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n° 15066Fiche technique20936 caractères20936
Temps de lecture estimé : 13 mn
09/07/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Les deux amies se retrouvent et découvrent qu'elles sont complémentaires...
Critères:  fhhh grossexe forêt caférestau fsoumise sandwich gangbang attache yeuxbandés -totalsexe -groupes
Auteur : Viona

Série : L'amour, c'est comme un bon repas

Chapitre 04 / 04
Farandole des desserts

Résumé :

La femme de Lucas ne semble pas éprouver de plaisir pendant leurs relations sexuelles. La femme de ménage noire, Awa, qui est aussi sa maîtresse propose de faire intervenir un sorcier réputé pour ce type de problème. Le traitement consiste à l’initier à une danse ancestrale, la Mapouka, et à la faire posséder par cet homme. Chloé qui était au courant du plan de son mari et de sa maîtresse va, par dépit et vengeance, le faire mais en modifiant les règles.

Le couple va alors constater que pour que la femme atteigne la jouissance, elle doit être brutalisée, dominée ou exhibée. Ils associent Awa à leurs fantasmes, allant jusqu’à la proposer à des hommes que Chloé attire.

L’amie de Chloé, Ursillane, qui avait annoncé son arrivée est retardée par un éboulement qui la bloque avec trois autres personnes. Les événements vont s’enchaîner et nous avons découverts que cette amie est une « dominatrice » qui organise des soirées et des événements avec la complicité de son patron. Celui-ci a gardé les vidéos de ces séances.

À la fin du récit précédent, les deux amies se retrouvent mais un incident, une valise qui s’ouvre malencontreusement, révèle à Chloé que son amie d’enfance est une experte dans les jeux de domination.

Chacune raconte à l’autre son parcours.








Hier, nous avons passé une soirée surréaliste. Awa et moi, simples témoins, avons entendu les deux femmes, Ursi et Chloé, narrer avec forces détails leur parcours initiatique à des pratiques sexuelles peu courantes. J’ai particulièrement apprécié ma femme nous expliquer ce que le sexe du sorcier lui avait procuré comme plaisir.


Avec un peu de chance, nous devrions continuer de passer de bonnes vacances, en tout cas c’est ce que je pense alors que nous sommes tous les quatre à la plage. On peut dire ce que l’on veut, mais la Charente-Maritime est un département béni des dieux pour ses plages de sable fin. Entre Saint-Palais et La Palmyre une grande partie est réservée aux naturistes, et c’est là que nous nous sommes posés. C’est aux regards des voisins que j’ai réalisé ma chance. Trois femmes, trois belles plantes qui me tiennent compagnie. Mes pensées vagabondent. Ursi est à quelques mètres et bavarde avec Chloé qui tourne la tête de son côté. Elles ont tant de choses à se dire. Je la regarde, caché derrière mes lunettes de soleil. C’est une chose de la voir dévêtue dans une vidéo, c’en est une autre de pouvoir examiner sa plastique souple et sensuelle.


Chloé se lève pour aller se baigner, entraînant Awa. Ursi me regarde et sourit ? Merde, je bande et elle l’a vu.


Avant le repas du soir, nous buvons l’apéritif, tous les quatre. Awa est considérée comme une invitée maintenant. Soudain, sans que rien ne le laisse prévoir, Ursi se dresse devant Chloé et l’apostrophe.



J’ai compris et j’acquiesce.



Maintenant ma femme entre dans le jeu.



Awa revient avec la valise. Alors, avec des gestes mesurés, Ursi utilise une corde pour ligoter ma femme. Attention, ce n’est pas le paquet mal ficelé, non, les liens trouvent leur place, épousent les formes. Ils courent des bras, pour envelopper les seins, descendent sur la chatte et le sillon pour remonter par derrière. La poitrine est maintenant saillante, gonflée par les cordes qui pressent la base. Les tétons pointent sous la pression et Ursi leur accroche des pinces prolongées par une chaînette. Ma femme gémit sous la douleur mais ne proteste pas.


Elle utilise aussi un martinet à fines lanières pour fouetter la captive en tournant autour d’elle. Les coups ne sont pas forts mais cela suffit pour que les fesses et les cuisses montrent des traces rouges. Je suis un peu inquiet car, même si Chloé ne proteste pas, des larmes coulent de ses yeux.



