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n° 15061Fiche technique29104 caractères29104
Temps de lecture estimé : 16 mn
05/07/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Nous faisons connaissance d'Ursillane dans des conditions particulières.
Critères:  grp boitenuit fsoumise fdomine intermast fellation pénétratio sandwich fsodo jeu attache bondage baillon -occasion -groupes
Auteur : Viona

Série : L'amour, c'est comme un bon repas

Chapitre 03 / 04
Plat principal

Résumé des épisodes précédents :


La femme de Lucas ne semble pas éprouver de plaisir pendant leurs relations sexuelles. La femme de ménage noire, Awa, qui est aussi sa maîtresse propose de faire intervenir un sorcier réputé pour ce type de problème. Le traitement consiste à l’initier à une danse ancestrale, la Mapouka, et à la faire posséder par cet homme. Chloé qui était au courant du plan de son mari et de sa maîtresse, va, par dépit et vengeance, le faire mais en modifiant les règles. Le couple va alors constater que pour que la femme atteigne la jouissance, elle doit être brutalisée, dominée et exhibée. Ils associent Awa à leurs fantasmes allant jusqu’à la proposer à des cyclistes que Chloé attire. Ils commencent seulement à explorer et organiser leurs fantasmes, quand une amie d’enfance de Chloé, Ursillane, propose de venir les retrouver dans leur villa.








Pour faciliter la narration, ce récit est construit comme un scénario de film, érotique bien sûr.




Adrien. Trente ans. Vit en concubinage. Architecte.



Vendredi matin. Une chambre. Un couple fait l’amour. Il est couché sur la femme et s’active en elle. Leurs corps sont en sueur. Le visage de la femme montre son plaisir, lui est essoufflé. On sent que c’est la conclusion. Elle pousse des petits cris. Elle jouit. « Ouiiiiiii ». Il atteint l’orgasme juste après. On imagine les éjaculations successives par les mouvements de son bassin.


Le plan suivant : il roule sur le côté. Dans un même mouvement, elle passe sur lui, le chevauche et prend le sexe encore humide dans sa bouche pour le nettoyer. Bourses et sexe sont sans poils.


C’est fait, elle se redresse, le domine et dit :





Sophie. La cinquantaine bien avancée. Vit seule. Décoratrice.


Une salle de bain. Elle se douche. Derrière la vitre on la devine en train de se savonner et de se rincer. Elle sort, enveloppée dans un drap de bain. Le drap tombe et elle se place devant un miroir où elle s’examine, l’air satisfait. Elle teste la tenue de la peau du cou, palpe ses seins, son ventre plat et, tout en se tournant, admire ses fesses. C’est vrai qu’elle est belle. Elle ne fait pas son âge. Mais elle ouvre la porte de placard qui fait miroir et on découvre toute une série de photos de type « avant / après » de visages, seins, fesses et même petites lèvres du sexe, qui font deviner qu’en réalité son apparente jeunesse provient de la chirurgie esthétique.


Le plan suivant on la découvre très élégamment habillée qui range des documents dans une sacoche très tendance puis qui quitte son appartement.




Estevao. Quarante ans. Portugais. Chef de chantier.



Une cabane de chantier. Sur un lit étroit un homme est allongé nu. Trapu, musclé, assez poilu surtout la toison pubienne. Il tient dans une main son sexe et de l’autre des photos. Ces photos le représentent avec des femmes dans différentes positions et il se masturbe en les regardant. Son sexe est court mais assez gros, noueux et dégage une virilité en accord avec la stature de l’homme. Il ferme les yeux, accélère ses mouvements et son sperme jaillit pour retomber sur son ventre.


Le plan suivant : il est en tenue de chantier et ferme la porte de son « algeco ».




Ursillane. Vingt-cinq ans. Barmaid. Amie d’enfance de Chloé.



