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n° 15205Fiche technique25001 caractères25001
Temps de lecture estimé : 15 mn
08/10/12
Résumé:  Catherine passe son congé chez Marc. Celui-ci surprend encore Catherine.
Critères:  fh collègues jardin voir strip hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio québec -amourpass -couple
Auteur : MarkTen      Envoi mini-message

Série : Une nuit calme

Chapitre 02
Découvre l'autre

– Une nuit calme (2) –




Découvre l’autre




Dans le récit n° 15176, on découvre Catherine et Marc, partenaires depuis deux ans au service de police. Leur relation a changé lorsqu’un incident les a mené à s’avouer que chacun avait un fantasme visant le partenaire. Sans attendre, ils ont réalisé ces fantasmes. Marc se retrouve chez Catherine parce que celle-ci veux clarifier la situation. Au travers de discussions, caresses et sexe, ils s’endormiront enlacés, ayant célébré leur nouvel amour.


Ayant complété leur semaine de nuit, ils débutent un long congé de six jours. Marc a invité Catherine chez lui.








Je suis fébrile ce matin, Catherine a accepté de passer le congé chez moi. Nous allons nous retrouver seuls pour la première fois depuis mon passage chez elle. Au travail, les dernières nuits se sont déroulées normalement, nous avons respecté nos habitudes afin de ne rien révéler aux autres. À part quelques petits baisers à la dérobade, nous sommes demeurés sages.


Elle devrait arriver bientôt, elle m’a dit 10 h, donc, vers moins cinq au plus tard. Je vais dans le boudoir qui me sert de bureau afin de fureter sur le net, le temps sera moins long. Enfin, j’entends un véhicule se stationner dans l’allée, je regarde l’heure, 9 h 53, je souris. Sans attendre, je vais à sa rencontre. Lorsque je sors, elle descend de voiture, je lui donne un baiser trop court à mon goût, saisis sa valise et l’entraîne à l’intérieur. Rendu dans le hall d’entrée, je dépose le bagage tandis que Catherine scrute autour d’elle sans oser s’avancer plus loin.



Nous échangeons un long et fougueux baiser, j’en profite pour prendre ses fesses à pleine main.



Je débute par le salon où elle remarque la photo de nous deux, ensuite le boudoir, je lui indique la salle d’eau puis nous arrivons à la salle à dîner, avec cuisine juxtaposée. Regardant dehors par la porte, elle remarque qu’il y a une piscine, se dit heureuse d’avoir emporté son maillot. Elle vient m’embrasser avec un air malicieux.



Je l’entraîne par la main, au passage je saisis sa valise. Les chambres d’invités et la première salle de bain sont vite passées, je termine par la chambre des maîtres. Je la laisse découvrir la pièce, en demeurant près de la porte. Elle fait le tour, touche aux meubles, regarde longuement le lit, va dans la chambre de bain, jette un coup d’œil dans l’immense garde-robe puis revient s’asseoir sur le lit, caressant de la main la couverture. Je m’installe près d’elle, lui saisis les mains et y dépose un baiser.



Mal à l’aise, je vais chercher son bagage et le dépose sur la commode. Je reste planté là, fixant la valise, une caresse du bout de la langue dans l’oreille me fait trembler des pieds à la tête, elle rit de me voir réagir ainsi à chaque fois qu’elle me fait le coup. Je l’enlace quelques secondes, lui claque une fesse, elle s’offusque, je place un doigt sur ses lèvres, imposant le silence. Je lui annonce que puisqu’elle a déjà déclaré vouloir vivre avec moi, je la prends à l’essai pour les prochains six jours et lui indique d’utiliser la commode puisqu’elle est vide.


Catherine commence à ranger ses affaires, lorsqu’elle prend ses sous-vêtements, je l’arrête proclamant une inspection. Je saisis une culotte, l’examine de tous les côtés, étire l’élastique, lis le label, fais un commentaire :



Catherine me fait une grimace de la langue, je saisis un soutien-gorge, l’examine à son tour. Après avoir lu l’étiquette, je l’interroge du regard, relis l’inscription, la regarde encore. Cette fois, c’est elle qui se questionne, je l’interpelle :



Catherine saisit le soutien-gorge, l’examine, cherche ce qui ne va pas, finit par dire :



Je l’ai eue. Je me lance :



Après un moment de surprise, elle se laisse tomber sur le lit, riant aux larmes, me traite d’idiot, de grand fou. Je lui saute dessus, criant :



Alors s’engage un lutte pour ses vêtements, Catherine rit tellement qu’elle ne peut se défendre. Chandail, short, culotte et soutien-gorge se retrouvent au plancher. Je crie victoire, je lui dévore les seins, elle se calme, se plaint que j’ai encore mes vêtements. Une idée folle surgit, je dis à Catherine de ne pas bouger, elle aura quelque chose que je n’ai jamais osé faire pour une fille et qui me gêne beaucoup. Ses yeux brillent, elle murmure :



Je me relève, me place devant elle.


