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n° 15103Fiche technique21088 caractères21088
Temps de lecture estimé : 12 mn
13/08/12
Résumé:  Solange met de l'ordre, et la vie continue.
Critères:  ff fbi fplusag douche amour massage intermast cunnilingu lavement fouetfesse init -initff
Auteur : Agerespectab  (Gentil papy)            Envoi mini-message

Série : Solange et Cécile

Chapitre 02 / 03
Solange et Cécile - Chapitre II

Solange et Cécile



Chapitre II



Résumé du chapitre I : (voir n° 15099)


Cécile, licenciée en droit de 22 ans, a dû emménager chez sa « belle-maman » Solange, alors que son compagnon, Jérôme, s’est expatrié au Brésil. Les deux femmes s’entendent à merveille mais Cécile a été attirée dans un traquenard par trois amies de Solange, absente, qui lui ont appliqué une fessée assez sévère.



Le lendemain Solange revient et m’explique :



Nous en restons là. Quelques heures plus tard, Solange revient de courses, et à sa mine je me doute qu’elle est très préoccupée. Aussitôt elle m’entreprend :



Le mercredi après déjeuner, au moment de partir en promenade, elle m’appelle dans sa chambre, ouvre un tiroir de sa commode et en sort… un martinet.



Nous commençons par Geneviève, qui n’ouvre pas sa boutique avant 16 heures. Elle nous accueille avec des bises affectueuses mais un vague air inquiet. Solange attaque d’emblée :



Nous nous installons et Geneviève reprend :



Solange ouvre posément son sac et en sort le martinet.



Solange se lève et, du martinet aux lanières repliées dans sa main, vient tapoter le canapé en son milieu. Geneviève pousse un gros soupir, se lève, se déchausse et vient s’installer à genoux, Solange la fait courber en sorte d’avoir la tête posée sur ses mains, lui fait plier les jambes pour avoir le derrière en l’air, me fait signe de venir me placer au bout du canapé de façon à avoir la meilleure vue du spectacle qui se prépare ; elle lui rabat sa jupe sur les épaules, baisse la culotte jusqu’aux plis des genoux.



Elle lève le bras et frappe. Je vois la nappe des lanières s’étaler sur le vaste postérieur blanc, un râle sourd émis par la victime qui compte « un » d’une voix mal assurée, puis les stries roses qui apparaissent lentement. Solange attend environ cinq secondes, puis à nouveau le claquement des lanières sur les fesses de Geneviève qui pousse le même grognement et le derrière qui se colore un peu plus. « Deux » puis « trois » puis « quatre » et la voix qui monte progressivement dans l’aigu tandis que les fesses rougissent et se strient. Geneviève n’a pas bougé, seulement sursauté à chaque impact. « Sep » et « huit » sont criés et Solange range tranquillement son instrument.


Geneviève s’est allongée et renifle. Je me mets en chasse de son tube de pommade que je finis par découvrir dans la salle de bain. De retour au salon, j’enduis les fesses martyrisée et masse doucement, essayant de faire aussi bien qu’elle lundi dernier sur mon propre fessier, mais je ne vais pas jusqu’à lui caresser l’entrejambe.



Nous rentrons chez nous, cheminant en silence, perdues dans nos pensées. Au salon on se pose confortablement avec un verre d’orangeade, toujours côte-à-côte dans le canapé.



Je ne sais que répondre, tellement j’éprouve encore du mal à clarifier mes impressions sur ce fameux lundi. Le lendemain, Solange poursuit son action de justicière. À notre arrivée chez Geneviève nous y trouvons Alice. Je les embrasse toutes deux mais Solange abrège les amabilités et fait signe à Alice que la séance peut commencer. Celle-ci s’abstient de protester, se déchausse et retire son pantalon noir, qu’elle plie soigneusement avant de monter sur le canapé. Solange la déculotte et je peux constater qu’Alice est une authentique rousse bien que ses belles fesses blanches soient dépourvues d’éphélides. Elle reçoit la même raclée de martinet que sa copine la veille, à ceci près qu’à chaque volée elle couine comme un chat coincé dans une porte. Nous repartons en laissant à Geneviève le soin de pommader et consoler la victime larmoyante.


