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n° 15099Fiche technique20329 caractères20329
Temps de lecture estimé : 12 mn
03/08/12
Résumé:  Mon compagnon m'a poussée dans les bras de sa mère.
Critères:  ff fff fplusag essayage lingerie lavement fouetfesse init -bellemere
Auteur : Agerespectab  (Gentil papy)            Envoi mini-message

Série : Solange et Cécile

Chapitre 01 / 03
Solange et Cécile - Chapitre I

Solange et Cécile



Chapitre I



Mon prénom est Cécile, j’avais 20 ans en 1980, étudiante en fac de droit, en deuxième année de licence. J’ai rencontré un garçon, Jérôme, qui a quatre ans de plus que moi et un master de droit international en poche. Entre nous c’est le coup de foudre, nous nous mettons en ménage.


Jérôme vise un niveau d’études plus élevé mais rechigne à en faire supporter les frais à sa mère qui l’a élevé seule ; il parvient à trouver une embauche dans une start-up adossée à un grand groupe, qui lui propose un gentil salaire assorti de la possibilité de faire un troisième cycle en alternance, aux frais de la princesse.


Un an plus tard, j’obtiens ma licence. Jérôme a un directeur de thèse, mais il doit à son employeur un séjour de six mois au Brésil. Pour ne pas me laisser seule sans ressources, il me propose d’aller vivre chez sa mère.




*****




Je n’avais jamais rencontré Solange, la maman de Jérôme, qui habite au diable vauvert, dans le piémont pyrénéen, du côté de Lannemezan. Je n’étais pas enthousiaste à l’idée de déranger sans doute cette personne, d’habiter loin de Pau ou Toulouse, les plus proches villes universitaires, et de vivre à ses crochets puisque c’est en fait ce que me proposait mon compagnon. Il a su me convaincre de faire le voyage avec lui pour rencontrer sa mère et décider ensuite.


Les premières minutes en présence de cette dame furent magiques et constituent un souvenir impérissable. Une femme qui me parut jeune, grande et svelte, brune, un sourire éclatant et les bras tendus :



Immédiatement, je suis sous le charme. J’ai trouvé comme une autre maman, la mienne n’étant pas un modèle du genre. Elle me prend le bras, le met sous le sien, verrouillé avec sa main sur la mienne, et ainsi bras-dessus bras-dessous m’entraîne faire le tour de la maison ; une bâtisse ancienne aux murs très épais, toute de plain-pied, au décor chaleureux de meubles régionaux anciens et de beaux tapis.


Nous entrons dans sa chambre, comportant une salle de bain avec baignoire et douche séparées. Puis, dans la chambre de Jérôme :



Nous avons deux semaines à passer avec elle avant de retourner chez nous régler nos affaires et préparer le départ de mon chéri. C’est un séjour délicieux, il fait beau, le jardin autour de la maison est ravissant ; Solange, plus que gentille, véritablement aux petits soins avec nous et Jérôme qui semble considérer que tout cela est naturel ; je me laisse doucement couler au fond de ce bain de quiétude.


Naturellement je propose timidement mon aide à Solange qui l’accepte avec simplicité ; elle me trouble énormément avec ce regard plein de chaleur joyeuse, j’ai d’emblée accepté sa tutelle, comme un chaton de hasard se pelotonne contre le ventre d’une chatte de rencontre.


Le moment est venu de nous quitter ; je ne peux qu’accepter avec plaisir l’offre qui m’est faite de venir vivre chez Solange et, en attendant quelques jours, je l’embrasse avec effusion.




*****




Voilà. Jérôme et moi nous sommes séparés à Toulouse-Blagnac, pour six mois. Ce furent des adieux pleins d’émotion et j’ai beaucoup pleuré. Il m’a promis de m’appeler tous les jours.


J’ai fait de mes maigres affaires une grosse valise que j’ai chargée dans ma petite Citroën, donné le reste à Emmaüs, puis rallié Lannemezan. J’y ai retrouvé Solange qui m’accueille avec autant de chaleur que la première fois, et comme si nous nous étions quittées la veille. De cette première journée ensemble, je conserve un souvenir plein de contrastes. Tout d’abord, il s’avère qu’elle n’a que quarante-six ans, veuve d’un homme qu’elle a beaucoup aimé, qui lui a laissé de très confortables moyens d’existence. Elle n’est pas beaucoup plus grande que moi, elle porte tout le temps des socques à talon qui lui ajoutent cinq à six centimètres et je ne mets que très rarement des talons hauts. Sa taille est mince, ses cheveux châtain foncé sont coupés juste au-dessus des épaules, avec une frange.


