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n° 15045Fiche technique38066 caractères38066
Temps de lecture estimé : 22 mn
25/06/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Chloé prend goût à l'exceptionnel. Mais en réalité cela révèle une sexualité qui a besoin de fantasmes et de mises en situations.
Critères:  fhh couleurs inconnu grossexe vacances forêt fsoumise soubrette strip préservati sandwich fsodo sm attache baillon yeuxbandés
Auteur : Viona

Série : L'amour, c'est comme un bon repas

Chapitre 02 / 04
Entrées

Résumé :

Lucas à une maîtresse, sa femme de ménage noire. Il se plaint que Chloé, son épouse n’est pas une amoureuse et que le sexe ne semble pas l’intéresser malgré tous ses efforts. Awa, la maîtresse, lui propose d’enseigner, à sa femme, la « Mapouka », une danse traditionnelle de son pays. C’est une danse très érotique qui libère les sens pour séduire les hommes. Au début, Chloé entre dans le stratagème et elle s’initie avec enthousiasme à ce rituel. Mais ce n’est que l’appât. Le vrai but est de pratiquer son nouvel art devant un sorcier noir, jeune et particulièrement bien membré. Si la danseuse arrive à le faire bander, alors elle est reconnue comme « initiée ». Toute initiée à droit à sa récompense…

Dans le récit précédent, Chloé, déstabilisée par les conditions très particulières de l’examen, ne réussit pas le passage du rituel. Awa est appelée pour la remplacer et nous fait une parfaite démonstration de sa science du sexe.

Chloé doit refaire une tentative le lendemain.








Le marabout arrive à l’heure prévue. C’est Chloé qui l’accueille avec des marques de déférence que je sais totalement fausses, mais qu’il semble accepter comme gages d’obéissance, d’autant plus qu’elle le reçoit en peignoir laissant deviner qu’elle est nue dessous. Ils entrent dans la véranda où nous sommes déjà installés suivant les ordres de ma femme et, si l’homme est surpris, il ne dit rien.



Et ma femme, en parfaite courtisane l’aide à se dévêtir. Son sexe apparaît. Ma surprise est encore plus grande qu’hier car je suis plus près. Il pend le long des cuisses, une bite au repos de quinze, vingt centimètres. Comment savoir ? En tout cas déjà bien plus grosse et longue que la mienne en pleine érection.


Mais la musique commence. Ma femme danse, se trémousse, se contorsionne. Aujourd’hui elle est plus à l’aise, immédiatement envahie par ces sons qui pénètrent au plus profond de nous-mêmes. Il faut dire que je l’ai surprise un grand verre d’alcool à la main et ce genre de dopage à dix heures du matin ferait disparaître tout signe de blocage à n’importe lequel d’entre nous. Elle danse, s’exhibe, se penche en avant pour bien montrer ses fesses à l’homme, allant jusqu’à s’approcher si près qu’elle se frotte à lui, mimant la possession.


Nous aussi sommes assez proches pour voir son intimité, les petites lèvres gonflées et le vagin ouvert avec une belle couleur vermillon et une brillance signe d’humidité et de mouille. C’est excitant. Sounou, qui est aux premières loges a aussi repéré l’offrande et sa bite semble de plus en plus lourde et longue. Ma femme a certainement remarqué les prémices de l’érection et elle accélère le rythme, littéralement possédée. Elle danse face à lui, cambrée, les bras écartés, faisant balancer sa poitrine de gauche à droite pendant que les cuisses largement ouvertes présentent son sexe à son Maître. La grosse queue se déploie, grandit encore, se dresse et pointe maintenant vers le haut, dépassant largement le nombril.


Elle a gagné. Elle, la blanche, par la seule maîtrise de la Mapouka, a réussi à faire dresser ce pieu pourtant habitué à ces pratiques ancestrales. L’homme la stoppe d’un geste. Il ne parle pas. Son sexe parle pour lui. Toute femme se doit de répondre à l’appel de la nature. Elle hésite. C’est une chose de faire bander, même le plus aguerri des hommes, c’en est une autre de le satisfaire, surtout avec cet outil que la nature lui a confié. Mais si, elle se lance !


