1 - Le non-respect de la charte

C’est la raison principale. En voici quelques exemples :

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Nous ne souhaitons pas publier votre récit, qui comporte des éléments ne respectant pas la Charte du site. L’intrigue tourne inlassablement autour d’un événement sordide (abus sexuels sur une jeune femme en état d’ivresse) et de ses conséquences, créant d’interminables conversations mettant en relief mensonge, hypocrisie, harcèlement moral et autres comportements peu réjouissants. Nous pensons que votre roman ne s’inscrit pas dans l’esprit essentiellement ludique de Revebebe, et préférons vous le renvoyer en vous suggérant de le proposer à des éditeurs friands de mélodrames.

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Nous ne publions pas de textes érotiques mettant en scène des mineurs. Nous ne vous conseillons pas, néanmoins, de nous renvoyer votre récit en vieillissant votre personnage. Aucun de nos correcteurs bénévoles ne sera disposé à le prendre en charge, car il présente beaucoup trop de fautes et très peu d’intérêt à la lecture. Son thème est en outre particulièrement désagréable : chantage, violence gratuite, humiliation, etc.

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Viol, torture, etc. Nous ne publierons pas votre récit : lisez notre charte.

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« Elle baise toutes les semaines avec son frère jumeau. » Leur maman doit en être offusquée, mais surtout la Charte qui proscrit absolument l’inceste ! XXX, vous êtes une de nos vieilles connaissances et, en tant qu’habitué du site, vous avez sans doute déjà lu la Charte. Vous savez très bien qu’on ne peut pas laisser passer ça. Votre texte est refusé.

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Votre texte comporte deux viols. Dans le premier, la fille est coincée et a clairement manifesté son désaccord. Dans le second, le premier violeur est coincé et le copain de la première victime le viole. Le fait que les deux victimes soient consentantes a posteriori ne change rien (relire la charte du site).

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Vous avez remplacé la prostitution par la contrainte ce qui est, aussi, contraire à la charte. De plus, vous évoquez des actes sexuels commis par une mineure ce qui est aussi refusé. Nous ne publierons pas votre récit.

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Nous ne publions pas de textes érotiques dont les personnages sont mineurs. Vieillissez-vous d’un an au moins : vous aurez redoublé votre première, et c’était bien mérité. Mettez cette année à profit en apprenant la conjugaison au passé simple. Et relisez ! Vous devriez quand même parvenir à corriger quelques fautes grossières.

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Contrainte, humiliation, scatologie… Nous ne publions pas ce genre de récit, même si vous avez fini par « vachement aimer cet enfer ». Lisez notre charte : elle vous contraindra à nous parler d’autre chose. Peut-être finirez-vous par aimer !

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Il était inutile de renouveler votre envoi en y ajoutant que votre héros était finalement très satisfait de se faire violer. Si vous aviez lu attentivement notre charte, vous auriez compris que cela ne fait qu’aggraver la situation.

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Votre héroïne a à peine 17 ans quand elle se fait violer et déflorer par Marcel. Nous ne pouvons éditer votre récit qui contrevient à la charte du site. Merci de votre compréhension.

L’auteur : « Bon , je lui mets 18 ans… »

Le correcteur : Il semble que vous n’avez pas bien compris le fonctionnement de notre charte. Il y a la lettre (18 ans minimum) et l’esprit (même s’il est indiqué « 18 ans », le personnage agit-il bien comme quelqu’un ayant atteint cet âge ?). D’autre part, la charte contient des paragraphes explicites concernant le respect des individus, le bannissement de scènes ou de situations décrivant un viol ou autres agissements assimilés. Votre texte est hors charte, et nous ne le publierons pas.

2 - La qualité des récits

C’est le deuxième motif de refus :

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Nous regrettons de ne pas pouvoir publier votre récit. Il nécessiterait un travail de correction et d’amélioration trop important. Si vous avez l’intention de nous le renvoyer, prenez le temps et la peine de le travailler. Corrigez (ou faites-vous aider pour corriger) toutes les fautes d’orthographe, rédigez des phrases complètes et correctement ponctuées. Évitez les incohérences comme : « Elle me voit la bosse qui fait mon pantalon des yeux grand ouverts de surprise » ou comme : « Elle s’etait blotie contre le bras du banc et avait le dos à moi mais avait tourné la tête vers arrière. »

Relisez votre œuvre plusieurs fois, au besoin n’hésitez pas à utiliser un dictionnaire pour vérifier le sens ou l’existence de certains mots.

