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02/05/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Emna raconte à Yuan son histoire avec un de ses clients un jour de conférence. Client qui lui a proposé une relation tarifée. Emna finira par accepter malgré les remises en question, puis passera la soirée avec son amant. Et se vengera à sa manière.
Critères:  f fh fbi hplusag extracon collègues prost grossexe voyage lingerie fmast fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fdanus fsodo hdanus confession -tarifé
Auteur : Tortue675  (J'écris pour vous, merci de noter, commenter, me mailer ;))            Envoi mini-message

Série : Yuan et ses ami(e)s

Chapitre 05
Confidence d'Emna, relation tarifée.

Résumé :

Yuan s’est rapprochée d’Emna, et leur histoire commune a démarré intensément. Yuan ne sait plus comment gérer ses sentiments ou ses envies, et se laisse juste vivre les événements tels qu’ils surviennent. La confiance entre les deux filles s’est installée, elles deviennent rapidement intimes et, en attendant la suite de la soirée (un ami d’Emna doit venir), elles se livrent à des confidences. Emna a une histoire assez particulière à raconter.







Je suis avec Emna sur le canapé, dans nos petites et jolies robes de soie. Instant de complicité impudique.



Emna m’a dit ces mots en posant sa main douce sur ma cuisse. Un peu haut d’ailleurs, ce qui me réveille intérieurement, m’électrifie. Cette fille pourra me rendre folle encore longtemps à mon avis. Il faut dire qu’elle est si belle, si douce. Sa voix est un régal. Je ne peux pas prendre de notes ou l’enregistrer, mais je vais être attentive comme il faut, pour ne rien rater.



« Il y a quelques mois la société n’allait pas très bien à cause des répercutions du début de la crise, et les chefs avaient décidé d’envoyer quelques personnes en formation ou autre événement pouvant améliorer les compétences de chacun. J’ai pu choisir un meeting qui m’intéressait, à Bordeaux. Trois jours. Je pouvais ainsi en profiter pour visiter cette belle ville et faire quelques courses car c’était vers la fin du mois de décembre, donc Noël approchant, je ne refusai pas cette opportunité. Mon chef a accepté et tout organisé sans mon aide. On voyait bien qu’ils voulaient apporter quelque chose à leurs salariés.


Bref, le jour J arrive et, à peine arrivée, je constatai que la société faisait attention à ses frais car j’étais logée dans une petite chambre d’hôtel à côté de la gare. Petite, pas horrible non plus, mais je n’allais y passer que les nuits, donc ce finalement ce n’était pas un grand problème en soi.


La première matinée s’est passée dans une conférence un peu inutile, et j’y retrouvai pas mal de clients avec lesquels j’avais eu de nombreux contacts, surtout téléphoniques.


Au moment du déjeuner, deux d’entre eux m’ont invitée, et je me suis donc retrouvée à table avec eux et une de leur collègue dans un restaurant typiquement français. Les discussions ont été animées et amusantes, on a donc raté le début des conférences de l’après-midi. En partant, Xavier a voulu rester avec moi quelques instants. Pour tout te dire, Xavier était quelqu’un de très charmant. J’avais eu l’occasion de le rencontrer lors d’une de ses visites parisiennes. Il était de Montpellier et travaillait régulièrement avec nous. Je le trouvais extrêmement craquant, mais j’avais aussi remarqué sa bague de mariage. Perturbant, mais on doit se faire une raison, les beaux mecs sont tous casés, c’est bien connu.


Quand il m’a prise un peu à l’écart, j’ai vu qu’il n’était pas très sûr de lui, qu’il appréhendait un peu, mais il m’a rapidement dit qu’il aimerait un déjeuner en tête-à-tête pour discuter un peu de travail et aussi avoir l’occasion de faire plus ample connaissance.


J’acquiesçai tout de suite, car c’était exactement ce que je voulais. Pouvoir sortir un peu, et pas toute seule, car c’est vraiment horrible. Je lui ai donc dit que le soir même me semblait parfait. Il m’a donc donné rendez-vous dans un restaurant qu’il connaissait un peu, il m’en a donné la carte et m’a dit de l’y rejoindre à vingt heures.


En le quittant, je n’avais plus vraiment envie de rattraper la conférence déjà bien démarrée, j’en ai profité pour aller faire un peu de shopping.


Je ne savais pas quoi attendre de cette soirée, mais je voulais me donner toutes les chances. J’avais ramené une robe assez classe et relativement classique, ne sachant pas à quel type de dîner on allait m’inviter, mais je décidai d’aller m’acheter des dessous charmants. »



« Dans ma chambre d’hôtel, je me suis préparée longuement. Comme j’avais le temps, j’ai mis toutes les chances de mon côté. J’ai pris un long bain pour me détendre. J’avais facilement deux heures d’avance, je n’ai pas hésité à me masturber dans le bain pour évacuer toute cette pression sexuelle que j’avais à ce moment-là. Tu sais, j’aime me masturber. J’aime sentir mon clitoris sous mes doigts, j’aime malaxer mes seins, surtout mes tétons en fait. Je démarre au quart de tour, je sais parfaitement me faire grimper en moins d’une minute, mais en général je reste dans un état élevé d’excitation pendant de longues minutes, prête à éclater et ensuite j’arrive parfois à enchaîner deux ou trois orgasmes rapidement. Cet après-midi-là j’en ai fait qu’un, je voulais quand même me garder un peu pour la soirée si jamais… Au pire, je pouvais toujours continuer seule dans la nuit à mon retour.


