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Temps de lecture estimé : 38 mn
04/10/12
Résumé:  J'ai fait découvrir ma passion pour le cul à la jolie Suzon et c'est avec un immense plaisir que j'ai accepté de poursuivre son éducation.
Critères:  fhh hplusag fplusag jeunes toilettes voir exhib fetiche massage cunnilingu pénétratio fsodo jeu yeuxbandés fouetfesse init
Auteur : Fantasio      

Série : Mémoires d'un culophile

Chapitre 02
Le cul de Lucienne

Après ma première rencontre avec Suzon, nous nous sommes revus à peu près deux fois par semaine, chez moi le plus souvent. Nos métiers respectifs nous laissaient de grandes plages de liberté dont nous profitions pendant que le commun des mortels transpirait sur sa fiche de calcul ou devant des clients impatients. Elle venait souvent dans l’après-midi et le rituel était immuable. Elle s’appuyait au rebord de la fenêtre donnant sur le parc, me faisant la lecture d’un livre « pour adulte » que j’avais choisi pour nous, pendant qu’assis à moins d’un mètre derrière elle, je contemplais l’éblouissante nudité de son enivrant fessier.


Quelques fois une jupe ou une robe était remontée sur ses reins, la petite culotte descendue à mi cuisses, parfois son pantalon et sa culotte reposaient à ses chevilles, comme une petite fille s’apprêtant à soulager sa vessie. Je continuais à lui parler de mon amour, de mon adoration pour son cul magnifique, elle est continuait à mouiller rien qu’au son de ma voix.


Dès notre deuxième rendez-vous, trois jours à peine après notre première rencontre, elle s’était débarrassée de son buisson de poils frisés pour m’offrir le cadeau de sa chatte nue comme au premier jour. Je ne m’étais pas trompé. Lorsqu’elle se tenait debout, les jambes à peine écartées, ses grosses lèvres s’entrouvraient à peine, ressemblant presque à une chatte d’enfant. Et lorsque je l’ai fait s’agenouiller sur le lit, comme à notre habitude, j’ai versé une larme émue en regardant ces deux admirables fruits fendus posés l’un sur l’autre. Le premier rayonnant, majestueux, et le second accroché juste en-dessous, comme une petite pêche pâle et mûre ne demandant qu’à être croquée.



C’était pourtant dans cette langueur contemplative que naissait notre désir et elle y goûtait autant, si pas plus, que moi. C’était un jeu et ne nous lassions pas d’y jouer. Je lui parlais de son cul, de son con, de son corps de déesse, de ses seins dont, disait-elle, je ne m’occupais pas assez. Puis je la prenais, toujours par derrière, comme un drogué du cul prenant sa dose.


La fessée n’a pas tardé à faire partie de nos jeux. Il faut dire que nos lectures partagées évoquaient assez souvent l’étonnant pouvoir de la fessée. C’est ainsi qu’un jour, ce devait être à notre troisième ou quatrième rendez-vous, tandis qu’elle me lisait un chapitre de l’« Éloge de la fessée », je lui ai demandé ce qu’elle en pensait.



Elle m’a regardée avec un air excédé, son admirable cul toujours dressé sous mon nez. Tandis que je la regardais avec mon sourire niais dessiné sur le visage, elle s’est brusquement redressée, laissant retomber sa robe sur ses fesses, avant de remonter nerveusement sa petite culotte et disparaître de mon appartement sous le prétexte d’un rendez-vous urgent.


J’aurais pu essayer de la retenir, de la convaincre, de m’excuser pour cette maladie honteuse, pour cette « culopathie » dont je ne parvenais pas à me libérer. Mais je suis resté prostré devant la fenêtre ouverte et le livre qu’elle venait d’y abandonner, mon sourire béat encore imprimé sur mes lèvres. Je savais qu’elle allait tôt ou tard succomber aux plaisirs brûlants de la fessée et, à cette simple idée, j’ai senti ma queue frétiller d’enthousiasme.


Le lendemain, elle m’a appelé.



Elle a raccroché brutalement et je n’ai pas pu m’empêcher de sourire, persuadé que j’allais entendre à nouveau la sonnerie du téléphone quelques minutes plus tard.



Bingo ! Des fourmillements d’impatience me parcouraient les doigts et la queue à l’idée que j’allais bientôt prendre à nouveau possession de son admirable fessier. Ah, le cul de Suzon, plus beau cul qu’il m’ait été donné de connaître. Un cul que je redécouvrais et qui me surprenait à chaque fois.


Deux heures plus tard, elle était dans mon appartement, vêtue d’une robe en satin qui moulait effrontément ses sensuelles rondeurs, apparition troublante d’une pin-up des années soixante, une coiffure de lionne, les seins prêts à jaillir d’un décolleté pigeonnant, le cul étroitement emprisonné dans un écrin brillant, et les jambes habillées de soie noire.


Je nous avais préparé une bouteille de champagne et je lui en ai offert une coupe tout en la complimentant sur sa tenue et son incomparable beauté.



Elle a avalé sa coupe de champagne et plongeant ses grands yeux verts dans les miens. Je suis sûr d’avoir entendu son cul soupirer de désir à la perspective de s’offrir une nouvelle fois à mes caprices.



Elle a hésité, me laissant m’avancer seul vers le divan, me regardant m’asseoir, sans savoir que faire. Puis elle s’est avancée vers moi. Emmaillotée dans sa robe, elle s’est glissée le long de mes cuisses pour poser son admirable popotin juste sous mon nez. Je l’ai caressé longuement, laissant glisser mes mains sur le tissu brillant, pressant ses chairs emprisonnées, découvrant sa chaleur en plongeant sous la robe. Je le sentais frémir, s’assouplir, s’offrir avec délice à mes caresses et ronronner doucement en sentant monter le plaisir.


C’est le moment que j’ai choisi pour assener la première claque qui a résonné dans l’appartement en même temps que le cri du Suzon. Bientôt suivie par une deuxième, puis une troisième, tandis que les cris de la jeune femme s’accompagnaient de jurons et d’imprécations pour le moins désobligeantes à mon égard.

