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Temps de lecture estimé : 14 mn
15/11/13
Résumé:  Lucile a des besoins sexuels que Marc ne peut satisfaire. Il souhaite donc être cocu. L'utilisation d'un godemiché nommé « Ben » fait évoluer leur sexualité et, grâce à un jeu d'exhibition, les dernières réticences de Lucile explosent.
Critères:  fh cocus revede exhib lingerie fgode
Auteur : Bicocu      Envoi mini-message

Série : La voie du cocu

Chapitre 02
À pas de loup...

Résumé de l’épisode précédent : Marc et Lucile forment un couple très uni et très amoureux. Bien que Marc soit très loin de pouvoir réellement la satisfaire sexuellement, elle s’en est accommodée du fait de ses autres qualités. Lui se rend bien compte que sa précocité trop fréquente et la petite taille de son pénis sont, pour elle, une source de frustrations. Il décide donc de l’amener sur la voie de l’adultère consenti. Pour l’aider à vaincre ses réticences à le rendre cocu, il lui offre un godemiché de belle taille qui jouera vite le rôle d’un amant virtuel. L’intensité et la fréquence de leurs ébats en sera grandement améliorée. Pour finir, Lucile achètera elle-même un autre godemiché un peu moins gros et des envies sous-jacentes sembleront prendre forme.







À pas de loup…




Lucile avait maintenant pris en main son plaisir ; bien sûr, Marc n’était pas devenu un amant exceptionnel, mais il fallait bien reconnaître que les séances de masturbation avec « Ben » ou « Joe » l’excitaient beaucoup. Il aimait, quand il rentrait du travail, trouver Lucile, nue ou simplement vêtue d’un déshabillé vaporeux, étendue sur le canapé ou dans leur chambre avec les godes humides encore plantés dans ses orifices ou encore négligemment posés à côté d’elle. Il aimait voir ses lèvres intimes gonflées par le passage de ces sexes imposants. Il aimait en apprécier l’humidité et, quand Lucile avait beaucoup joui, il n’était pas rare qu’elle se soit abondamment répandue, tachant les draps ou le canapé de ses émissions de cyprine.


Marc, instinctivement, se baissait vers cet entrecuisse impudique pour en sentir le parfum, en apprécier la chaleur. Il accompagnait son exploration de remarques du genre : « Salope, tu t’es encore fait baiser par tes amants, ils t’ont bien écarté la chatte ! » ou encore « Putain, t’as encore niqué tout l’après-midi ! ». Elle confirmait généralement avec plaisir et réclamait sa langue ou bien lui proposait de lui montrer comment « ils » l’avaient prise. Elle repartait alors dans une séance de masturbation effrénée pour leur plus grand plaisir. Devant le spectacle, Marc se déshabillait rapidement et entamait une lente masturbation pour renforcer son érection. Dès qu’il était convenablement chauffé, il prenait la place déjà bien ouverte et s’enfonçait avec fougue dans sa femme qui en criait de plaisir. Lucile n’était jamais aussi heureuse que lorsque Marc la prenait. Qu’importe que son sexe soit petit, il s’en servait chaque fois un peu mieux, et c’était lui qu’elle voulait de toute façon. Depuis qu’ils avaient introduit « Ben » et « Joe » dans leur vie, Marc se montrait plus viril. Ils avaient trouvé une sexualité presque normale. Il leur arrivait souvent de jouir à l’unisson même si, parfois, Marc lâchait encore trop tôt sa liqueur. Elle le faisait alors lécher et nettoyer sa semence, ce qui lui redonnait – quelquefois – une belle érection et lui permettait de « remettre le couvert ».


Marc raffolait du sperme qu’il recueillait à la « source » de Lucile. Aussi, ils terminaient systématiquement leurs ébats par un nettoyage approfondi de ses orifices. Pourtant, ces « excès » semblaient insuffisants et Marc exprimait de plus en plus souvent des regrets :



Ils en restèrent là et Marc s’efforça dans les semaines qui suivirent à ne pas remettre ça sur le tapis. Malgré son agacement et son refus de passer un jour à l’acte, une pensée obscure était maintenant fermement ancrée dans l’esprit de Lucile. Une graine qui n’attendait que les conditions favorables pour germer et faire évoluer encore leur sexualité. Ces conditions ne devaient pas tarder à se réunir…






Lucile travaillait à temps partiel et rentrait chez elle en début d’après-midi. Cette situation lui convenait parfaitement puisqu’elle lui laissait du temps pour s’occuper d’elle, et accessoirement de sa maison. Elle pouvait ainsi, à loisir, aller chez le coiffeur ou l’esthéticienne pour entretenir son épilation, faire les soldes… et être disponible pour son mari quand il rentrait en début de soirée. Quand elle était chez elle, Lucile se mettait à l’aise. Elle se vêtait de tenues sexy, propres à exciter son homme, toutes plus transparentes et courtes les unes que les autres. Il s’agissait de petits déshabillés légers, de combinaisons ou de nuisettes, en tulle ou en mousseline de soie, courts, parfois accompagnés d’un string en dentelle assorti qui disparaissait dès qu’elle utilisait ses jouets.