Vous avez envie de vous exprimer par l’écriture, nous vous en félicitons. Si vous suivez nos conseils, nous aurons le plaisir de vous lire dans quelque temps.

Au travail, et bon courage !

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Ce récit contient quelques phrases incompréhensibles (soit il manque des mots, soit correction incomplète). On relève aussi des aberrations « Comme tu as pu le voir » (alors qu’elle a les yeux bandés). Les dialogues ne sont pas mis en forme. Il subsiste beaucoup de fautes d’orthographe.

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Votre récit comporte des phrases incohérentes (par exemple : « Je relevais ma tête dont les yeux étaient hypnotisés par mes gestes ; c’est ainsi que nos regards se sont croisés et j’ai bien vu que ces contacts mammaires avaient réveillés ses sens »). Vous n’autorisez que des corrections d’orthographe et de présentation. Veuillez donc reprendre votre texte pour corriger vous-même ces paragraphes et revoir aussi l’orthographe. Merci de votre compréhension.

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Nous ne souhaitons pas publier ce récit qui ne renouvelle pas assez notre catalogue et qui est par passages assez confus. Ce sera avec plaisir que nous recevrons un autre texte de vous, si vous savez faire preuve de plus d’originalité, ce dont nous ne doutons pas.

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Que viennent faire les Suisses dans ce récit ? (« en t’écartant les suisses… ») Relisez-le donc soigneusement et corrigez vous-même quelques fautes évidentes. Profitez-en pour le rédiger soit au présent soit au passé. Il ne débordera pas d’originalité mais donnera un peu moins de travail aux correcteurs bénévoles.

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Nous sommes navrés de vous retourner votre récit, mais aucun des membres de notre équipe de correcteurs bénévoles ne l’a trouvé suffisamment intéressant et original pour se lancer dans l’important travail de correction qu’il exigerait avant d’être publié.

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Aucun de nos correcteurs bénévoles n’a voulu prendre en charge votre récit « XXX ». Autant vous dire la vérité, cher auteur : nous estimons que, même débarrassé de ses très nombreuses fautes d’orthographe, il ne présenterait qu’un trop faible intérêt pour nos lecteurs. Ceux-ci ne manqueraient pas de lui donner une bien mauvaise note, ce qui vous attristerait sans doute.

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Nous ne souhaitons pas publier votre texte, qui manque à la fois d’attrait et d’originalité. Nous vous conseillons d’éviter d’écrire en « tu ». C’est désagréable pour le lecteur, car le texte ne s’adresse pas à lui.

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Vous sollicitez commentaires et conseils. Premier conseil : relisez votre récit avant de nous l’envoyer (« …quand je la que je la vit » – « j’y avais aperçu de jolis bans de voleur rouge et dorés » – « Les toilette sont propres, et ont au air exotiques » etc., etc.).

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Bonjour, votre récit nécessiterait un gros travail de correction : vous n’avez sans nul doute pas jugé bon de le relire. Vous auriez dû en outre remarquer que nous demandons un résumé dans le formulaire d’envoi. Cette dernière remarque est pour l’avenir, si vous nous adressez un autre texte, moins banal que celui-ci, que nous ne publierons donc pas.

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Votre récit est destiné à être lu sur un écran. Contrairement à un texte imprimé, la lecture sur écran impose un certain nombre de contraintes de présentation, entre autres la longueur des paragraphes (quand c’est trop long, les retours à la ligne sont pénibles à trouver et la lecture devient fatigante). Pourriez-vous donc essayer d’aérer vos paragraphes en effectuant des retours à la ligne et même en introduisant des interlignes (c’est indispensable avant et après les blocs de dialogue, voir « Les guides »). L’ensemble des correcteurs bénévoles de Rêvebébé vous en remercie à l’avance.

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Il vous faudrait revoir les prénoms des protagonistes. L’amie de la mère de la narratrice s’appelle-t-elle Jeanne, ou Anne ?

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Vous êtes sans aucun doute capable de corriger vous-même un certain nombre de fautes que vous auriez vues si vous aviez relu soigneusement votre récit avant de nous l’adresser. Par ailleurs, nous ne vous conseillons pas d’écrire brutalement : « c’est la réalité de l’histoire ». Essayez plutôt de nous y faire croire, par un scénario élaboré et des réactions plausibles de la part des personnages.