Il m’a fallu lui raconter tout de moi, de mes parents (divorcés) et des circonstances dans lesquelles j’ai rencontré son fils – du moins, tout ce qui n’avait pas été narré lors de notre précédent séjour. Mais à aucun moment je ne me suis sentie agacée ou contrariée tant elle était gaie et sa curiosité paraissant naturelle. Elle est passée au tutoiement sans transition, ce qui a renforcé mon sentiment de confiance. J’ai dû insister pour continuer à lui dire « vous » et marquer mon respect, mais elle en a paru déçue :



En disant cela, ses yeux brillaient de joie et j’en étais toute remuée.


Chaque jour, après le déjeuner, nous allons marcher dans la campagne alentour. Nous nous arrêtons chez ses copines, Geneviève, ou Alice, ou Françoise, qui ont sensiblement le même âge et qui m’ont toutes accueillie avec autant de gentillesse. Toutefois je n’ai pu m’empêcher de ressentir confusément la même impression, chaque fois, que je ne constitue pas une surprise, que j’étais attendue. Il est probable que les conversations à mon sujet ont dû être nourries.




*****




La vie quotidienne est rythmée par les tâches ménagères car il va de soi que je les partage le plus équitablement possible. Solange est bien meilleure cuisinière que moi et je recueille ses enseignements avec beaucoup d’intérêt. Elle m’a aidée à m’installer dans la chambre de Jérôme ; nous avons fait du vide dans son armoire et son placard en ne conservant que ce qui pourra lui être utile quand il sera de retour, puis Solange a insisté pour m’aider à ranger mes vêtements et ma lingerie. J’en suis un peu gênée car je n’ai jamais pu m’offrir grand-chose de qualité dans ce domaine ; elle l’a forcément constaté mais s’est bien gardée du moindre commentaire.


Après le déjeuner, c’est un rite : le café dans le salon, assises côte-à-côte dans le canapé. Dès le premier jour, elle m’a saisie par la taille pour que je me rapproche d’elle. Plaçant ma tête sur son épaule droite, elle caresse mes cheveux, me cajole sans cesser de poser des questions ou de me complimenter.

Ensuite je fais notre petite vaisselle qu’elle essuie et range aussitôt car ici rien ne traîne. Puis nous partons faire notre promenade rituelle.


Aujourd’hui nous nous arrêtons chez Geneviève. J’apprends que celle-ci est corsetière de métier et exploite une petite boutique de lingerie et mercerie. Solange me prend à part :



Elles m’entraînent dans un petit salon d’essayage, je dois me mettre torse nu et Geneviève déballe un tas d’articles dont je n’ose pas regarder le prix. Elle a déployé son centimètre autour de mon buste, grommelé quelque chose, puis elle extirpe du tas un soutif blanc qu’elle m’enfile. C’est pile-poil ma taille, ce satin est très confortable, mes seins sont parfaitement maintenus, le tissu est d’une douceur angélique.



J’ai vraiment l’impression d’être une petite fille entre leurs mains. Geneviève revient avec des culottes blanches du même satin bordé de dentelle que celui que j’ai sur la poitrine et la première qu’elle choisit m’est enfilée par les deux copines, et c’est la bonne. Je me trouve toute mignonne, dans le miroir où je m’admire depuis le début de la séance, je me tourne vers Solange, lui met mes bras autour du cou et deux grosses bises sur les joues.



Avant de quitter Geneviève j’ai cru remarquer Solange lui faire un petit signe, avec deux doigts levés, auquel je n’ai pas prêté d’importance. Deux jours plus tard, il y a deux ensembles supplémentaires soutien-gorge et culotte identiques qui m’attendent sur mon lit.


Jérôme s’efforce de téléphoner aussi souvent qu’il le peut mais ça ne marche pas terrible avec le Brésil. Solange décroche, puis me le passe rapidement et si la communication perdure, nous avons des nouvelles de son fils, notre chéri à toutes deux.