Quand je suis arrivée au restaurant, il était là depuis à peine cinq minutes. Très classe également. Il m’a dit quelque chose comme « Wow, Emna, je ne vous connaissais pas dans ce genre de robe », et je lui ai répondu qu’il était très classe également, bien charmant, mais qu’on pouvait aussi se tutoyer.


Je savais que je lui faisais de l’effet, et ce n’était pas uniquement via la robe qui sculptait mon corps, mais aussi parce que j’avais détaché mes cheveux. Plus d’un homme s’était retourné sur mon passage entre l’hôtel et le restaurant. Flatteur pour les quelques premiers, saoulant ensuite. Certains ne se gênent pas pour commenter à voix haute ou se faire un torticolis alors qu’ils tiennent la main de leur copine.


Bref, on a une nouvelle fois discuté pendant longtemps, passé en revue les deux collègues qui avaient partagé notre déjeuner, non sans les critiquer bien sûr. Après une heure, à la fin du plat principal, il a commencé à me parler de sa petite famille, sa femme et ses deux enfants, deux filles. J’ai été un peu déstabilisée, car jusque-là, je pensais qu’il n’y avait peut-être plus rien dans sa vie. Il avait étrangement pris soin de ne pas mettre son alliance, je n’imaginais donc pas qu’il me parlerait de ça. Mais bon, je me suis fait rapidement une raison et lui posai des questions sur sa vie, etc.


On a fini notre bouteille de vin et sans prendre de dessert, on s’est retrouvé dans la rue. Il a voulu aller se balader et on a profité des quais réaménagés il n’y a pas si longtemps. C’était beau, il faisait un peu frais, mais c’était supportable. La situation avec Xavier était particulière : j’étais attirée par cet homme marié qui semblait heureux. Il pouvait le sentir je pense et, à un moment donné, on s’est assis et il m’a dit :


  • — Écoute Emna, la situation est compliquée. J’aime ma femme, j’aime ma famille, je ne sais pas comment remercier la vie de m’avoir donné tout ça et je veux le garder. Par contre, je dois t’avouer que j’ai une attirance spéciale pour toi.

Sur ça, que veux-tu que je lui réponde ? »



Et il a continué :



J’ai été choquée, je lui ai dit que je n’étais pas une pute. J’ai assez mal pris sa demande, mais il a voulu m’expliquer que c’était sa manière de me protéger. De m’enlever une quelconque culpabilité, et que lui aussi se sentirait mieux ainsi, qu’il avait l’impression que ce n’était pas un adultère mais un besoin à assouvir.



« Il m’aurait proposée une histoire sans lendemain, j’aurais fait semblant de ne pas accepter, mais j’aurais fini dans son lit. Là, je me sentais humiliée. Je lui ai dit :


  • — Écoute, j’ai passé une super soirée, tu me plais beaucoup. Je n’ai pas envie de passer ma vie avec toi, mais là, tu me propose d’être ta call-girl cette nuit. Toi qui as une belle vie et des enfants. Ta femme, c’est ton problème. Je suis choquée, tu permets que je rentre à mon hôtel ?
  • — Donc c’est non, si je comprends bien. J’ai de l’argent, ce n’est pas le problème, je voulais te proposer 800 €, un tarif que les prostituées ne connaissent pas, sauf certaines. Je ne sais pas quoi te dire d’autre. Tiens voilà 50 €, prends un taxi, rentre à ton hôtel. Si tu changes d’avis, ou si tu veux qu’on se voie demain soir, tu as mon numéro. Mais tu gardes ça pour toi, s’il te plait.

Je suis partie sans rien dire en prenant les 50 €, il m’avait choquée, pas de raison que je ne prenne pas ce qu’il m’offrait.


Arrivée dans ma chambre d’hôtel, je me suis effondrée en larmes. J’ai commandé une coupe de champagne à la réception. Et en la buvant, j’ai réfléchi. Je me sentais seule, bien habillée et sexy dans une chambre d’hôtel un peu merdique. Le champagne n’avait quasiment pas de bulles. Le gars avec qui je voulais passer ma fin de soirée n’avait rien trouvé de mieux que de m’insulter en voulant me payer pour ce que j’étais prête à lui offrir gratuitement.


Au bout d’un moment, je me suis dit que j’étais bête de ne pas en profiter. Me faire de l’argent et 800 € au moment de Noël, ce n’est pas rien. Je pouvais m’offrir les belles bottines que je voulais depuis un certain temps et qui seraient parfaites pour la soirée du nouvel-an que j’avais prévu… bref, je commençais à y voir un intérêt grandissant.


En finissant ma coupe, je lui ai envoyé un sms :


  • — que veux-tu de moi, que dois-je faire ?

En trente secondes, il m’a répondu :


  • — Être avec moi, passer la nuit, rien que tu ne veuilles pas ou tu n’aies pas envie. À cela je réponds :
  • —  pourquoi fais-tu ça à ta femme ? auquel il me répond :
  • —  une absence de sexe de trois mois, une libido inexistante et un amour fou pour elle. Pas envie de la quitter mais je suis un homme et tu es resplendissante.

Je n’avais pas pitié, mais il m’avait touchée. Une femme devrait faire attention à sa libido, et surtout se rendre compte que les hommes ont des besoins. Soit elles devraient accepter les écarts, soit s’arranger pour calmer les ardeurs de leur mari en rééduquant leur libido d’une manière ou d’une autre. J’ai donc attendu dix minutes puis :


  • — Pourquoi moi ?
  • — Car tu es la seule dont j’ai rêvé depuis longtemps
  • — ok
  • — ok quoi ?
  • — hôtel ? chambre ?
  • — le seul en face de la conférence de ce matin, 471
  • — 15 minutes
  • — merci
  • — 800 €

Je ne voulais pas lui faire croire que j’avais perdu l’idée de l’aspect financier de la proposition, et que j’acceptais de venir car il m’avait convaincu autrement. Je voulais qu’il sache que je me laissais convaincre mais qu’il devrait payer ce qu’il m’avait proposé. Il avait fait l’erreur, il le paiera, au sens propre.


