n° 15086 | Fiche technique | 14194 caractères | 14194Temps de lecture estimé : 9 mn | 25/07/12 |
Résumé: Après avoir dérapé avec Emma, je me retrouve à nouveau confronté à une situation particulièrement complexe à négocier. | ||||
Critères: hplusag odeurs massage confession -amourcach -hplusag | ||||
Auteur : Jeff le coquin Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Marie, Emma et moi Chapitre 02 / 06 | Épisode suivant |
Résumé du chapitre précédent : Rendant visite à ma copine Marie, j’ai surpris sa fille, Emma, en pleine séance de masturbation. J’ai tenté d’évacuer la gêne avec une plaisanterie, mais la situation a dérapé. J’ai fini par m’échapper avant de commettre l’irréparable.
Après m’être si mal conduit avec Emma, je me sentais fautif. J’avais grossièrement profité de la situation, pour ne pas dire « abusé ». C’était gonflé de ma part d’oser lui faire ce que je lui avais fait. D’un autre côté, elle avait montré tous les signes du consentement, pour ne pas dire « contentement ». Il m’avait même semblé que la coquine était restée sur sa faim.
Et puis son petit air supérieur…
Ça me tarabustait depuis des jours et je ne parvenais pas à soulager ma conscience. Elle était si jeune… Ce n’était pas sérieux du tout et je nourrissais de sincères scrupules. Faire un truc pareil à Marie, à ma meilleure copine, fallait être un beau dégueulasse. Bien sûr, je pouvais toujours invoquer « les circonstances », mais honnêtement, elles ont souvent bon dos, les circonstances. Et dans le cas présent, étaient-elles vraiment atténuantes ? Pas sûr.
Je faisais profil bas et c’est avec une certaine anxiété que j’attendais que Marie se manifeste.
Une petite semaine après ce regrettable moment d’égarement, elle m’a appelé. Ce qu’elle m’a dit au téléphone n’a pas manqué de me laisser baba. Sa chère Emma s’était découvert de subites difficultés en anglais et, comme c’est une langue que je maîtrise plus que convenablement, elle me sollicitait pour quelques cours de soutien.
Ben voyons…
Difficile pour moi de refuser, Marie n’aurait pas compris. Je me suis donc retrouvé piégé, même si, je dois l’admettre, la perspective de me retrouver à nouveau dans la proximité immédiate de cette petite délurée piquait ma curiosité. Elle n’avait pas mis de temps à trouver une combine pour donner une suite à cette lamentable aventure. En tout cas, dire qu’elle semblait motivée était un euphémisme.
Rendez-vous fut pris.
Le jour venu, en sonnant chez Marie (car on ne passe plus par le jardin), je suis nerveux. L’initiative prise par Emma laisse peu de doutes sur ses intentions. Quant à moi, je redoute la réaction de Marie si elle apprenait la véritable raison qui pousse sa fille à réclamer mon aide. En langage sportif, c’est ce qu’on appelle « jouer serré », et j’ai le pressentiment qu’il pourrait y avoir du sport.
C’est Emma qui vient m’ouvrir. Comme par hasard, elle porte une bien courte jupette à carreaux. Très jolie au demeurant. Vous avez dit prévoyante ? Décidément, elle a une idée derrière la tête. On se fait la bise le plus naturellement du monde et je commence par prendre un café avec Marie. Nous conversons de choses et d’autres et, pendant ce temps, Emma feint de s’occuper avec son portable sur le canapé, le fameux canapé. J’ai du mal à ne pas repenser à ce qu’elle y fabriquait l’autre jour, quand je l’ai surprise. Je me dis qu’elle est sûrement en train de penser à la même chose que moi. Elle aussi doit être nerveuse, mais elle ne laisse rien paraître avec son petit air dégagé. Quelle comédienne.
Le café bu, Marie nous lance au boulot.
(Marie… Oh, Marie… si tu savais…)
Elle précise que, pour sa part, elle va en profiter pour faire du ménage. Afin de travailler au calme, Emma et moi montons dans sa chambre. En gravissant les escaliers derrière elle, je ne peux m’empêcher de lorgner le galbe de ses cuisses. Mon dieu qu’elle est alléchante la gamine. Il y en a sous le capot, et en insistant un peu je lui verrais le moteur. Des donzelles pareilles, ça devrait être interdit.