Le lendemain, un autre sujet se manifeste qui nous rapproche encore. Après notre petit déjeuner, Solange me dit :



J’ai de fait renoncé au vouvoiement, je sais ainsi lui faire plaisir.



Je la suis, elle s’arrête devant son armoire, en ouvre une porte et me désigne l’étagère du haut :



Jamais ma mère ne m’avait parlé de cela. Pourtant elle aussi est affectée de la même chose et possède une panoplie impressionnante de laxatifs en tous genres. Sans trop réfléchir, je donne mon accord. Solange se saisit de sa poire et nous retournons à la cuisine.



Je suis prosternée le derrière en l’air, elle a glissé la poire au bon endroit et je suis envahie doucement par le liquide chaud, sensation agréable mais en quelques secondes, c’est fini. Elle s’assoit sur le lit à côté de moi, me fait allonger sur le ventre, me caresse doucement les fesses.



Effectivement un quart d’heure après me voilà débarrassée, libérée et heureuse d’un dénouement facile et indolore. Je retourne la trouver pour la remercier et l’embrasser.



Ce disant elle se frotte le ventre en riant, pour montrer combien elle en a peu. Elle ajoute :



Quelques jours plus tard Solange m’annonce qu’elle me laissera seule le lundi suivant. Je n’ose lui demander pourquoi et elle ne m’en dit pas plus. À la veille de son départ, elle me déclare :



Le lendemain je me rends chez Geneviève, avec un peu de retard. À peine la porte franchie, j’ai la surprise d’entendre les voix de Françoise et Alice dans le salon. Bises générales et nous passons à table. Geneviève s’est efforcée de nous gâter mais je note qu’elle n’est pas aussi bonne cuisinière que Solange. Toutefois l’ambiance est joyeuse et animée. Je constate avec un certain soulagement que je ne suis pas trop le centre d’intérêt, bien qu’elles soient toutes très souriantes et affectueuses avec moi.

Nous passons au salon pour déguster un bon café. Je suis assise dans le grand canapé, entre Françoise et Geneviève, laquelle me demande au milieu du brouhaha des conversations croisées :



J’éclate de rire en fixant Geneviève, persuadée d’une plaisanterie, mais celle-ci semble attendre une réponse sérieuse.



Les conversations se sont tues. Je suis le centre des regards. Interdite, je ne sais quoi répondre. Françoise à ma droite m’embrasse tendrement sur la joue et me pousse doucement en me chuchotant à l’oreille :



Le cœur battant la chamade je me laisse allonger sur les cuisses de notre hôtesse tandis que Françoise me relève la jupe :



Je suis morte de honte, tandis que Françoise baisse tout doucement ce rempart de ma pudeur. Geneviève se fait un plaisir de me caresser les fesses avec délicatesse et force commentaires :



Et les deux autres copines de s’extasier, elles aussi :



Et elle me claque chaque fesse assez sèchement. Françoise se lève, s’accroupit devant mon postérieur et me fesse à son tour. Alice, qui n’y tient plus, vient elle aussi m’appliquer deux bonnes claques. Mes protestations gémissantes ne semblent pas ralentir leur ardeur car la fessée tournante se perpétue, avec une Geneviève qui claque toujours plus sèchement et les deux autres qui tiennent à ne pas être en reste. En peu de temps j’ai le derrière brûlant et les larmes me viennent. Les trois copines sont maintenant passées à quatre claques chacune, et de plus en plus cuisantes. Puis la fessée s’arrête, je sens une main partie en exploration entre mes cuisses et la voix de Françoise :



On m’applique encore une douzaine de claques, puis, alors que je sanglote, Geneviève dit :



Puis sa main revient mais cette fois c’est une longue caresse qui estompe la brûlure de mon pauvre derrière. Après avoir flatté chacun de mes globes, la main s’est insinuée vers ma vulve et caresse doucement, longuement, jusqu’à ce qu’un orgasme violent m’emporte. J’entends aussitôt les trois grâces :



Puis une main compatissante me passe une crème rafraîchissante sur les fesses.



Et dans le silence général, je quitte les lieux et retourne chez Solange pour m’affaler sur mon lit et pleurer comme une madeleine.