Quand je suis arrivée à son hôtel, j’ai pris l’ascenseur jusqu’au quatrième étage, et ai parcouru les longs couloirs jusqu’à la porte de la chambre 471. J’ai frappé doucement et, à peine trois secondes plus tard, la porte s’ouvrait. Je suis rentrée dans la pièce assez sombre, ai attendu qu’il referme la porte pour lui prendre le cou, l’attirer à moi et l’embrasser à pleine bouche. Nos langues se sont trouvées, mélangées, on était parti pour un baiser des plus tendres et excitants que j’ai pu faire. Il m’a alors attrapée par les hanches et attirée à lui. J’ai tout de suite senti son érection. Je lui ai alors glissé à l’oreille :


  • — Je suis à toi pour toute la nuit, tu peux me faire tout ce que tu veux. Tu as payé, tu ne seras pas déçu alors ne gaspille pas.

Il m’a regardée, m’a embrassée une nouvelle fois et a attrapé le téléphone de l’hôtel pour commander une bouteille de champagne.


Xavier avait mis cinq ou six bougies pour éclairer la pièce. C’était très joli. La chambre était spacieuse et le lit très grand. Sa société avait apparemment moins de problèmes financiers que la nôtre, en tous cas elle était moins radin.


J’ai retiré ma veste pour me retrouver devant Xavier avec la même robe que lors du dîner.


  • — Tu es toujours aussi jolie, encore plus sous la lumière des bougies.

Bien sûr, j’étais heureuse comme tout, je savais que j’allais passer une bonne nuit, et ce côté dominée par l’argent me poussait un peu vers l’avant. Le côté choquée était passé, maintenant je commençais à apprécier la situation, il faut dire que c’est plus facile quand c’est avec quelqu’un qui t’attire déjà à la base.

J’ai ensuite passé une nuit merveilleuse. Tu sais presque tout maintenant. »



« Donc en attendant le champagne, j’ai poussé Xavier sur un mur lisse, l’ai embrassé et ai posé ma main sur son paquet tout dur. Je lui ai dit à l’oreille :


  • — Mais c’est qu’il me donne envie ce paquet, il va falloir le libérer.

Et j’ai posé un baiser sur son torse, me suis mise à genou et ai ouvert sa braguette. Je me sentais d’une sexualité folle, débridée, remontée par cette histoire d’argent, j’en perdais toute notion et avais envie de sexe. Brutal, cru, bestial. Je voulais me faire prendre rapidement. Mais d’abord, je voyais un gros sexe enfermé dans un boxer qui en était tout déformé. Cela faisait une belle bosse, j’ai descendu le pantalon jusqu’à ses genoux, ai passé une main sous le boxer en le regardant dans les yeux. J’ai senti sa verge, douce dans ma main, j’ai vite retiré le boxer et ai vu ce sexe érigé devant moi.


C’est qu’il avait une belle bite, le Xavier. Bien monté, sur un corps de sportif, le rêve de plus d’une femme. Bien plus que la moyenne, il devait être aux alentours de dix-huit centimètres. J’ai posé ma bouche sur son gland, ai senti de suite son goût que j’ai tout de suite aimé et ai avalé la moitié de son sexe en attrapant le reste avec ma petite main qui en faisait difficilement le tour. Je lui ai fait une fellation qui l’a énormément excité. Après quelques secondes, j’ai entendu les coups à la porte et Xavier répondre :


  • — Entrez, mettez ça sur la table.

Le serveur venait livrer la bouteille et les deux verres pendant que je suçais Xavier sous ses yeux. Je ne me laissai pas arrêter, je continuai mon rôle de petite salope. Le serveur a pris le temps d’ouvrir la bouteille, de servir les deux verres et nous a dit :


  • — Je vous souhaite une bonne soirée monsieur, ainsi qu’à mademoiselle qui a l’air d’apprécier.

Je fus surprise par ce commentaire mais continuai ma besogne jusqu’à ce qu’il parte. Je me suis relevée et ai accepté la coupe tendue par Xavier. L’instant d’après, je le déshabillai complètement, il m’a attrapée et m’a jetée sur le lit avec douceur mais fermeté. Il a passé une main sur mes cuisses, m’a embrassée pendant ce temps, et a trouvé mon string. Il a continué ses caresses à travers le string et quand il est passé sur ma chatte mouillée, il a écarté la ficelle pour jouer avec mes lèvres qui n’en pouvaient plus d’excitation. Je l’ai laissé faire, et ensuite, il a relevé ma robe sur mon ventre et a déposé un baiser sur ma chatte détrempée. Il m’a écarté les cuisses, s’est placé pour me faire un cunnilingus.


Il me mangeait littéralement, fourrait sa langue dans ma chatte, récupérait ma mouille, la goûtait, et me dévorait complètement. Il me caressait en même temps les lèvres avec ses doigts et la sensation était douce et agréable, j’ai adoré. Ensuite il m’a relevée et m’a rapidement retiré ma robe, j’étais en sous-vêtements devant lui. Il me dévorait des yeux, j’ai donc enlevé mon soutien-gorge, lentement pour lui dévoiler mes seins, lourds et excités eux aussi. Je voyais son envie qui ne cessait de grandir, je l’ai pris par la main et l’ai invité à s’allonger. Après avoir retiré mon string trempé, je suis montée sur lui et avant même que l’on ne commence quoi que ce soit, il m’a dit :


  • — Je veux que l’on se protège.
  • — Moi non. Je suis à toi cette nuit, je me donne. Tu me fais ce que tu veux, j’ai envie de te sentir complètement.
  • — Non, j’ai même envie de te proposer un peu d’argent en plus, mais on se protège.
  • — Combien ? dis-je en frottant mon pubis totalement humide contre son sexe tout dur.