Elle sait pertinemment où se porte mon regard, elle monte calmement et tortille du derrière bien plus que nécessaire. Pour résumer, elle me provoque et je commence à me demander ce que je vais bien pouvoir lui trouver à faire en anglais. Elle ne me semble que modérément partie pour travailler.
On entre dans la chambre. Elle veut fermer la porte. Je l’en empêche et la laisse entrouverte. La bienséance exige que l’on évite de s’enfermer avec une jeune fille dans sa chambre, fut-ce avec l’agrément de maman. Et puis sait-on jamais… Si comme je le pressens, il venait à se passer quelque chose aujourd’hui, et si Marie décidait de monter sans prévenir, le grincement des premières marches ferait office d’alerte bien utile, alors que porte fermée on n’entendrait rien.
On n’est jamais trop prudent.
On se dirige vers le bureau devant lequel se trouvent déjà installés deux tabourets. Livres et manuels sont là. Emma a tout préparé, nous pouvons commencer.
(Voilà, voilà, voilà… Turlututu…)
Et aussitôt, n’y tenant plus sans doute, et avec un air de comploteuse patentée, elle entre immédiatement dans le vif du sujet…
Je pose un doigt sur mes lèvres pour lui signifier de se taire.
Je la sens contrariée. Elle voudrait sourire, mais elle est tendue. J’embraie…
Elle m’explique alors quelles sont ses difficultés et je lui fournis les éclaircissements nécessaires, avant de lui proposer des exercices pratiques. Je surveille ce qu’elle fait et l’aide quand elle se trompe. On est tout proches l’un de l’autre, on se frôle. L’ambiance est frémissante. J’aime son odeur et ses gestes appliqués de jeune fille sage.
En bas, Marie passe l’aspirateur.
Emma est penchée sur sa feuille et, si je prends un peu de recul, du coin de l’œil, je peux voir sa croupe qui arrondit sa jupette. Une jupette si courte qu’elle atteint tout juste le bord du tabouret. Sa cambrure naturelle repousse son popotin vers l’arrière. Il faut être honnête, je n’ai pas les yeux dans ma poche et j’ai depuis longtemps repéré son beau cul à Emma, bien serré dans ses jeans. Ce n’est donc pas la découverte du jour. Et puis, question physique, elle tient de sa mère. Malgré son âge, il y a déjà ce qu’il faut où il faut, comme dit le vulgaire. Mais là, débordant de cette façon du tabouret, à peine recouvert par sa jupe, il m’a l’air sacrément potelé son dodu.
Elle est terriblement excitante dans cette position. Je crève d’envie d’y poser la main droite et de commencer à lui pétrir la fesse, mais un reste de pudeur, et la présence de Marie, me dissuadent de faire la même connerie que l’autre jour.
Petit détail sans intérêt, il est à noter que je tiens une érection satanique et que mon sexe, mal placé dans mon pantalon, me fait un peu souffrir. On se retrouve dans de ces situations parfois…
De temps en temps, je me penche sur elle pour lui signaler une faute, et me replace en arrière pour lui reluquer l’arrière-train dès que l’occasion se présente. À force, ça manque de discrétion et je finis par réaliser qu’elle n’ignore rien de mon petit manège. La tension monte.
Merde… Je recommence à dérailler. Ne pas faire le con… Ne pas faire le con…
Seulement, cette fois-ci, elle n’attend pas que je prenne l’initiative. Je la vois poser son stylo et, sans un mot ni un regard vers moi, elle place ses mains sur sa jupe et se la remonte doucement sur les hanches. Façon de me dire « C’est ce truc-là qui t’intéresse ? »
Un ange passe. Il repart aussitôt, c’est l’enfer ici. Elle porte encore une de ses délicieuses petites culottes de coton blanc qui me font tant craquer. Et surtout, elle est carrément en train de m’offrir son postérieur. Je fais un effort désespéré…
Elle se tourne vers moi avec son air renfrogné et elle fronce les sourcils, bien décidée à me faire plier…
Juste un peu quoi ? Mais qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle est dingue. Elle me fascine. J’ai du mal à déglutir. Comme hypnotisé par le spectacle offert, je sens que j’ai déjà cédé et ne peux m’empêcher de poser ma main droite sur ses fesses. Je commence à la câliner tendrement à travers la fine étoffe. Quelle douceur…
Sa petite culotte tendue est comme happée entre ses deux belles fesses et je passe de l’une à l’autre avec gourmandise. Je palpe et malaxe gentiment. Je tapote ses chairs sensuelles et généreuses, à la fois molles et fermes qui, telles deux parfaits globes de gélatine laiteuse, tremblotent délicatement sous les secousses. Ravie, elle frissonne et semble apprécier l’agréable et douce fessée que je lui inflige. Ultra-sensible la gamine.
