n° 14999 | Fiche technique | 34378 caractères | 34378Temps de lecture estimé : 21 mn | 28/05/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Après les confessions d'Emna, Yuan est à nouveau excitée et les deux filles se laissent aller. La soirée continue, puis le retour au travail sera particulier. Yuan revoit Jean : confession particulière avec son amie Mélanie, et terrible nouvelle. | ||||
Critères: ff fbi asie collègues essayage travail amour voir noculotte lingerie fmast intermast cunnilingu 69 fgode fdanus jouet confession | ||||
Auteur : Tortue675 (Les avis/retours des lecteurs m'intéressent. N'hésitez pas.) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Yuan et ses ami(e)s Chapitre 06 | Épisode suivant |
Résumé :
Yuan et Emna sont maintenant très proches. Elles se confient l’une à l’autre. Emna vient de lui raconter son expérience de relation tarifée, qui a beaucoup émoustillé Yuan. Elles attendent l’arrivée de Xavier, le sex-friend d’Emna. La soirée n’est pas finie, c’est sûr. De toute façon, elle aura changé à jamais la vision de la petite Chinoise.
L’histoire qu’Emna vient de raconter m’a assez perturbée. Certes, elle m’a terriblement excitée, elle a su raconter son aventure de manière fluide, intense, détaillée et desservie par sa voix très douce. Elle aurait pu raconter les pires atrocités que cela aurait sonné terriblement sensuel.
Le fait d’imaginer qu’Emna s’était laissé aller à la tentation, qu’elle avait vendu son corps me choque. J’ai encore la vision des prostituées très stéréotypée. Des filles tenues psychologiquement par des hommes qui les forcent, par je ne sais quelle astuce. Des filles souvent droguées qui doivent payer leur dose, et tout ce genre de clichés servis et resservis dans les médias. Je n’arrive pas à imaginer qu’une déesse comme Emna puisse se vendre.
Je n’ai pas un regard très prude sur mon corps. Je ne suis pas très délurée non plus. Disons que je n’en montre que le minimum mais je sais me laisser aller avec les gens très proches que j’ai pu côtoyer. Vendre son corps m’a toujours paru étrange et je n’ai jamais su me faire un avis sur ce sujet.
Emna est à quelques centimètres de moi, sur ma gauche. On est toutes les deux sur le canapé, toujours dans nos charmantes robes de soie qui ne couvrent que peu de choses. Elle a sa tête sur mon épaule et sa main se balade sur ma cuisse dénudée. Je réfléchis en me laissant aller, me laissant faire par ces douces caresses, divines devrais-je dire.
Soudain elles se font plus intenses, plus directes. La main d’Emna part vers l’intérieur de ma cuisse, vers mon entrejambe. Elle sait que je suis excitée, mon humidité ne fait aucun doute. Des gouttes de cyprine sont même tombées sur la couverture du canapé. Ses doigts remontent mes lèvres boursouflées d’excitation, cette caresse me donne des sensations indescriptibles à travers tout mon être, j’ai l’impression que mon cerveau va se déconnecter et me laisser aller à nouveau dans de terribles situations. Lorsqu’elle titille mon clitoris, j’en ai des étoiles devant les yeux. Il fait toujours chaud dans la pièce, la douceur du contact de la peau de mon amie sur mes sens surexcités me fait perdre raison. Je ne peux y résister. Et lorsqu’Emna continue ses caresses et commence à approcher sa tête de mon bas-ventre, je sais que je vais repartir pour un nouveau round de sensations.
Sa langue passe sur ma minette, recueille ma mouille, et directement elle insère un doigt dans mon intimité. Les préliminaires sont réduits à néant vu l’état de mon vagin qui ne demande que de l’attention et n’en peut plus d’attendre. Dans cette position, Emna est sur le côté, sur les genoux, les fesses à l’air. Je m’allonge, elle suit mon mouvement et j’attrape sa jambe droite pour la placer de l’autre côté de mon corps. J’ai maintenant l’entrejambe et les fesses les plus magnifiques du monde juste au-dessus de mon visage. J’appuie sur le haut de sa fesse pour rapprocher son minou de ma bouche. Je vois des gouttes scintiller, je les recueille avec ma langue. Quel goût ! Légèrement salé, je me délecte. Je passe ma langue sur ses lèvres et j’entends son murmure pendant qu’elle continue son travail. Je lui fouille son jardin secret, j’ai envie de la pénétrer avec ma bouche, j’ai toute sa sécrétion sur mon visage maintenant, elle doit être dans le même état. Mon ventre frissonne de plaisir et encore de désir. Il m’en faut plus.
