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n° 15176Fiche technique48778 caractères48778
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Temps de lecture estimé : 28 mn
27/09/12
Résumé:  Deux partenaires de travail découvrent des liens plus profonds, suite à un incident. Réalisation d'un fantasme au départ, la situation évolue vers l'amour.
Critères:  fh collègues travail voiture fellation cunnilingu pénétratio attache québec -amouroman
Auteur : MarkTen      Envoi mini-message

Série : Une nuit calme

Chapitre 01
Une nuit calme

Une nuit calme




Deux partenaires possédant un caractère fort qui ont l’habitude d’exprimer franchement entre eux leurs émotions, afin de survivre aux événements traumatisants qu’ils vivent ensemble. Un incident provoque la découverte de liens encore plus profonds.


Vous pensez reconnaître quelqu’un ? Gardez-le pour vous et profitez du récit.








23 heures, quatrième nuit de patrouille. Le sergent m’annonce que je serai solo puisque ma partenaire a pris un congé, il ajoute de ne pas oublier qu’un solo la nuit ne prend pas d’appel et ne s’implique pas dans un incident à risques. Donc, une nuit à tourner en rond est à prévoir.

Durant la première heure, histoire de m’occuper, je fais le tour des trois hôpitaux du secteur en laissant au passage deux contraventions à des automobilistes qui gênaient les accès aux urgences puis j’ai coopéré avec une autre équipe qui avait reçu un appel pour un homme suspect à une porte. Un pauvre gars ivre qui tentait d’entrer chez lui, mais à la mauvaise porte. Il est maintenant une heure du matin et la radio est silencieuse, la nuit sera vraiment calme.


J’achète un café dans un resto puis me stationne sur le terrain d’une station-service bien en vue de tous afin de faire prévention par présence policière. Je songe à Lola, ma partenaire, elle était arrivée au poste depuis un mois lorsque la mutation de mon partenaire du moment fut annoncée. Aussitôt, elle m’a demandé de la prendre comme compagnon. Poussé par mon intuition j’ai accepté. Cela fait deux ans que nous sommes partenaires et formons, selon moi, l’une des meilleures équipes. Suite à un incident cocasse, tout le monde la surnomme Lola mais elle se prénomme Catherine, a 26 ans, très grande à 178 cm, environ 55 kg, cheveux châtains toujours en queue de cheval. Je la trouve jolie mais mon seul intérêt envers elle concerne le travail. Au fait, moi c’est Marc, j’ai 28 ans, 188 cm, 88 kg.


Je décide de faire un tour au parc Mont-Royal, ce parc est très vaste et se situe au sommet d’une montagne en plein au centre de la ville. Lieu propice pour les couples en manque de câlins mais parfois théâtre d’agressions sexuelles. Je circule tous feux éteins sur un petit sentier lorsqu’en arrivant près d’un stationnement, j’entends un homme et une femme qui se querellent. Ils sont à côté d’une voiture, l’homme tente de la convaincre de monter à bord de l’auto tandis qu’elle refuse catégoriquement. Arrivé près d’eux, à la dernière seconde, j’allume les phares et les feux de toit. La surprise est totale pour les belligérants. Tandis que je descends de voiture, La fille s’éloigne un peu en refermant sa blouse ouverte, l’homme ne bouge pas, un filet de sang coule d’une narine.


Je demande quel est le problème. L’homme m’indique qu’il s’agit d’un malentendu et qu’il ne veut pas de problème. Oups ! Surprise, lorsque la fille, qui jusqu’à maintenant cachait son visage, le traite de menteur. Je reconnais la voix de ma partenaire. Dans quel pétrin me suis-je fourré ?