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Si vous ne parvenez pas à intéresser le lecteur par le récit de vos expériences personnelles, inventez plutôt une histoire dans laquelle vous pourriez les évoquer, mais qui soit construite (un début, un développement, une fin). Cordialement.

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Votre récit repose sur un scénario déjà utilisé maintes et maintes fois dans notre catalogue. Nous serions intéressés s’il présentait une certaine originalité. Vous ne faites que décrire les gestes de vos personnages. Essayez de leur donner de l’épaisseur, un caractère, des motivations. Expliquez, par exemple, pourquoi ce monsieur est tellement excité par le fait de se faire sodomiser par une femme et pourquoi son épouse admet aussi facilement la présence d’une autre femme. C’est cela qui est intéressant plutôt que des actes déjà décrits de multiples fois. En l’état actuel, nous ne pouvons pas éditer votre texte, mais persévérez, vous allez vite vous rendre compte que, si écrire demande beaucoup de travail, c’est aussi un immense plaisir.

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Prenez la peine de lire un des récits publiés ici et vous verrez, entre autres choses, que les dialogues y sont présentés de manière à en faciliter la lecture, que les espaces se mettent après les virgules ou les points et jamais avant, et qu’il convient de commencer chaque phrase par une majuscule en les terminant par un point d’interrogation s’il s’agit d’une question. Peut-être avez-vous remarqué que nous nous flattons d’être « le site de l’imaginaire ». Il est donc maladroit, nous semble-t-il, de commencer un récit en disant qu’il s’agit d’une histoire vécue. Nous sommes d’ailleurs disposés à vous croire : vous nous faites part d’une de vos aventures galantes, plutôt banale dans sa première partie mais plus intéressante ensuite. Nous vous conseillons donc de vous relire avec le plus grand soin, de corriger quelques fautes qui devraient vous sembler évidentes et surtout de raccourcir votre texte, qui n’en deviendra que meilleur. Ne vous découragez pas, surtout. Vous aimez écrire. Il y a de bons passages dans votre récit mais ils sont noyés dans trop de banalités. Un texte doit être relu et relu, maintes fois amendé, corrigé, densifié, donc raccourci. Bon courage !

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Comme vous avez pu le constater, le premier volet de votre série n’a pas obtenu un grand succès auprès de ses lecteurs. Il en sera de même pour le second, si vous ne faites pas l’effort de le modifier. Vous évoquez sa qualité et son ambiance. Nous vous devons la vérité : il doit être beaucoup retravaillé pour présenter un minimum d’intérêt. L’intrigue est banale, les personnages aussi. Il est maladroit, de plus, de l’annoncer « riche en rebondissements » alors qu’il ne se passe rien que de très ordinaire. Ne vous découragez pas, mais améliorez-le ! Rappelez-vous que nous vous avons conseillé de le raccourcir.

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Nous vous retournons votre récit car il demande un travail de correction qui va bien au-delà de « présentation et orthographe ». Il y a des incohérences, des erreurs de concordance de temps… Relisez-vous attentivement. Au besoin, demandez l’avis de quelqu’un d’autre. Vous nous avez fait parvenir plusieurs récits en même temps. Apparemment, vous venez de découvrir Revebebe et vous y êtes le bienvenu. Sachez toutefois que ce site n’est pas une plate-forme publicitaire ni un service gratuit de correction de textes. Prenez votre temps : parcourez le site, lisez nos histoires, rejoignez-nous sur le forum. Évitez d’envoyer plusieurs histoires en même temps. Accordez-nous le temps d’en prendre une en charge et de la publier, laissez aux lecteurs le temps de la découvrir et de la commenter ; et offrez-vous aussi l’occasion de remettre éventuellement en question l’une ou l’autre certitude qui serait ancrée dans votre esprit.

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À un auteur de récits de soumission :

Nous avons publié vos deux premiers récits. Nous estimons que le troisième n’apporterait rien de plus aux lecteurs éventuels. Nous ne doutons pas que vous vous soumettrez à notre décision.

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Nous sommes le site de l’imaginaire, nous préférons des récits inventés mais originaux au froid compte-rendu d’un événement « arrivé tel quel » comme vous dites, mais dont la banalité n’ajouterait pas grand-chose à notre catalogue déjà bien fourni en la matière.

