pleine bouche et c’était hyper excitant de se sentir désiré par une belle bourgeoise en chaleur qui en demandait encore plus, je le sentais rien qu’à la manière qu’elle avait d’agripper mes fesses… Ma voiture était garée pas loin, dans une petite rue tranquille, et en parfait gentleman j’ouvris la portière en regardant cette manière si aguicheuse qu’elle avait de remonter sa jupe pour s’asseoir… Une fois dans la voiture, on continua de s’embrasser et elle posa sa main sur mon entrejambe, tout en me disant qu’elle avait envie de me prendre en bouche. Ni une, ni deux, elle se pencha et à peine ma braguette descendue, elle prit mon sexe à pleine bouche.


Je sentais sa langue s’activer autour de mon gland, sa bouche qui montait et descendait en faisant des bruits de succion très impudiques et très indécents… Mon dieu, quel bonheur ! Elle avait cette manière très salope de cracher sur mon sexe puis de me le lécher comme s’il s’agissait d’une glace. Même si la rue n’était pas très passante vu l’heure tardive, le fait qu’elle me suce dans la voiture rajoutait terriblement à mon excitation… Je tenais sa tête pour lui donner le rythme, elle engloutissait mon sexe de sa bouche si chaude et surtout si experte… C’est qu’elle avait dû en sucer, des belles bites, la Brigitte ! Elle aimait ça et ça se sentait… Bien sûr, avec un tel traitement, je ne mis pas longtemps à venir, et c’est dans un long râle que je jouis et qu’elle prit mon jus en bouche, engloutissant toute ma semence jusqu’au fond de sa gorge…


Se relevant, ses lèvres encore maculées de mon foutre, elle me regarda et dans un clin d’œil me dit :



La soirée ne faisait que commencer… Mais ça, c’est une autre histoire…