Je demande à l’homme de s’identifier et prends en note les informations le concernant, cachant que je connais la jeune fille, je lui demande de s’identifier elle aussi. Sachant que je suis dans une position délicate, elle prend son sac et me remet son permis de conduire sans dire un mot. Je regarde Lola et lui dis :



D’un ton ferme, j’indique à l’homme de quitter les lieux et que je prends en charge la demoiselle. Il ne se fait pas prier, en trente secondes il a disparu. J’éteins tous les phares et feux de mon véhicule et vais rejoindre Lola assise sur un banc. Celle-ci a la tête basse et ne dit mot. Sa jupe est remontée sur ses cuisses, plus de boutons pour la fermer, son chemisier ouvert laisse voir le haut de ses seins dans un soutien-gorge à balconnet. C’est vraiment une belle fille, sexy sans son uniforme, doucement je lui prends les épaules afin de la consoler.



Sur ces derniers mots, en relevant la tête, elle s’aperçoit que j’ai le regard rivé sur ses seins avec, de temps à autre, un coup d’œil sur ses cuisses. Elle referme sa blouse dans un geste de pudeur et agite sa main devant mes yeux pour attirer mon attention. Gêné d’être pris en défaut, je détourne le regard et retire mon bras toujours sur ses épaules, tout en bafouillant des excuses.



Elle a vu que je bande, en plus. Je suis complètement à découvert, les excuses bidon ne serviront à rien avec elle.



Elle reste silencieuse. Je la questionne.



Elle se lève, fait un tour sur elle-même, son chemisier ouvert vole au vent, je peux voir en partie ses formes alléchantes, j’admire ce corps que je découvre, D’un air grave, elle me regarde directement dans les yeux en refermant son chemisier. Face à son attitude, je ne sais que dire, quoi penser.



D’un pas décidé, elle va s’asseoir dans l’auto tout en faisant signe de la suivre. Je me demande comment cette histoire va se terminer, je m’assois derrière le volant. Sans attendre, elle se lance.



Trop surpris, je reste silencieux. Avec son aplomb que je lui connais bien, elle m’indique, voire ordonne, de trouver un endroit discret car elle a aussi comme fantasme d’inclure le véhicule de patrouille. Je n’arrive pas à croire ce qui m’arrive, je réfléchis pour trouver un endroit sûr, il ne faut surtout pas se faire prendre. J’ai trouvé, c’est juste à côté. En moins de deux minutes nous y sommes. Le portail refermé et verrouillé, je me dirige derrière un édifice et coupe le moteur. Un peu surprise, elle lance :



Je lui réponds que j’ai obtenu cette clé à une époque où il y avait eu du vandalisme dans le cimetière et que je suis heureux d’avoir conservé cette clé.


Afin de couper court à toute hésitation, je l’attrape à l’arrière du cou et l’attire vers moi pour un baiser. Il est violent, les dents s’entrechoquent, les langues s’emmêlent dans un tourbillon digne d’un ouragan. Elle aussi m’a saisi par la nuque et ne semble pas vouloir se laisser conquérir facilement. Chacun tient la tête de l’autre à deux mains et ce baiser ressemble plus à un combat où chacun veut montrer à l’autre qui sera le meneur du jeu. Après de longues minutes, je la repousse doucement, la regarde dans les yeux, je lui demande de me laisser le plaisir de découvrir son corps, j’en rêve depuis si longtemps. Avec un grand sourire, elle s’adosse à la banquette marquant ainsi son consentement.


D’une main presque tremblante, tellement je suis ému, je caresse du bout des doigts sa figure, mes doigts suivent un sourcil, descendent sur le nez, caressent les lèvres, passent le long de la mâchoire, touchent le cou et se perdent dans ses cheveux. Je suis des yeux chaque geste pour incruster en mémoire chaque détail.


Je redescends sur son cou, un soupir s’échappe de ses lèvres. J’arrive à l’épaule, repousse le chemiser, sans briser le contact avec sa peau, en suivant les clavicules je découvre la seconde épaule. Par le même chemin je reviens sur la première et fait tomber la bretelle du soutien-gorge. Cette fois je passe sur le haut de ses seins afin de faire tomber la seconde bretelle. D’un geste, je l’incite à retirer son chemisier, elle s’exécute.