Soudain le téléphone d’Emna retentit. On arrête nos explorations pour qu’elle aille décrocher. C’est Xavier qui annule sa venue. Il ne peut pas passer et est obligé de reporter le rendez-vous. Emna me regarde un peu déçue et je lui glisse doucement :
Elle se met d’accord avec lui pour un rendez-vous deux jours plus tard. Elle lui annonce qu’il aura une éventuelle petite surprise. Il veut en savoir plus, elle raccroche.
Emna revient toute souriante.
Emna s’en va dans sa chambre et quelques secondes plus tard ramène un vibromasseur.
Elle se remet sur moi dans la même position qu’avant, comme si l’on n’avait pas été coupées dans notre élan. Avec sa bouche, elle recommence à me torturer de plaisir. Elle n’hésite pas à aller vers le périnée et même à donner des coups de langue sur mon abricot intime qu’elle a déjà défloré si tendrement.
Je recommence les caresses intimes, tenant ses deux fesses pendant que ma langue tantôt s’amuse à entrer dans sa minette, tantôt explore son clitoris tout rouge d’envie.
Soudain je sens quelque chose de dur jouer avec mon vagin, avec l’entrée de ma grotte. C’est le vibromasseur qui est aux portes de mon antre humide qu’il ne met que quelques secondes à franchir. Centimètre après centimètre, je me sens remplie intégralement. Ma petite vulve étroite laisse passer ce vibromasseur aidé par la langue d’Emna sur mon clitoris, elle m’enfonce ce bout de plastique phallique au maximum de sa possibilité. Je suis à bout. Elle décide alors d’allumer le bouton et il se met à vibrer. Doucement, mais il augmente progressivement d’intensité via le régulateur qu’Emna manipule en connaisseuse.
Bientôt il en est à son maximum. J’ai abandonné toute caresse, je me laisse aller. L’orgasme éclate très rapidement. Mon ventre se crispe et commence à me faire mal, suite aux spasmes répétés ce soir. Le bonheur m’envahit malgré tout, la sueur goutte de mon front, mon corps est brulant. J’en veux plus, toujours plus. La délicatesse de la peau d’Emna contre la mienne est un régal. Sexuel et sensuel, c’est ce qui résume le mieux la sensation que je vis en ce moment.
On reste dans la même position, Emna a ôté le vibromasseur et elle s’évertue à continuer à s’occuper de mon corps, mes jambes. Je tends le bras pour prendre possession de l’engin, il est tout visqueux. Je le renifle, étrange de sentir son odeur intime sur un tel objet.
Je repars avec ma bouche contre la vulve de ma partenaire, et avec une main j’approche ce jouet d’adulte vers la grotte divine totalement humide de ma princesse. Je taquine l’entrée et je l’entends gémir timidement. Je ne me fais pas prier plus longtemps et j’y vais doucement. Mes yeux sont à quelques centimètres à peine de l’action et je vois ainsi ce vibro entrer lentement dans le minou de mon amie. Pénétration que je rêve de voir depuis que l’on a commencé nos attouchements. Je ne suis pas déçue, j’appuie à peine, il continue de rentrer comme aspiré. C’est beau de voir les lèvres s’écarter pour laisser le passage à ce bout de plastique. Je rêverais de voir un vrai pénis dans la même situation, là maintenant. Je tiens le bout de l’engin et il est presque complètement enfoncé dans mon amie. Je le retire un peu plus rapidement, il est entièrement lubrifié par la mouille de nous deux et je commence un va-et-vient. Ma langue vient se poser sur son clito et il ne lui faut pas plus de deux minutes ainsi avant qu’elle n’éclate de jouissance. Un peu de cyprine tombe sur le torse, j’ai sa saveur intime dans ma bouche, sur ma langue, je la dévore, je lui enfonce ce pénis de substitution qui nous sauve, qui nous fait tant de bien. Emna crie de bonheur tout le temps que je continue, je ne me lasse pas d’entendre cette mélodie stridente et jouissive.