Puis vendredi c’est au tour de la belle Françoise qui, elle aussi, s’incline devant la volonté vengeresse de Solange, non sans crier et pleurer.



Sur le chemin du retour, je ne peux m’empêcher de remarquer :





*****




La vie continue. Jérôme appelle le plus souvent qu’il peut sa mère et moi, et nous partageons étroitement ces nouvelles. Nous nous ménageons chaque jour des moments de tendresse complice, chaque jour plus tendres, chaque jour plus complices.


Il y a le café d’après déjeuner, dans le canapé, toutes deux serrées, souvent enlacées. Le soir aussi nous retrouve, après le dîner, au même endroit. Un peu de télé, rarement, de la lecture, plus souvent, ou bien encore rien du tout : les yeux dans le vague nous goûtons le bonheur d’être ensemble.


Un dimanche matin nous nous retrouvons à la cuisine, bisous de bonjour, petit déjeuner moins gai, moins souriant que d’habitude, et Solange me dit :



Fait comme dit, j’ai préparé la poire que j’ai ramenée dans la chambre, j’ai été chercher la vaseline dans la salle de bain, et j’ai officié. Comme nous sommes encore en nuisette et peignoir Solange prend la pose sur son lit après s’être troussée, me dévoilant pour la première fois son postérieur, qui est superbe. Je lui vaseline le petit trou un peu nerveusement, ce qui la fait rire :



En fait je tremble un peu mais je parviens à lui introduire la poire et la vider sans difficulté. Elle s’étend sur le ventre et pour plaisanter je lui dis, en lui caressant les fesses :



Je sens qu’elle a envie d’en rire mais s’en abstient, trop occupée à serrer les fesses.


À son retour des toilettes, alors que je range dans la cuisine, elle vient m’enlacer et m’embrasser, me chuchotant à l’oreille :



Et nous éclatons de rire toutes les deux enlacées et gambadant comme deux gamines.


Lors de notre pause du soir, devant le feu de cheminée :



Nous l’avons fait. Je ne peux rien lui refuser, et au surplus je n’en ai pas envie, toutes ses propositions m’enchantent. Donc après avoir laissé nos vêtements dans sa chambre, nous sommes allées dans cette cabine de douche où nous nous sommes lavées mutuellement, ce qui veut dire caresser, sous l’averse, avec du savon liquide, toutes les parties de notre corps, y compris les plus intimes. Elle m’a longuement caressé les seins, elle semblait prendre un plaisir particulier à empaumer mes globes, à faire rouler le téton entre le pouce et l’index, à me faire la leçon sur la manière de lui faire du bien à elle aussi.


Elle m’a amenée à la jouissance en me doigtant le bouton magique et j’ai tenté de lui rendre la pareille mais sans être sûre d’y être parvenue. On est sorties se sécher, se brosser les dents, puis elle m’a demandé de dormir avec elle. Nous nous sommes endormies sagement, ayant enfilé nos nuisettes, toutes deux couchées sur le côté droit, emboîtées, elle derrière et moi devant, dans ses bras.


Nous nous éveillons avec le soleil qui a envahi la pièce. Nous nous regardons en souriant et Solange avance ses lèvres vers les miennes, quémandant un baiser que je ne peux refuser. Il sera suivi de beaucoup d’autres. Elle me caresse un sein sur le tissu de ma nuisette, puis descend sur une fesse et remonte sous la nuisette jusqu’à ma poitrine dont elle agace les tétons.