Je défais l’agrafe sur le devant du soutien-gorge, il s’ouvre, ses seins ne tombent pas, démontrant leur fermeté. Du coin de l’œil, je la vois qui m’observe guettant mes réactions. J’écarte complètement les deux pans du soutien, délicatement, toujours du bout des doigts, je suis les contours de ses deux magnifiques lobes. Lola soupire mais ne me lâche pas des yeux. Les mamelons sont roses comme leurs pointes érigées, incapable de résister, je pose mes lèvres sur cette chair tendre.


De sa main, Lola vient faire une légère pression sur ma tête et elle gémit doucement. Je lèche, suce, aspire, donne le même traitement de l’autre côté, revient au premier ainsi de suite durant un long moment.


Ma main n’est pas inactive, elle caresse ce ventre plat que je sens frémir. Par-dessus la jupe, je passe sur la cuisse, me rend au genou, revient sur l’intérieur de la cuisse tout en relevant la jupe. Juste avant d’atteindre la culotte, je repars sur l’autre cuisse puis remonte sur l’intérieur de celle-ci. J’évite encore une fois la culotte et insère mon pouce sous la ceinture de la jupe en tirant légèrement dessus.


Encore une fois Lola coopère, elle détache la jupe, soulève le bassin et pousse ce vêtement sur ses cuisses en entraînant la culotte dans le même geste. En remerciement, je vais visiter ses lèvres pour un langoureux baiser tandis que je repousse jupe et culotte au sol, j’empaume un sein.


Malheureusement ma seconde main est occupée à soutenir mon poids et l’espace est restreint, je ne peux pour l’instant en faire plus. Ma main quitte ce doux sein, elle glisse sur la peau vers le bas, elle atteint les poils du pubis. Je quitte ses lèvres, je veux voir ce trésor caché. Elle ouvre les cuisses m’invitant aux caresses qu’elle désire. J’ai atteint les grandes lèvres entrouvertes, j’y glisse un doigt, y découvre toute son excitation par l’humidité des lieux.


Lola tente d’atteindre mon entrejambe sans y parvenir. Je ne fais aucun effort pour l’aider car je veux rester concentré sur les caresses que je lui prodigue, elle abandonne en caressant ma cuisse. Du majeur, je fouille cette grotte chaude, tandis que du pouce je frotte le clitoris. Son souffle est court, je continue la caresse, chacun a le regard planté dans celui de l’autre. Je sens son corps commencer à trembler et je lis sur son visage qu’elle va bientôt jouir. Un plainte rauque sort de sa gorge, elle me défie en gardant ses yeux bleus plantés dans les miens tandis qu’elle jouit longuement. Je lui dis qu’elle est très belle dans sa jouissance. Cette parole et mes caresses qui n’ont pas cessé, amènent un orgasme plus fort, elle se cambre, ferme les yeux, envahie par le plaisir. Je la laisse récupérer tout en la contemplant afin de garder un souvenir intact de ce moment.



Ces paroles me sortent de ma contemplation. Un éclair passe dans ses yeux et elle m’ordonne plus qu’elle demande de la rejoindre à l’extérieur du véhicule sur son côté.



Elle est là, près de la portière, la voir ainsi, debout et nue, me donne un choc, je m’arrête à quelques pas et la contemple encore. Elle est très grande, de grandes jambes bien droites, de jolies fesses, un ventre plat, ses seins hauts perchés, ses cheveux tombent à l’arrière de ses épaules. Merci pleine lune de me permettre de l’admirer.


Soudainement, je suis saisi par le poignet, un contrôle articulaire et une poussée me font retourner tandis mon bras se retrouve dans mon dos. Ajoutant un peu de pression sur le contrôle articulaire, Lola m’oblige à mettre ma main libre derrière la tête. En moins de dix secondes, je suis menotté, mains dans le dos. Je suis à la fois inquiet et excité comme une pucelle. Je ne peux présumer de la suite des événements.


Elle me retourne mais me garde dans une position d’équilibre précaire. Elle est de côté entre mes deux jambes. Un seul mouvement de ma part et elle pourrait me faire tomber sans effort. Un sourire au coin des lèvres sans me regarder elle demande :



Car placé ainsi, je vois en même temps le côté pile et le côté face. D’autorité elle m’impose le silence. Avec le côté de sa fesse, elle s’est mise à frotter la bosse qui déforme mon pantalon. De cette façon, elle peut constater mon état. Elle se tourne vers moi et commence un monologue tout en s’activant sur mon uniforme.