Lorsque je m’arrête au bout de quelques minutes, elle s’écroule sur moi quelques instants. Puis se retourne et me prend dans ses bras en lovant sa tête dans mon cou.
On profite des instants qui suivent pour se laisser aller, se reposer après ces moments intenses, complices et tellement bons. Les caresses sont omniprésentes, il fait sombre dans la pièce, on se voit encore mais on ne se regarde plus, on laisse aller nos mains sur la peau de notre partenaire. Donner et recevoir en échange, lentement, ce moment pourrait durer éternellement. Une vraie sensation de bien-être dénué de toute gêne, de toute honte, on se laisse aller et c’est ainsi que l’on passe la demi-heure qui suit.
Je pense que l’on a perdu la notion du temps en fait, car la nuit arrive déjà et on constate qu’il est bien tard. J’envoie un message à Coryne pour lui proposer notre soirée et malheureusement quelques minutes plus tard la réponse négative arrive. Coryne ne pourra pas, elle doit aller voir un spectacle avec un de ses amis. Dommage. Je rêvais déjà de cette soirée. Je lui réponds que ce n’est que partie remise, et que j’ai encore de belles choses à lui raconter lorsque l’on se verra.
Elle me propose de suite le lendemain soir, je vois qu’elle est pressée de savoir ce qui m’arrive, j’ai réussi à attiser son envie, sa curiosité. Réponse positive de ma part, demain soir chez moi.
Je passe naturellement la nuit chez Emna. Douce et chaude nuit, toutes nues, enlacées ou non suivant l’instant, sous un fin drap qui nous recouvre à peine. Le jour pointe et vient le moment de se lever pour aller au travail.
Après le rituel quotidien de la douche, je n’ai aucun sous-vêtement propre à mettre. Je n’avais pas prévu de rentrer chez moi avant d’aller au travail. Je demande donc à Emna si elle peut me prêter quelque chose. Elle me donne un bel ensemble : un slip en soie blanche, qui s’avère ultra confortable. Emna a exactement la même taille que moi et je n’ai jamais eu un slip qui me va aussi bien. Il me tient la taille fermement mais en douceur, l’élastique ne tire pas, l’entrejambe est parfaitement moulé par cette culotte. Un vrai bonheur. Le soutien-gorge est un peu ample pour moi, je lui demande donc si elle a une petite taille qui traine quelque part. Heureusement, elle retrouve certains vestiges de son passé avec un modèle pas forcément très tendance mais qui fera l’affaire toute cette journée.
On part ensemble au travail, heureuses d’avoir vécu cette soirée. On sait que l’on aura d’autres expériences ensemble puisqu’une soirée est prévue dans deux jours chez elle avec ce Xavier.
La journée de travail se passe bien, Emna continue à me former, très professionnelle dans son job elle ne laisse rien transparaître alors qu’on est à quelques centimètres à peine l’une de l’autre. J’avoue que j’ai du mal à garder ma concentration. Voir sa peau à portée de main, ses bras nus, ses épaules, me donne envie de l’embrasser. Cela n’est pas sans conséquence sur l’état de ma petite culotte. Je demande une pause, il faut vraiment que j’aille me rafraichir, il fait encore 35° dehors. La température ne baissera donc jamais ?
Arrivée aux toilettes, je m’enferme dans un des box disponibles (ils le sont tous) et en retirant ma jupe je constate que ma culotte est toute mouillée. Une grosse auréole s’est formée. Je sens ma vulve chaude, excitée, mes lèvres humides. Je m’assois sur le rond (après l’avoir recouvert de papier toilette bien sûr) et je vide ma vessie. Le jet est puissant et cela me fait un bien fou. Soudain j’entends toquer à ma porte.
J’ai bien évidemment reconnu la voix d’Emna. Alors que je continue mes besoins, je tends le bras au maximum pour déverrouiller le loquet. Elle entre et referme la porte derrière elle.