Je prends mon courage à deux mains et commence à danser sans musique. Tandis que je défais un à un les boutons de ma chemise en ondulant du bassin, j’en profite pour me débarrasser de mes souliers à l’aide des pieds. Catherine est surprise et m’encourage du regard. Je me retourne, dévoile une épaule, la seconde, reviens face à elle, joue un peu avec la chemise puis la jette au loin. Je caresse mes seins, mon ventre, mes fesses. Je suis encouragé lorsque je vois qu’elle se caresse un sein. Je défais ma ceinture, l’enlève puis la dépose sur le ventre de Catherine. Mon rythme est meilleur, j’ouvre la braguette, repousse sur les côtés les pans du pantalon. Par l’ouverture, on voit mon slip ainsi que la forme de ma tige cachée à l’intérieur.


Catherine a relevé la tête, ses yeux sont braqués sur la déformation de la culotte. Je fais descendre mon pantalon sur mes cuisses, me tourne, j’en profite pour faire sortir mon gland juste au-dessus de l’élastique du slip. En me retournant face à elle, je laisse tomber le pantalon sur mes chevilles. Je crois être ridicule mais je constate que Catherine se caresse les seins à deux mains tandis que ses lèvres s’arrondissent formant un « oui » muet. Je mets plus d’ardeur dans ma danse, le pantalon rejoint la chemise. Je réfléchis à la façon d’enlever les bas, je décide d’imiter une femme, je place mon pied sur le bord du lit. Partant du haut de mes cuisses, je simule la descente d’un bas jusqu’à la cheville puis enlève ce satané bas, je répète les mêmes gestes sur l’autre jambe.


Ne me reste que mon slip, je pense en rester là. Catherine semble voir mon hésitation, elle ouvre ses jambes afin de m’exhiber sa chatte, elle enroule la ceinture autour de ses poignets, relève les bras plaçant ses mains au-dessus de la tête puis murmure :



Je ne sais que penser ; un encouragement à poursuivre ou un appel à lui faire l’amour. Je décide d’aller au bout de cette folie qui m’a prise d’un coup, j’y vais à fond.


Je lui tourne le dos, pousse le tissu sous les fesses, je me claque une fesse tellement fort qu’elle doit rougir. Pendant ce temps, de l’autre main, j’ai placé mon pénis de façon à présenter une énorme protubérance sur l’avant. Relevant les mains derrière la tête, je me place de face tout en ondulant du bassin. Catherine écarquille les yeux devant ce spectacle, je ne lui jamais vu les yeux aussi grand ouverts. Je lui tourne le dos encore une fois, j’écarte les jambes et sans plier les genoux, je descends le slip sur mes chevilles. Dans cette position, je suis certain que rien de mon anatomie n’est caché. Après plusieurs secondes, je lui fais face à nouveau, saisis ma queue et me masturbe doucement.



Elle ouvre au maximum ses cuisses tout en laissant ses mains, entourées de la ceinture, au-dessus de sa tête. Je la pénètre doucement de toute ma longueur, tends mes bras afin qu’elle ne ressente pas mon poids. Je commence de longs et lents allers-retours en elle. Fidèle à son habitude lors de douce pénétration, elle parle :



Elle me remercie encore, ce n’est pas une première, à chaque fois ça me surprend. Elle vient de fermer les yeux, elle se mord la lèvre, grimace, elle doit être près de la jouissance. La voilà qui se remet à parler :



Je continue la pénétration au même rythme, elle aime avoir plusieurs orgasmes avant que j’explose en elle. Elle est belle ma Catherine, je ne me lasserai jamais de regarder son visage exprimer son plaisir et sa jouissance.