… mon ceinturon tombe.



… l’avant de la veste pare-balles est jeté plus loin, tandis que l’arrière tombe de lui-même.



… les boutons de ma chemise sont défaits.



… la chemise est rabattue dans mon dos me bloquant les coudes.



… la ceinture est détachée.



… la braguette est ouverte.



… j’ai le pantalon sur les genoux.



… le slip rejoint le pantalon.


D’une violente poussée, elle me fait étendre sur le coffre de la voiture. Dans cette position, mes pieds sont dans le vide, mains et bras entravés, je suis à sa merci. J’ai aussi le pubis en avant plan, la queue qui pointe au ciel. Elle affiche un sourire de satisfaction en me regardant, elle doit sûrement détecter mon désarroi.


Elle grimpe sur le coffre et s’installe à califourchon au-dessus de moi. Elle dépose un léger baiser sur mes lèvres, puis place son doigt sur mes lèvres m’indiquant de ne pas parler. Je vois encore cet éclair qui passe dans ses yeux. D’une voix rauque que je ne lui connais pas elle me dit :



Elle commence ses caresses, je ne peux que subir, mon cerveau détecte chaque contact sur ma peau. J’ai l’impression d’avoir affaire à une pieuvre, je sens à la fois chacune de ses mains, sa bouche, sa langue, chaque pointe de ses seins qui se frottent sur moi, ses cheveux qui glissent partout, ainsi que ses grandes lèvres qui enserrent ma queue au passage, jamais je n’ai eu une telle érection.


Malgré moi, j’échappe des sons, des gémissements, c’est une vraie torture des sens. Je lui crie qu’elle me rend fou, elle redouble d’ardeur. Maintenant je grogne, je rugis, je souffle fort, ma tête frappe sur le coffre. Soudain elle se relève s’empale sur ma queue et ne bouge plus. Le changement est si brusque que ma respiration s’est bloquée durant plusieurs secondes.


Lola me regarde à travers les mèches de cheveux qui cachent une bonne partie de son visage, elle a un sourire carnassier. Cela m’inquiète, que va-t-elle faire encore ? Je n’ai jamais ressenti autant de sensations en même temps, mon cerveau a disjoncté, je suis surpris de ne pas avoir joui. Je suis convaincu qu’elle a volontairement stoppé ma jouissance.


Lola commence à bouger son bassin, ses deux mains sont appuyées sur mon torse. Elle reste collée sur mon pubis, bougeant dans tous les sens, une véritable danse du ventre. Je fais des efforts afin de participer mais n’ayant aucun appui, c’est peine perdue. Elle se penche sur moi et vient me susurrer à l’oreille :



Elle me donne un coup de langue dans l’oreille, cette caresse m’a toujours fait frissonner très fort. Constatant ce point faible, Lola m’agrippe la tête à deux mains et me lèche cette oreille. Je frisonne tellement que tout mon corps tremble. Elle me torture encore quelques moments puis elle se relève et met pied à terre.


Je suis déçu, croyant qu’elle me ferait jouir en elle. Elle ne peut pas me laisser comme ça, j’ai droit à ma jouissance. Un doute me prend, va-t-elle m’abandonner là, quel supplice vais-je subir ? Je la guette, surveille chacun de ses gestes.


Doucement, elle saisit mes couilles, les soupèse, les tire, les fait rouler sur ses doigts. Elle pose sa tête sur le haut de ma cuisse et saisit ma tige du bout des doigts. Le visage à moins de dix centimètres, elle observe ce bâton de chair en le caressant. Ses doigts passent sur le bout, suivent le contour du gland, descendent jusqu’à la base. Elle me saisit à pleine main et me masturbe franchement.