Par un bel après-midi de printemps, Lucile, après s’être changée, décida de laver les rideaux et les vitres de l’appartement. Elle avait une simple nuisette et ne portait pas de culotte. Perchée sur un petit marchepied, elle passait d’une fenêtre à l’autre et offrait, sans y prêter attention, la vue de son corps à l’appartement d’en face, de l’autre côté de la rue. Chaque fois qu’elle levait les bras, sa nuisette se relevait pour découvrir sa toison soigneusement entretenue et limitée au pubis, ou la base de ses fesses rebondies. Régulièrement, elle marquait une pose, écartait légèrement une jambe pour profiter de la brise légère ; elle aimait sentir la caresse du vent sur son sexe. Elle en appréciait la douceur et la fraîcheur. Elle passait alors un doigt dans sa fente, laissait partir son imagination et subitement s’arrêtait pour reprendre son activité.


Elle était en train de finir les portes-fenêtres du salon, donnant sur leur balcon, quand elle réalisa qu’un appartement en face de chez eux avait une vue imprenable sur l’ensemble de leur intérieur, depuis la salle d’eau jusqu’au salon, en passant par leur chambre. Jetant un coup d’œil furtif, elle distingua parfaitement une silhouette mal dissimulée derrière des rideaux ternes. Quelqu’un l’observait ! Lucile rougit, réalisant qu’elle s’exhibait depuis bientôt une demi-heure et s’était même caressée ! Cette prise de conscience la rendait honteuse, mais en même temps elle se sentit fondre littéralement. Être ainsi épiée l’excitait et, succombant à une pulsion irrésistible, elle glissa une main entre ses cuisses. Elle était trempée. Ses caresses l’électrisaient ; elle en voulait davantage. Elle voulait en donner davantage également. Elle avait subitement envie de s’exhiber devant cet inconnu, de se masturber devant lui, pour lui. C’était une de ces envies brutales, un de ces besoins pulsionnels que l’on exécute au bord du tremblement dans un état de semi-conscience.


Descendant de son marchepied, elle tourna un fauteuil vers la fenêtre encore grande ouverte et, s’asseyant dedans, les cuisses largement écartées, elle entreprit une lente masturbation. Elle voulait prendre son temps, en profiter au maximum. Elle s’occupait tour à tour de son petit bouton et de « sa grotte ». Pendant que deux doigts de sa main droite fouillaient son intimité, elle se caressait les seins de la main gauche, en faisait durcir les tétons. Elle en tirait les bouts, les pinçait, les étirait.


Elle avait d’abord gardé les yeux clos puis les avaient subitement rouverts pour essayer de voir ce que faisait son voyeur. Celui-ci ne se cachait plus ; avait-il compris qu’elle s’exhibait consciemment ? Il avait tiré son rideau et alternait prises de photos et masturbation. Le salaud semblait bien équipé et n’en perdait pas une miette. Puis, sans doute vaincu par l’excitation, il abandonna l’appareil et se branla avec frénésie. Ils se masturbaient l’un en face de l’autre. Quand elle vit la silhouette de son voyeur se tendre, elle fut éblouie et secouée par un orgasme hors du commun. Venaient-ils de jouir en même temps ? Elle le crut et s’en sentit heureuse.


Mais un sentiment de honte reprit le dessus. Elle referma les fenêtres et remit de l’ordre dans le salon avant d’aller se doucher. Elle avait l’impression d’avoir fait l’amour avec cet homme. Elle qui avait toujours dit à Marc qu’elle ne coucherait pas avec un autre, elle s’était – d’une certaine manière – donnée sans retenue… Elle choisit d’en le garder secret. Pour l’instant, Marc n’en saurait rien ! Et d’ailleurs, elle ne recommencerait pas ; du moins le croyait-elle.