Mais, j’ai l’habitude. C’est toujours pareil la première fois. J’imagine que c’est comme monter une jeune et vigoureuse pouliche pour la première fois. Elle va ruer, elle va se cabrer, elle va essayer de vous désarçonner, mais ce n’est qu’une question de patience. Et, au bout de la dixième claque, ma pouliche était devenue plus docile, se contentant de mordre les coussins pour étouffer ses gémissements à chaque fois que ma main s’écrasait sur ses fesses brûlantes.


Pour ce qui me concerne, la fessée ne doit jamais aller jusqu’à abîmer la délicieuse harmonie du cul. Je ne comprends pas ces fessées brutales qui martyrisent le derrière jusqu’à y laisser des traces sanglantes et persistantes durant plusieurs semaines. Pour moi, les traces d’une bonne fessée doivent avoir disparu en moins de vingt-quatre heures. Le but est de réveiller le cul de la belle, pas de le défigurer. C’est pourquoi il faut varier les coups, tant par l’intensité que par le rythme ou le point d’impact, laisser le temps au cul de respirer avant de l’entraîner dans un nouveau tourbillon de sensations. Le caresser, vérifier la façon dont la peau répond à nos assauts, tester la température de la surface rougissante pour pouvoir en apprécier la brillance, s’assurer qu’entre les cuisses, la petite chatte reconnaissante pleure de plaisir sous l’effet de la fessée.



Je l’ai regardée se déshabiller, comme si elle s’épluchait de sa peau de satin gris pour laisser apparaître une belle peau de rousse, bien plus émoustillante. Elle portait des sous-vêtements de nylon rouge, très sixties eux aussi, surtout la culotte moulante et semi-transparente qui lui emballait effrontément le cul, un peu comme sur la couverture des « Mains Baladeuses », autre roman du célèbre pornocrate. Je n’ai pas bougé, me contentant d’attendre qu’elle vienne reprendre la pose. Ce qu’elle a fini par faire, en réalisant que je n’en avais pas fini avec son brûlant derrière.


Emprisonnées dans la large culotte de nylon, ses fesses étaient vraiment éblouissantes, plus appétissantes que jamais. Je n’ai pas pu m’empêcher de les faire rougir encore un peu avant de baisser le voile synthétique pour contempler l’astre brillant de son cul, rayonnant comme un soleil couchant. Je crois que j’ai dû rester en adoration plus d’une minute, et c’est le frottement de la chatte de Suzon contre mes cuisses, qui m’a réveillé de ma rêverie. Le petit animal était affamé et je n’avais pas le cœur de le décevoir.


J’ai terminé le travail sur ses fesses nues, les regardant trembler sous mes assauts. Comme une vague irrésistible emportant tout sur son passage, un tsunami d’émotions électriques qui se diffusait dans ses chairs, jusqu’au creux de ce con débordant que je sentais couler sur mes cuisses.



Elle s’est agenouillée sur le divan, m’offrant son cul dressé et rougissant. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y poser un chapelet de baiser, le regardant frémir d’impatience dans l’attente de l’arrivée de mon épais gourdin.



Le visage appuyé sur le dossier du divan, elle s’est exécutée, m’offrant la vision de ses orifices béants. Elle a dû entendre le bruit de l’enveloppe métallique que j’ai déchirée, puis celui du préservatif que j’ai déroulé et glissé sur ma queue, raide comme la justice.


J’ai lui ai visité tant le con que le cul, la faisant gémir de plaisir à chaque fois que ma queue s’enfonçait tantôt au fond de sa caverne, tantôt au cœur de ses entrailles, et que ses fesses brûlantes s’écrasaient contre mon ventre. J’ai fini par exploser dans son cul et nous nous sommes écroulés en sueur, affalés l’un sur l’autre dans le divan. Elle a tourné son visage vers le mien et nos bouches se sont dévorées avec passion, pendant que ma bite continuait à s’agiter nerveusement tout au fond de son petit trou.



Je l’ai libérée et ma queue a provoqué un petit bruit de pet en s’extrayant de son anus. Nous avons éclaté de rire tandis qu’elle remontait sa large culotte sur son cul rougeoyant.



Elle s’est contentée de sourire en se débarrassant de sa culotte avant d’enfiler sa robe sur ses fesses dénudées.



Nous nous sommes rendus à pied à la galerie et, fidèle à mes habitudes, j’ai marché quelques pas derrière elle, suivant mon étoile du berger et son balancement hypnotique. Je dois dire que je n’étais pas le seul à m’aveugler des admirables rondeurs moulées dans l’écrin brillant. Les hommes autant que les femmes se retournaient sur son passage, tout en jetant un regard curieux dans ma direction, se demandant sans doute pourquoi je ne marchais pas aux côtés de ma partenaire.


La galerie était pleine d’une foule de bobos, intellectuels de gauche, entre quarante et soixante ans pour les messieurs, probablement dix à vingt ans de moins pour les dames et, si je n’avais pas été au bras de Suzon, je me serais sans doute immédiatement lancé à la chasse de l’un ou l’autre de ces culs élégants qui s’agitaient sous mes yeux devant les œuvres de l’artiste.



Karin était l’artiste, l’amie de Suzon. Jusqu’à ce moment, je n’avais, pas vraiment prêté attention aux œuvres accrochées aux cimaises de la galerie. Mais en traversant la foule, regardant au-dessus des épaules, et quelques fois au-dessous des jupes de ces dames, j’ai découvert que les toiles, les sculptures et les installations de la fameuse Karin tournaient toutes autour du sexe. De grandes toiles présentant des corps enlacés, lacérés de coups de pinceaux brutaux, des miniatures pointillistes de cons plus réalistes que nature, des moulages de queues comme en faisait Cinthya Plaster Caster dans les années soixante-dix, un carré constitué de moniteurs vidéos où défilaient un kaléidoscope de cul, de con, de bites ou de seins.