Je ne comprenais pas où Emna voulait en venir
Emna se penche, attrape les côtés de la culotte, et l’enlève par le bas, passe mes jambes à travers les trous, puis les pieds et récupère sa culotte. Elle la regarde puis m’envoie un joli regard agrémenté d’un charmant sourire.
Elle déverrouille la porte et sort. Je la referme rapidement derrière elle.
Me voilà en jupe, assez courte, sans culotte en dessous. Cela ne m’est jamais arrivé. Il va falloir que je fasse bien attention, j’ai un peu peur de sortir des toilettes.
Quand je retourne à notre poste de travail, Emna est déjà là et m’accueille tout sourire. On reprend notre travail et lorsque je sens la main de mon amie discrètement effleurer mon genou j’ai du mal à ne rien ressentir. Mais il faut que je me calme, je ne peux pas être excitée et sans culotte. Ma mouille risque de tomber sur mon fauteuil. On continue tant bien que mal notre après-midi. Elle cherche parfois à me provoquer, du coup je pense à me venger. Je fais tomber mon stylo, un peu loin de moi. Il faut que je me lève du fauteuil pour aller le chercher. Il n’y a pas grand monde dans le bureau et on est dans un angle, personne ne peut me voir. Étant debout, dos à Emna, je me penche pour ramasser ce stylo et j’essaie de le faire assez lentement, sans précipitation. Ma jupe se soulève aisément et je suis certaine qu’Emna a ses yeux sur mes fesses et ma vulve humide qu’elle doit voir très nettement. Lorsque je me retourne je la vois admirative et elle a du mal à reprendre ses esprits. Je me rassois et lui effleure brièvement un sein à travers le tissu de son chemisier, je sens le téton pointu.
Emna continue donc, mais je sens bien que je l’ai plus qu’émoustillée avec mon petit théâtre. Moi-même j’ai du mal à résister, et cette chaleur dans les bureaux n’arrange rien.
Heureusement vient la fin de journée. J’avais promis à Coryne une petite soirée sympathique chez moi. Me voici de retour dans mon petit appartement cosy que j’apprécie beaucoup. Je prépare le vin au congélateur pour qu’il soit bien frais. Coryne arrive peu de temps après. Je nous sers d’emblée deux verres. Elle veut tout savoir de suite. Je me fais tout d’abord discrète puis lui avoue mon histoire avec Emna. Je sens bien une pointe de jalousie mais elle est également admirative. La soirée avance vite, elle veut toujours avoir plus de détails, mais je dois avouer que je suis assez éreintée. La chaleur, l’excitation constante et toutes ces questions dans ma tête ne m’arrangent pas du tout. Je lui explique que j’aimerais aller me coucher rapidement. Je ne lui avoue rien de ce qui est prévu le lendemain, mais Coryne veut que l’on se voie prochainement et pourquoi pas rencontrer cette fille aussi. Je lui promets tout ce qu’elle veut. On est vendredi soir et je dois la jeter de chez moi à peine à 22 h. Une belle nuit de repos devant moi. Enfin !
Dès qu’elle est dehors, je me rue sous la douche, mon amie. L’eau ruisselle sur mon corps meurtri de fatigue. Je n’ai plus qu’une envie, me coucher, dormir, me reposer.
Nue sous le drap fin, le sommeil s’empare de moi. Mes rêves ne restent pas anodins, Emna est bien sûr présente, belle comme toujours mais Jean est là aussi. Les souvenirs de mon rêve s’estompent dès l’ouverture de mes yeux, je sais qu’il y a eu des scènes torrides mais ne me rappelle de rien. Je me rends compte que je suis atteinte d’une envie de découverte et d’explorer ce qui me choquait à l’époque. Je vois sur mon portable un SMS de Jean inquiet. Il se demande pourquoi il a si peu de nouvelles et voudrait me voir. Je lui dis que je ne peux pas pour le moment. Mais après qu’il a insisté, je lui dévoue mon après-midi puisqu’on est samedi, jour de repos, et je compte bien en profiter avant ma soirée. Tant pis.