Les jours passaient et Lucile se demandait si son voyeur l’épiait toujours. Cette idée la travaillait. Elle y pensait sans cesse, de jour comme de nuit, et même en faisant l’amour avec Marc. Elle avait envie qu’il la regarde encore, qu’il se branle en l’observant, faussement caché derrière son rideau. Elle l’imaginait éjaculant sans retenue par terre, sur ses rideaux ou sur ses murs. Son esprit gambadait… Elle mouillait comme une dingue. En rentrant chez elle une semaine plus tard, elle écarta les rideaux de la chambre et fixa la fenêtre du voyeur. Son cœur s’emballait, elle espérait l’apercevoir. Elle attendit quelques minutes puis, alors qu’elle s’apprêtait à occulter sa fenêtre, un pan de rideau gris s’ouvrit à la fenêtre d’en face. L’homme était là ; il la regardait ! Elle le distinguait mal et imaginait qu’il en était de même pour lui. Alors elle ouvrit la fenêtre en grand, et après avoir fait un sourire en direction de ce mystérieux personnage, elle se déshabilla lentement dans une sorte de strip-tease. Elle s’effeuillait langoureusement puis, une fois nue, elle se mit sur son lit et se saisit de « Joe » qui était posé sur sa table de nuit. Elle en caressa la forme comme elle l’aurait fait avec un véritable pénis puis introduisit le sexe d’ébène dans sa bouche pour l’humecter par une savante fellation. Elle se caressait d’une main, écartant ses lèvres chaudes, tout en avalant la colonne de latex. Enfin, tout en regardant fixement la fenêtre d’en face, elle introduisit le gode dans son sexe avide. Ils se masturbèrent l’un en face de l’autre pour la deuxième fois. Lucile était dans un état second. Elle jouit intensément à plusieurs reprises avant de se laisser glisser dans une douce torpeur. Elle prenait tellement de plaisir à ces exhibitions qu’elle savait maintenant qu’elle recommencerait. « Il faudra que j’en parle à Marc », pensa-t-elle.


Ce petit jeu continua pendant une ou deux semaines avant qu’elle décide d’en aborder le sujet avec son mari. L’été s’approchait et elle se sentait de plus en plus excitée. Piquée par un démon, elle en voulait plus. Elle devait reconnaître qu’elle aimait s’exhiber et exciter le désir de cet inconnu. Elle prenait également conscience qu’elle avait envie d’exciter, et surtout d’être prise. Peut-être que, si ça plaisait à Marc, elle pourrait en « allumer » d’autres… Aller plus loin. Elle connaissait son fantasme et son envie d’être cocu. Elle l’avait rejeté ; la balle était dans son camp, maintenant. Elle devait rengager la conversation sur les pentes glissantes de l’adultère.






Le soir où elle choisit d’aborder le sujet, elle avait – comme à son habitude – refermé fenêtres et rideaux avant qu’il ne rentre. Elle l’attendait, nue, en pensant à la meilleure façon de lui dire que, depuis deux mois, elle se masturbait devant un inconnu. Elle était perdue dans ses pensées quand il entra dans la chambre. Elle sursauta.



Il plongea sa main entre ses cuisses ; deux doigts entrèrent sans résistance entre les lèvres poisseuses…



Marc continuait à masser doucement le sexe de Lucile. Il était surpris par le ton grave qu’elle avait pris. Ce devait être quelque chose d’important et cela l’inquiétait un peu. Il attendait…



Les doigts de Marc s’étaient arrêtés et restaient immobiles dans la chatte de sa femme. Il attendait. Son cœur battait la chamade ; avait-il peur de ce qu’il allait entendre ?



Les doigts de Marc reprirent leurs mouvements et Lucile put voir à son visage empourpré qu’il allait exploser d’excitation !



Marc se plaça entre ses cuisses alors qu’elle entreprenait le récit de la première fois. Marc était de plus en plus excité tandis que Lucile, à l’évocation du souvenir, eut un premier orgasme. Quand il apprit qu’il l’avait photographiée ou filmée, Marc se redressa, le visage dégoulinant de cyprine, et arracha littéralement sa chemise. Il baissa d’un coup son pantalon et son caleçon sur ses chevilles avant de s’introduire sauvagement dans la chatte de sa femme. Il n’en revenait pas !



Marc était comme fou. Il avait l’impression que sa bite allait exploser, tellement elle était tendue et gonflée. Lucile était troublée par autant de fougue, elle se sentait investie, possédée. Il n’avait jamais été aussi dur. Sous les coups répétés de son homme, elle eut un second orgasme. Puis, alors que Marc se répandait en elle, un dernier orgasme la submergea. Ils s’écroulèrent enfin l’un à côté de l’autre.







Lucile et Marc, après s’être douchés et habillés, partirent vers un bon restaurant. Dans leurs têtes échauffées virevoltaient – pour elle – des hordes d’amants, même si le sujet ne fut plus abordé. Lucile était troublée ; pendant des mois, elle avait rejeté l’idée de tromper Marc, et maintenant ils étaient en train de fêter son premier « cocufiage » avec la promesse d’autres à venir… plus réels.


De retour chez eux, ils firent l’amour avec beaucoup de tendresse, comme des étudiants, comme au premier jour et s’endormirent heureux, amoureux…