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Temps de lecture estimé : 9 mn
04/09/12
Résumé:  Lucile avait, avant de connaître Marc, une sexualité débridée. Marc était plutôt timoré. Considérant que ses qualités compensaient largement ses faiblesses, Lucile s'en est accommodée. Marc finit par s'en rendre compte et apporta une solution...
Critères:  f fh cocus cérébral revede voir ffontaine fsodo jouet -couple
Auteur : Bicocu      Envoi mini-message

Série : La voie du cocu

Chapitre 01
Premières envies et premiers pas

Marc et Lucile se sont rencontrés en fac. Lui était plutôt discret et elle traînait une réputation de véritable salope couchant avec tous les gars de la promo (ou presque). À priori, rien ne les rapprochait et c’est après de longues discussions sur pratiquement tous les sujets de l’existence qu’ils sont sortis ensemble. De ce jour, Lucile s’est assagie ; elle qui ne passait pas une journée sans « se taper au moins un mec » et changeait « d’amoureux » tout le temps, s’est entièrement donnée à Marc et fit le vœu de lui rester fidèle.


Sur le plan de sa sexualité, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur puisque leurs appétits et leurs libidos n’avaient rien de commun. Marc n’était pas un « superman ». Il se contentait d’un ou deux rapports par semaine et ne faisait pas vraiment preuve d’imagination. Ses performances étaient médiocres ; il était très (trop) souvent précoce et son sexe, même au mieux de sa forme, avait des proportions ridicules. Lucile était un peu frustrée, mais elle se consolait sur ses autres qualités.


Par certains côtés, Marc était l’amoureux rêvé ; toujours aux petits soins sans exagération, il était attentionné et attentif, il la comprenait, anticipait ses envies et ses besoins, il savait la soutenir dans ses choix, l’encourager et la motiver. C’était un véritable équipier, un compagnon fidèle, enthousiaste et sympathique qui avait l’avantage par rapport à bien d’autres hommes d’être également autonome.


Il ne constituait pas non plus une charge ou une source de stress supplémentaire. Il était intelligent et cultivé et avait un sens de l’humour très développé. Elle en était tombée amoureuse et ses qualités valaient bien un « petit » sacrifice. Après deux ans de vie commune et une fois leurs diplômes en poche, ils se marièrent et s’installèrent dans une petite ville de province. Ils trouvèrent rapidement un travail l’un et l’autre et la vie semblait leur sourire. Pourtant, pour Lucile, ça n’allait pas ; le sexe lui manquait. Elle avait besoin de plus et elle s’évertuait à imaginer des solutions pour booster la libido de son chéri. Finalement, la solution vint de lui…



********************




Il lui tendit un paquet.



Lucile se défait de sa petite culotte et se place dans un des fauteuils du salon, la jupe relevée, les cuisses posées sur les accoudoirs. Elle regarde son mari dans les yeux, lui sourit et commence par se lécher trois doigts pour humecter sa minette. Marc regarde, silencieux, il attend le moment ou la colonne de latex rentrera dans le sexe de sa femme. Pour l’instant, elle se caresse en même temps qu’elle suce et lèche le gode. Marc s’approche de sa femme et défait les boutons de son chemisier. Il passe une main fébrile, les yeux rivés sur la fellation que Lucile prodigue au sexe factice. Il dégage les seins de leur carcan, deux gros globes laiteux jaillissent du soutien-gorge. Il les caresse et sent les tétons dressés sous ses doigts. Son excitation grandit. Lucile arrête maintenant sa fellation et guide « Ben » vers son antre qu’elle a bien préparé.



Dans une première poussée, elle fait glisser une bonne moitié de l’engin puis commence des petits va-et-vient. Marc a cessé ses caresses. La main gauche de Lucile a remplacé les siennes sur sa poitrine. Elle malaxe ses seins, se pince les tétons. Son excitation grimpe, elle gémit doucement. Elle ressort la bite qu’elle lèche de nouveau avant de la replonger sans délai dans son sexe encore ouvert. La deuxième poussée est plus forte, plus profonde. Marc est subjugué par ce qu’il voit. « Ben » est entré entièrement maintenant. Il n’en croit pas ses yeux. Lucile le regarde avec satisfaction.


Marc défait son pantalon et baisse son slip pour libérer une érection d’une force encore jamais atteinte. De toute évidence, le spectacle lui plaît. Cette vision est comme un coup de fouet pour Lucile. Il va la prendre après, elle le sent, ça l’excite plus que tout ce qu’elle avait pu construire dans sa tête. L’orgasme la surprend, elle hurle son plaisir. Marc qui pourtant s’était retenu de toute caresse intime est au bord de l’explosion. Elle jouit à nouveau, instantanément, en réalisant que Marc est véritablement excité par la vue d’une bite dans sa chatte.