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Nous ne publierons pas cela ici : votre récit est un documentaire sur un sujet trop précis. Veuillez y ajouter des héros, des dialogues, une intrigue, une ambiance, des surprises et supprimer les références, trop nombreuses.

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Votre série ne suscite guère d’enthousiasme auprès de vos rares lecteurs. Par ailleurs, nous ne souhaitons pas publier des récits mettant en scène des rapports sensuels entre personnages de la même famille. Nous vous suggérons donc de terminer cette série en beauté : en nous envoyant un dernier texte plus travaillé et en faisant preuve d’un minimum d’originalité, ce qui est loin d’être le cas en ce qui concerne votre chapitre VIII. Quoi de plus normal en effet, pour une femme naturiste, que de passer ses vacances dans un centre naturiste ! Merci de votre compréhension.

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Nous ne publierons pas votre texte. Notre catalogue contient déjà un grand nombre de récits traitant de candaulisme et vous n’apportez aucune originalité au sujet. D’un autre côté votre style aurait besoin d’être retravaillé sérieusement pour éviter un certain nombre maladresses comme : « … puis caresse mes seins à travers le soutien-gorge dont les tétons sont tous durs. » Mais ne vous découragez pas, soyez original, travaillez votre texte et nous vous éditerons.

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Votre récit ne nous pas été transmis intégralement. Il vous faudrait donc recommencer. Nous vous conseillons vivement d’en profiter pour le relire avec soin afin de corriger au moins quelques-unes de ses trop nombreuses fautes, si vous tenez absolument à ce qu’il soit publié. Mais nous ne vous cacherons pas qu’en raison de son manque total d’originalité et compte tenu du fait que notre site regorge de textes de ce genre, il est peu probable qu’il obtienne un véritable succès auprès de nos lecteurs.

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Nous demandons de passer les récits au contrôleur d’orthographe d’un traitement de texte. Vous ne l’avez pas fait. Réflexion faite, vous avez eu raison : il présente un trop faible intérêt pour être publié. Ne vous découragez pas, travaillez beaucoup, relisez, corrigez… et racontez-nous quelque chose de plus original.

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Nous avons déjà un auteur du nom de « XXX », et un très grand nombre de récits écrits par des cocus. Nous vous invitons, en conséquence, à changer de nom et de femme.

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Nous pas pouvoir publier texte de vous car nous pas pouvoir faire miracle de changer présent charabia en histoire lisible. Inutile fatiguer à encore renvoyer, nous pas plus changer avis demain que hier.

3 - L’orthographe et la présentation

Nous laissons parfois des fautes, et certains ne se privent pas de nous le faire remarquer. Il peut même nous arriver d’en rajouter mais c’est quand même exceptionnel et rares sont les auteurs qui nous le reprochent, car ils ne les voient généralement pas, compte tenu du fait qu’ils en font eux-mêmes parfois vraiment beaucoup :

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Votre texte est trop court pour un épisode de série. Veuillez l’étoffer avant tout nouvel envoi. Profitez-en également pour le passer au correcteur orthographique (Word ou Open Office, par exemple), ajouter des majuscules au début des phrases (y compris dans les dialogues), mettre des accents aux « é », « è » ou « ê », ne pas mettre d’espace avant les virgules, mettre des points à la fin des phrases. Pour finir, essayez de créer davantage d’ambiance et d’étoffer vos personnages ; le récit n’en sera que meilleur.

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Veuillez passer votre récit au correcteur orthographique de votre traitement de texte, présenter les dialogues conformément aux standards du site (avec des tirets et sans guillemets – voyez quelques récits récemment publiés) et utiliser une ponctuation correcte. Les points de suspension se mettent par trois, ni plus ni moins. Un seul point d’exclamation à la fois suffit amplement. On commence les phrases par une majuscule et on les termine par un point. Il est inutile d’aller à la ligne en plein milieu d’une phrase. Sans amélioration sérieuse, inutile de nous renvoyer votre texte. Nos correcteurs bénévoles ne peuvent faire tout le travail à votre place. Merci de votre compréhension.

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Vous êtes-vous relu ? Il n’y a pas d’apostrophes, la ponctuation est complètement incohérente, et il reste énormément de fautes. Même le titre de votre récit est bourré d’erreurs. Merci de vous corriger pour un éventuel prochain envoi.