Il arrive longtemps après le déjeuner et son air sérieux m’inquiète. Après quelques instants il commence :
« Je lui ai rapidement annoncé la nouvelle et cela l’a fortement attristée car elle allait se sentir toute seule. Elle a pleuré un peu dans mes bras et au bout d’un moment on s’est ressaisis. Elle m’a alors proposé de rester dormir, que l’on puisse avoir le temps de discuter longuement une dernière fois avant mon départ. Comme tu n’étais pas disponible hier, je n’y voyais aucun problème. Elle est alors allée dans la salle de bain et est revenue en nuisette blanche. On pouvait voir ses sous-vêtements noirs par-dessous. On n’est pas très pudiques l’un envers l’autre, ce n’était pas la première fois. Cela m’avait par contre beaucoup fait rêver et fantasmer je dois l’avouer. »
« Je me suis mis à l’aise, t-shirt et caleçon. Je lui ai dit que j’avais eu une magnifique aventure quelques jours avant avec toi et elle en a été ravie. Elle a voulu savoir de nombreux détails sur toi, mais comme on se connait à peine je n’ai pu raconter que ce que l’on avait vécu ensemble. Elle a été enchantée. »
« La nuit était déjà arrivée, seule une lampe de chevet éclairait la pièce. Mélanie m’a surpris en me proposant quelque chose. Comme on était proches, que j’avais eu une aventure, elle voulait me proposer un deal. Que je lui raconte un fantasme avec tous les détails que je voulais, et qu’elle ferait de même. Je lui ai dit que si je faisais ça je serais excité et que j’aurais du mal à me tenir correctement. Elle m’a répondu que ce n’était pas grave, chacun pouvait faire ce qu’il voulait mais qu’il n’y aurait aucun contact physique de toute façon. Bien qu’étrange comme situation, j’étais d’accord seulement si elle commençait. Tu veux que je raconte son histoire ? »
« En fait elle m’a avoué qu’elle rêvait parfois à une situation particulière où elle était chez son copain et qu’ils m’invitaient à diner. À un moment donné elle fut au milieu du canapé, entourée de nous deux et qu’on voulait mettre un DVD. Sauf qu’après les bandes-annonces, au moment où le film démarre en lieu et place d’un film d’action normal ce fut un film porno avec Katsumi et Estelle Dessanges. On le laissa tourner, on prit ça à la rigolade, on commenta, et elle commença à être entreprenante avec son copain, l’embrassant goulûment. Comme elle connaissait mes sentiments pour elle, elle proposa à son copain qu’ils puissent me faire un cadeau d’anniversaire, et celui-ci acquiesça. Elle se retourna vers moi et m’embrassa. Elle passa sa main sous mon t-shirt et me l’enleva rapidement. Le porno défilait à l’écran et Mélanie ne fut pas la plus mauvaise à ce jeu-là puisqu’elle m’ouvrit la braguette et m’absorba la bite avec sa bouche pendant que son copain était derrière elle à soulever sa jupe et fourrer son nez entre ses cuisses. Il enleva son pantalon, sortit sa queue et la lui fourra dans la chatte pendant qu’elle me suçait. Ensuite, elle se releva, s’allongea sur le canapé et me demanda de la prendre. Je montai sur elle et la labourai pendant qu’elle masturbait son copain et le suçait. Son copain me regarda baiser sa copine et cela le fit jouir rapidement, sur le visage de Mélanie, et je jouis dans sa chatte alors même que je n’étais pas protégé et qu’elle ne prenait pas la pilule. »
« Pendant que Mélanie me racontait cette histoire, elle voyait bien que cela commençait à m’exciter. Elle-même se sentait bien chaude car elle avait glissé une main dans son slip noir, et je l’ai vue un peu la remuer tout en me racontant les détails. Puis lorsque l’histoire disait que j’étais sur elle, elle a enlevé son slip et j’ai découvert dans la pénombre sa grande vulve excitée, rouge de désir, le clitoris proéminent. Ses doigts caressant l’humidité interne. Elle a relevé sa nuisette, relevé le soutien-gorge au-dessus de ses seins, et d’une main se triturait les tétons, de l’autre enfilait ses doigts