Et se tournant vers Awa :



D’abord Chloé recule devant le sexe qui lui est offert, mais quelques coups de martinet lui font comprendre son intérêt. Maintenant elle s’applique. Je l’imagine découvrant sous sa langue le clito déjà bien dressé. Moi aussi j’ai été surpris la première fois par ce petit sexe qui pointe. Mais c’est si bon de jouer avec. Voilà elle trouve ce qu’Awa attend.


C’est à mon tour. Je suis déjà raide. Qui resterait insensible aux caresses de sa propre femme sur sa maîtresse ? Là, pas besoin de martinet. La gorge connaît mon mandrin et sait ce qu’il faut faire pour le satisfaire. C’est bon, je vais jouir. Mais Ursi l’entend autrement.



Et elle lui montre un gode, qui sans atteindre la taille du sorcier, est déjà hors-norme.



Ursi lui libère les bras. Awa se penche sur la table, prête à la saillie. C’est ma propre femme qui me dirige.



Un coup de martinet sur ses fesses la fait sursauter.



Alors Chloé s’exécute.



Forcer n’est pas le mot approprié car, moi qui suis juste à côté, je peux voir la bête entrer sans résistance. Ah le miracle de la parole qui déclenche la mouille salutaire.


Maintenant le jeu est égal. Deux femmes sont appuyées sur la table et reçoivent l’hommage viril d’un homme, ou du moins ce qui le caractérise, une queue ou un gode bien raide fouillant qui le cul, qui le vagin, avec violence. Je ne peux m’empêcher de ralentir pour mieux regarder ma femme se faire baiser, puis se faire enculer par une bite que sa maîtresse active sans précaution. Chloé jouit si rapidement que nous en sommes surpris. Quelques mouvements suffisent. Elle crie sans retenue. Adieu la bienséance. Bonjour la sensualité. Quelques jours et quelques pratiques différentes ont suffi pour que ma femme quitte sa pudibonderie pour un monde où la jouissance est la règle.


Plus tard, alors que nous sommes au lit, dans notre chambre, elle me remercie d’avoir osé l’entraîner dans cette aventure.


Le lendemain Ursi ordonne à Chloé de suivre mes ordres toute la journée. Elle délègue car elle doit se rendre à Bordeaux pour des courses, elle insiste « seule ».


En aparté elle me demande de conduire ma femme au même endroit où nous avons conduit Awa (récit n°2) et de la faire prendre par d’autres hommes. Je dois vérifier que cela fait bien partie de ses fantasmes.

Quelques heures plus tard, Chloé est attachée à la même branche, nue, bâillonnée et offerte. J’ai appelé les « papis » qui avaient fait merveilles l’autre fois. Ils arrivent, mais pas seuls. Une femme, une jeune femme même, les accompagne. Comme ils me la présentent comme leur voisine, je comprends que les deux pervers ont une maîtresse qui pourrait être leur petite-fille. Pour une fille de son âge, rien ne semble la surprendre, et c’est elle qui donne les premières claques, bien anodines d’ailleurs. J’imagine que ses amants l’ont informée de notre petit jeu. Ma femme se cabre, plus pour en quémander d’autres que pour se protéger. Mais les papis interviennent.



Elle se place à mes côtés et nous regardons. Cette fois, les shorts à terre, les sexes sont déjà bien raides. Ils se frottent à la femme, pincent ses nichons, ses fesses et même son sexe. Surtout ils se parlent comme si elle n’était pas là.



Ils palpent, pressent, extirpe le clito de sa gaine, lèchent le minou, titillent l’œillet du cul, toujours avec des remarquent parfois désobligeantes.



Chloé que tous ces attouchements ont excitée essaye de parler, mais son bâillon l’en empêche. J’interviens pour entrer dans le jeu des papis.



Ma femme est furieuse de ces paroles et elle se tortille. Alors le jeu change et, en un instant, ils la prennent en sandwich, soulevant ses jambes du sol afin que rien ne gêne leurs mouvements.

Ma voisine regarde le spectacle et me prend la main pour que je caresse sa chatte. Mon sexe, que j’ai sorti du short, se retrouve enveloppé par une main douce et caressante. Et c’est ainsi que j’assiste pour la première fois au spectacle de mon épouse baisée, prise, enculée, poupée docile entre ses amants.