Elle me prend en bouche mais ne cesse pas la masturbation. Je sais que la libération est proche. Mains en appui sur mes cuisses, elle n’utilise que sa bouche, elle va de plus en plus vite, ses cheveux volent de tous côtés. Je veux jouir, je vais jouir, pas question de l’aviser puisqu’elle m’impose le silence. La tête relevée je la regarde, la sève monte, je grogne, j’explose dans sa bouche. Elle ne bouge plus, se contente de recevoir mon offrande en vissant son regard dans le mien. Je la vois déglutir avec une grimace, elle n’aime pas.


Ciel ! Elle jouit. Mais oui, elle jouit. Elle tombe à genoux. Je suis sous le choc, je m’inquiète, je l’interpelle :



Elle fait signe que oui et se relève. Je lui demande de me détacher, elle prend la clé sur mon ceinturon et enlève les menottes. Je vois bien qu’elle a une faiblesse, je l’enlace, la serre contre moi pendant quelques minutes.


Mes poignets me font souffrir, chacun porte une profonde marque rouge dans la chair. Elle se désole, s’excuse, masse, embrasse chaque poignet. Je souris ; de dominatrice elle est devenue petite fille qui cajole le petit copain qui s’est fait mal. Pendant qu’elle s’occupe d’une main, de l’autre je me débarrasse de mes vêtements. Après un moment, elle réalise que je suis entièrement nu. Son regard alterne entre mes vêtements par terre et ma nudité. Je l’enlace dans mes bras avec une pression suffisamment forte pour lui faire comprendre que je ne la laisserai pas s’échapper. J’appuie mon front sur le sien, l’obligeant à me regarder et lui dis :



Elle rougit tentant de détourner le regard. Je poursuis :



Elle tente de se défaire de mon emprise mais je la retiens facilement. J’ajoute :



Je l’embrasse, la saisis sous les fesses et la soulève. Afin de garder son équilibre, elle s’accroche à mes épaules. En deux pas, je suis devant le véhicule, je la laisse tomber assisse sur le capot. Je profite de sa surprise, la repousse sur le dos, lui saisis les fesses, soulève son bassin. Sa tête et ses épaules seulement touchent au capot, ma tête est entre ses deux cuisses qui reposent sur mes épaules. Les coudes appuyés sur le capot, mes bras supportent facilement le poids de Lola. Elle s’agite dans tous les sens, tente de m’attraper avec les mains, ses jambes fendent l’air. La position est solide, je peux tenir ainsi longtemps. Elle bouge mais ne proteste pas, à ce rythme elle va vite se fatiguer.


J’ouvre la bouche et gobe en entier sa chatte. Elle se raidit lançant un « Wouah » retentissant. Ma langue fait le tour de tout ce qu’elle peut atteindre, je suçote une grande lèvre, pousse la langue dans le canal, tire des lèvres sur son clitoris bien dressé. Elle bouge beaucoup moins. Je poursuis ma besogne et me permets de bouger la tête, ainsi je peux atteindre de nouveaux lieux à visiter. Je me permets de titiller la rosette puisque ses fesses sont écartées. Ce geste la surprend, elle lâche un cri.


J’attaque le clitoris, la langue, les lèvres, les dents, tout ce qui est à ma disposition est utilisé. Elle ne bouge plus, seul son bassin tente des ondulations. Je la dépose sur le capot sans interrompre mes caresses. Ses pieds viennent prendre appui sur mes épaules, sa tête roule d’un côté à l’autre, elle gémit doucement.


J’insère mon majeur et vais caresser la partie rugueuse de cette grotte chaude, son clitoris subit toujours mes assauts. Elle gémit plus fort, empoigne ma tête à deux mains, pousse son pubis vers l’avant. Elle frémit, je sens sa jouissance se répandre sur mon doigt. Je retire celui-ci. Des deux mains, j’ouvre entièrement sa chatte. Je suce ce petit bout de chair raidi, de mes lèvres je la masturbe littéralement. Un orgasme plus fort arrive, elle pousse un cri.


Vif comme l’éclair, avant que le cri s’achève, je la pénètre d’un coup, m’enfonçant en entier. Un autre cri, elle me traite de salop. D’un long et lent mouvement, je vais et viens en elle. Je caresse ses seins aux pointes érigée. Je maintiens cette douce cadence depuis quelques minutes, je ressens ses muscles vaginaux qu’elle active de temps à autre.