Une chambre. Trois corps nus sur un lit, deux femmes et un homme. Ils dorment. Un réveil sonne. Une des femmes arrête la sonnerie et se lève avec précautions. Elle ramasse ses affaires et va dans la salle de bain. C’est une grande brune à la peau mate, cheveux courts et une magnifique poitrine avec des grandes aréoles.


Le plan suivant : elle est habillé, jean et top moulant, deux valises à la main. L’autre fille apparaît.



Elles s’embrassent. Elle part.





Plan suivant



Un immeuble en chantier. Une table avec des plans étalés. Adrien, Sophie et Estevao les examinent. Autour d’eux des ouvriers qui se saluent et qui manifestement partent. Certains font des gestes égrillards en montrant Sophie qui, élégante, tranche dans l’ambiance.


Adrien :



Ursillane s’avance. Tous se présentent et elle les invite à la suivre. Ils descendent par l’escalier, arrivent dans le club désert, avancent de quelques mètres. Ursillane commence :



Un bruit assourdissant avec une vibration qui fait trembler le sol et les bouteilles du bar. De la poussière passe sous la porte de l’escalier. Un moment tous sont choqués, mais le silence revient. Il ne reste que la poussière. Adrien ouvre la porte de l’escalier et c’est un mur de blocs de béton et de gravats qui l’empêche d’aller plus loin.



Ils doivent se rendre à l’évidence, ils sont bloqués pour tout le week-end, sauf miracle. Au moins ils ne manqueront pas de boisson avec le bar et de nourriture avec les frigos encore pleins.



Ursillane leur fait visiter leur domaine pour deux jours. Piste de dance, cuisine, bureau du patron avec douche attenante, toilettes. Ce n’est pas si mal pour des naufragés. Un instant, ils ont rêvé devant l’ordinateur et le téléphone. Mais non. Abonnement suspendu pendant la durée des travaux.




Plan suivant



Tous les quatre viennent manifestement de manger. Les restes d’un repas encombrent une table basse dans le club.





Plan suivant



Adrien est dans la cuisine, en boxer et il boit un grand verre d’eau. La porte s’ouvre, Sophie entre et dit :



Elle avance, très à l’aise, pourtant elle aussi est en petite tenue. Petit soutien-gorge en dentelle transparente et slip tanga du plus bel effet. Elle se penche pour prendre une bouteille d’eau dans le frigo. Ses fesses à peine cachées par le slip attirent le regard appuyé d’Adrien. Elle se redresse et tout en lui faisant face boit avec avidité l’eau directement à la bouteille. Des gouttes tombent de ses lèvres et glissent entre le sillon des seins. Elle reprend son souffle et semble découvrir l’homme en face d’elle qui la regarde avec une lueur qu’elle connaît bien. D’ailleurs il n’y a pas que la lueur, le boxer montre une déformation inquiétante.


Avec un sourire, elle pose la bouteille et dégrafe sous soutien-gorge.



Dans le même mouvement elle s’agenouille, fait glisser le short et libère la verge qui pointe. Sa main la palpe, constate que le sexe est déjà raide et regardant Adrien dans les yeux.



Ses questions n’attendent pas de réponse car elle est déjà en train de sucer le dard avec gourmandise. Ses lèvres pulpeuses, brillantes d’un rouge à lèvre vermillon, tranchent sur la peau rose du gland. Le contraste est saisissant et c’est un cercle rouge qui vient buter sur les testicules. Inutile de dire qu’Adrien apprécie. Il est en appui sur la table et fait tout pour que son dard soit facilement accessible. Quelques va-et-vient et elle le libère, brillant de salive pour le caler entre ses seins. La cravate de notaire ou, plus exotique, la branlette espagnole s’impose lorsqu’on possède une poitrine de cette qualité, ferme et souple. Elle le branle si bien qu’il se dégage pour éviter de jouir trop tôt.