Il devait sentir les gouttes de cyprine tomber sur lui, mes lèvres sentaient la douceur de son sexe, son gland frappait doucement contre mon clito, je m’excitais lascivement contre lui, je n’aurais eu qu’un mouvement à faire pour sentir ce sexe en moi, m’empaler sur ce bâton divin.


  • — 200 €. Bien sûr, comme toi, j’ai envie de te prendre comme ça, sans capote, je suis à deux doigts de le faire mais…

Pendant qu’il disait ça, j’embrassai son torse, passai une main sous mon ventre et attrapai sa queue pour jouer avec. Je frottai encore plus intensément son gland contre mon clito, contre mon entrée et doucement je donnai un petit coup de fesse pour sentir le début du gland dans ma cavité.


  • — Arrête là ! Je veux me protéger, c’est le seul rempart de respect qui me reste envers ma femme.
  • — Ok, comme tu veux…

Il a attrapé une capote sur la table de nuit, l’a enfilée pendant que je me mettais un peu en retrait, et quand il eut fini, je recommençai ma danse sur lui. Je ne sentais plus la douceur d’un gland caressant mes lèvres, il n’y avait plus la même douceur et terrible sensation. Doux certes, dur comme du fer, et j’étais toujours aussi mouillée, je n’ai donc pas attendu, j’ai mis un coup de bassin et me suis empalée complètement sur sa verge. La sensation était géniale, je me sentais remplie et je voulais un bon va-et-vient pour le rendre fou. Ma mission était de prendre du plaisir mais aussi je voulais le satisfaire et lui faire regretter tout un tas de choses. Qu’il trompe sa femme, qu’il ose me payer, qu’il veuille payer quelqu’un pour baiser, et qu’il ne veuille pas m’avoir pour toujours. Cette dernière option me convenait parfaitement par contre.


Je me suis donc activée, et j’ai mené la danse pour en arriver à une cadence assez rapide. Je sentais qu’il était remonté à bloc, et qu’il arriverait à bout rapidement. Il m’a arrêtée, s’est retiré et m’a mise à genoux. J’ai cambré les fesses pour qu’il voie mon antre au mieux possible avec le peu de lumière qu’il y avait. Qu’il voit aussi mon abricot, ma petite pastille sacrée comme j’aime le dire. Il m’a embrassé les fesses, je suis habituée à cela via les filles que je fréquente mais pas avec les hommes. Il m’a tenu les hanches et m’a pénétré le minou, telle une saillie, jusqu’à la garde.


Il a accéléré le mouvement, je sentais ses poils contre mes lèvres gonflées quand il était au fond de moi, je sentais ses couilles taper, j’étais aux anges. J’ai mis quelques coups de bassin pour lui montrer que j’aimais ça, et après quelques va-et-vient, j’ai compris qu’il était à bout. Il est sorti, a enlevé la capote et a joui sur mon dos et mes fesses. Un jet puissant est venu jusqu’à mes omoplates. Je sentais son liquide chaud. Celui sur mes fesses commençait à couler, allait vers ma raie et j’ai senti un peu de sperme aller vers mon anus. Xavier avait fini de jouir après quelques jets. Il avait vu ce sperme couler et a caressé mon anus avec le sperme qui était dessus.


Étrange sensation, mais j’étais disposée à lui faire plaisir et à me laisser aller. Il m’avait payée pour ça et il n’allait pas le regretter. Il a inséré son index dans mon anus dilaté par ses caresses et humidifié par le sperme, ensuite je me suis retournée vers lui, son sexe était toujours érigé, le gland luisant de sperme. Je l’ai attrapé dans ma bouche et ai nettoyé cette verge. Son goût était assez bon, un peu salé bien sûr. Je ne suis pas amatrice de sperme en général, mais le sien n’avait pas mauvais goût. Je l’avalais à pleine bouche, sentant son gland contre ma glotte, ma langue tournoyait autour de sa queue pendant que je lui malaxais les couilles.


Il m’a arrêtée, est allé dans la salle de bain chercher le PQ et m’a essuyé le dos pour récupérer ce sperme dans ces mouchoirs improvisés. Il est revenu derrière moi, j’étais toujours à quatre pattes et m’a reposé un baiser sur les fesses, et sa langue a parcouru le bas de mon dos, mon coccyx, et est descendu jusqu’à mon anus. Il devait avoir un goût étrange, mon anus mélangé à son sperme et apparemment il appréciait car il joua avec mon anneau interdit assez longuement. J’ai déjà été prise par-là par un homme, mais c’est une pratique que j’avais arrêtée depuis longtemps avec les hommes car souvent ils ne sont que des brutes et ne font pas attention à toi. Ce soir, étant sa petite-salope-privée, son objet, je ne m’interdisais rien. Le champagne m’avait désinhibé et l’argent me faisait me laisser aller.


Il a continué à me lécher comme ça, a joué avec ses doigts et mon vagin et s’est calmé, étendu sur le lit. Je me suis mise à côté de lui


  • — Déjà fatigué ?
  • — Non, je n’ai pas fini avec toi, je veux profiter un peu, encore.