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Nous ne « proposons » pas de corrections. Nous corrigeons les fautes d’orthographe et de grammaire indiscutables et rectifions, au besoin, la présentation pour la rendre conforme aux standards du site. Vous n’avez d’ailleurs autorisé que « présentation et orthographe », ce qui nous interdit de toucher à quoi que ce soit d’autre.

Nous ne formulons généralement pas de propositions pour améliorer le style, d’une part parce que ça n’est pas notre rôle, et d’autre part parce que ce serait sans doute présomptueux de notre part. Chaque auteur a son style que nous entendons respecter.

Après publication, vous aurez tout loisir de comparer la version publiée avec votre texte d’origine, et d’y relever les corrections que nous aurions pu y apporter. Sachez toutefois qu’en vous inscrivant comme auteur, vous disposerez d’un espace auteur vous permettant de communiquer avec les correcteurs, et également de la possibilité de pouvoir valider nos corrections (ce qui est impossible si vous n’êtes pas inscrit). Cordialement.

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Malgré l’engagement que vous avez souscrit, vous n’avez manifestement pas relu votre texte : « …ses frais étaient froides… ». Nous vous prions de le faire et par la même occasion nous vous recommandons d’user d’un correcteur orthographique pour éliminer les principales fautes. De même vous seriez aimable d’ébaucher une présentation plus en phase avec les canons du site, c’est-à-dire des dialogues introduits par des tirets suivis d’un espace ; c’est-à-dire l’aération du texte avec une ligne d’espacement entre les paragraphes et avant et après chaque bloc de dialogues (voir les textes déjà publiés). Merci de votre compréhension.

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Vous annoncez loyalement la couleur : « pas doué en orthographe ». Soit. Mais là, vraiment, c’est trop. Le rôle des correcteurs est de traquer les fautes résiduelles mais pas de devoir ré-écrire tout un texte, tellement les fautes sont nombreuses. Un texte qui, par ailleurs, est assez banal et ne renouvellerait en rien notre catalogue. Nous sommes donc dans l’obligation de le refuser.

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Nous ne publierons pas votre texte. Il présente d’effrayants problèmes de qualité : orthographe, grammaire, conjugaison, cohérence sémantique. La totale… Cela demanderait un travail énorme de correction et, avec 116 000 caractères, la tâche est quasi insurmontable. J’en sais quelque chose : j’ai mis moi-même 4 heures pour corriger les trois quarts du texte avant de jeter l’éponge. Aucun correcteur – nous sommes tous des bénévoles – n’accepte de s’en charger. Par ailleurs, ce n’est qu’un banal scénario de film porno, sans âme, sans émotion, qui n’enrichira en rien notre catalogue. Il existe d’autres sites qui publient des histoires érotiques. Nous vous suggérons de tenter votre chance chez eux.

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Nous avons publié un de vos récits, après l’avoir corrigé et en avoir modifié la présentation. Nous vous invitons à vous inspirer du résultat pour amender vous-même celui que vous nous avez envoyé ensuite (« XXX »). Nous vous conseillons de faire des paragraphes cohérents sans aller à la ligne à tout bout de champ, de les séparer en sautant une ligne, d’isoler également les dialogues du reste du récit en les commençant par des tirets et non des guillemets et en sautant une ligne avant et après. Par ailleurs, il semble que vous vouliez faire intervenir plusieurs narrateurs : il serait souhaitable de mettre leurs prénoms en sous-titre en sautant une ligne aussitôt après. Votre récit a été enlevé de la liste des textes à corriger. Il vous appartiendra donc de nous le renvoyer après l’avoir modifié, si vous désirez qu’il soit publié chez nous. Merci de votre compréhension.

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Si vos opinions philosophiques sont aussi respectables que celles des autres, veuillez toutefois admettre que votre maîtrise de la grammaire n’est pas du meilleur niveau. Les choses pourraient néanmoins s’arranger un peu si vous passiez votre récit au correcteur orthographique de votre traitement de texte. Veuillez également en profiter pour présenter correctement les dialogues (avec des tirets, sans guillemets) et veiller à ce que les phrases qui les constituent commencent par une majuscule et se terminent par un point. Nos correcteurs bénévoles vous en remercient.

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Nous croyons comprendre que vous désirez réinventer le français. C’est votre droit. Sur Revebebe, nous sommes assez traditionalistes en ce qui concerne la grammaire, l’orthographe et la typographie. Nous vous suggérons donc de tenter votre chance ailleurs.