C’est à lui maintenant de la lutiner, le visage penché entre les cuisses. Il l’a assise sur la table et elle le guide par les mains pour le conduire là où elle veut avec le rythme parfait. Malgré sa concentration on voit qu’elle remarque le visage d’Ursillane qui apparaît dans le hublot de la porte.




Plan suivant



Ursillane joue les voyeuses. Elle aussi est en petite tenue. Le spectacle dans la cuisine ne la laisse par indifférente. Elle se caresse la poitrine et son autre main, plaquée sur son sexe, bouge. Elle regarde, excitée, les jambes écartées pour favoriser ses caresses. Un mouvement et apparaît Estevao à côté d’elle. Il découvre le spectacle par l’autre hublot et son regard passe des amants à sa voisine. Rassurée elle reprend sa masturbation.


De l’autre côté de la porte, Adrien est maintenant en train de posséder sa maîtresse. Elle l’entoure de ses jambes et à chaque mouvement de pénétration, on peut voir ses talons appuyer sur les fesses de l’homme comme une cavalière frappe les flancs de son cheval.


Le slip blanc, désespérément classique d’Estevao n’a pas la souplesse de nos tissus modernes et il est obligé de le faire descendre pour libérer son chibre douloureux d’être trop serré. C’est un geste qui n’échappe pas à sa voisine qui le regarde se branler lentement le faisant gonfler encore. Elle hésite, puis plonge pour caresser la belle queue de la main puis de la bouche. En fait, elle ne fait que le lécher pendant que sa main le branle. Il se laisse faire et, dans un geste étonnamment doux pour un corps si puissant, caresse la nuque et les épaules de sa suceuse.



Ces cris de plaisir viennent de la cuisine. Sophie jouit et le fait savoir. Adrien sourit. Il a craint un moment de ne pas être à la hauteur de cette femme manifestement expérimentée et exigeante. Il se retire du vagin et éjacule sur le corps de la femme.

Pendant ce temps les deux complices voyeurs s’activent. La femme se masturbe et branle son partenaire de plus en plus vite. Le sperme jaillit et éclabousse la porte alors qu’Ursillane se tortille sous le plaisir.




Plan suivant



Tout le monde prend le petit déjeuner. Il fait toujours aussi chaud. Ursillane revient avec des tenues de barman qu’elle propose aux autres.



Bien sûr, personne n’a de rechange. La machine est mise en route pour les sous-vêtements. Les tenues de barman ne sont pas des habits classiques. Chemisier plongeant et jupette pour les femmes. Chemise ouverte et short pour les hommes. Ils sourient lorsqu’ils se retrouvent fagotés de cette façon, sauf Ursillane qui est dans son élément. Le manque de sous-vêtements est un régal pour les yeux des hommes, cependant chacun fait semblant de ne rien remarquer.




Plan suivant



La journée tire en longueur. Pas de télé, pas de DVD, uniquement de la musique et quelques jeux de base sur l’ordinateur d’Adrien. Ils jouent aux cartes, initient Sophie au poker où elle gagne des montagnes de biscuits salés et cacahuètes. Les conversations traînent en longueur. Sophie va prendre sa nième douche de la journée.




Plan suivant



Bureau du patron. Estevao est assis torse nu dans le fauteuil. On entend le bruit de la douche, puis silence. Sophie entre, la serviette sur la tête en train de sécher ses cheveux. Elle découvre l’homme et cache sa nudité.



Et sans attendre, il enlève son short et quitte le bureau. Quelques minutes plus tard, il revient, le corps ruisselant, et la découvre qui attend. Elle attaque.



Elle comprend.



Mais il continue, toujours nu, face à elle.



Il avance.



Il est tout prêt. Elle pourrait reculer, mais elle ne bouge pas.



En effet son sexe est en mouvement. Il l’embrasse fougueusement. Réticente au début, elle participe maintenant.



Domptée, elle s’exécute. Elle est de nouveau nue.