Elle tombe à genoux devant cette verge tendue et essaye d’engloutir le gland dans sa bouche pendant que sa main peine à en faire le tour. Malgré toute sa bonne volonté, elle n’a pas la bouche d’Awa, ses lèvres ne peuvent aller plus loin. Elle ne peut que lécher ce bâton, oui cette baguette dont parlait ma maîtresse, de haut en bas, insistant sur les couilles, elles aussi monstrueuses. Le Maître apprécie ces marques de soumission et comme tout homme, gémit de plaisir. Elle s’applique. Le sexe brille maintenant de salive. Elle n’hésite pas à cracher sur le gland pour étaler de la langue le liquide. Elle sait ce qui l’attend et doit penser que cela va faciliter la possession. Elle m’étonne et me surprend. Peut-être que je n’ai pas été à la hauteur avec elle ? Peut-être aurais-je dû en parler ? Quel gâchis !


L’homme la fait se relever. D’un geste il fait glisser un préservatif sur son sexe. Il est si grand et si fort qu’il soulève Chloé par les hanches pour l’amener sur lui, les jambes écartées de chaque côté des siennes. Il suce ses seins avec passion et fait descendre lentement ma femme pour la pénétrer. Je ne peux me retenir de m’approcher pour regarder. Le gland écarte les petites lèvres. Ce n’est pas possible, il va la déchirer, elle va hurler. Mais non, elle ne crie pas sous la pression de ce monstre qui écarte les chairs humides et continue lentement la progression. Elle aussi regarde ce mandrin avancer en elle, doucement, doucement puis s’arrêter, touchant le fond du vagin.


À peine la moitié de la bite est entrée, le reste est à la porte. C’est à elle de jouer. Elle monte et descend sur le pieu, gémissante, la chatte en feu. La position est inconfortable, ses jambes fatiguent. Il se lève, sa bite encore en elle et l’allonge sur la table. Le rythme change, le doux va-et-vient se transforme en possession violente et brutale. Il la baise, la défonce. Elle crie. De douleur ? De plaisir ? La bite d’enfonce de plus en plus loin. Bientôt elle disparaît entièrement, les petites lèvres collées au membre comme si elles ne voulaient pas le laisser s’échapper.



Mais Chloé ne répond pas. Sa tête se balance comme si elle ne pouvait plus se contrôler.

Il sourit. Il nous sourit, arborant cette fierté du mâle qui possède. Lui, par contre se retire lentement de ma femme. Son sexe n’en finit pas. Mais comment peut-elle recevoir cette masse de chair ? Il est dehors, mais attend. Quelques secondes et Chloé ouvre les yeux, sortant d’un rêve. Son regard se pose sur le pieu qui est hors d’elle, puis elle regarde Sounou, surprise.



L’homme attrape les jambes de ma femme pour les lever, les écarter et s’enfonce en elle sans retenue. Un cri de douleur s’échappe, mais il n’en tient pas compte et la baise sans ménagement. Il entre, pousse, recule se retire et reprend inlassablement. Ses grosses couilles frappent les fesses de sa partenaire avec force. Sans s’interrompre il repose les jambes sur ses épaules et de ses mains libres, d’énormes battoirs, il malaxe la poitrine, tire sur les tétons, toujours avec la même véhémence.


À part le cri de douleur, Chloé ne dit plus rien. Elle tressaute à chaque assaut, les yeux fermés et la bouche ouverte comme si elle cherchait sa respiration. Elle est en sueur, le visage écarlate, les traits tirés. Soudain, elle ouvre les yeux et incline la tête pour regarder le pieu qui s’active en elle. Elle s’appuie sur ses bras pour se pencher le plus possible. On dirait qu’elle attend. Soudain, un cri sort de ses lèvres.



Elle n’arrête que pour reprendre sous souffle et recommencer.



Un frisson la traverse.