Je jouis en crachant mon sperme dans le sable alors que les deux hommes sont toujours en action. Je me lève pour enlever le bâillon et le bandeau de Chloé car je veux voir ses yeux et surtout l’entendre. Son corps se balance au rythme des coups de queues.



Elle crie en cherchant mon regard.

Les deux papis continuent, infatigables. Je comprends leur succès avec la jeune voisine. Enfin, l’un après l’autre, ils éjaculent sur leur soumise.

Avant de partir, ils m’aident à détacher Chloé et toujours taquins, lui pincent les fesses en disant.




Chaque jour apporte son lot de plaisir et de complicité. Mais nos vacances se terminent. Pour notre dernière journée, Ursi nous propose une virée à Bordeaux. Bien sûr, personne n’est dupe de ses intentions.

Lorsque nous franchissons la Garonne, Ursi place une cagoule sur la tête de ma femme. J’ai demandé que son visage soit caché afin de rester parfaitement anonyme. Quelques minutes plus tard, elle me pilote dans un dédale de rues pour nous faire stopper dans une cour intérieure. Nous sortons de la voiture et Ursi commence la préparation de la soumise. Totalement nue, sur des talons très hauts, les mains liées dans le dos, des pinces sur les seins et un collier avec une laisse. Mais ce qui est le plus impressionnant ce sont les liens qui entourent la base des seins et provoquent un gonflement du plus bel effet. Je conseille cette expérience à toutes celles qui ont une petite poitrine ou des seins qui tombent. Elles se retrouveront avec des pamplemousses que la plus artificielle des bimbos ne pourrait pas offrir.


Notre arrivée dans le bar ne passe pas inaperçue et les conversations s’arrêtent un instant. Bien sûr, la clientèle a été sélectionnée par Ursi et son compère du coin. La SM est une grande famille avec des ramifications dans chaque grande ville. Elle nous a expliqué que la sélection est très importante. Savant mélange de jeunes et moins jeunes, célibataires et couples, hommes et femmes et une touche de lesbiennes. Il y a donc une vingtaine de personnes présentes, avec une majorité d’hommes. Ursi entraîne sa soumise pour la présenter à chacun. On reconnaît déjà ceux qui veulent participer activement car leurs mains font connaissance avec le corps de ma femme. Les autres ne sont là que pour le plaisir des yeux.


Manifestement ma tendre épouse a un physique qui plait. Mais les choses sérieuses commencent. Ursi installe sa copine, allongée sur une sorte de filet qui épouse la forme d’un corps en X. Bras et jambes sont immobilisés et le costaud de service fait monter le précieux édifice à un mètre du sol. Rien n’est rigide dans cette installation et chaque mouvement de ma femme provoque des balancements de l’ensemble.

Tout le monde s’approche et il faut canaliser ce flux pour que le cinéaste puisse immortaliser ce moment et ceux qui vont suivre.


Hommes et femmes se succèdent pour sucer, lécher, caresser l’intimité de la soumise. Si tout cela paraît désordonné, en réalité la maîtresse de soirée contrôle chacun. Des claques, des pincements ! Oui. Des coups, des brutalités ! Non. Je comprends maintenant son importance. Une soirée mal organisée, trop alcoolisée, et l’ambiance pourrait déraper.


Chloé ne fait pas que subir. Des sexes d’homme et des chattes sont apportés à sa gourmandise. Sa cagoule est aveugle et c’est sa bouche, ses lèvres, sa langue qui la renseignent.


Les sexes sont maintenant dressés, vaillants et impatients. Le premier glisse dans une chatte humide de salive et de mouille. Un second s’empare de sa bouche. Ses tétons sont étirés par une femme, certainement jalouse de tant de beauté. Chaque geste déclenche un mouvement de balancier. Le sexe qui la possède la pousse vers la queue qu’elle suce. Ainsi elle est forcée aux deux extrémités.


Le sperme jaillit, éclaboussant son corps de bas en haut. Un sexe prend la place de l’autre. Certains sont doux, d’autres violents. Une femme l’encule avec un gode ceinture. Pas un moment de répits, pas une seconde pour que le vagin, le cul ou la bouche ne se ressaisisse.