dans son intimité et sur son clitoris en alternant. À la fin de l’histoire elle s’est tue, m’a regardé droit dans les yeux, a intensifié ses gestes et je l’ai regardée jouir, yeux dans les yeux. J’avais son corps presque entièrement dénudé en face de moi, et quel corps ! De beaux seins ronds, fermes, qui ne demandaient que des caresses. Un ventre parfait, des cuisses un peu rondelettes et des fesses magnifiques. Je bandais comme un taureau. Du jus sortait de mon gland, quelques infimes gouttes qui mouillaient mon caleçon, celui-ci devenant trop petit. Mélanie l’avait remarqué et m’a dit que je pouvais le retirer s’il me gênait. »
« J’ai soupiré puis je me suis lancé, une fois le caleçon à l’air, j’ai bien vu le regard gourmand de Mélanie. J’ai même cru apercevoir sa langue sur ses lèvres subrepticement. Seule une barrière psychologique l’empêchait de me sauter dessus. Elle m’a invité à raconter mon fantasme, je pensais pouvoir y échapper et pourtant il fallait que j’y aille. Je lui ai donc dit que ce que j’imaginais depuis longtemps, c’était d’aller avec elle faire des courses dans un magasin de sous-vêtements. Qu’elle voulait acheter un nouvel ensemble aguicheur pour faire mourir d’envie son copain et m’avait demandé de venir avec elle l’aider à choisir. Arrivés au magasin, où elle prit quelques ensembles, avec des strings et tangas à chaque fois, on entra ensemble dans l’espace réservé aux essayages. Je la laissai seule dans la cabine, mais une fois les articles enfilés, elle ouvrit le rideau et me montra sa tenue. La première fut magnifique, j’en restai bouche bée. Je découvris le corps magnifique de mon amie avec cet ensemble qui la mettait en valeur, wonderbra en sus. »
« Je ne restai pas insensible, mon sexe grossit à vue d’œil et me mit dans une position inconfortable. On était seuls dans l’espace d’essayage mais la vendeuse n’était pas loin et avait vu ce qu’il se passait. Elle me lança un sourire complice lorsqu’elle me vit. Mélanie repartit dans la cabine, changea d’ensemble et ouvrit à nouveau le rideau. On voyait encore mieux sa poitrine, mais surtout le string lui rentrait bien dans les fesses lorsqu’elle s’est retournée pour me montrer. J’en étais excité, c’était magnifique. Je lui dis d’attendre, je m’approchai d’elle et tirai un peu sur la ficelle pour la ressortir de sa raie. Elle me dit alors de ne pas me gêner, je lui demandai donc de se retourner et caressai le slip pour voir s’il lui allait bien. J’avais ma main sur son entrejambe, je sentais sa chaleur, j’insistai donc avec un doigt pour caresser entre ses lèvres. Elle laissa le rideau ouvert pour changer de tenue. Je regardai la vendeuse qui souriait toujours et mit son index devant sa bouche comme pour dire que tant qu’il y avait le silence, on avait carte blanche. Je lui répondis par un clin d’œil. »
« Mélanie était nue devant moi, ses seins à l’air et elle les malaxa pour les faire rentrer dans le nouvel ensemble. Je lui proposai de l’aider, elle se retourna et je vins contre elle. Elle sentit mon érection et se trémoussa dessus. Après lui avoir fixé la bretelle, elle se pencha pour récupérer son string, ses fesses étaient sur ma queue, je n’en pouvais plus, j’ouvris mon pantalon, fermai le rideau derrière moi, sortis ma queue et lui mis directement dans sa chatte lubrifiée d’excitation de se montrer ainsi devant moi. Je la ramonai en lui tenant les hanches. Elle poussait de tout petits cris et m’encourageait jusqu’à ce qu’elle se retire et vienne à genoux devant ma queue la mettre dans sa bouche, ce qui me fit jouir quasi instantanément. Elle avala mon sperme tout en me malaxant les couilles. Elle choisit donc le deuxième ensemble, comprenant qu’il avait fait l’effet escompté. »