J’ai été prise d’un moment de tendresse, j’ai l’ai pris dans mes bras, l’ai tendrement caressé partout. Baisers dans le cou, sur le torse. Je l’ai retourné, allongé sur le ventre, je lui ai fait un massage. Quand j’arrivai vers les fesses, je jouai avec. J’étais assise sur lui, sur ses fesses, et au fur et à mesure je reculais, j’avais mes fesses sur ses jambes et j’avais accès aux siennes. Très peu poilues, bombées parfaitement, j’avais envie de les croquer. À défaut, je les caressai et passai mon doigt sur sa raie avec à peine un peu de pression. Il avait l’air d’apprécier, j’allai vers ses couilles et les malaxai. J’attrapai sa queue ramollie en dessous de lui, la caressai et fis le chemin inverse avec plus d’insistance. Je lui écartai les fesses, et mon doigt est passé sur son anus, il n’a pas bronché. Je l’ai même vu se trémousser un peu, enfin c’est ce que j’ai cru voir. Je l’ai titillé, caressé, excité.


Je commençai à voir qu’il aimait qu’on s’occupe de lui car son érection recommençait. Ma deuxième main sur sa queue ne pouvait pas se tromper. J’ai donc écarté ses fesses avec mes deux mains, gentiment et j’ai embrassé son anus, ma langue l’a titillé, et ça m’a excitée aussi. Je sais très bien faire ça, mais aucun homme ne m’a jamais laissé le faire. Mon index est venu jouer avec ma langue sur son anus et j’ai pu le rentrer doucement. Les premiers centimètres, il a manifesté un petit murmure de bonheur, j’ai compris qu’il n’était pas contre. J’ai continué et mon doigt est rentré complètement dans son anus. Ma langue le titillait inlassablement. Au bout de quelques instants, il m’a dit :


  • — Attends, s’est relevé, a mis une nouvelle capote et m’a fait m’allonger sur le dos.

Il est venu sur moi, j’ai senti son poids, son côté viril et mâle, et il m’a prise à nouveau jusqu’à la garde. Je l’avais à nouveau excité à bloc. Son mouvement ample m’a vite fait perdre pied, et j’ai senti un orgasme monter. Il ne perdait pas le rythme, me pénétrait profondément. Je le sentais en moi, j’étais pleine de lui, dommage que ce bout de plastique m’empêche de sentir la douceur de cette belle bite.


Le frottement incessant à l’intérieur de mon vagin, cette verge qui tapait dans le fond de mon utérus, son poids qui me faisait me sentir dominée, sa vitesse jamais ralentie m’ont fait exploser, après quelques cris, sans me soucier des voisins de chambre. Il a continué pendant que je venais, j’étais épuisée, effondrée. Il a attrapé ma jambe droite, l’a mise sur son épaule, est sorti de mon vagin et a posé son gland sur mon anus. J’ai voulu l’exciter davantage, je savais que ça irait très bien vu mon niveau d’excitation, vu sa préparation, je lui ai dit :


  • — Oh oui, encule-moi comme une salope.

Et il a appuyé son gland sur mon entrée et j’ai senti mon anus se dilater, laisser la place à cette verge digne d’un bâton de fer forgé. Il m’a ouvert l’intérieur, excitée comme j’étais, ce n’était pas douloureux. Ma mouille avait coulé de mon vagin vers mon anus, j’étais trempée de partout. Il m’a prise et, étonnamment, il était en moi complètement jusqu’à la garde au premier mouvement. Cette belle et grande bite qui m’enculait à présent. Mon orgasme récent laissait la place à un nouveau qui n’était pas loin du tout. Il a commencé ses va-et-vient et là c’était merveilleux, au bout de deux minutes il n’en pouvait plus, il était tout rouge, son cœur battait vite. Mes jambes enserraient ses hanches, mes chevilles poussaient ses fesses pour qu’il m’encule plus vite, plus fort et mon orgasme arrivait, j’ai crié, et cela l’a fait exploser. Il a joui et cela a aussitôt déclenché le mien. Je me caressais le clito en même temps, j’ai explosé dans des cris qu’il essayait d’étouffer avec sa main sans perdre le mouvement.


Ensuite on s’est re-calmé, il a retiré sa verge, la capote pleine, et je l’ai à nouveau nettoyé avec la bouche, récupéré les quelques gouttes de sperme sur son gros sexe. J’ai aimé faire ça. »



Emna est juste à côté de moi, toute proche et sa main me caresse tendrement quelques instants l’entrejambe puis la cuisse, tout en continuant son récit.



« Disons qu’ensuite on s’est allongés l’un à côté de l’autre, le désir sexuel avait laissé la place à un moment plus détendu et tendre. Tous nus, l’un contre l’autre, relaxés, je m’étais blottie contre lui, et on s’est assoupi quelques minutes, puis on a discuté un peu. Il m’a parlé de la manière dont il avait toujours imaginé m’avoir depuis le jour où il m’avait vue pour la première fois.


Et les dilemmes que cela lui avait posés concernant sa relation avec sa femme. Il m’a ensuite raconté la vie de sa petite famille, ses deux enfants, deux filles et sa femme qu’il a aimée depuis ses années de lycée, qui était apparemment toujours l’élue de son cœur mais, les années passant, la vie de couple routinière a fait que, sexuellement, il était un peu en retrait et surtout en manque.