Karin était une grande blonde de près d’un mètre quatre-vingt, dont l’accent autant que le physique révélaient les origines nordiques. Pas spécialement jolie, avec son visage un peu trop anguleux. Pas spécialement bien roulée non plus, avec ses petits seins déformant à peine le mini tee-shirt qu’elle portait à même la peau. Et pourtant avec ses yeux couleur de fjord, sa large bouche gourmande, et sa belle paire de fesses musclées enserrées dans son jean taille basse, je ne peux nier qu’elle me faisait de l’effet.



Elle a éclaté de rire, un rire cristallin comme les glaces de son pays natal.



Elle nous a entraînés vers une petite vitrine garnie de bijoux représentant presque exclusivement des culs féminins, ainsi que paires de seins ou de couilles membrées.



J’ai tout de suite porté mon attention sur une série de broches représentant des culs de femme en miniatures, tous plus réalistes les uns que les autres. Il ne m’a pas fallu plus de cinq secondes pour découvrir l’admirable cul de Suzon réduit à quelques centimètres, et pourtant toujours aussi magnifique.



Suzon me regardait avec un petit sourire et un air de défi qui illuminait ses yeux verts, tandis que j’accrochais à ma veste le bijou doré moulé sur son cul de déesse. Je lui ai retourné son sourire, presqu’avec reconnaissance. Ce genre de défis, elle pouvait me les lancer aussi souvent qu’elle le voudrait. J’ai regardé Karin, l’air de dire « si tu es prêtes, je le suis aussi ». Elle a éclaté de rire et s’est retournée, les mains sur les hanches, cambrant les reins pour m’offrir le spectacle de son admirable derrière.


Il était emballé dans un jean moulant qui enveloppait ses rondeurs musclées et dont la taille basse dévoilait le piémont des fesses et le passage en entonnoir conduisant droit à la raie du cul. Je ne me suis pas privé d’admirer avec attention ce superbe derrière d’artiste qui, après tout, n’était pas la moins belle des œuvres d’art présentées dans la galerie. Me penchant au-dessus de ses reins dénudés sous son mini tee-shirt, pour glisser mon regard le long de son dos, sous la taille du jean pour constater qu’elle ne portait rien entre ses fesses nues et l’épais tissu de coton. M’accroupissant presque entre ses cuisses pour admirer le double sourire de sa paire de miches, et le petit coquillage moulé dans le jean et que j’imaginais trembler sous l’indiscrétion de mes regards.


Il faut dire qu’un petit cercle s’était formé autour de nous se demandant ce que Karin avait encore bien pu inventer, les reins cambrés, le cul dressé, offert à l’inspection méticuleuse d’un quinquagénaire à l’allure professorale. Malgré la nature volontairement provocante de son art, Karin n’était pas vraiment à l’aise, d’autant qu’après l’avoir longuement contemplé, j’ai brusquement saisi à pleines mains ses deux fesses musclées, en prenant l’air d’une réflexion profonde.



J’avais encore les mains collées aux fesses de Karin et je n’avais plus regardé le présentoir depuis que Suzon m’avait mis au défi. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que j’avais tout de suite reconnu le cul de Karin parmi la dizaine de paires de fesses exposées dans la vitrine. Tout le monde s’est mis à applaudir et à rire pour saluer mes exploits. Suzon tout autant que Karin me regardaient avec un éclat de passion brillant au coin de l’œil. Je les avais bluffées et je n’étais pas peu fier de mon coup.



Karin a regardé son amie ne sachant que penser. Je me suis contenté de leur sourire, à l’une et à l’autre. Puis Suzon a tourné son visage vers moi, avec ce petit air coquin qu’elle savait si bien prendre.



Karin s’est mise à rire, d’un rire qui sonnait un peu faux, un peu forcé, comme si elle voulait s’empêcher de penser à ce que son amie venait d’évoquer à mots couverts. Elle m’a elle-même accroché la broche de l’autre côté de ma veste, juste en face du cul de Suzon, puis elle s’est rapidement éclipsée pour rejoindre un autre groupe d’invités, me laissant seul avec Suzon, riant tous les deux comme deux complices.



Elle m’a entraînée dans la galerie, pour se poser devant la mosaïque d’écrans d’ordinateurs sur lesquels défilaient des images de sexes, de seins, de cul. Je me suis glissé derrière elle, entourant ses hanches et son ventre de mes bras, pressant fermement mon artillerie contre ses fesses. Je n’ai pas tardé à repérer parmi les images vidéos, les plus adorables trésors de ma compagne, tantôt son cul, tantôts ses magnifiques lolos, tantôt son petit minou encore dissimulé sous son pelage roux. Je dois dire que j’étais au paradis, sentant mon gourdin durcir contre ses superbes miches, tout en contemplant un joli défilé de culs et de cons, quelque fois malencontreusement interrompu par quelques bites plus ou moins poilues ou enthousiastes. Suzon n’était pas moins sensible au spectacle, et je sentais ses fesses se frotter sensuellement sur le vigoureux pilon qui me déformait l’entrejambe. Je me suis penché pour l’embrasser dans le cou.



Fidèle à son habitude, elle m’a entraîné derrière elle, jusqu’aux toilettes.



Je n’allais pas la détromper. Sans prêter la moindre attention à un homme qui se soulageait la vessie tout en nous regardant avec cet air benêt qu’ont les hommes quand ils pissent, elle m’a entraîné dans une cabine, où, en quelques secondes à peines, elle a libéré ma queue, l’a enveloppée dans un préservatif, a remonté sa robe sur ses reins, avant de tendre son cul admirable et frémissant d’impatience en direction de mon gourdin.


Je lui ai ramoné le con avec une certaine précipitation, je l’avoue, sans même prendre le temps de contempler la surface brillante de ses fesses, encore rose du traitement que je leur avais infligé quelques heures plus tôt. Je n’ai pas vraiment l’habitude de ce genre d’acrobaties, et à mon âge, c’est un plaisir que je n’ai plus trop envie de découvrir. C’est ainsi qu’après une dizaine de coups de rein, j’ai fini par exploser un peu piteusement dans la chatte trempée de la jolie Suzon.