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Désolés de refuser votre récit, mais les correcteurs bénévoles ne peuvent tout faire à votre place ! Votre texte est mal présenté, truffé de fautes de frappe, de grammaire, d’orthographe et de ponctuation (relisez attentivement et corrigez, svp). Voyez nos récentes publications pour la présentation : il faut « aérer » le texte. N’abusez pas des points de suspension, et lorsque vous les utilisez, mettez-en TROIS, c’est amplement suffisant ! Il est également inutile de mettre ensemble plusieurs points d’exclamation ou/et d’interrogation. Un seul suffit. Merci.

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Vous nous avez déjà envoyé plus d’une quinzaine de textes. Certaines fautes ne devraient plus vous échapper. On n’écrit pas « constate t’il » ou « commente t’il », mais « constate-t-il » et « commente-t-il ». On n’écrit d’ailleurs jamais « t’il ». D’autre part, les points de suspension se mettent par trois ; ni plus, ni moins. S’ils terminent la phrase, on n’en rajoute pas un quatrième ; on met seulement une majuscule au début de la phrase suivante. Dans une phrase, on ne met pas de virgule devant des points de suspension. On ne met pas d’espace avant un point ou avant des points de suspension, mais on en met une après. Veuillez consulter nos guides typographiques.

Même si ces remarques peuvent vous sembler banales, sachez que la correction de ce genre d’erreurs est très laborieuse (d’autant que votre texte regorge de points de suspension). Nous vous remercions d’avance de reprendre votre récit et de le retravailler de manière à alléger la tâche de nos correcteurs bénévoles.

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À un auteur désirant aller au-delà du « pur français » :

« Du pur français », on en est loin… (Et je ne parle pas du vocabulaire, qui peut effectivement relever d’un choix de langage.) Un bon début pourrait être de passer votre texte au correcteur orthographique ; ça enlèverait déjà l’essentiel des fautes délirantes.

4 – Le cas des séries

Nous recevons parfois une dizaine de longs textes d’un seul coup, de véritable romans ! Dans d’autres cas les résumés des épisodes précédents sont absents ou farfelus, ou des récits trop courts gagneraient à être édités en une seule fois, car les lecteurs boudent les séries.

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Le résumé que vous proposez est celui du premier épisode. Il convient de le faire figurer en tête du second, sous l’intitulé « Résumé du premier épisode » et de rédiger un véritable résumé du second.

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D’après votre remarque, ce texte va appeler une suite, il s’agit donc d’une série. Dans ce cas, il y a un certain nombre de contraintes : la longueur des épisodes doit dépasser les 12 000 caractères, la série doit avoir un titre (en plus du nom de l’épisode) et chaque nouvel épisode devra commencer par un résumé succinct des épisodes précédents. Nous vous demandons donc de compléter ce premier épisode pour qu’il atteigne au moins 12 000 caractères et de donner un titre à votre série.

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Nous n’avons pas trouvé le premier épisode de cette série. Pouvez-vous nous envoyer le premier épisode avant le reste ? Merci.

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Votre premier épisode est publié depuis le XXX. La suite que vous venez de nous envoyer ne le prend pas en compte, puisque vous commencez votre épisode 2 avec la répétition de certaines parties du 1. Pourriez-vous s’il vous plaît envoyer la suite correcte et pertinente de votre série ? Merci de votre compréhension.

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Bonjour. Les séries sont les mal-aimées du site Revebebe, peu lues, peu commentées, souvent inachevées. Après discussion en comité éditorial, nous sommes arrivés à la conclusion que votre série n’apporterait pas, en cas de publication, suffisamment de nouveauté au catalogue du site. Nous sommes donc au regret de vous la retourner. Nous acceptons par contre avec plaisir les histoires originales, surprenantes, agréablement écrites et soigneusement corrigées. Surprenez nous ! Secouez votre imagination !

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Votre récit « XXX » semble être le premier d’une série « XXX ». Nous souhaitons ne publier, dans le cas de séries, que des textes comportant au moins 12 000 caractères. Nous vous invitons en conséquence à étoffer celui-ci en y ajoutant au moins une partie de ce que vous aviez prévu pour la suite. Nous vous conseillons en outre d’éviter de trop mélanger passé et présent et de faire preuve d’un maximum d’originalité : notre site regorge de récits de ce type, ce qui finit par lasser. Votre résumé évoque un pont mais on le cherche vainement dans votre texte : tout lecteur éventuel va faire part de sa grande frustration.