Elle se cambre davantage et recule un peu sur son siège. Ainsi, elle me facilite l’accès à son sexe, que je commence à tapoter aussi. Elle apprécie…
Du majeur, je me permets de travailler ses lèvres charnues. À cet endroit, le renflement de sa culotte est chaud et déjà moite. D’une pression plus prononcée, j’imbibe le tissu. Je la sens tressaillir à nouveau, mais plus nettement. Elle apprécie encore plus et souffle…
Depuis combien de temps mouille-t-elle ainsi ? Cette idée me turlupine.
L’inconfort ne diminue pas dans mon pantalon et je sais qu’il est trop tard, que la situation m’a encore échappé. Décidément, je suis faible et lâche.
Je m’approche de son oreille pour lui confier mon projet…
Son consentement me paraissant acquis, je viens m’agenouiller devant son postérieur. Elle tient toujours sa jupe relevée et, admiré de si près, le spectacle est fascinant. En douceur, je fais descendre sa culotte sur le haut de ses cuisses. Un tableau d’une scandaleuse obscénité se révèle à moi. La position cambrée et tendue vers l’arrière de l’impudique demoiselle distend son anus et a tendance à ouvrir sa vulve pulpeuse. J’y vois luire en petits fils nacrés d’appétissantes liqueurs intimes qui par endroits collent encore au tissu. Admirable fruit mûr et gorgé n’attendant plus qu’une langue.
Elle est dans un état… Et cette odeur…
Les effluves féminins si caractéristiques qui émanent de son sexe trempé et de sa jolie pastille brune et palpitante m’attirent irrésistiblement. Je ne peux plus reculer, j’approche la bouche et… j’entends l’aspirateur s’éteindre.
Alerte orange.
Je stoppe net, Emma s’est crispée et nous retenons notre souffle, à l’affût…
Les premières marches grincent.
Alerte rouge.
Vite, je me rassois sur mon tabouret. Emma laisse retomber sa jupe et reprend une pause décente. Les joues rosies, elle feint de se remettre au travail. Son air sévère et le regard noir qu’elle me lance m’étonnent. Ils trahissent la frustration et le reproche. Que son désir soit puissant au point qu’elle m’en veuille de cette interruption m’excite davantage. Quel petit démon.
Dans l’embrasure de la porte, Marie fait son apparition (Dieu sait pourtant qu’elle n’est ni vierge, ni sainte celle-là).
J’essaie de faire bonne figure, mais c’est compliqué tant mon cœur s’est emballé. Et puis me comporter ainsi sous son propre toit me pose un vrai problème par rapport à Marie. Sans compter qu’Emma voit bien que j’abuse sa mère… ce qui lui donne forcément un peu de pouvoir sur moi… Je vais finir par me faire une sacrée réputation dans le quartier. Merde, merde, merde et re-merde ! Tempête sous un crâne. Et pas que là…
Emma confirme, et Marie d’enchaîner…
(… Non… Marie, non… pitié, pas ça…)
L’espace d’un instant, l’idée que mère et fille sont de mèche me traverse l’esprit. Elle voudrait me mettre sa gamine entre les pattes qu’elle ne s’y prendrait pas autrement la Marie. Je sens comme un frisson passer entre Emma et moi… Exactement la situation qu’elle espérait. Et moi ? Je pense à sa petite culotte qu’elle n’a pas remontée, là, juste sous sa jupe… et c’est avec une superbe assurance qu’elle répond à sa mère.
Et sur ces mots, Marie s’absente.