Nous sommes allés dîner dans un petit resto italien où, le prosecco aidant, je n’ai pas pu tenir ma promesse au-delà du « secondo piatto ». Il faut dire que le serveur regardait avec grand intérêt les deux admirables culs dorés qui ornaient ma veste. Intérêt qu’il partageait avec la poitrine frémissante de Suzon qui, sous l’effet du même prosecco, semblait déborder de désir.



J’ai décroché la broche pour l’observer plus attentivement.



J’ai donc commencé à lui raconter comment Lucienne, la voisine, m’avait involontairement initié au culte du derrière.


Comme vous pouvez l’imaginer, elle avait une paire de fesses qui, lorsque je les ai vues pour la première fois, me paraissaient énormes. Elles étaient moulées dans un jean « extra slim » comme en portaient les filles dans les années soixante. Ma mère étant plutôt du genre « modeste du cul », c’était sans doute la première fois que je réalisais, qu’en dehors des mamelles nourricières dont ma bouche gardait encore le souvenir, les femmes étaient dotées d’une autre paire de rondeurs, bien plus intrigante que la première. Et celles de Lucienne savaient être intrigantes. Qu’elle porte un pantalon, une jupe ou une robe, je ne l’ai jamais vue autrement que la taille serrée, comme pour mettre en évidence cette courbe fascinante qui démarrait à la taille pour s’élancer presque à l’horizontale et chuter aussitôt, tantôt dans les plis de la jupe ou la robe, tantôt pour dessiner dans le tissu du pantalon, un arc de cercle merveilleux qui se terminait brusquement juste au sommet des cuisses.


Je faisais mes devoirs dans la cuisine, tandis qu’elle s’occupait de me préparer le goûter et le repas de René, son mari. J’avais du mal à me concentrer sur mes exercices d’algèbre préférant me consacrer à la géométrie des courbes ou la physique des corps. Je regardais ces deux masses charnues s’agiter sensuellement sous mon nez, et, sans doute sans le savoir, j’ai dû connaître mes premiers émois.


Je me rappelle d’un jour où le four refusait de s’allumer, ce qui l’avait amenée à passer de longues minutes le tronc enfoncé dans la cuisinière et le cul dressé dans ma direction. Je me le rappelle comme si c’était hier. La bouche ouverte et, très probablement, un sourire béat dessiné sur le visage, j’ai contemplé ses jambes et ses cuisses épaisses, largement dévoilées sous la petite jupe à volant qu’elle portait ce jour-là et sous laquelle j’essayais de glisser mon regard. Je me suis penché, encore et encore, jusqu’à parvenir enfin à discerner une large culotte blanche, lumineuse comme un soleil, qui emballait sensuellement son magnifique derrière. Sous le coup de l’émotion et de l’attraction universelle, ma chaise à brusquement basculé et je me suis retrouvé sur le sol dans un énorme fracas, allongé sous les jupes de Lucienne.



Je me suis relevé d’un bond, les joues en feu, redressant la chaise pour me plonger aussitôt sur mon devoir de français. J’aurais voulu que la terre me dévore sur le champ.



Elle a éclaté de rire, comme si elle avait deviné la raison de ma chute.


À partir de ce jour, il m’est arrivé souvent de me pencher sous la table de la cuisine, pour admirer à la dérobée la petite culotte de Lucienne et les belles fesses qu’elle enveloppait. Je crois qu’elle n’était pas dupe et je suis sûr que quelques fois, elle prenait plus de temps que nécessaire pour fouiller dans les armoires de la cuisine, tantôt penchée au fond d’un placard, tantôt perchée sur une escabelle à la recherche d’un ustensile quelconque.



Je ne la trouvais pas si branlante que cela, mais je n’allais pas refuser une telle invitation à glisser librement mon regard curieux sous les jupes de ma jolie voisine, à la découverte de son éblouissant derrière.


À chaque fois que René rentrait chez lui, après sa journée de boulot, il assenait une grande claque joviale et enthousiaste sur le cul de son épouse, sa façon à lui de dire « bonsoir mon amour ». Au début, j’ai trouvé cela surprenant, mes parents ayant toujours eu un comportement, disons, plus « réservé ». Je ne comprenais pas comment Lucienne pouvait se laisser claquer le derrière de cette façon. Je trouvais que René était une brute mal élevée qui ne méritait pas ce magnifique trésor qu’il martyrisait tous les jours. Mais, en entendant le rire éclatant de la jeune femme et en observant les tendres étreintes amoureuses qui suivaient cette salutation brutale, j’ai compris que le cul devait receler des mystères que je rêvais de découvrir chaque jour davantage.


Je crois que je dois ma fessophilie autant à René qu’à Lucienne. Si la seconde m’a apporté la matière, le premier m’a appris la passion. Car s’il claquait le cul de sa femme tous les soirs, c’est parce qu’il l’adorait encore plus que moi. Chaque fois qu’il en avait l’occasion, il le caressait, glissant discrètement sa main sous ses jupes lorsqu’il me pensait concentré sur mes exercices de math.


Un soir, je devais avoir dix-sept ans, et le cul de Lucienne, ou du moins ses fesses toujours enveloppées dans de larges culottes, n’avait presque plus de secrets pour moi. Comme souvent, je m’étais retourné discrètement pour les regarder du coin de l’œil. René se tenait debout derrière Lucienne les mains plongées dans la vaisselle, lui glissant des baisers dans le cou, tout en laissant courir ses mains sur ses cuisses dénudées. J’étais habitué à leurs étreintes, et si, au début, j’étais plutôt jaloux, je me suis très vite pris pour René, comme s’il était mon émissaire, partant vers des territoires qu’il découvrait pour moi. Lucienne, ne le laissait jamais aller bien loin, sous l’excuse du « gamin » attablé devant ses cahiers. Mais ce jour-là, elle était sans doute plus fatiguée que d’habitude, elle avait besoin de la chaleur de son mari et elle semblait heureuse de s’abandonner à ses caresses.