Je ne sais ce qui me pousse à cette hardiesse, je glisse moi aussi ma main sous sa nuisette, entre ses cuisses, jusqu’à sa vulve que j’empaume. Elle ferme les yeux, je tâtonne un peu et mon majeur finit par disparaître entre les lèvres. Elle soupire et entrouvre la bouche, exprimant ainsi son plaisir. Forte de cet acquiescement, j’agite mon doigt puis remonte vers son bouton que je titille puis retourne dans le vagin maintenant très humide et ainsi de suite jusqu’à obtenir un cri et un énorme soupir.



Ce disant elle repousse un peu la couette et vient s’installer entre mes jambes, le nez sur mon pubis. Elle passe ses mains sous mes cuisses qu’elle soulève en les écartant et fonce, langue en avant, dans mon minou dont elle écarte les lèvres. Elle lèche suavement les nymphes, remonte vers mon clitoris qu’elle mignote longuement. Je sens que ça monte, ça monte, et boum ! l’orage éclate. Elle prend mes fesses, une dans chaque main et vient poser sa joue sur ma toison pubienne, le temps que je retrouve mes esprits.



Au cours de cette matinée je confie à Solange ma gène de n’avoir aucun emploi, donc aucune ressource.



Et quelques jours plus tard, je suis embauchée à mi-temps pour tenir la permanence du secrétariat de mairie, tous les après-midi. Je suis ravie, je peux désormais participer aux frais du ménage, je peux aider Solange tous les matins et le soir nous disposons de temps pour nous.



Le moment venu, alors qu’elle a pris place dans le canapé, elle déboutonne mon jean, le baisse ainsi que ma culotte et me demande de m’étendre sur ses cuisses. Elle nous installe commodément, sa main gauche sur ma taille et la droite caressant mes fesses. Puis son geste se transforme en petites tapes et cela durant un bon moment.



Les tapes se font aussitôt plus lourdes, ce n’est toujours pas une punition, c’est excitant, ça fait trembler mes fesses et cet ébranlement se propage à mon minou. Mais vient aussi la crainte qu’elle se mette à claquer fort et je sens mon intimité s’humidifier. Pourtant non, elle ne frappe toujours pas méchamment, par contre elle maintient une allure régulière et doucement mon derrière s’échauffe. Elle s’arrête :



Et comme j’ai dit oui elle reprend de la même manière quelques minutes. Mon popotin a maintenant atteint une bonne température. Elle glisse sa main vers ma vulve et me caresse légèrement, lentement, jusqu’à l’orgasme qui survient vite et fort.



Depuis c’est devenu une habitude. Je sais que si je veux lui faire plaisir, je n’ai qu’à demander la fessée. Elle procède toujours de ma même façon, ou plutôt elle m’amène insensiblement à supporter des tapes un poil plus sèches, une durée un poil plus longue.


Un beau jour, elle sort le martinet. Comme je me récrie, elle me rassure :



Et comme j’ouvre des yeux ronds :



On bourre une taie avec deux oreillers bien tassés, de façon à obtenir une sorte de boule. Elle me met l’engin dans la main et me guide le poignet et nous fouettons les oreillers. J’apprends ainsi à doser la force des coups ainsi que le groupement des lanières. Lorsqu’elle m’estime prête à faire mes premières armes avec cet instrument, elle se déculotte et s’installe sur le lit comme elle l’a fait faire à ses copines devant moi, puis me dit :



Je commence en caressant son postérieur avec le bouquet de lanières.



Je fouette doucement en m’efforçant de me souvenir de la leçon.



Après bien des hésitations je finis par trouver le geste qu’elle souhaite. Comme ses fesses sont devenues bien roses, je m’arrête.



Alors je fouette, j’augmente progressivement la cinglée, je compte toujours jusqu’à quatre entre les coups, elle prend ainsi une vingtaine de cinglons sur son beau derrière qui était blanc mais est devenu bien rouge. Elle s’affale à plat ventre, je cesse de fouetter et la laisse en paix. Je demande :



Je me retire, la laissant cuver sa fessée, et m’en vais m’asseoir au salon sur le canapé. Elle m’y rejoint une demi-heure après :



À mon retour, elle dit en souriant :