« La vendeuse ouvrit alors le rideau et annonça qu’elle voulait aussi son compte. Elle enleva son haut, son pantalon et se mit à quatre pattes. Je me mis derrière elle et lui défonçai la chatte, assez violemment pour qu’on entende les coups de boutoir de mes hanches sur ses fesses. Son vagin absorba ma grosseur sans rechigner, elle passa une main sous son ventre pour se caresser en même temps. Mélanie était devant elle, la vendeuse mettait sa langue sur sa vulve par à-coups, au rythme de mes saillies. Ensuite je sortis mon pénis et le présentai à son anus, la vendeuse tenta d’émettre un son de protestation mais Mélanie lui tint la tête entre ses jambes pour qu’elle la lèche et la pression du gland sur son abricot lui fit écarter son anus pour laisser passer ma verge bien lubrifiée. Mes coups de boutoir devinrent rapidement si violents qu’elle en perdit l’équilibre. Peu de temps après je jouis à nouveau, dans son anus. Après nous être rhabillés, on laissa la vendeuse comme ça dans la cabine qui avait le sperme qui lui coulait sur les cuisses. On prit ses vêtements et on les posa plus loin dans le magasin dans la pile de vêtements à ranger. Elle était seule dans la cabine, nue avec cette semence s’écoulant d’elle, provenant d’un inconnu. Pendant notre paiement en caisse, on la vit au loin essayer d’attraper en vain quelque vêtement. »
« Et pendant que je racontais cette histoire à Mélanie, je me triturais le sexe, le masturbant lentement. Je la voyais qui observait mon pénis avec toujours autant d’envie, tout en dévorant mes paroles et se masturbant elle-même. Je fermai les yeux à la fin de l’histoire et commençai à accélérer le mouvement, sentant que je n’étais pas loin. Je voulais jouir rapidement. J’ai alors senti des lèvres humides sur mon gland, Mélanie l’avait pris en bouche. Je stoppai ma main et elle en prit le relais. Elle me masturbait en faisant tournoyer sa langue sur mon gland, rien de plus. Quinze secondes plus tard des jets longs et puissants sont sortis de ma bite pour atterrir sur mon ventre, mon torse et un peu sur la bouche de mon amie qui s’en délectait. Elle en avait sur les mains aussi. Elle me dit alors qu’elle avait une terrible envie de monter à califourchon sur moi mais qu’elle s’en empêchait pour ne pas tromper son copain et garder notre amitié. Je l’en ai remerciée mais j’aurais tout de même bien aimé. »
« On s’est ensuite calmés, et on a continué à parler de sexe et d’autres choses également jusque tard dans la nuit. »
Je lui raconte alors mon histoire sans les détails les plus précis mais assez pour qu’il comprenne toute la situation.
C’est comme ça que ma relation avec Jean se termine. Je pensais passer un après-midi agréable, je n’en attendais rien de plus mais il arrive, m’annonce cette triste nouvelle, même pas de « dernière fois ». Juste des promesses mutuelles pour plus tard, si jamais…
Avant de partir, Jean va aux toilettes. Son téléphone reste à ma disposition et après quelques secondes d’hésitation je fouille dedans pour y trouver le numéro de cette Mélanie, et j’y vois même une photo associée au contact, charmante demoiselle. Je note le numéro.
À son retour Jean ne se rend compte de rien et je le laisse partir comme il est arrivé. Juste un petit bisou d’adieu.
L’ado en train de devenir homme avait révélé une facette de moi-même qui m’était inconnue. Il s’en va, sans sentiment, sans regret et je dois dire que je n’en ai même pas non plus. Je suis plutôt soulagée d’une fin sans histoire, de l’avenir qui se remplit de portes ouvertes sur de nouvelles aventures. Sans aucun scrupule.
En fait toute ma pensée est déjà dirigée vers la soirée qui s’annonce avec Emna, son ami que je n’ai encore jamais vu mais je fais confiance à mon amie pour ça, pas de souci. Le fait d’y aller en vraie célibataire me soulage encore plus l’esprit et va me laisser libre de toute action. Je ne peux en demander plus, ma vie est parfaite en ce moment.
On est au beau milieu de l’après-midi, je vais aller prendre un bain, me choisir une robe légère et des sous-vêtements auxquels ils ne pourront pas résister.