Il m’expliquait tout cela et continuait à me caresser les différentes parties du corps avec sa seule main disponible. Tendrement, passant sur mes jambes, mes cuisses, il survolait mon bas-ventre et mes hanches pour venir sur mon nombril, mon ventre qu’il massait d’un geste léger. Il remontait et passait sur mes seins avec le bout des doigts. Mes tétons étaient ultra-sensibles et excités, et il continua son chemin jusqu’à mon visage, mon cou. Je restais calme pendant ce temps, ayant une main sous son dos, et une sur son ventre légèrement poilu, un peu rebondi (l’embonpoint des hommes mariés).


Son sexe était redevenu à la normale, penché sur la gauche, au milieu de fins poils.


On a parlé, parlé ainsi pendant de longues minutes. Il était encore tôt dans la soirée, on savait qu’on avait le temps de faire parler nos corps, mais je voyais que c’était surtout lui qui avait besoin de parler. La main que j’avais posée sur son ventre est accidentellement partie vers sa hanche, et j’ai vu que le mouvement lui faisait un peu d’effet. J’ai voulu faire quelque chose que j’aime faire, mais qui est difficile car rapide. Je me suis redressée, son sexe était encore tout mou et je suis allée vers lui et l’ai pris en bouche sans que Xavier ne se doute de mon action.


C’est merveilleux de sentir un sexe gonfler dans sa bouche mais c’est vraiment très rapide. En cinq secondes, j’avais déjà du mal à garder toute cette verge en bouche, il redevenait dur, parfaitement droit et toujours aussi impressionnant. Je continuais donc à lui tailler une jolie pipe et il appréciait si j’en crois ses plaintes.


À ce moment-là son portable a sonné, et au bout de quelques sonneries il a décroché en disant :


  • — Allô chérie…

J’ai compris qu’il avait sa femme au téléphone. Je ne voulais pas le griller, mais je n’allais pas rester à rien faire, tout calmement. J’ai décidé de le laisser parler et de continuer ce que je faisais. Il n’a eu aucun mal à raconter sa journée, à dire qu’il était en train de lire avant de regarder un film, etc. Tout ceci pendant que je prenais sa verge en main, je passai la langue sur son prépuce, j’aspirai son gland puis j’allai vers ses testicules pour les gober, ses poils me caressant le visage.


À un moment donné, il a demandé une pause pour une obscure raison à sa femme, j’ai vu qu’il avait éloigné le téléphone, posé sa tête sur l’oreille, bouche moitié ouverte, je le sentais proche de l’orgasme, j’ai arrêté temporairement, le temps qu’il reprenne ses esprits et la conversation. Il a même pu parler à ses deux filles, alors même que je lui couvrais les jambes de baisers, lui massais les couilles en les prenant en bouche. Ses poils blonds châtains étaient fins, ils ne gênaient absolument pas. De l’autre main, je le masturbais lentement. Le prépuce était rouge de désir, je passais ma langue partout sur cette verge. Il a ensuite raccroché et il a attrapé mes fesses, mes hanches et il a positionné mon bassin sur son visage. On était en position du 69, et lorsqu’il a passé sa langue directement sur mon clitoris, j’ai eu une décharge électrique à l’intérieur de mon corps qui m’a fait comprendre que l’on était reparti pour d’intéressantes aventures…


Il m’a tendrement léché la fente qui était humide au point d’avoir une goutte qui tomba directement dans sa bouche. Et il a continué à me fouiller le vagin pendant que je prenais une bonne partie de sa verge dans ma bouche. La douce sensation du gland au fond de ma gorge, le plus profond que j’arrivais à l’avaler, pendant qu’une langue s’agitait dans mon intérieur le plus personnel. Ses mains me malaxaient les fesses, il n’était pas avare avec sa langue, il allait partout, dans mon vagin, sur mon clitoris, sur le périnée et ensuite, il a commencé à mettre un doigt dans mon minou pendant que sa langue titillait le clitoris. Puis deux doigts, et je ne me laissais pas faire car je lui léchais la bite de tout son long, et j’insérais un doigt dans son anus, il avait les jambes bien écartées, comme s’il le demandait. Mon index était partiellement inséré, il se dilatait pour l’accueillir, et plus je l’enfonçais plus il me fouillait le minou avec sa langue.


Je ne me laissai pas démonter, je continuai mon exploration pendant que ma bouche était pleine de sa verge et le masturbait avec mes lèvres. Dans son anus, je fis quelques va-et-vient. Il m’a inséré deux doigts dans le vagin et a passé sa langue sur mon anneau défendu, ça m’a encore plus excitée. J’avais le minou totalement trempé de mouille, de salive, et la langue de mon amant d’un soir parcourait mon anus tout serré, entrée intime bien que déjà pénétrée dans la soirée. Les doigts dans le vagin connaissaient bien leur rôle, et mon point G était occasionnellement sollicité. Je lui ai donc mis un deuxième doigt dans son intimité et il l’a accepté, c’est passé tout seul. J’allais bien au fond, c’était bien lubrifié.


On est resté plusieurs minutes à s’occuper l’un de l’autre, j’avais le bassin sur son visage, il me faisait tout ce qu’il voulait. J’ai pris sa bite au plus profond que je pouvais, et j’ai senti qu’il était au bord de l’extase. Bien qu’à la moitié de sa longueur, je sentais son gland sur ma glotte. Je l’ai gardé comme ça, immobile pendant que je continuais les va-et-vient dans son cul, et soudainement la verge s’est tendue, ou son corps, je ne sais plus. Puis j’ai senti son liquide chaud me tapisser le fond de la gorge, sa décharge m’a rempli la bouche, le goût salé m’a submergé, j’ai été heureuse d’accueillir sa semence pour la troisième éjaculation de la soirée. Quelques gouttes s’échappèrent de la commissure de mes lèvres pour finir sur le drap.


