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n° 15021Fiche technique16016 caractères16016
Temps de lecture estimé : 9 mn
07/06/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Marie raconte ses aventures de lesbienne conquérante.
Critères:  ff jeunes copains jardin danser fête école voiture odeurs cunnilingu -fhomo -fbi
Auteur : Benoberna  (benoberna@aol.com)            Envoi mini-message

Série : Marie

Chapitre 03 / 05
Les aventures de Marie

Les aventures de Marie.




Résumé : Marie, lesbienne devenue hétéro, vit avec ses nouveaux amis.




Notre relation avec Marie s’est installée dans la durée.

Elle avait un appart et, comme nous, des études à poursuivre. Aussi avions nous repris notre mode vie habituel. Le seul et important changement était que Marie venait chez nous les vendredis et samedis soirs ; plus, bien souvent, une soirée de la semaine. Nous avions besoin d’elle comme elle avait besoin de nous et nous devrions rapidement trouver une solution pour pouvoir vivre ensemble.


Nous avions tous les trois du plaisir à être ensemble et, bien sûr, à faire l’amour, Manon avec Marie, ou Manon avec moi ou Marie avec moi ou, le plus souvent, Manon, Marie et moi. Notre relation avait certes pour épicentre le sexe mais bien au-delà elle était devenue une relation amoureuse. J’aimais Manon et Marie qui aimait Manon et qui m’aimait et Marie aimait Manon et m’aimait aussi. C’était devenu totalement naturel, nous nous aimions.


Marie nous avait fait beaucoup de confidences sur sa vie et surtout sur sa sexualité quelque peu débridée et sur sa collection de petites culottes et autres strings, autant de trophées conquis de haute lutte.

Même si elle était follement amoureuse de Manon et de son Fred, Marie était toujours prête à sauter sur toute fille pas trop farouche. Elle ne pensait qu’à aller visiter sa petite culotte, à y glisser sa main à défaut d’autre chose. Homo ou hétéro curieuses composaient son tableau de chasse. Nulle perversité dans cette démarche mais un besoin irrépressible de conquêtes. Elle sentait que telle fille, amoureuse de son mec, finirait dans son lit, sous ses doigts, dans sa bouche. Elle consommait, une fois, deux fois et disparaissait de leur vie, déjà sur la piste d’une nouvelle proie. Elle nous avait raconté deux de ses folles aventures et d’abord un mariage mémorable :




§§§§§§§





Le cavalier que l’on m’avait attribué avait tout de suite essayé de me tripoter mais s’était fait rapidement remettre en place.



Si salope j’étais, ce n’était sans doute pas au sens où il l’entendait. La soirée largement avancée, le DJ prit le micro et annonça :



Paul, qui avait un peu bu, hors d’état de danser, dormait dans un fauteuil. Nous étions donc toutes les deux sans cavalier.



Dès que la lumière s’éteignit je l’ai serrée dans mes bras, prétextant que nous avions trop bu nous aussi, ce qui n’était pas tout à fait faux, et que nous devions nous soutenir. J’en ai profité pour caresser discrètement ses fesses, suivant de mes doigts le bord de sa culotte :



Mes mains glissèrent sous son top et caressèrent son dos, jouant avec l’attache de son soutien-gorge qui finit par se décrocher.



J’attachai tout de même le soutien-gorge et revins à ses fesses.



Me baissant d’un coup sur mes talons, mes mains remontèrent sous sa jupe, saisirent la culotte et la tirèrent vers les chevilles.



Je fis une boule de ce sous-vêtement.



Mes mains sur ses fesses ne rencontraient plus d’obstacle.



Ses mains vinrent à leur tour sur mes fesses.



Et sitôt dit, sitôt fait. Sûre d’elle, elle ne se baissa même pas, souleva ma jupe, saisit mon string et le descendit. Je dus finir de l’enlever moi-même et je le lui donnai.



Et nous les glissâmes dans la ceinture de nos jupes avant de les déposer tout à l’heure dans nos sacs. Nous ne dansions pas, nous étions collées, nos mains sur les fesses ou sur le dos de l’autre.



Ses mains vinrent empaumer mes petits seins.



Nous étions toujours enlacées, les mains de Claire ne quittant pas mes seins, agaçant de ses doigts leurs bouts dressés.



J’étais bien, une fille caressait mes seins et il était maintenant évident que j’allais la bouffer. Joue contre joue, nos lèvres se trouvèrent, se picorèrent.



Nous reprîmes nos esprits et une attitude décente, dansant comme deux filles peuvent le faire dans une soirée familiale. La lumière revenue nous dûmes constater que Paul était encore dans les bras de Morphée.