Sounou redouble d’ardeur. Il la pilonne, la troue, la baise. Son sexe pénètre maintenant avec facilité, le chemin est ouvert, dilaté, lubrifié par le jus de jouissance de la femme. Cela ne paraît jamais finir, mais enfin dans un dernier cri, elle s’effondre pendant que la queue continue de la posséder. Encore quelques va-et-vient et l’homme se retire, fait glisser le latex, et tout en se branlant, éjacule sur sa maîtresse. Des jets puissants, généreux, à la hauteur de l’outil, maculent le corps, jusqu’au visage de Chloé qui ne réagit même pas.

C’est terminé. Il se lève, s’habille et avant de partir lance un :



Chloé semble anéantie et c’est seulement au bout de quelques minutes qu’elle reprend ses esprits. Awa lui tend une serviette qu’elle utilise pour enlever le sperme de son baiseur.

La journée s’écoule doucement. Chloé disparaît dans la chambre, je fais un tour en vélo. En réalité, je passe par le bois où je sais trouver des femmes accueillantes car j’ai besoin de me débarrasser de la tension accumulée par ce que j’ai vu ce matin.

Elle attend que nous soyons couchés pour me parler.



Je crois que j’ai crié ces dernières paroles et cela a entamé ses certitudes.



Son ton a changé. Ce n’est pas vraiment un ordre, plutôt une demande. J’accepte. Elle a raison, je lui dois bien cela. Après tout, que savons-nous de ce Sounou, si ce n’est par les recommandations d’Awa.


La nuit a été plus calme. J’ai dormi et Chloé aussi, même si elle a beaucoup remué. Nous prenons le petit déjeuner ensemble, servi par Awa qui nous regarde en coin. Il est presque dix heures, j’observe ma femme qui se promène dans le jardin, fumant cigarette sur cigarette. Elle est si belle, fine, élancée avec un léger bronzage qui lui donne un teint cuivré. Aujourd’hui, elle n’est pas en peignoir mais en jupe et chemisier. Quand je pense que je vais la perdre. Elle pourrait travailler comme mannequin. Même en sous-vêtements, elle est distinguée. Je sors pour la rejoindre. Elle me sourit. Sur le moment je m’interroge mais dès que je suis plus près, je reconnais l’odeur caractéristique. Ce ne sont pas des cigarettes ordinaires qu’elle fume, mais un produit interdit que l’on trouve à tous les coins de rue. Voilà la raison de ce sourire. Elle plane et voit la vie en rose. C’est ce qu’elle a trouvé pour se détendre.


On sonne. Elle va accueillir son visiteur. Nous nous retrouvons tous les quatre dans la véranda. Sans parler, Chloé déshabille l’homme et le fait asseoir sur le canapé. Elle fait signe à Awa pour qu’elle lance la musique et en même temps annonce.



Nous n’entendons pas sa réponse car la musique commence. On est très loin des tambours lancinants. Orgue, trompettes résonnent. Et sous nos yeux effarés, ma femme entreprend un strip-tease langoureux. Son chemisier tombe, suivi de la jupe. Elle joue avec le crochet de son soutien-gorge, fait glisser lentement, lentement son mini slip. Tout est prétexte à se déhancher, se pencher se caresser. Jamais je n’ai eu droit à un tel exercice. Où a-t-elle appris ? D’accord, Awa lui a enseigné l’art de danser, mais en ce moment c’est une femme experte que nous voyons.


Maintenant qu’elle est nue, ses mains parcourent son corps, caressent un sein, tirent sur un téton, flattent une hanche, palpent ses fesses, frottent le mont de Vénus. Elle est maintenant face à l’homme. Elle porte une main à sa bouche et la recouvre de salive. Pendant que sa main glisse le long de son corps, elle pose un pied sur le canapé juste à côté de Sounou. Et devant lui, la chatte s’ouvre pour laisser le passage aux doigts humides. Elle simule une pénétration, donnant des coups de rein comme si une verge la possédait.