Les mains de René sont remontées doucement, tendrement, délicatement le long des cuisses jusqu’à s’aventurer sous la jupe avec d’infinies précautions, remontant peu à peu avec elles le tissu à volant jusqu’à se poser sur les fesses. Je l’ai entendue murmurer « le gamin… » à l’oreille de René qui s’est retourné vers moi, les mains posées sur le généreux derrière de son épouse. Je n’ai pas pu détourner le regard, hypnotisé que j’étais par l’exhibition de la culotte de Lucienne, une large culotte blanche comme à son habitude, emprisonnée dans les serres de mon alter ego. Je devais sourire béatement, comme d’habitude et René m’a lancé un clin d’œil complice.



Les mains de René se sont glissées sous la culotte, et Lucienne n’a pas pu retenir un petit « Oh ! » de surprise qu’elle a aussitôt étouffé, de crainte d’attirer mon attention. Je ne sais pas si elle se doutait ou non que mon attention fût depuis longtemps déjà passionnément attirée par son impressionnant fessier. Toujours est-il qu’elle n’a plus réagi, se contentant de s’appuyer sur ses mains plongées dans l’eau de la vaisselle, tandis que celles de son mari se promenaient sur la peau brûlante de ses fesses.


Je regardai l’ombre de ses mains passant sous le fin tissu de coton, se glissant entre les fesses à la recherche de trésors qui m’étaient encore inconnus. Lorsqu’il a descendu l’élastique de la culotte jusque sous les deux globes charnus que je découvrais pour la première fois, j’ai senti soudain une chaleur humide envahir mon entrejambe tandis que ma petite queue juvénile crachait pour la première fois le jus de la jouissance.



Elle s’était retournée brusquement repoussant René en faisant brusquement redescendre sa jupe sur ses fesses dénudées, et je me suis retourné presqu’aussi vite qu’elle.



En me lançant un nouveau clin d’œil, René est donc venu s’asseoir à mes côtés pour m’aider à résoudre ce fameux problème. Lorsque mes parents sont venus me chercher ce soir-là, j’ai dû déployer des trésors de discrétion pour leur cacher l’entrejambe de mon pantalon, maculée de ma première semence.


À partir de ce soir-là, René et moi sommes devenus complices, parfois quand nous étions seuls au salon, il racontait sa passion pour le cul de Lucienne, m’en décrivant tous les mystères, tous les trésors. Je suis devenu un spécialiste du cul de ma voisine, une spécialité toute théorique malheureusement, agrémentée de temps à autres par les regards furtifs que me concédait René lorsqu’il parvenait à me dévoiler les rondeurs affolantes de sa délicieuse épouse.


Il m’a même donné une photo de Lucienne en déshabillé vaporeux. Extraite d’une séance de « nu artistique » qu’elle avait accepté de réaliser pour lui faire plaisir.



J’ai donc appris à faire suer le poireau, à faire pleurer popaul, à m’élaguer le bambou et autres gracieuseté que René m’apprenait d’un air professoral. Un jour que je regardais mon feuilleton préféré dans le salon, il est venu me chercher en me demandant de le suivre en silence. Le feuilleton venait de commencer et il savait parfaitement que je ne l’aurais raté pour rien au monde. Rien sauf, bien sûr, le cul de Lucienne !

Nous avons traversé le salon à pas de loup jusqu’à la cuisine. Comme souvent, Lucienne était affairée devant la vaisselle du soir. Elle nous tournait le dos, vêtue d’une petite robe d’été, serrée à la taille. Nous l’avons regardée durant quelques secondes, comme fascinés par ce magnifique postérieur qui s’agitait quelques mètres devant nous, puis René m’a demandé de me tenir discrètement dans le couloir.



Il s’est avancé vers son épouse pour l’enlacer comme à son habitude, son corps collé contre le sien, la couvrant de baisers, laissant courir ses mains librement sur son corps.



Les mains de René avaient disparu sous la robe, glissant le long de ses cuisses, de ses hanches jusqu’à remonter le vêtement largement au-dessus de ses fesses.



Il a remonté la robe sur le dos de Lucienne qui cambrait les reins pour le plus grand plaisir de son mari, et pour le mien aussi qui les observais depuis le couloir plongé dans la pénombre. Il lui a enlevé sa culotte et elle s’est laissée faire en silence, les bras tendus appuyés contre l’évier. Il s’est écarté la laissant le cul à l’air, pour mieux nous laisser l’admirer et je crois que j’en ai pleuré d’émotion. Puis il s’est mis à lui caresser les fesses, jusqu’à ce que son cul magnifique se mette à onduler doucement au rythme de ses mains. Je l’ai vue sursauter, pousser un petit gémissement discret, puis s’alanguir lorsque les doigts se sont glissés dans la raie de son cul jusqu’à descendre entre ses cuisses. C’est la première fois que je voyais deux êtres faire l’amour et j’en étais bouleversé de bonheur.


Ma queue commençait à s’agiter douloureusement, comme quelques mois plus tôt, lorsque j’avais éjaculé dans mon pantalon. Mais depuis, j’avais appris à me cirer le braquemart et à contrôler son enthousiasme. Mais ce soir-là, je sentis que mes efforts allaient être vains et, tandis que je trépignai sur place espérant calmer les frémissements de ma queue, une lame du plancher a fini par craquer sous mes pieds.



Un silence pesant s’est abattu sur la cuisine, interrompant brusquement les ronronnements de chatte que poussait Lucienne pendant que René lui doigtait l’abricot. L’écho de la musique de Zorro remontait du salon.



Il ne lui a pas laissé le temps de répondre, enfonçant une queue qui me paraissait démesurée entre les cuisses de son épouse qui n’a pas pu retenir un petit cri de surprise avant de se mettre à gémir sous les coups de boutoirs de son mari.