J’accélère le rythme, elle m’enlace, m’obligeant au contact de nos poitrines. Nous montons encore d’un cran, nos corps sont collés par la sueur. Arrive cette sensation juste avant l’éjaculation, Catherine ouvre les yeux, les plante dans les miens, ensemble nous sombrons dans la volupté. Nos bouches se retrouvent pour un long baiser tandis que nos bassins ralentissent jusqu’à l’arrêt. Elle déroule la ceinture autour de ses poignets, je me retire, me couche près d’elle, la figure dans ses cheveux.


Catherine, encore essoufflée, me lance :



Elle rit, j’ajoute :



Elle éclate d’un grand rire, essuie des larmes et détale vers la salle de bain, une main entre les cuisses. Lorsque j’entends la douche, je la rejoins. Après tendresse et caresses savonneuses, elle se rince, coupe l’eau chaude. La douche froide fait immédiatement son effet.



De retour dans la chambre, je passe mon maillot de bain ramasse mes vêtements et sors de la chambre mentionnant que je dois vérifier la piscine en me réchauffant au soleil. Catherine termine de défaire sa malle.


J’ai complété l’entretien de la piscine ; je regarde ma cabane, ce qui me plonge dans mes souvenirs. Je l’ai construite seul en suivant les conseils de mon père, sur pilotis à plus de cinq mètres du sol, ce fut mon repaire jusque tard dans mon adolescence. Je monte, m’installe à mon endroit favori, dos appuyé au mur. Par la petite fenêtre, je regarde vers les cours des voisins. Des images reviennent, je suis bien, je suis dans les nuages.


Un mouvement attire mon attention, Catherine est là à la porte qui m’observe, j’ai perdu la notion du temps, est-elle là depuis longtemps ? Je lui fais signe d’entrer, elle s’installe à côté de moi.



Hé ben, elle s’imagine quoi ? Les gars rêvent comme les filles, on est capable de prendre notre temps nous aussi.



Elle réfléchit, dit qu’elle ne voit pas très bien la relation entre elle et la voisine. Finalement, elle demande que je lui raconte. Elle est intriguée, elle veut tout savoir de moi. Ce qu’elle ne me dit pas, c’est que tout ça commence à l’exciter puisque ses tétons pointent au travers son haut de bikini.


Je raconte, pour faire plaisir à Catherine. Au début, c’était toujours pareil, j’attendais qu’elle sorte, elle avait comme habitude de se baigner et de prendre le soleil l’après-midi. Elle portait un petit bikini blanc, sautait dans la piscine, nageait un peu puis s’étendait sur la chaise longue. Elle détachait les cordons autour de son cou, parfois j’entrevoyais un mamelon, immanquablement mon pénis grossissait encore plus. Elle ouvrait toujours les jambes en plaçant ses pieds au sol, alors je pouvais voir la tache sombre de ses poils sur sa culotte trempée. Là, j’enlevais mon maillot et me caressais doucement. J’attendais qu’elle se tourne sur le ventre.



Sans réfléchir, comme dans un état second, j’enlève le maillot et me caresse, répétant les gestes d’alors. Un peu de masturbation lente, je joue avec les couilles, caresse les cuisses, le bas-ventre, soulève le bassin, passe sur les fesses, touche la rosette, je recommence sans cesse.


Mon récit n’a pas cessé mais je le vis comme à l’époque :



Toujours absorbé par ces souvenirs, je me couche sur le plancher, serre fort ma tige. Je regarde vers la porte, je vois Catherine mais ne réalise pas qui elle est, je lui parle comme je le faisais autrefois lorsque j’imaginais que la voisine venait d’entrer.



Je place mes mains sous mes fesses soulevant mon bassin, ferme les yeux. J’imagine les caresses qu’elle me donne. Un véritable baiser sur mes lèvres me sort de ma rêverie, Je vois Catherine penchée sur moi qui sourit. Je réalise soudainement que je me suis caressé devant elle sans pudeur. Je suis figé, je bafouille, rien de compréhensible ne sort.




Catherine se place à quatre pattes au-dessus de moi, frotte ses seins sur ma poitrine, remonte, place un sein sur mes lèvres. Je suce la pointe durcie, elle me présente l’autre, mes mains se promènent sur son dos, ses fesses, ses cuisses. Elle se relève, présente son entrejambe à ma bouche, à travers le tissu, des lèvres je masse la chatte cachée. Elle défait un cordon, pousse la culotte sur la cuisse, reprend position en disant :



Je caresse les seins tandis que ma langue la fouille, je m’attarde sur le clitoris, repars vers d’autre lieux. Elle me lance :



Je reprends le bourgeon de chair entre mes lèvres, tire dessus, passe la langue, suce, je fais tout pour l’amener à l’orgasme. Elle m’écrase la mâchoire de son bassin, elle s’arrête, pétrifiée par l’orgasme.