Je l’observe, elle est belle ainsi abandonnée à son plaisir. C’est le moment que je préfère, un sourcil qui monte, un rictus au coin des lèvres, les lèvres qui s’arrondissent, un soupir, le menton qui se relève, encore un petit sourire.


Je passe à la vitesse supérieure, un « oui » s’échappe de ses lèvres. Elle participe activement, son bassin vient à la rencontre du mien. Nous sommes lancés dans une folle chevauchée. L’éruption est proche, je sens la lave monter. Je me plante en elle, aussi profond que possible. Au même moment, elle plante ses talons dans mes fesses, j’éjecte tout ce que j’ai en un long jet. Elle jouit aussi, elle me tire sur sa poitrine, me retient ainsi en serrant fort.


Après un moment, elle brise le silence :



Je relève brusquement la tête, elle se met à rire en me traitant d’idiot puis m’attire à elle pour un long baiser. J’interprète cette dernière phrase comme étant son appréciation de nos ébats.

Je réalise que l’aurore est là, il est plus que temps de donner signe de vie au poste.


À regret, je lui annonce qu’il faut partir. Je l’aide à descendre du capot et caresse doucement une fesse rougie. Elle me sourit et va chercher des serviettes de papier que nous gardons toujours dans le coffre à gants. Pendant ce temps, je ramasse mes vêtements et commence à m’habiller. Je remarque qu’elle ne s’habille pas mais reste là à m’observer perdue dans ses pensées. Je m’approche d’elle, dépose un baiser sur son front et exprime mes propres pensées.



Retrouvant son aplomb habituel elle réplique en me pointant du doigt.



Je réfléchis un moment et lui fais part de ma décision :



Visiblement satisfaite, elle commence à s’habiller, elle attache sa blouse avec des épingles récupérées dans la trousse de premiers soins. En moins de quinze minutes tout est réglé et j’arrive à ma voiture. Elle est assise derrière le volant et me fait signe de prendre place à droite. Aussitôt la portière refermée, elle démarre.


Je me retourne vers elle pour lui demander où l’on va mais je fige devant ce que je vois. Sa jupe est si haute sur ses cuisses que, si je me penche légèrement, je verrai sa culotte. Les épingles sur sa blouse ont été déplacées de façon à laisser voir le haut de ses seins. Elle me regarde du coin de l’œil, constatant que son but est atteint, elle sourit. Je dépose ma main sur sa cuisse et la caresse doucement.



Au moins c’est clair, elle ne veut pas que nous en restions là, moi aussi je veux poursuivre l’aventure. Ça fait plusieurs minutes que l’on roule, il est évident que l’on ne va pas s’arrêter dans un restaurant.



Elle stationne, coupe le moteur et me remet la clé en se tournant vers moi. Dès que j’ai pris la clé, elle me vole un baiser et lance :



Sans me donner le temps de répondre elle descend de voiture. Je la rejoins sur le pas de sa porte.


Sa main tremble légèrement lorsqu’elle insère la clé dans la serrure. Intérieurement, je suis aussi nerveux qu’elle, c’est tout de même la première fois que je viens à l’appartement de ma partenaire et ce n’est pas une visite de courtoisie. En sortant de la cage d’escalier, je me retrouve dans une grande pièce qui est le salon. Catherine me dit :



La pièce est grande, un divan, un fauteuil et un meuble qui supporte le téléviseur. Quelques cadres sur les murs ainsi qu’une photo. Je m’approche afin de la regarder de plus près, C’est moi et Catherine, nous sommes en uniforme, cette photo date de quelques mois. Catherine revient à ce moment. Je lui mentionne que j’ai aussi accroché la mienne sur un mur du salon.