C’en était trop. Ma queue, que j’avais sortie de sa prison lorsque René avait baissé la culotte, s’est agitée brusquement sous l’effet des vocalises de moins en moins discrètes de Lucienne. Un puissant jet de sperme a brusquement jaillit de ma bite d’ado. J’ai maladroitement essayé de retenir le liquide tiède entre mes doigts tout en m’en allant précipitamment vers les toilettes, tandis que les vocalises de Lucienne disparaissaient sous la musique d’« Un cavalier qui surgit lors de la nuit… ».

Lorsque je suis revenu dans le salon après m’être nettoyé les mains et le zob, René était assis devant la télé avec sur les lèvres, un sourire béat que je ne connaissais que trop bien.



Nous avons ri comme deux gamins venant de faire une bonne plaisanterie, et nous avons eu du mal à nous arrêter lorsque Lucienne a fait son apparition dans le salon. Nous regardions tous les deux fixement l’écran de la télé, n’osant pas affronter son regard, René pouffant intérieurement de rire et moi-même, partagé entre l’idée de rire avec lui et celle de disparaître comme par magie pour ne pas avoir à affronter le regard de Lucienne. Elle a éclaté de rire à notre plus grand soulagement.



Elle est venue s’asseoir entre nous dans le divan, nous prenant tous les deux par l’épaule pour nous serrer contre elle, et nous sommes resté à regarder la télé tous les trois, jusqu’à ce que mes parents ne viennent me chercher, à mon plus grand regret.


Quelques jours plus tard, mes parents m’ont annoncé que nous allions bientôt déménager dans une grande maison entourée d’un parc magnifique où je pourrai inviter tous mes copains de lycée, j’ai failli m’évanouir. J’ai pâli brusquement avant de m’enfuir pour m’enfermer dans ma chambre à leur grand étonnement.


Ça a été mon premier chagrin d’amour, un chagrin si profond que je pensais que je ne m’en remettrais jamais, envisageant de fuguer ou même d’en finir si je devais perdre mes rencontres avec le cul de Lucienne. Mes parents n’ont jamais su la raison de cette mélancolie qui m’accompagné durant de longs mois après notre déménagement.


Lucienne a été plus perspicace, il faut dire que je ne pouvais pas lui cacher la vérité.



Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et j’ai éclaté en larmes, un chagrin profond que je voulais partager avec elle. Elle m’a pris la main pour m’entraîner vers le salon et s’asseoir sur le divan à mes côtés. Elle a pris mon visage couvert de larmes et l’a posé sur sa poitrine. J’ai continué à pleurer sur la peau douce de ses seins découverts sous un large décolleté, sentant leur chaleur réconfortante venir apaiser mon visage, jusqu’à tarir mes larmes et me laisser somnolant, sur le plus agréable des oreillers.


Il ne nous restait que deux semaines, deux semaines aux cours desquelles, Lucienne a troqué ses larges culottes pour des strings plutôt osés pour l’époque, ne manquant pas une occasion de m’offrir la vision de ses fesses dénudées et de son petit minou, emballé dans un petit cocon de satin. Deux semaines qui m’ont offert deux nouveaux épisodes de « Zorro », au cours desquels j’ai pu admirer et partager l’intense beauté de la jouissance, m’enhardissant un peu plus à chaque fois, jusqu’à me retrouver dans la cuisine, un mètre derrière René et à peine plus loin du cul magnifique qu’il caressait et visitait pour moi.


Si elle s’était retournée, elle aurait découvert mon sourire d’illuminé. Mais elle a ne l’a jamais fait, se contentant de regarder droit devant elle, en fermant les yeux peut-être, gémissant de plaisir en se laissant emporter par les assauts passionnés de son mari. Je crois qu’elle savait que j’étais là, que je la regardais avec des yeux brillants d’admiration, et pourtant elle ne m’en a jamais rien dit. C’était notre petit secret à elle et à moi.


La veille de notre déménagement, alors que je venais tout juste de fêter mes dix-huit ans, Lucienne a convaincu mes parents de me laisser passer la nuit chez eux.



J’ai donc passé ma dernière soirée dans le quartier de mon enfance en compagnie de la plus délicieuse des femmes et René, mon initiateur et mon ambassadeur auprès du Saint Siège. Nous sommes allés voir « L’Exorciste » sous l’instance de René. Pour ce qui me concerne, je n’étais pas trop fan des films d’horreurs.



Il m’a lancé un de ses clins d’œil dont il avait le secret et j’ai tout de suite compris qu’il devait avoir quelque chose en tête. En fait, ce malin de René savait parfaitement que Lucienne était particulièrement réceptive au spectacle sanglant et Grand-Guignol des films d’horreur, et, dans ce genre de registre, « L’Exorciste » est plutôt un chef-d’œuvre. La pauvre a donc passé le film assise entre nous deux, à nous serrer nerveusement le bras, à dissimuler son visage derrière le nôtre, à pousser des cris stridents, comme d’ailleurs plus de la moitié de la salle. Et pendant ce temps, René et moi, essayons de la tranquilliser en posant chacun une main réconfortante sur ses cuisses.


Je regardais discrètement le visage de René qui continuait à me lancer des clins d’œil entendus, tandis que Lucienne se dissimulait le visage et que nos mains remontaient lentement sa jupe pour se glisser le long de ses cuisses dénudées. C’était la première fois que je la touchais et je sentais trembler mes doigts moites tandis qu’ils se glissaient sous le tissu fleuri. Mon cœur battait à cent à l’heure, accélérant dangereusement, les spasmes qui m’agitaient la queue. Lorsque ma main a rencontré celle de René qui, comme moi s’avançaient à la conquête du Graal, Lucienne a attrapé nos poignets pour descendre nos mains jusqu’au milieu de ses cuisses et pour les retenir sous les siennes jusqu’à la fin du film. Tout compte fait, je crois que je préférais cela, parce que je n’aurais pas pu me retenir bien longtemps si mes doigts avaient fini par effleurer sa petite culotte.