Décidemment, il avait besoin d’une bonne purge, sa femme a du souci à se faire. J’ai continué à l’avaler, le lécher, recueillir tout le sperme que je pouvais, et il me fouillait le vagin avec plusieurs doigts, je ne sais plus combien, je ne sais plus ce qu’il faisait exactement.


Surexcitée, je me suis relevée, me suis retournée pour m’asseoir sur lui, j’ai pris sa bite dans ma main, l’ai dirigée vers mon vagin et son doux gland humide était déjà en moi, m’écartant l’orifice, mes lèvres l’accueillant volontiers. Il m’a arrêtée pour me demander de lui mettre une capote, j’ai accepté mais ai donné un coup de bassin pour sentir sa douceur me pénétrer de quelques centimètres encore. Je lui ai ensuite mis la capote avec la bouche et l’ai enfourché rapidement.


J’étais trempée, excitée, sentir cette bite me remplir était à nouveau délicieux. Une électricité a parcouru mon corps, je n’arrivais pas à m’asseoir complètement sur lui, sa bite était un peu trop longue pour moi, mais cette grosseur m’écartait les lèvres, me caressait l’intérieur du vagin, je le sentais bien au fond de moi, il me faisait décoller les fesses pour que je me rassoie, ce va-et-vient qu’il dirigeait tout seul. Des étoiles apparaissaient devant mes yeux, je m’appuyais sur son torse. Il a inséré un doigt dans mon anus en continuant à me pilonner, et je ne savais plus où j’étais, je gémissais de plus en plus fort jusqu’à ce que l’orgasme arrive, les cuisses contractées, le corps faisait deux cents degrés, je suais, et j’explosai littéralement. Je suis restée sur lui, la bite encore en moi, il fit ensuite de doux allers-retours, mon orgasme était présent, encore vif, mon corps très réactif.


Mais j’étais épuisée. Plusieurs orgasmes dans cette soirée, je ne m’attendais pas à un amant aussi performant. Je me suis relevée, remise en position 69 pour qu’il me dévore le clito brûlant, mon bouton était ultra-sensible, c’est une douce sensation d’avoir une langue qui l’apaise. Je lui enlevai son préservatif et repris son sexe en bouche. J’aurais tant voulu cette douceur sans plastique dans mon intimité.


Après ça, je me suis écroulée, et assoupie quelques minutes. Exténuée, satisfaite, dilatée aussi… J’avais le goût de sa verge dans ma bouche, le vagin en feu et l’anus qui était gourmand.

J’ai profité d’une pause pour aller prendre une douche. Sentir l’eau chaude couler sur mes seins, sur mes fesses, mon sexe humide et chaud me faisait un bien fou. J’ai remis juste mes sous-vêtements, et on a continué à discuter plusieurs dizaines de minutes. »


Le sommeil est apparu plus tard, et je me suis réveillée blottie contre lui au petit matin. Il était tout nu, tout chaud. Je me suis levée pour prendre mon portable et garder un petit souvenir, tu veux voir ?



Emna me montre une petite photo, cet homme approchant la quarantaine mais avec un beau corps. Le sexe trônait épuisé au milieu de ce corps, j’étais presque jalouse en voyant cela, le drap recouvrait les jambes.


« Ensuite, je me suis habillée, il s’est réveillé. Il a tenu sa promesse, il m’a donné une enveloppe avec 1000 € dedans, en billets de 50, il avait tout prévu à l’avance, même le supplément, ce qui m’a beaucoup étonnée. Je suis repartie dans ma chambre d’hôtel en taxi. Une douche froide et j’étais reparti pour une journée de conférence.


Sa présence pendant cette journée était particulière. Je n’étais pas amoureuse, mais excitée, et dégoûtée de m’être laissée considérer comme une prostitué. En même temps, le faire ainsi n’est pas un sale boulot vu la récompense financière et le plaisir enduré.


Les jours suivants, j’ai eu du mal à accepter cet argent. Je me suis acheté mes bottes, comme je pensais, mais ensuite avec les 700 euros qu’il restait, je me sentais salie. J’ai donc décidé de faire une bonne action et j’ai envoyé ces sous aux Restos du cœur. Que certains puissent manger grâce à une soirée de sexe m’a fait également réfléchir. Mais du coup, je me sentais plus propre sur moi… Et j’avais décidé de trouver encore un moyen de l’embêter pour ce qu’il m’a fait faire. »



« En fait, il y a eu une soirée des vœux dans la boîte en janvier, beaucoup de clients étaient invités avec leur conjoint dans un beau bar de la capitale. Je savais qu’il serait là. J’ai décidé de mettre la même robe que lors de cette fameuse soirée, les bottes achetées avec son argent ainsi que les mêmes sous-vêtements. Ainsi, il ne pourrait y avoir de doute. Quand je suis arrivée à la soirée, il n’était pas là, il est arrivé trente minutes plus tard accompagné de sa femme que je voyais pour la toute première fois en vrai. Je l’avais vue sur des photos qu’il m’avait montrées mais là c’était autre chose. Une belle blonde assez grande, presque comme lui, très fine, cheveux longs magnifiques. Une quarantaine, dégageant un fort charme, simple, coquette et qui allait très bien avec lui qui était également sur son trente-et-un. Je les ai jaugés de loin jusqu’à ce qu’au bout d’un moment, il m’aperçoive. Il est venu avec sa femme pour que l’on se présente. Elle avait une voix douce et chaude, on a assez vite sympathisés. Je n’étais pas vraiment déstabilisée car je n’avais personnellement rien fait de mal. J’étais juste un peu surprise. On a bu un verre tous ensemble, profité un peu des cocktails, puis il a continué son tour des personnes qu’il connaissait et a présenté sa femme à d’autres personnes. Elle passait bien partout où elle allait.