Son regard quitte les yeux de l’homme qu’elle provoque pour regarder plus bas et elle sourit. La magie blanche fait son office sur la verge noire qui présente déjà une belle érection. Elle triomphe devant Awa. Elle, la blanche, avec ses propres armes, fait dresser la queue noire. Mais manifestement elle veut pousser son avantage. Elle pose l’autre pied sur le canapé, enjambant l’homme pour lui offrir sa chatte à sucer. Le visage est plaqué contre le sexe et on ne voit rien. On ne peut qu’imaginer. Peut-être a-t-il une langue en proportion de son pénis. Alors il doit pouvoir la faire pénétrer très loin dans le vagin, explorant des zones que ma langue n’a jamais pu atteindre ou forcer l’œillet de l’anus pour onduler à l’intérieur. En tout cas, tous deux apprécient. Chloé se frotte au visage par un mouvement de montée et descente. Sounou bande de plus en plus, déployant et gonflant son engin.


Mais une sorte de frénésie s’empare de ma femme. Elle saute du canapé, prend le membre raide dans la main et le recouvre de la capote que l’homme lui donne. La seconde suivante, elle se place à genoux de part et d’autre des cuisses du Maître et pendant que sa main guide la queue, elle se place en position. Là encore, c’est elle qui dirige. Mais il faut une volonté sans faille pour s’introduire soi-même un tel engin, même si ce n’est plus la première fois. Elle hésite.


Une envie irrépressible me prend de venir voir de plus près ce spectacle et je me lève pour venir me placer derrière le couple, assis à même le sol. Je crains un instant que ma femme, qui a vu mon manège, ne me chasse. Mais non, au contraire elle me sourit, presque complice. Encore un effet de la cigarette.


Manifestement mon déplacement sert de déclencheur et c’est aux premières loges que je vois le gland s’écraser contre la fente pourtant largement ouverte. Elle force et je vois les petites lèvres s’ouvrir avec la queue qui entre et glisse doucement, sans à-coups, jusqu’au plus profond. Pas de cris de douleur, juste un soupir. Pourtant elle ne bouge plus, laissant à son corps le temps de prendre la dimension du bâton qu’elle vient de s’introduire. Elle se tient droite, si belle. J’ai envie de contribuer à son plaisir et tant pis si elle me chasse. Je n’ai rien à perdre. Mes mains partent à la découverte, caressent les fesses pour remonter progressivement jusqu’à la poitrine. Chloé tourne la tête et sans réfléchir je me penche pour déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Elle accepte mon hommage. Miracle de la fumette.


Maintenant elle commence à bouger et coulisse autour du pieu qui la transperce. D’abord doucement et avec précautions. Puis, au fil des mouvements, son amplitude augmente et comme la veille, elle accepte de le recevoir en entier. Elle prend son temps, savoure, avec toujours ce sourire aux lèvres. Mes mains sur ses hanches participent à la danse du sexe. Aujourd’hui pas de cris mais juste un « oui » salue sa jouissance.


Elle reste pourtant empalée et deux mains noires la saisissent pour la soulever et la faire redescendre, reprenant le va-et-vient interrompu par la première jouissance. Je suis moi aussi dans une excitation folle et je libère mon sexe douloureux d’être comprimé si longtemps. Voyant mon état, Sounou, bouge ses mains pour les placer sous les fesses de ma femme, les écartent pour libérer le trou du cul. Par un clin d’œil, il me fait comprendre de saisir ma chance. Sans réfléchir, je m’enfonce d’une seule traite dans le cul offert. Ma femme sursaute de surprise mais ne dit rien. L’homme reprend ses mouvements et je peux sentir le pénis monstrueux qui est en elle et qui la pilonne comme un marteau piqueur. Chloé est une poupée qui se prête à nos attaques. Elle ne cesse de gémir et de bouger la tête comme si elle voulait dire « non ». Mais c’est à nouveau un « oui » tonitruant qui annonce une nouvelle jouissance.