Nous sommes rentrés à pied vers onze heures trente. René et Lucienne tendrement enlacés marchaient quelques pas devant moi et mon professeur en culophilie me laissait observer ses caresses sur les fesses de son épouse, remontant plusieurs fois sa robe pour me révéler les deux sphères pâles et brillantes de son cul, avant que Lucienne ne le rabroue en riant et l’oblige à interrompre momentanément ses assauts.

Lorsque nous sommes arrivés à la maison, Lucienne a invoqué une irrésistible fatigue pour nous abandonner et aller se coucher. Le tendre baiser qu’elle a posé sur ma joue n’a pas effacé ma déception de la voir disparaître aussi brusquement.



Pour le coup, René était immédiatement parvenu à me redonner le moral. J’avais une confiance absolue en lui, et s’il avait une petite idée, elle ne pouvait qu’être intéressante. Il m’a demandé de l’attendre dans le salon et il a disparu rejoindre son épouse. Dix minutes plus tard, il était de retour, nu comme un vers. Son monstrueux gourdin pendait entre ses jambes.



Je n’ai pas réfléchi une seconde et je me suis désapé comme il me le demandait, avant de le suivre dans l’escalier. Arrivés devant la porte de leur chambre à coucher, il s’est arrêté.



Alors, il a ouvert la porte. La chambre était faiblement éclairée par une petite lampe de chevet. Lucienne était allongée sur le lit, elle portait un masque de nuit et ses mains étaient dressées au-dessus de sa tête. En m’approchant, j’ai vu que ces poignets étaient attachés à la tête de lit par une paire de menottes. Un drap était remonté sur son corps et au-dessus de sa poitrine qui s’agitait au rythme de sa respiration. Elle aurait pu être endormie et pourtant elle était bien éveillée, prête à s’offrir à nous.



Tout en lui parlant, René a tiré doucement sur le drap pour le faire descendre le long de son corps dénudé, dévoilant ses appétissantes mamelles, rondes, fermes et juteuses à souhait, glissant sur son ventre, jusqu’aux premières frondaisons de son buisson qu’il a fini par révéler dans toute sa splendeur brillante. C’était la première mais aussi la dernière fois que je voyais le corps dénudé de Lucienne, rayonnant d’une pâleur irréelle dans la pénombre de la chambre. Nous n’avons pas pu nous empêcher de la contempler durant de longues secondes, regardant sa peau frissonner d’impatience, comme si elle se languissait de nos caresses.



René m’a regardé en souriant. J’étais comme paralysé, je ne pouvais pas croire qu’il m’invite à caresser sa femme, et pourtant son regard insistant était plus qu’explicite.

J’ai donc avancé mes mains tremblantes vers ses deux masses blanches et brillantes qui s’agitaient sous la respiration nerveuse de Lucienne. Je les ai frôlés du bout des doigts avant d’oser les saisir à pleines mains, pour découvrir pour la première fois la chaleur et la douceur d’une poitrine de femme, en apprécier le caractère malléable qui nous invite à les palper, les soupeser, les presser. Tout cela était nouveau pour moi, et pourtant j’avais l’impression que mes mains étaient comme possédées, comme si le corps de Lucienne et le regard attentif de René m’aidaient à les promener avec assurance sur les collines charnues.


Je me suis mis à jouer avec ses tétons, les sentant durcir sous mes doigts. René m’a fait un signe de la tête m’invitant à téter les généreuses mamelles. J’ai avancé ma bouche pour sucer avec délice un de ses longs tétons dressés, sentant son corps onduler de plaisir sous les caresses de mes lèvres et de ma langue. René a pris ma main pour la poser doucement sur le ventre chaud et tremblant de Lucienne. Je me souviens que je tremblais autant qu’elle, tandis que mes doigts glissaient sur cette magnifique colline, descendant doucement vers le sommet de ses cuisses et son sombre buisson.


Malgré l’intensité des émotions qui traversaient mon corps et mon esprit, ma queue était étonnement sereine. Certes en éveil, mais en même temps paisible, comme si elle attendait un moment plus opportun pour se laisser emporter à son tour. Lucienne a doucement écarté ses cuisses lorsque mes doigts se sont glissés le long de sa fente. Je me souviens encore de cette incroyable sensation, comme si je caressais un petit animal qui frémissait sous mes doigts. Entre les boucles brunes, je voyais briller ses chairs roses et mystérieuses qui tremblaient sous le passage de mes doigts. J’ai regardé René qui, un sourire angélique dessiné sur le visage, contemplait le spectacle de sa femme se faisant doigter par un jeune puceau. Sans même m’en rendre compte, mes doigts ont été avalés par sa bouche gourmande, pour se retrouver pour la première fois dans cette caverne brûlante et inondée de liqueur que j’avais si longtemps fantasmée.

Le corps de Lucienne ondulait, avançant son bassin à le rencontre de mes doigts, les accueillant avec délice entre ses lèvres brûlantes, balançant de gauche à droite et d’avant en arrière, comme pour me faire visiter le moindre recoin de son éblouissant palais.



Je me suis retourné vers René, qui, d’un doigt posé sur les lèvres, m’a fait comprendre qu’il s’en chargeait. Il s’est donc penché sur la bouche gémissante de Lucienne pour la dévorer avec passion, tandis que pour ma part, je continuais à lui doigter le minou. À un moment, je me suis retrouvé une main glissée entre les cuisses de Lucienne, l’autre empoignant le sein droit, tandis que René s’occupait du gauche. Sur le moment, je me suis dit que Lucienne devait être tellement excitée qu’elle ne se rendait même plus compte du nombre de mains qui s’occupaient de son corps. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que tout cela n’avait été qu’un jeu, un cadeau qu’elle nous faisait, à René, à moi et à elle-même.