Après quelques secondes, elle se couche sur moi, ajuste la hauteur, passe une main entre nos ventres, place ma tige à l’entrée, puis l’insère en elle lentement, millimètre par millimètre. Lorsque la colonne de chair est complètement engloutie, elle saisit mes poignets, les place de chaque côté de ma tête et les maintient en place. Je commence à bouger en elle, elle murmure :



Je m’arrête, attends.


Sa figure est dans mon cou, les bras allongés sur le miens, elle pèse de tout son poids sur mon torse. Elle prend appui sur ses genoux, relève un peu le ventre puis entame des va-et-vient, lentement au début mais rapidement elle accélère. La sensation est nouvelle, je perçois le frottement de ma queue sur les parois de sa grotte chaude, comme si rien d’autre ne touchait à mon corps. Elle a un rythme fou, elle gémit, mord mon épaule, ses ongles pénètrent la chair de mes poignets. Ses mouvements sont saccadés, sans lâcher la morsure, elle émet des sons, tout son corps tremble, elle s’arrête, se relâche, morte de plaisir.


Soudain, elle relève la tête, me regarde, ses yeux brillent comme jamais, elle dit :



Avant que je réagisse, elle a pivoté sur moi mettant au défi l’élasticité de nos peaux. Elle passe sa langue tout le long de ma tige, lèche le bout, la base, le gland, tout y passe. Je veux lui rendre la pareille, je tire sur ses hanches pour la mettre en bonne position, elle ne coopère pas, j’essaie encore, elle ne bouge pas.


Elle me masturbe avec ses lèvres, placée de côté, elle lève et descend la tête sur toute la longueur du phallus. Pivotant une nouvelle fois, elle s’empare de ma bouche, vole ma langue, la suce, donne le même traitement à chacune de mes lèvres, une vrai furie. Ça devient douloureux, je saisis son visage à deux mains, la repousse doucement. Ses yeux lancent des éclairs, je lui murmure :



Elle répond :



Elle roule sur moi, se place à quatre pattes pour une levrette, lance :



Sans attendre, je la pénètre jusqu’au fond, je martèle coup après coup, accroché à ses hanches. Elle répond à chaque fois en poussant ses fesses à ma rencontre. Elle lâche de petits cris. La copulation est sauvage, tellement que la cabane suit le mouvement ; sans cesser le battement, je l’inonde en plusieurs jets. De son côté, elle râle son plaisir, elle s’effondre, je la suis restant fiché en elle. Sur un ton d’agonisante, elle demande que je reste en elle, de l’écraser, annonce qu’elle jouit encore. Je m’assure de ne pas lui faire supporter mes 88 kilos et reste en place. Lorsqu’elle ressent que mon érection se perd, elle sourit.



Elle éclate de rire, me traite de grand fou, dit que c’est sa phrase à elle, ajoute qu’elle m’aime puis dépose un baiser sur mon épaule. Elle remarque la marque de la morsure.



Je lui montre les rougeurs laissées sur mes poignets par ses ongles, il y même un petit filet de sang. Elle est attristée par son attitude, s’excuse. Je la serre fort contre moi, lui dit qu’elle est ma tigresse, que je l’aime ainsi. Se justifiant, elle reporte la faute sur moi, que je joue sur son mental.



Elle fait une pause, regarde le sperme qui s’écoule hors de sa chatte, voit que je fixe le même endroit, elle sourit.



Malgré sa description colorée, je me désole qu’elle n’ait connu que ce genre d’homme.



Elle se met à rire, imaginant probablement la situation. Je lui mentionne que ça pourrait être une expérience à tenter, bien que je ne sois pas trop chaud à cette idée.



Je constate qu’elle a bien changé en peu de temps, ma belle Catherine. Chose certaine, je ne me plaindrai pas.



Catherine me saute dessus, me bécote partout sur le visage, elle rayonne. Elle veut me montrer qu’elle a d’autres talents, comme nous préparer un bon lunch, car elle a faim.