Précipitamment, elle se sépare de « Ben » et attrape son mari pour qu’il la prenne sans attendre. La sensation du sexe de son aimé, bandé comme jamais, dans ses entrailles est la plus forte. Rien ne vaut la chair. Marc la pilonne comme un sourd ; son sexe se tend encore. Le plaisir de son mari est d’une violence qu’elle n’avait encore jamais vue. Elle le sent exploser, elle crie sa jouissance pendant qu’il la remplit abondamment par une, deux, trois, quatre éjaculations successives. Ils s’écroulent ensemble sur le fauteuil. La bite de Marc ne met pas longtemps à ressortir ; elle sent maintenant que sa semence suit le même chemin. Elle décide de reprendre le jeu.



Marc entra à nouveau dans le jeu ; il regarda le sperme qui s’écoulait du sexe béant de Lucile comme s’il s’agissait de celui de « Ben ».



Sans un mot, Marc s’accroupit entre les cuisses de sa femme. Approchant son visage du sexe encore rougi de leurs ébats, il darda sa langue et il commença par le petit filet qui s’écoulait doucement vers l’anus. C’était la première fois qu’il goûtait à du sperme. Il en en apprécia la saveur. C’était salé et un peu amer. Il imaginait que c’était vraiment cette grosse bite, qui quelques minutes plus tôt remplissait le vagin de Lucile, qui avait largué cette quantité de foutre. Il s’activa, sa langue faisait des prouesses, n’oubliant aucun recoin. Il aspirait et avalait tout sous les encouragements d’une Lucile excitée. De lécher son sperme comme celui d’un amant que sa femme aurait eu déclencha chez Marc une nouvelle érection aussi violente que la précédente.


Dans sa fougue nouvelle, il ne s’aperçut même pas qu’il entrait par la « porte de service ». Lucile ne dit rien, elle le laissa faire, réalisant de fait que la petite bite de son mari était sans doute plus appropriée pour ce genre de pénétration. Laisser Marc mener son affaire au bout devint important pour elle. Marc redoublait d’ardeur, il lui défonçait l’anus et bizarrement, elle découvrit que, venant de lui, elle aimait ça. Pour mieux l’accompagner, elle glissa ses mains sur son clitoris gonflé. La jouissance monta très vite et pour la deuxième fois de la soirée, ils explosèrent ensemble. Pendant que Marc remplissait son cul, elle se répandit en un flot continu de foutre liquide. Lucile venait de connaître sa première éjaculation féminine. Le fauteuil était sans doute foutu, mais ça en valait la peine…


********************


Par la suite, « Ben » a pris une véritable place dans la vie de Lucile et Marc. Elle s’en servait souvent pour se satisfaire ou l’exciter quand il était là. Parfois, elle rentrait et succombait à ses envies permanentes de bites en se masturbant sur le canapé de leur salon. Quand Marc rentrait, il la trouvait à moitié nue, le gode encore planté dans la chatte. Alors, elle lui faisait lécher et recommençait devant lui. Leur manière de faire l’amour changea peu-à-peu. Ils se mirent à utiliser un vocabulaire qu’ils n’auraient jamais envisagé auparavant comme :



Grâce à « Ben », la fréquence de leurs rapports doubla pratiquement et ils arrivèrent généralement à deux orgasmes partagés successifs dans la chatte et dans le cul. Marc prit l’habitude de nettoyer non seulement la chatte de sa femme après chaque étreinte mais également son cul quand il s’en était servi. Ils varièrent également les positions et les situations. Marc semblait apprécier particulièrement les soixante-neuf durant lesquels il léchait avec plaisir le clitoris de Lucile et la hampe de « Ben ». Lucile eut envie de plus de « toys » pour varier les plaisirs, notamment moins gros que « Ben ». Ils trouvèrent un sexe noir d’environ 16 cm qui s’appela « Joe ». Elle s’occupa elle-même des commandes et prit quelques objets pour Marc, sans le lui dire, qu’elle garda cachés jusqu’à trouver la bonne occasion, dont un gode ceinture moins réaliste que les siens de 14 cm par seulement 3 cm de large appelé « amor » et un vibromasseur de 13 cm par 3 cm dont les dimensions correspondaient exactement à celles du sexe de Marc.


Plus ça allait, et plus elle réalisait que Marc aimait vraiment voir ou savoir une bite dans sa chatte mais, du gode en plastique à de vraies bites, il y a un cap… Elle devait maintenant trouver un moyen pour y arriver en douceur sans lui faire de mal. Après tout, c’était son seul et unique amour et rien ne devait les séparer. Le hasard décida de l’aider…