Après s’être libéré de la bouche dévorante de Lucienne, René m’a entraîné vers le pied du lit pour me faire profiter du coquillage béant de son affolante épouse. J’avais déjà vu des revues de cul chez des copains dont les parents étaient moins complexés que le miens, mais je n’avais vu sous mes yeux cette merveille de la nature, cet animal brillant qui tremblait derrière son pelage clairsemé.



Nous étions à quelques centimètres à peine de la grotte brillante dont s’échappaient des arômes marins qui me chatouillaient les narines. René me murmurait à l’oreille, m’offrant une description érotico anatomique de la chatte de Lucienne. M’invitant à effleurer du doigt tantôt les petites lèvres, tantôt le vestibule.



Mon cœur s’est mis à battre à cent à l’heure, imaginant que j’allais être découvert et que Lucienne ne me le pardonnerait jamais. Mais une fois de plus, René mon sauveur, mon mentor, m’a fait signe de ne pas m’inquiéter.



Il a avancé sa langue pour la faire glisser de bas en haut sur toute la longueur de la fente, tandis que les cuisses grandes ouvertes de Lucienne s’agitaient dans un spasme nerveux. Puis il s’est reculé pour me regarder et je me suis avancé à mon tour. Ma langue frémit encore à l’évocation du souvenir de cette première fois où j’ai goûté aux délicieuses saveurs d’une chatte en chaleur. Nous nous sommes relayés durant une longue minute, et à chaque coup de langue, Lucienne poussait un long gémissement de plaisir.



Elle a éclaté de rire et j’ai failli éclater moi aussi. Décidemment, à mes yeux, René était le champion toute catégorie de l’esquive et de la tactique. Lucienne s’est agenouillée sur le lit, la tête enfoncée dans les draps, dans cette position magnifique qui offre sur un plateau tous les trésors dont un homme peut rêver et qui reste pour moi la reine des positions.


René m’a invité à prendre possession des lieux. J’ai avancé les mains vers les sphères brillantes, osant à peine caresser ces admirables rondeurs dont le fantasme avait accompagné une grande partie de mon adolescence. Tandis que mes mains se promenaient presque timidement sur la peau douce et chaude de ses fesses, j’ai entendu René pouffer de rire derrière moi.



Il m’a fait signe de m’écarter pour lui laisser la place, il s’est occupé à sa manière du cul de Lucienne. Le claquant, le pétrissant, le mordant, écartant les masses charnues pour faire s’ouvrir ses orifices J’avais du mal à comprendre comment Lucienne pouvait apprécier ce genre de traitement, mais ses gémissements étouffés ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle ressentait. Alors, quand René m’a invité à prendre sa place, j’ai à mon tour essayé de contribuer à sa jouissance.


Je l’ai fessée, avec moins d’ardeur que René sans doute, mais avec un enthousiasme juvénile. Ma première fessée. La première fois que j’ai admiré l’émouvant tremblement des fesses à chaque impact, la rougissante brillance de leur peau de plus en plus éclatante au fur à mesure de la séance, les gémissements de plaisir de la victime consentante.


J’ai plongé mon visage entre ses fesses pour lui mordiller le cul comme un malade, déclenchant un fou rire nerveux chez Lucienne. J’ai visité son petit trou d’un doigt hésitant qui s’est vite fait dévoré par le sombre orifice.


René m’a tapé sur l’épaule. Il tenait un préservatif à la main et me regardait en souriant. Je n’avais jamais enfilé ce genre d’ustensile et je crois bien qu’il a dû m’aider pour habiller ma queue de son manteau de latex. Je me suis avancé vers le cul imposant dressé juste devant moi, pour me glisser entre ses cuisses et m’enfoncer avec délice dans son sexe brûlant. Je suis resté comme paralysé, la laissant aller et venir voluptueusement, langoureusement sur mon membre dressé. Elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte que cette modeste bite d’adolescent n’avait rien du gourdin de René, mais pour ma part, j’étais bien trop occupé à sentir ma queue frémir douloureusement, pour penser à autre chose.


J’ai fini par exploser dans l’enveloppe de latex, et elle a poussé un long gémissement en sentant ma queue se gonfler brusquement au moment de l’orgasme. Je suis resté accroché à ses hanches durant de longues secondes, avant de me retirer de sa grotte inondée, dans un bruit de succion. Je ne savais pas quoi faire, regardant René d’un air un peu paumé.



René m’a entraîné hors de la chambre, la queue encore emballée dans le préservatif alourdi par mon sperme.



Il a éclaté de rire.



Je suis parti vers ma chambre tandis qu’il disparaissait dans la sienne pour rejoindre sa délicieuse et si généreuse épouse. Je me souviens avoir dormi comme un roi, d’un sommeil paisible et profond, probablement peuplé des images du corps de Lucienne. J’allais les quitter pour toujours le lendemain, mais ce qu’ils m’avaient donné était tellement fort que je savais qu’il m’accompagnerait pour toujours. J’ai embrassé Lucienne sur le pas de la porte, posant un chaste baiser sur ses deux joues, mêlant les larmes que nous ne pouvions pas retenir, convaincu que notre nuit d’amour serait l’unique et la dernière.



Nous sommes donc rentrés chez elle et elle a voulu que je lui bande les yeux et que je lui lie les mains, nue sur son lit, comme Lucienne plus de trente ans plus tôt. J’ai donc revécu avec Suzon mon unique rencontre charnelle avec le corps et le cul de Lucienne, répétant les mêmes gestes, sentant monter le même désir dans le corps offert de ma jeune partenaire qui m’a presque supplié pour que j’assène une nouvelle fessée sur son derrière encore rosé du traitement infligé quelques heures plus tôt.


Une heure plus tard, je m’écroulais sur le cul de Suzon, comme je l’avais fait sur celui de Lucienne.



Je l’ai abandonnée haletante et le cul dressé, non sans avoir posé un chaste baiser sur chacune de ses fesses brûlantes avant de m’en aller. Je suis rentré chez moi et je me suis endormi comme un bébé, après avoir longuement contemplé les deux petits culs dorés accrochés à l’oreiller.