Et elle le fait. Soumise, à genoux elle le suce avec application. Il est gros mais si fort, si viril. Les poils se glissent dans sa bouche mais ils ne la gênent pas. Au contraire c’est la preuve de la nature qui s’affiche. Elle force sur ses lèvres pour le faire entrer. Le gland est, oui, enfin il est entré.



Il la défie. Mais alors ! Ce n’est pas un Portos qui va lui apprendre, à elle, comment faire une fellation. Quand elle était plus jeune, les garçons se passaient le mot. C’est vrai que cela a éloigné les maris potentiels, mais pas les vrais amants. Et… Attends… Voilà, elle le gobe en entier. Ses lèvres vont se déchirer mais elle est fière.



Il la fait se lever et s’appuyer sur le bureau. Son sexe frotte dans son sillon. Elle l’attend. Il va glisser car elle mouille déjà, anticipant la possession. Il pousse fort. Non, pas là. Trop tard, il a ouvert le chemin du cul. Bien sûr, elle n’est plus vierge depuis longtemps par ce chemin mais d’habitude ses amants sont plus tendres. Elle est crispée et c’est douloureux. Des claques sur ses fesses la surprennent et paradoxalement libèrent la crispation, et le sexe entre. Le plus dur est fait. Des mains maltraitent ses seins et ses tétons. Quelle violence, quelle force de possession. Il est entré entièrement et maintenant il la baise, sans se soucier de son plaisir. Et pourtant, ces va-et-vient l’échauffent. Cette puissance est envahissante. La jouissance arrive sans prévenir, la submerge. Mais lui est encore vaillant. Il s’active encore longtemps et elle attend qu’il en finisse. Un grognement annonce la montée et un jet de sperme se répand dans ses entrailles, apportant une nouvelle sensation.


Elle retourne se doucher. Lorsqu’elle revient, il est parti. Elle s’habille et en cherchant sa culotte, elle trouve un DVD sous le bureau. La jaquette indique « Année 2011 ». Elle le pose sur le bureau et elle s’en va.




Plan suivant



Grande salle. Le repas du soir est terminé et les cadavres de bouteilles montrent que l’alcool a coulé à flot pour dissiper l’ennui.



Elle sort.



Le club est équipé de nombreux écrans et lorsqu’Adrien lance la lecture, tous s’allument. Les images sont visibles sur 180°. Ils sont déçus, car au début n’apparaît qu’une liste de fichiers. Des dates, des prénoms, des lieux. Ce n’est pas un DVD de film. Mais avant de le retirer il « clique » au hasard.


Et la surprise est totale. Pas de fête de famille, ou de vidéo de vacances. Pourtant « Mykonos 2011 » pouvait faire penser à des films de vacances. En réalité, on voit une femme totalement nue, les bras attachés derrière la tête, qui marche dans les ruelles, accompagnée par une femme qui la dirige. Bien sûr, les passants se retournent sur elles. Certains, plus audacieux que les autres s’approchent et comme manifestement l’accompagnatrice donne son accord, ils la caressent, plus exactement ils la pelotent sans ménagement. La vidéo continue, ils entrent dans une maison et comme l’accompagnatrice enlève ses lunettes et son chapeau, tous reconnaissent Ursillane.



Adrien stoppe la lecture mais en réalité il s’est trompé et l’image est figée sur les écrans. Confus, il patauge un moment avant de tout éteindre. Elle semble furieuse. Sophie explique sa découverte. Elle s’adoucit, mais dit :



Personne ne dit mot, mais ils attendent des explications. Ursillane se sent obligée de s’excuser de sa réaction et continue.



Elle se rend compte qu’elle ne pourra pas s’en tirer avec une pirouette. Elle décide de jouer la franchise en insistant sur le secret.



C’est Estevao qui prend la parole.