De mon côté, je décharge dans ce cul que je ne connaîtrai peut être plus. Pour faire bonne mesure l’homme dégage ma femme de son vit pour lui envoyer des giclées de sperme jusqu’au menton.


Chloé est anéantie et je dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas à terre. Je l’installe sur le canapé. Je donne l’argent prévu au sorcier que je raccompagne jusqu’à la porte du jardin. Nous avons une conversation surréaliste. Le mari et l’amant échangeant des impressions sur une femme, sur ma femme. Lorsque je lui dis que justement Chloé veut divorcer car elle ne me pardonne pas ce stratagème, il éclate de rire.




En rentrant dans la véranda, je retrouve Chloé assise mais manifestement encore en phase d’atterrissage. Le sexe ou la fumette ? Bon mari, je l’aide à regagner la chambre ou Awa prend le relais.

Pendant une bonne partie de l’après-midi, silence radio. Mais je repense à ce que m’a dit Sounou. Tout n’est peut-être pas perdu. Je remonte dans la chambre. Ma femme est allongée en train de lire un magazine. Manifestement elle s’est reposée, le visage ne montre plus de signes de fatigue. Sa nuisette ne cache rien de sa féminité. J’essaie un petit sourire. Rien. Au moins je n’ai pas de remarques. J’ouvre la penderie, sort une valise que j’installe sur le lit et commence à la remplir de mes affaires.



Je continue de ranger mes affaires. Je prends mon temps. La valise est pleine. Je la ferme. Toujours aucune réaction. C’est cuit.



Pas de réaction. Lorsque je reviens, je trouve tout mon linge étalé sur le lit et avant de poser une question, elle me dit :



Oh la perfidie des femmes !



Je la prends dans mes bras. Sa peau est si douce. Mais aucune larme ne coule de ses yeux. La perfide. La manipulatrice. Sounou avait raison. Ma peau, encore humide se frotte à sa nuisette.



Je fais sauter sa nuisette. Nos corps se reconnaissent. Je bande.



J’ai compris. J’entre dans son jeu.



Elle obéit aussitôt. Sa bouche me gobe. Je suis déjà bien raide mais ce n’est rien pour elle. Mon gland butte au fond de sa gorge. Je saisis sa tête entre mes mains et je l’immobilise pour la baiser sans ménagement. Elle souffre, respire avec difficulté, ses yeux pleurent mais pas une plainte ne sort.

Je suis sur la bonne voie. Je la libère, l’oblige à s’accroupir sur le lit. Quelques claques sur ses fesses donnent de la couleur. J’ordonne.



Toujours pas une plainte. C’est donc cela qu’elle veut. Elle place même ses mains pour bien ouvrir son sillon. Je ne suis pas un monstre, je mouille mes doigts et en plante deux dans son anus. Il me reçoit avec facilité. Serait-ce possible que nous ayons perdu toutes ces années uniquement parce que je me suis comporté comme un mari aimant et attentionné, alors qu’elle attendait, consciemment ou pas, que je la domine ou brutalise pendant l’amour. Mon pénis suit le même chemin et je glisse sans difficulté dans ce cul qui n’a jamais été si accueillant. Je la bourre maintenant avec rudesse, mes mains pressent ses seins, j’utilise ses tétons pour me retenir. Elle gémit. Encore quelques claques sur les fesses.



Jamais je n’ai été si dur et si fort. Sous la violence, mon sexe ressort et j’ai le temps de voir l’anus rester ouvert, comme l’œil du cyclope que je transperce à nouveau. Elle jouit et pour la première fois j’entends ma femme crier son plaisir sous mes assauts. Ce cri, ce « ouiiiiiii… » qui ne semble pas pouvoir s’arrêter déclenche mon propre orgasme et pour la deuxième fois de la journée, je crache mon jus dans le cul de mon épouse.

En m’effondrant, je pense. C’était si simple. Quel dommage ! Que de temps perdu !