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Nous ne voulons pas vous décourager, mais compte tenu du nombre impressionnant de fautes contenues dans votre texte ainsi que du peu d’originalité de ce que vous racontez, il est à craindre que l’accueil du lectorat soit encore plus frais que celui de notre équipe de correcteurs. Nous sommes peut-être vieux-jeu, mais nous préférons que les séries commencent par leur début (l’épisode n°1), quitte à ce qu’elles s’arrêtent après deux ou trois épisodes. Vous en annoncez quinze, commencez avec le n° quatorze, pour enchaîner ensuite avec le treize… Si vous n’allez pas au bout de votre effort, nous risquons de nous retrouver avec les treizième et quatorzième chapitres d’une histoire qui en compte théoriquement quinze. Nous vous suggérons donc de commencer avec l’épisode numéro 1, même s’il ne raconte pas le début de votre aventure (les flash-backs sont autorisés à condition de faire preuve de clarté). Prenez bien soin de passer votre récit au correcteur orthographique de votre traitement de texte. Veuillez également noter que nous n’acceptons plus de séries dont les épisodes n’atteignent pas au minimum 12 000 caractères.

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Vous comprendrez certainement qu’il nous est difficile de publier le quatrième épisode d’une série à ce jour inconnue sur Revebebe ! Vous êtes donc invitée à nous envoyer d’abord les trois premiers (dans l’ordre, tant qu’à faire ;) ), avant de nous proposer à nouveau celui-ci.

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Après lecture de votre récit, nous avons choisi de ne pas le publier. Il n’apporterait rien de plus à votre série qu’une surenchère que nous estimons malsaine autant qu’inutile. Nous considérons donc votre série comme terminée au sixième épisode. Nous accepterons par contre avec plaisir d’autres récits de votre cru, pour autant bien sûr qu’ils respectent notre charte et qu’ils renouvellent quelque peu notre répertoire… ainsi que le vôtre.

5 - Les doublons

Anosognosie ou volonté farouche d’être lu, lu et relu, certains auteurs récidivent. Quand nous nous en apercevons – ce qui n’est pas toujours le cas – nous réagissons :

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Nous avons déjà publié ce récit sous le numéro XXX.

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Ce récit a déjà été publié sur Revebebe sous le n°XXX Votre pseudo était alors : XXX.

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Ce récit a déjà été publié (XXX) sous le même nom de « XXX » mais avec un pseudo différent. S’agit-il d’un plagiat ou avez-vous changé de pseudo ?

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Il est inutile de nous envoyer plusieurs fois votre texte sous des pseudos différents.

L’histoire que vous racontez n’est pas originale, nous en avons déjà publié de multiples versions et vous n’ajoutez rien d’original au thème.

Soyez inventif, surprenez-nous et nous serons alors heureux de vous publier.

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Vous nous envoyez le même texte sous deux pseudos et deux titres différents. Veuillez nous renvoyer ce texte avec le titre, le pseudo et le résumé que vous désirez voir apparaître.

Merci de votre compréhension.

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Remplacé par un envoi ultérieur – ou postérieur, compte-tenu de la nature de votre récit.

(Il s’agissait d’une sodomie.)

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Ce récit figure déjà dans notre catalogue, sous le numéro XXX.

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Vous venez de nous envoyer une nouvelle version de ce numéro 4, en indiquant : « refonte d’un texte rejeté ». Nous n’avions pas rejeté vos épisodes 4 et 5 ; mais puisque vous en avez posté d’autres, nous vous remballons ceux-ci. Veuillez cesser, s’il vous plaît, de multiposter vos textes, ça ne sert à rien d’autre qu’à exaspérer nos correcteurs bénévoles. Merci.

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Nous avons reçu sept fois votre texte. Une seule suffisait. Nous conservons pour l’instant votre dernier envoi.

6 – Réponses à certains obstinés…

…Car ils nous font parfois perdre patience :

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Bonjour. Notre comité éditorial a déjà refusé ce texte précédemment, et n’a pas changé d’avis. Inutile donc de nous l’envoyer à nouveau. Merci.

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Nous ne souhaitons pas publier votre récit ; nous ne changerons pas d’avis, même si vous le renvoyez encore et encore.