C’est l’unanimité. Finalement, elle est presque heureuse d’avoir un public pour apprécier son travail. Et le temps passe, les scènes défilent, les situations surprennent. Une fois Sophie s’est écriée :



La question en provoque d’autres et Ursillane s’efforce d’expliquer, comment, où, avec qui, etc. Elle les emmène aussi dans une pièce cachée par un rideau dans le bureau du patron. C’est ici qu’elle range ses accessoires mais aussi que certaines scènes se passent, celles qui nécessitent des crochets, des poulies, des sièges vibrants, etc.


Ils reviennent dans le club. Tout le monde est silencieux. Adrien remarque :



Comme c’est Ursillane qui le propose, les autres échauffés par les films, acceptent.




Plan suivant



Sophie chevauche Estevao avec ardeur sous le regard d’Adrien dont le sexe montre son intérêt et d’Ursillane, encore en jupe. À chaque choc des sexes, l’amazone pousse un « Ah Ah » de plaisir. Mais Ursillane l’interrompt pour l’obliger à s’allonger sur son partenaire pendant qu’Adrien essaye de l’enculer. Enfin, il est entré et Sophie pousse des petits cris dont on ne sait pas si c’est d’envie ou de douleur.


Alors que le trio reprend ses mouvements on entend des chocs sourds qui semblent provenir du fond de la salle. Pas de doute, quelque chose se passe. Ursillane se dirige vers le bruit et maintenant on entend une voix qui appelle.



C’est l’affolement dans la pièce. Chacun cherche ses habits. Avant de répondre, Ursillane vérifie que tout paraît normal et elle répond, en criant :





Plan suivant



La copine d’Adrien est dans ses bras et explique à tous.





Plan suivant



Chloé et son mari accueillent Ursillane qui vient d’arriver en voiture. Effusions, embrassades. Tout le monde se retrouve dans le salon.





Plan suivant



Lucas arrive avec les valises dans la chambre où les deux femmes bavardent. Il pose la première sur le lit et au moment où la seconde va suivre le même chemin, elle s’ouvre et tout ce qu’elle contient se répand sur le sol. Tous les trois semblent figés car ce qui s’étale sous leurs yeux est un ensemble de matériel qui est bien loin du sèche-cheveux ou de la brosse à dents. Manifestement Ursillane est partie du club avec une partie de ses équipements.


Devant l’air effaré de ses hôtes, elle fait une moue qui semble signifier : encore, cela recommence ! Mais elle parle.



Chloé et Lucas vont pour quitter la pièce et elle les rappelle.



Et elle leurs donne le DVD trouvé par Sophie dans le club.




Plan suivant



Dans le jardin, Chloé est allongée sur une couverture, les bras retenus par des menottes aux pieds d’une table. Elle gémit sous les assauts de son mari qui la prend avec force, poussant des « han » de bûcheron. Elle s’appuie sur ses jambes fléchies pour se cambrer et accompagner les mouvements de Lucas. Ses cris de plaisir sont étouffés par le bâillon à boule. Lui continue de la posséder encore l’espace de quelques va-et-vient, puis d’un coup de reins se dresse sur ses genoux pour venir éjaculer sur le ventre et la poitrine de sa femme. Il est en sueur, et avant de s’effondrer à côté de la soumise il fait sauter le bâillon.


Tous deux reprennent leur souffle et petit à petit leur respiration reprend un rythme normal. Ils restent allongés côte à côte, les yeux fermés.



Lucas qui sommeillait à côté tourne la tête et voit Ursillane qui caresse la poitrine de son amie. D’un geste elle lui fait signe de ne rien dire. Elle ramasse de ses doigts les traînées de sperme sur le corps et lui donne à lécher. Chloé s’exécute mais un détail la surprend car elle ouvre les yeux et réalise.



Il le fait sous le regard amusé de la femme. Ils essayent de se couvrir le corps avec une serviette. Mais Ursi les charrie :



Lucas et Chloé se regardent. Chloé commence.





À suivre.