Je me lève pour me rafraîchir et faire un peu de toilette sur ma verge désormais molle. Chloé n’a pas bougé, toujours accroupie sur le lit. Elle, toujours maniaque de l’hygiène, ne semble pas perturbée par mon sperme qui suinte de son cul. Je m’installe dans un fauteuil juste derrière elle. Pas un bruit dans la chambre, juste le souffle de sa respiration. Est-elle assoupie ? Non. D’ailleurs, par moment elle bouge. Je n’ose rien dire de peur de briser le charme. À propos de charme, la vue de cette croupe offerte, de ce cul que je viens d’honorer et qui a retrouvé son élasticité me ravit. S’il n’y avait pas ces traînées blanchâtres qui tranchent avec le teint cuivré de la peau, je pourrais croire que j’ai rêvé. Mais tout est réel et mon sexe en est la preuve vivante. En temps normal il serait déjà dur et ferme alors que là, il se fait attendre. Mais à qui sait patienter, blablabla… Le voilà de nouveau vivant. Il revient de chez les morts. Hourra, il pointe, se déclare présent et disponible.


Je me lève, glisse le gland dans l’humidité et doucement il trouve le chemin du vagin. Je suis si à l’aise qu’un instant je pense que la grosse queue noire a dilaté pour toujours le passage. Mais les mouvements de ma femme me rassurent. C’est l’attente, l’envie de ma pine qui l’a si bien préparée. Finis les conduits secs et rugueux que le manque de désir rend irritant.


Ah oui, il faut que je force ma nature trop gentille. Un coup de rein, rappelle qui est le Maître, le mari, le locataire officiel. C’est drôle, c’est ce coup de rein qui réveille Chloé. La preuve est bien là. Elle se redresse, les bras tendus, attendant la saillie. Et elle n’est pas déçue. Pendant une éternité je la baise, l’injurie, la claque, la pince, l’oblige à me parler avec les mots les plus crus pour me supplier de continuer et finalement après l’avoir fait jouir lui faire boire ma liqueur.


La plus surprise est Awa, inquiète des cris provenant de notre chambre, qui est venue aux nouvelles et qui nous a vue en plein efforts.

La journée se termine et quelle journée. Une page est tournée. Tout me paraît possible. Faire revenir Sounou ? Intégrer Awa dans nos délires ? Ou sont nos limites ?

Du calme, n’oublie pas que ce matin tu étais encore le vilain petit canard noir. Vous avez dit noir ?


Le lendemain matin, mes premières paroles sont pour Chloé qui somnole encore.



Le mot boutique est un mot magique. Une heure après, elle est prête et lorsque je sors la voiture elle arrive, avec Awa.



Tiens donc, le pardon s’étend à la maîtresse. Parfait. Pendant tout le trajet, elles ont bavardé comme de vieilles copines. C’est dans la zone industrielle qu’elles m’ont demandé si je ne m’étais pas trompé.

Le parking est bien occupé. L’enseigne « Toi et Moi » est neutre et c’est seulement à l’intérieur qu’elles découvrent la véritable raison sociale de cet entrepôt gigantesque où les clients déambulent, poussant de drôles de caddies.


Dans les rayons, que du bonheur. Enfin je veux dire, tout ce qu’il faut pour faire le bonheur, de la femme, de l’homme, du couple. C’est un sex-shop où manifestement tout ce que l’on peut désirer ou imaginer est en vente et disponible dans ses rangées, dignes d’un supermarché. J’abandonne les filles dans le rayon lingerie. Elles s’amusent comme des folles à la vue des mannequins revêtus, plutôt dévêtus par des tissus élégants ou provocateurs. De mon côté je me dirige dans le rayon bondage et accessoires sadomaso.

C’est à la caisse que les filles ont découvert ce que j’avais acheté. Devant leur surprise, j’ai juste ajouté :



Pendant le voyage du retour, j’ai eu le plus grand mal à regarder la route. Elles se sont amusées à tout sortir des emballages. Awa que je croyais la plus délurée et experte s’est révélée innocente devant ces pratiques. En tout cas, et c’est le plus important, aucune ne s’est offusquée. Nous arrivons trop tard à la maison pour que je puisse espérer une partie à trois.