Et nous sortîmes.

Il faisait beau, la lune éclairait faiblement le parc du restaurant et nous marchions main dans la main. Nous trouvâmes un banc au bout d’une allée et je ne sais laquelle des deux entraîna l’autre pour s’y asseoir. Une envie partagée et simultanée nous fit nous enlacer, nous embrasser, nous caresser. Ma main, sur le genou de Claire, remonta entre ses cuisses qu’elle écarta en se plaignant :



Je sentis bientôt les poils sous mes doigts et je fis durer le plaisir avant de chercher à me glisser en les écartant pour aller me faufiler dans ce sexe dont j’avais envie depuis tout à l’heure. Claire eut un sursaut mais ne me repoussa pas.



Et un peu plus tard :



Ses doigts s’insinuèrent dans mon intimité.



Nos doigts fouillaient nos sexes, agaçaient nos clitoris ; nous étions bien.



Elle ne se fit absolument pas prier et je plongeai mon visage dans ce sexe, ma langue trouvant rapidement le point sensible.



Lorsqu’elle eut retrouvé ses esprits, nous nous levâmes pour rejoindre la fête, notre absence prolongée pouvant être remarquée.



En fait d’une coupe nous bûmes plus que de raison, nous mêlant aux danses et aux jeux qui terminent en général les repas de mariage, heureuses, doublement euphoriques du fait de l’alcool et de ce que nous avions vécu. Entre temps, Paul avait refait surface. Il avait bu plusieurs verres d’eau et était maintenant en pleine forme pour reprendre la voiture. Il vit bien que nous n’étions pas dans notre état normal aussi il nous installa toutes les deux sur la banquette arrière, couchées en travers. Dès que nous eûmes pris la route et que Paul crut que nous dormions, nous recommençâmes à nous tripoter. Claire rampa pour glisser sa tête sous ma jupe. Elle voulait me rendre la monnaie de ma pièce.



J’eus beaucoup de mal à retenir les gémissements qui vinrent à ma gorge lorsque l’orgasme arriva. Elle remonta et mon doigt entreprit de lui donner un peu de plaisir. Des couinements, gémissements se firent entendre.



Paul connaissait maintenant les raisons de ces plaintes que Claire retint de moins en moins, ses doigts ayant entrepris de me rendre les mêmes caresses.

Quel voyage !

Ce pauvre Paul ? Cocufié par sa cousine, en sa présence ! Et il n’a rien vu.

Il n’avait vraiment rien vu car j’ai reçu un jour un appel de lui, plusieurs mois plus tard, disant :



Tu penses si je veux ! Je me suis précipitée chez eux et je me suis surtout précipitée sur Claire, ravie de mes assauts.



Je la vois deux ou trois fois par an, toujours dans les mêmes conditions.




§§§§§§§




Elle nous raconta aussi une aventure récente à la Fac :



Ses yeux s’arrondirent mais elle s’exécuta, laissant tomber celle-ci sur ses pieds.


Je me baissai, la ramassai et la glissai dans mon sac.

Le prof l’interpella, lui rappelant qu’elle devait maintenant nous faire un exposé.



Et elle commença.

Je me baissai alors, pour chercher les appareils qui allaient lui être utiles, mais aussi parce que j’avais ma petite idée. Ma main se faufila vers ce sexe dont j’avais envie et qui n’était plus protégé. Elle serra ses cuisses mais mes deux mains, l’une devant, l’autre derrière, la harcelèrent tant qu’elle se décida à écarter les jambes, prête à tout. Un doigt trouva rapidement son clitoris après être allé constater l’excitation dans laquelle elle se trouvait.

Je suivais tout de même son exposé, déposant devant elle les appareils nécessaires au bon moment, avant de ramener mes doigts là où ils étaient maintenant attendus.


Et je la caressais, l’amenant à la jouissance que seul un raidissement de ses jambes trahit, sans que son exposé ne soit en rien perturbé. Il faut dire qu’elle était la meilleure de la promo. Je ne sais pas si elle était la meilleure en tout mais je l’ai trouvée excellente dans la capacité à contrôler ses émotions.

Lorsque le cours fut terminé et que nous rangions nos paillasses, elle se contenta de me dire :



J’étais ravie et j’avais trouvé très excitant de doigter ma binôme, en présence de toute la promo et du prof, sans que personne ne se doute de rien.


Voici donc comment Marie avait une soif inextinguible de toucher le sexe de ses congénères. Manon et moi dûmes en prendre notre parti sachant que Marie nous tromperait régulièrement, dès qu’un sexe de fille accessible passerait à portée de ses doigts.