Un silence. Chacun s’interrompt. Voilà, il est venu. J’avais été déçu de ne pas le trouver à notre arrivée, pourtant je l’avais invité personnellement. Awa l’accompagne et j’imagine qu’elle s’est fait un plaisir de le préparer. La queue noire est toujours aussi grosse. Deux semaines ! Une éternité de plaisir et de luxure. On lui laisse la place et tout le monde se précipite pour regarder, envier ou pleurer sur un tel objet.


Sounou se place entre les cuisses ouvertes, à la porte de la grotte qui vient déjà de recevoir la visite de plusieurs bites bien raides. Dès que le gland avance, Chloé reconnaît son propriétaire et questionne :



Évidemment ! Quelle femme pourrait oublier un tel monstre après l’avoir reçu entre ses cuisses ! Il ne répond même pas et aujourd’hui, c’est sans réel effort que le vagin reçoit le mandrin en entier. Merci aux prédécesseurs qui ont ouvert et dilaté et à l’effet balançoire qui aide à la pénétration progressive.


Le sorcier et la soumise sont dans leur bulle. Les spectateurs n’osent faire le moindre bruit, le moindre geste qui pourrait rompre le charme. Il la balance, la faisant entrer et sortir en rythme. Soudain elle pousse un cri. Elle jouit ? Mais non, le traître a changé d’orifice. Maintenant il entre dans l’anus. C’est douloureux, même si lui aussi a déjà été lubrifié et dilaté. Mais la bonne copine veille. Elle répand généreusement un liquide huileux dans l’anus et sur le mandrin. Et là, sous nos yeux, l’incroyable se produit. Centimètre par centimètre, à chaque mouvement, il entre, il avance et bientôt, sous l’objectif de la caméra qui immortalise la scène, les bourses arrêtent la progression. Alors il lance le mouvement, lui immobile, elle bloquée dans cette toile qui oscille, proposant puis refusant l’œillet. Bien sûr, j’ai déjà vu, sur internet, des hommes et des femmes avec un anus dilaté, ouvert, énorme recevant, qui un sexe, qui une main. Mais ici, c’est le cul de ma femme qui, trois semaines plut tôt, faisait sa mijaurée.

Maintenant l’assistance scande en cadence les va-et-vient.



Chloé aussi nous renseigne sur son plaisir. « Oui ! Oui ! Ouiiiiiii ». Sa chatte et son cul sont en feu, mais elle aime. Oh oui, elle aime devenir un objet dans les mains de ses amants qui profitent d’elle. Sa jouissance est là, dans l’abandon et l’obéissance. Son maître finit enfin par jouir et l’inonder d’un sperme qui vient s’ajouter aux autres.


Ursi comprend que l’ambiance change dans la pièce. Deux femmes s’éclipsent avec le sorcier dans l’espoir de connaître la violence de son sexe. Ceux qui ne faisaient que regarder se sentent envahi par un besoin de satisfaire leurs sens et ce qui ne devait être qu’une séance de soumission se transforme en orgie. Ma femme, libérée de ses liens, subit les assauts d’hommes qui la prennent en sandwich.


Et de mon côté, je n’ai d’intérêts que pour Ursi. Enfin cette maîtresse, sûre d’elle, dominatrice se laisse distraire de sa tâche. Et c’est sous les yeux de mon épouse que je baise son amie. J’ai la fierté de la posséder et de la conduire à l’orgasme. Si j’avais craint de ne pas être à la hauteur de cette femme si experte, ses cris de jouissance m’ont rassuré.


Il est tard et nous avons repris le chemin du retour. Ursi conduit avec Awa à ses côtés. Ma femme et moi sommes à l’arrière, blottis l’un contre l’autre. Elle est toujours nue et le sperme forme par endroit des plaques gluantes. Machinalement je caresse son mont de venus et trace des sillons avec mes doigts jusqu’à effleurer son clito. Alors que je la crois assoupie, il me semble détecter un léger mouvement du bassin. Petit à petit le corps s’anime à mes caresses. Une main glisse entre mes cuisses et presse ma verge qui frémit.


Quelques minutes plus tard, les phares d’une voiture qui nous suit montrent une femme qui chevauche un homme. Cet homme est son mari et c’est bien le nième qui la possède de la soirée.


Mais, n’ai-je pas lancé la balle trop loin ? Maintenant qu’elle a goûté à tous ces plaisirs, vais-je pouvoir la satisfaire ? Mon sexe va peut-être lui paraître bien insignifiant ?



Fin