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Le collège des correcteurs bénévoles de Revebebe, par son Arrêté n°6767CC du 07/11/2009, §1 alinéa1, a décidé de ne pas prendre en charge votre récit. Nous vous le retournons donc à titre définitif. Nous ne souhaitons plus publier vos récits.

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Nous avons déjà refusé de publier votre texte il y a quelques mois, et n’avons pas changé d’avis. Veuillez s’il vous plaît ne plus nous l’envoyer. Cordialement.

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Vous nous avez envoyé une seconde fois votre texte, mais il est toujours aussi peu intéressant et toujours aussi mal orthographié. Merci de ne plus nous le faire parvenir.

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Vous nous avez déjà envoyé ce texte plusieurs fois, et nous n’avons toujours pas changé d’avis. Merci de NE PLUS nous l’envoyer.

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Retour pour la même raison que les épisodes 4 et 5. Ne nous envoyez plus rien, merci.

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Il est inutile de nous envoyer plusieurs fois ce texte. Nous l’avons déjà reçu 5 fois, et il est toujours aussi inintéressant : nombreuses fautes, scénario banal.

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Vous nous avez déjà envoyé ce texte. Nous avons refusé de le publier. Prière de ne plus nous envoyer ce texte ni aucun texte de ce genre.

7 - Lorsque l’auteur juge lui-même son récit

L’auteur: « Bonsoir, J’ai relu mon récit. Le trouvant nul, vulgaire et sans aucun intérêt, je désire le supprimer. Désolé. »

La réponse : Bonjour, si vous voulez que l’on vous renvoie votre texte, il faudrait le relâcher par : « Libération du texte sans enregistrement des corrections » ou « Corrections terminées, gardez mes modifications ».

Merci d’avance.

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L’auteur : « Texte à supprimer:-) je ne suis déjà pas trop fier du XXX alors celui-là j’ai carrément honte:-) :-) »

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Texte effacé à votre demande. Sans doute désirez-vous le relire avec soin, ajouter les mots qui manquent et améliorer sa présentation.

L’auteur : « Bonjour, oui je dois reformuler le texte afin que la demoiselle ne puisse plus s’identifier, cela la perturbait et elle a mis du temps à me dire que j’avais trop puisé dans le domaine privé. Coups d’essai, coups raté mais mal vite réparé merci »

8 - Pour l’image du site

Voici ce que dit la charte : « Nous ne souhaitons plus publier n’importe quelle catégorie de récits, ceci pour mieux maîtriser l’image que nous voulons donner de notre site. »

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Nous ne sommes pas intéressés par le genre de récit que vous proposez. Vous trouverez sans peine d’autres sites plus spécialisés dans le registre que vous affectionnez.

(Il s’agissait d’un adepte de couches culottes.)

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Nous ne publierons pas votre récit. Il est déjà édité sur d’autres sites sous des noms d’auteur différents. Ne pouvant vérifier s’il s’agit ou non d’un plagiat, nous préférons nous abstenir. Merci de votre compréhension.

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Sur ce site, on trouve des histoires érotiques, pas des pubs pornographiques. Vous vous êtes trompé d’adresse.

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Revebebe n’étant pas un site de rencontres, nous vous saurions gré d’ôter de votre récit la partie vous concernant personnellement et invitant les personnes qui pourraient se montrer intéressées par vos performances à vous contacter par courriel.

Nous attirons également votre attention sur les exigences posées par la charte du site, notamment en ce qui concerne l’âge minimal des protagonistes dans toute situation à caractère sexuel.

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Revebebe n’étant ni un site de rencontres, ni un support pour annonces privées ou à caractère commercial, nous vous retournons votre présentation. Nous acceptons par contre bien volontiers les récits bien écrits, imaginatifs, originaux et respectueux de la charte du site (ne manquez pas de la lire).

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Nous ne publierons pas votre récit « XXX » dont vous dites qu’il est choquant. Nous partageons votre analyse : il est choquant… de banalité et n’ajouterait rien de bien intéressant à notre catalogue. De plus, vous dites qu’il s’agit d’une traduction. Avez-vous l’accord de l’auteur ?

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Réponse d’un auteur, après le refus de son texte :

« Domage j’aimerai que tous sachent à quel point on peut prendre du plaisir à souffrir et comment ma femme me rabaisse par ma faute. S’il vous plait publié moi. C’est ma punition et je l’accepte. »