Elle me propose un café et m’entraîne vers la cuisine. Je m’assois à la table tandis qu’elle prépare les cafés au comptoir. Je l’observe dans ses déplacements, elle me questionne sur mon silence, je réponds que je suis séduit sous son charme. En souriant, elle vient s’asseoir à côté de moi et dépose les cafés sur la table. Elle a choisi la proximité, je la crois prête à la confidence. Je lui dis que je n’ai pas oublié qu’elle me doit des explications concernant son fantasme. Elle rougit, me regarde puis se lance.



À mon tour maintenant d’avouer mes pensées secrètes.



Selon son habitude, Catherine répond franchement à ma question.



Elle prend une gorgée de café et poursuit.



Elle s’arrête quelques secondes, j’ai l’impression qu’elle revit ces moments,



Une autre gorgée de café et elle continue.



Catherine prend mon poignet et le masse doucement. Je lui souris et lui présente le second. Elle l’embrasse en disant :



Du doigt, je pointe mon avant-bras en disant :



Joueuse, elle y dépose un baiser. Alors, je pointe mon épaule, mon cou et mes lèvres. Sans se faire prier, elle suit le chemin indiqué, arrivée sur mes lèvres, nous échangeons un long baiser.


Je lui indique qu’un massage sous la douche me ferait du bien. Elle ne saisit pas le message puisqu’elle répond :



Elle se lève, ramasse les tasses et les place dans le lave-vaisselle. Je me suis dirigé vers la salle de bain. Lorsqu’elle entre, je suis en slip, elle semble un peu gênée. Elle fouille dans une armoire à la recherche d’une serviette. Le slip a rejoint le reste de mes vêtements. Je me colle sur son dos, l’embrassant dans le cou. Elle me regarde dans le miroir. Je lui demande pourquoi cette gêne, elle hésite.



Toujours collé dans son dos, je commence à la déshabiller, la regardant dans le miroir. Je lui parle doucement à l’oreille.



Elle veut se retourner débutant une réponse mais je l’en empêche. Elle me regarde dans le miroir avec un regard interrogateur.



D’une main, je lui caresse un sein tandis que de l’autre, j’ai attrapé sa chatte à pleine main la massant doucement. J’ai eu le temps de voir des larmes apparaître à ses yeux juste avant qu’elle se cache la figure avec ses cheveux. Soudain, elle se retourne brusquement, me pousse violement dans la baignoire. J’évite la chute en m’appuyant sur les murs. Elle enjambe le rebord du bain, tire le rideau puis tourne le robinet. Elle n’a ouvert que l’eau froide, elle s’est penchée et l’eau lui coule sur la tête. C’est trop froid pour moi, mon érection disparaît et mes couilles veulent se mettre à couvert. Elle me tourne toujours le dos, elle parle fort, criant presque.



Elle se tait, ajuste l’eau à une bonne température puis se retourne. Elle me regarde avec un sourire, je suis toujours dans le coin les deux bras sur les murs. En baissant le regard, elle constate que je ne suis pas en forme.



Elle me fait passer sous l’eau et commence à me savonner, je sors de sous le jet d’eau en appuyant mes mains sur le mur, j’ai presque la position d’un détenu qui se fait fouiller. Je réfléchis, je ne vais pas m’ennuyer avec Catherine, je sais qu’elle aura ce qu’elle veut. Elle prend son temps, elle profite de ma position pour découvrir mon corps, ses mains passent partout, elle se frotte sur mon dos. Elle me demande de la laver, on change de place, elle prend la même position que moi. Comme elle, je passe partout, insistant sur ses zones sensibles, j’aime particulièrement parcourir ses longues jambes. Catherine se retourne, s’agenouille, me regarde, Je crois avoir droit à une fellation, elle annonce son intention.



Elle empoigne ses seins, saisit ma queue avec ceux-ci et commence une douce masturbation. Je m’appuie les épaules au mur, arquant le dos afin qu’elle ait un meilleur accès. De temps à autre, elle sort le bout de la langue pour lécher le gland lorsqu’il ressort d’entre ses seins. J’essaie de décrire mes sensations.