Le lendemain, Chloé et moi jouons avec nos nouveaux jouets, plus exactement nous regardons comment nous en servir. Bien sûr, il n’est pas nécessaire de sortir de polytechnique pour savoir se servir de menottes, de liens ou de bandeaux. Mais c’est un monde où le fantasme est roi.


Nous passons des heures sur internet. Il suffit de taper « exhibition publique, disgrâce » et le nombre de sites est infini. Cela va de la femme qui se fait filmer, la poitrine à l’air, en voiture, dans la rue, dans un supermarché, aux scènes les plus incroyables de bondage, de sadomaso où des femmes et des hommes sont livrés à des « Maîtres-maîtresses » qui leurs font subir toutes sortes de sévices. Ce n’est pas à mettre entre toutes les mains. Ce qui rassure c’est qu’à chaque fois, la soumise fait part de ses sensations, à la fin de la vidéo. Bien sûr, il n’est pas question que nous allions si loin. Mais l’aventure Sounou paraît presque de l’enfantillage.


Notre première expérience se déroule très bien. Des menottes et un bandeau rendent ma femme réceptive à mes caresses, même les plus douces. Aucune violence, physique ou verbale ne sont nécessaires pour la mener au plaisir. Mystère de la libido féminine.


Chaque jour nous innovons, devenant de plus en plus téméraires. La maison ne suffit plus à nos jeux, le jardin se prête mieux au plaisir de la soumission. Chaque fleur, chaque arbuste, chaque branche est une tentation et une source d’inspiration. Au début Awa se cachait pour nous regarder, mais maintenant elle nous sert de témoin et je sens que Chloé apprécie sa présence. Cependant, je n’ose pas encore l’associer de peur d’une réaction de jalousie.


Que de changements en si peu de temps. Aujourd’hui, je veux frapper un grand coup. Au réveil, après l’avoir câlinée, je demande à Chloé.



Je lui expose mon plan.



En fin de matinée, Chloé l’appelle dans la chambre. Dès qu’elle entre, elle lui ordonne de se déshabiller.



Awa ne dit rien et nous passons à l’étape suivante. Je la menotte, les mains dans le dos, pendant que ma femme lui place le bandeau sur les yeux et le bâillon-boule dans la bouche. Ce dernier est plus là pour le fantasme que pour l’empêcher de crier car elle le positionne très peu serré. Pas de protestation, elle se laisse faire. Nous l’entraînons dans la voiture. Elles montent à l’arrière. Pendant que je conduis, j’entends ma femme lui parler de ce qui l’attend. J’ai choisi avec soin, un endroit en forêt juste à côté de la piste cyclable. Assez protégé par la végétation pour ne pas être vus, mais il suffit de faire quelques pas dans le sous-bois pour être découvert. Mon plan est de faire arrêter des cyclistes par Chloé. Malheureusement nous vivons dans un monde où on se méfie de tout, aussi il leur suffira de pousser quelques branchages pour être rassurés et je le l’espère, tentés.


Nous sommes arrivés. Je remplace les menottes par une corde que j’accroche à une branche. Awa est immobilisée, les bras en l’air. Quel tableau ravissant. Cela mérite bien quelques photos et nous prenons la pose au côté de notre soumise.

C’est au tour de Chloé d’agir. Dix minutes et elle revient accompagnée par deux hommes, des jeunes, équipés comme des coureurs pros.


Pour ne pas les effaroucher, je suis en retrait d’Awa, tranquillement assis sur une souche. Chloé me rejoint après avoir fourni des préservatifs. Mais le spectacle est plutôt décevant. Aucune fantaisie. Bien sûr, Awa sursaute aux premiers contacts de ces hommes. Bien sûr, elle prend du plaisir à se faire baiser par deux belles queues qui se succèdent. Mais c’est tout. Même pas de sperme qui jaillit, il reste dans les préservatifs. Je trouve aussi qu’ils jouissent bien trop vite. La preuve, j’ai à peine bandé. Ils remontent sur leurs vélos, avec à peine un au revoir.