Dans le cours de la soirée, il est allé lui chercher un verre et je l’ai accosté à la table en lui disant :


  • — On doit rappeler certains produits à l’usine. Service après-vente. Je t’attends dans dix minutes, dans la deuxième toilette des hommes en partant de la gauche.

Je connaissais peu les lieux, mais j’imaginais que les toilettes des hommes étaient à peu près identiques à celles des femmes. Il a voulu me dire qu’il ne pouvait pas, qu’il devait s’occuper de sa femme, mais je lui ai dit qu’il n’avait pas le choix, tout en sortant mon portable et en faisant défiler les photos rapidement. Il a vu deux secondes de celles que j’avais prises à l’hôtel. Sans rien dire, je me suis partie rejoindre des collègues.


Cinq minutes plus tard j’observai les toilettes des hommes pour tenter de voir s’il n’y avait pas trop de monde puis j’ai pris mon courage à deux mains, suis rentrée dedans en faisant comme s’il y avait une urgence, un homme m’a regardée, mais n’a pas paru plus surpris que cela et j’ai réussi à trouver la deuxième toilette libre. Je me suis enfermée dedans et j’ai fait comme si tout était naturel. J’ai attendu dix minutes et un petit coup rapide sur la porte s’est fait entendre. En ouvrant il était bien là, il est rentré et j’ai refermé le loquet.


Je l’ai embrassé puis mis la main sur son entrejambe, j’ai senti qu’il était excité par cette situation. J’ai déboutonné son pantalon, descendu la braguette, et j’ai vu un slip bien moulant qui laissait apparaître cette queue divine. J’ai enlevé le haut du slip et me suis penchée pour prendre le gland dans ma bouche. Il se tenait de chaque côté des toilettes, me laissant tout faire. Je l’ai sucé quelques instants, massant ses couilles en même temps. C’était la première bite que je voyais depuis notre histoire. J’en profitai puis sortis un préservatif d’une poche interne à ma robe, une petite cachette. Il m’a soulevé la robe, a constaté que je n’avais pas de culotte, je lui ai mis sa capote, me suis retournée, penchée au-dessus des toilettes et il m’a prise comme une chienne, sans violence, mais j’étais si excitée de le revoir, de pouvoir me refaire baiser par cette bite qui m’avait fait tant de bien. Elle est rentrée toute seule et j’ai tout de suite commencé à gémir. J’ai dû faire attention à ne pas faire trop de bruit, on aurait pu nous surprendre, mais je m’en foutais. On devait être rapides, c’était juste un coup pour se faire du bien. Il m’a limée ainsi quelques minutes, me tenant les hanches, massant mes fesses et tout d’un coup je l’ai senti au bord de la rupture, il s’est déchargé dans un profond soupir. Je l’ai laissé reprendre ses esprits puis il s’est retiré, je lui ai enlevé sa capote pleine, à nouveau j’ai nettoyé son sexe avec ma bouche, retrouvé ce petit goût salé. Puis je l’ai remercié et dit « À bientôt », en l’invitant à sortir.


Dès qu’il fut parti, j’ai fermé la capote que j’ai gardée soigneusement dans quelques épaisseurs de papiers, puis rangé dans mon sac à main comme un trophée. J’ai recroisé un gars dans les toilettes en sortant mais sans aucun souci.


Quand je suis revenue dans la salle, je l’ai revu avec sa femme, tout fringuant. Je suis allé les voir, j’ai dit que je devais y aller, que je m’excusais. Je lui ai fait la bise en pensant encore à la manière dont il m’avait baisé il n’y a pas dix minutes encore, en disant merci tout doucement à son oreille. Quand j’ai fait la bise à sa femme, je l’ai félicitée pour sa tenue, qu’elle avait un mari adorable, qu’elle était bien chanceuse. Elle a voulu m’inviter un jour chez eux si je passais dans leur coin, imagine cette scène !


Je suis partie, et j’étais heureuse de rentrer chez moi. Pas rassasiée, lui seul avait joui. Je me suis allongée sans ma robe sur mon canapé, ai sorti mon trophée, la capote avec sa semence. Je l’ai rouverte, ai senti ce sperme en fermant les yeux, cela m’a rappelé NOTRE soirée, puis l’ai fait couler sur mon nombril, mon bas-ventre. Sensation douce et tiède encore, puis je me suis masturbée, le sperme lubrifiait mes mouvements, je caressais mon clitoris avec, j’en mettais en moi. Je voudrais tant l’avoir pour moi quelques jours, le sentir à 100%, avoir son éjaculation au fond de moi, sentir mes lèvres se frotter contre son pénis, ma vulve accueillir cette peau, ce gland, ce prépuce.

Ce soir-là j’ai bien dormi, et je n’ai l’ai pas revu depuis. »



Et c’est vrai qu’Emna m’avait fait monter l’excitation au plus haut point, j’en avais parfois la main sur mon minou, et il était littéralement trempé. J’en étais au point que n’importe quel mec passant là aurait pu me faire ce qu’il voulait, même le livreur de tout à l’heure. Mais c’est une nouvelle fois Emna qui s’est gentiment occupé de moi en attendant l’arrivée de son ami.



La suite de cette histoire sera dans le prochain épisode, uniquement si vous la souhaitez. J’aimerais vraiment avoir vos avis, vos commentaires, c’est ce qui me pousse à livrer mes histoires et écrire ce que l’on m’a raconté et ce que j’ai vécu. Vous avez quelques mots à écrire pour que je continue mes longues confessions.