Aussitôt, elle coupe l’eau, se relève, dépose un rapide baiser sur mes lèvres puis attrape une serviette. Elle assèche ses longs cheveux, elle semble soucieuse. Là, je suis méfiant, va-t-elle encore avoir une réaction imprévisible ? Toujours sans un mot, elle termine d’assécher ses cheveux, passe rapidement la serviette sur son corps puis sur le mien. Je me dis que si elle ne me jette pas dehors, c’est bon signe. Je me laisse faire attendant la suite.


Elle me pousse doucement hors de la douche, me dirige vers sa chambre. Lorsque j’entre dans la chambre, c’est le lit qui attire toute mon attention. Un très grand lit avec à chaque coin une colonne, de plus, il est très haut.



Catherine, toujours derrière moi, dépose un baiser dans mon cou, elle caresse mes seins, pince les bouts qui, à ma surprise, sont érigés. Je laisse aller ma tête vers l’arrière, elle en profite et passe sa langue dans mon oreille, elle sait que je ne peux résister à cette caresse, tout mon corps tremble. Elle murmure :



Je m’exécute avec un regard méfiant vers elle.

Elle grimpe à son tour, se place à califourchon sur moi, saisit ma tige, la place à l’entrée de son puits d’amour et s’empale d’un coup. Je veux lui caresser les seins mais elle saisit mes mains et les place sur ses cuisses en les maintenant. Elle ferme les yeux et commence à onduler du bassin. Après quelques secondes, elle part dans un monologue, comme si elle réfléchissait à haute voix.



Incroyable comment cette fille réussit à me décoder. Va-t-elle toujours parler comme ça lorsque l’on fait l’amour ? Au moins je sais ce qu’elle pense et ressent. Bon, elle continue.



Elle est belle, ma Catherine, quand elle prend son temps et se donne du plaisir. Je n’ose pas l’interrompre.



Malgré sa jouissance, Catherine n’arrête pas d’onduler du bassin, elle se maintient dans un état euphorique. Je ne veux pas la sortir de ce rêve, je sens qu’elle a encore des choses à dire.



Je ferme les yeux, place mes bras sous ma tête et attends. Elle se place à côté de moi, je sursaute lorsque sa langue touche la pointe de mon sein, elle doit tenir ses cheveux. Elle attaque le deuxième sein, je soupire, elle suce comme je lui fais. Ses cheveux tombent sur ma poitrine, elle les promène de haut en bas, elle se rend sur ma tige, mes couilles, les cuisses. Je lui dis que j’aime, ses cheveux remontent rapidement jusqu’à mon visage, elle dépose un baiser sur mes lèvres mais repart aussitôt. Elle change de position, elle s’installe entre mes jambes.


Ses cheveux touchent mes cuisses, elle passe sa langue sur l’intérieur de celles-ci, j’ai un frisson. De ses mains, elle écarte mes cuisses au maximum, une main saisit ma tige et s’agite dessus tandis que sa langue caresse mes boules. Je laisse passer un gémissement, elle continue cette caresse encore quelques secondes. Elle m’embouche, je deviens sonore, hum mm, elle me lâche, sa langue joue sur le bout, elle me reprend en bouche, elle accélère le rythme, mon bassin va à la rencontre de cette bouche. Le désir de jouir me prend, d’une pression de la main sur mon pubis, elle m’impose l’arrêt. Je lui dis que je veux jouir, elle répond :



Rapidement elle se couche sur le dos. Sans attendre je suis au-dessus d’elle, elle me guide, je la pénètre jusqu’à la garde, reste en place car la sève monte déjà, elle me dit :



Je tremble de tout mon corps tandis que j’explose en elle sans bouger. J’ai l’impression que je n’arrête pas de gicler, Catherine crie son orgasme, je ne bouge pas, toujours les yeux fermés je savoure cet instant.


Catherine me caresse la poitrine, j’ouvre les yeux, elle me sourit puis me tire vers elle pour un long baiser. Je me couche à ses côtés, elle se tourne plaçant sa tête sur mon épaule. Je lui exprime mon bonheur.



Elle part en courant aux toilettes, elle revient toujours en courant, se couche presque sur moi. Je lui dis que c’est érotique une femme nue qui court. Elle répond qu’elle le fera encore pour moi, au réveil.