Les deux suivants sont totalement différents. Chloé a tapé dans la catégorie papy, pas mal conservés d’ailleurs. Pour eux, pas de tenue techno mais teeshirt et short. Bien sûr, ils voient Awa qui les attend mais ils viennent quand même vers moi pour me saluer et surtout me questionner. Nous avons de la chance car ils ont déjà eu des occasions de profiter d’une femme ensemble. Nous fixons quand même les limites. Pas de violence et sexes protégés.


Ils se mettent à l’aise. Même pas une érection. Ils s’approchent d’Awa. Leurs mains parcourent son corps et s’attardent particulièrement sur sa croupe rebondie. Les caresses se transforment en petites claques sur les seins, le pubis, les fesses. L’un deux tombe à genoux et plonge son visage dans l’entrecuisse. L’autre maltraite la poitrine et tire sur les tétons.



Ce n’est pas une vraie question, en tout cas Awa ne peut pas répondre avec son bâillon. La seule chose dont nous sommes sûrs, Chloé et moi, c’est qu’elle ne souhaite pas arrêter le jeu. Il lui suffirait de faire des « non » de la tête pour tout stopper.



Ils échangent leurs places. « Pierre » découvre la merveille. Il s’active. Je sais ce qu’il fait. Comme tout homme devant cette petite chose, il la prend entre ses lèvres et la tète comme un téton, comme le sein de la mère. Et bien sûr, Awa aime cela. Elle se tortille, se cambre et malgré la boule rouge qui bloque sa bouche, on entend des gémissements. Le compère a beau jeu de l’accompagner en tordant les tétons. Le gémissement augmente.



En effet, « Pierre » est maculé de mouille.



Maintenant les sexes sont raides. Ils prennent Awa en sandwich et leurs deux bites la possèdent. La femme n’est plus qu’un pantin dans leurs bras et ils la baisent en parfaite synchronisation. Cela dure une éternité et je suis en admiration devant une telle santé qui les fait monter et descendre dans le con, dans le cul, de la soumise, uniquement par la seule flexion des genoux. Décidemment nos anciens peuvent encore nous en remontrer. Celle qui ne se plaint pas, c’est Awa. Elle n’arrête pas de jouir. C’est sa fête. Pas besoin d’une grosse bite pour atteindre la jouissance. Deux normales, vigoureuses malgré l’âge, la baisent et l’enculent. Dans un synchronisme parfait, comme des jumeaux, les deux hommes s’extraient des fourreaux, arrachent les capotes et jutent sur le corps de leur soumise.



Voilà les paroles que « Pierre » et « Paul » et, oui cela ne s’invente pas, nous disent, alors que nous libérons Awa. Le bandeau enlevé, elle découvre ses baiseurs et, plus tard nous dira que jamais elle n’aurait imaginé que des papys pouvaient satisfaire une femme comme cela. On accepte de prendre leurs coordonnées au cas où…


Pendant le retour à la maison, je me félicite de ce début. Tout devient possible. Mais le soir même, le téléphone sonne. C’est Ursillane, une amie d’enfance de ma femme. Belle plante rebelle, fâchée avec ses parents. Avec un prénom pareil ! Si j’ai bien compris, c’est une enfant adoptée qui n’a pas accepté d’en être informée assez tard. D’où son comportement provocateur et une sexualité affichée, incompatible avec une famille bourgeoise de province. Je sais qu’elle travaille vers Cannes et je ne l’ai rencontrée que pour mon mariage. Chloé cherche à renouer des liens. Les deux amies discutent longuement et à un moment ma femme me demande.



Je pense que sa présence va casser l’ambiance. Je dois remettre à plus tard tous mes projets coquins.



Le lendemain personne. Pas un appel et son portable ne répond pas. Chloé qui la connaît ne s’inquiète pas et c’est seulement deux jours plus tard que nous saurons qu’elle s’est retrouvée bloquée soixante heures par un éboulement. Qui peut croire un tel bobard ?




À suivre