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Temps de lecture estimé : 11 mn
06/10/12
Résumé:  Sous une autre plume, la suite des aventures avec la jeune Emma et sa mère Marie, qui m'a laissé dans une situation bien périlleuse à négocier.
Critères:  fh hplusag jeunes telnet hdomine photofilm hmast intermast fellation cunnilingu -hplusag
Auteur : The sexy squirrel            Envoi mini-message

Série : Marie, Emma et moi (bis)

Chapitre 03 / 06
Dérapages contrôlés et sortie de route

NB : je ne suis pas l’auteur du début de la série « Marie, Emma et moi… » dont les lecteurs pourront retrouver les deux premiers épisodes sous les n°15072 et 15086. L’ayant particulièrement appréciée, j’ai regretté qu’elle s’interrompe aussi vite, et qui plus est dans le feu de l’action. J’ai donc décidé d’écrire ma version personnelle de sa suite. Je remercie Rêvebébé de la publier dans ces circonstances avec, je le précise, l’accord de « Jeff le coquin », l’auteur originel. J’espère qu’il ne sera pas déçu de la façon dont j’ai récupéré son histoire et ses personnages (à défaut de son style beaucoup plus fluide que le mien). Je supprimerai bien sûr ce récit s’il le sollicitait.




Résumé des épisodes précédents : J’ai inopinément surpris Emma, la fille unique de mon amie Marie, en pleine séance de masturbation. Profitant de son trouble, je me suis permis de la peloter mais nous avons décidé d’un commun accord de ne pas aller plus loin pour éviter de nous retrouver dans une situation ingérable. Quelques jours plus tard, à ma grande surprise, Emma a sollicité mon aide pour des cours d’anglais à domicile. Je me suis ainsi retrouvé dans sa chambre à lui prodiguer une leçon particulière qui s’est révélée être, comme je le pressentais, un stratagème pour me chauffer sans vergogne. Sa mère nous a miraculeusement interrompus alors que j’étais sur le point de fauter. C’était malheureusement pour nous informer qu’elle avait décidé de s’absenter.








La porte d’entrée, ou plutôt dans ce cas, de sortie, de Marie, claque sourdement au rez-de-chaussée. Nous voilà seuls Emma, moi… et ma colossale trique. Quoique j’imagine que ça doit aussi pas mal s’agiter au niveau de son entrejambe, vu le début de dégât des eaux que j’y ai constaté quelques minutes plus tôt. Évidemment, cette pensée n’arrange rien du côté de mon érection. Et personne n’est là pour me balancer un grand seau d’eau froide qui calmerait mes ardeurs. Je vais déraper, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement… Court moment de réflexion intense… Autant le faire de manière contrôlée, tout en maîtrise. En gros, ne pas freiner mais reprendre fermement la main sur la conduite des opérations. Je ne vais quand même pas me laisser mener comme cela par le bout du nez par une petite peste qui a l’âge d’être ma fille, si j’en avais une.


Avant qu’elle n’ait le temps d’esquisser un geste ou de prononcer un mot qui ruineraient mon plan, j’assène d’une voix aussi détachée que possible, vu les circonstances :



Je la sens un peu décontenancée par la brusque tournure des événements. Elle hésite. Il ne me reste plus qu’à jouer sur le registre du quitte ou double :



J’en serais bien entendu incapable mais ça, elle ne doit pas le deviner car elle finit par s’exécuter. Un point de marqué et une note pour plus tard : mademoiselle n’est pas étrangère à l’autorité masculine. Elle prend la position réclamée, lubrique à souhait car dans le mouvement, sa culotte a glissé à mi-cuisses, ne laissant planer aucun doute sur la nudité de son sexe sous son vêtement. Je me lève ensuite et passe derrière elle en envoyant valser son tabouret. Mon Dieu, quel cul ! À damner un saint… Juste pour le plaisir des yeux, je lui demande :



Elle s’exécute sans protester. Je soulève religieusement sa jupe pour la trousser sur ses hanches. Ses belles fesses rebondies, sa petite rondelle plissée, sa jolie fente ourlée : il n’y a vraiment rien à jeter dans ce qu’elle m’exhibe. Je pose mes mains sur les globes charnus et commence à les pétrir. Un refrain me vient alors en tête : pourvu qu’elles soient douces… De son côté, Emma gémit doucement. Garde du souffle, ma belle, ce n’est que le début de la chanson !


Je compte bien reprendre là où j’avais été coupé dans mon élan par l’irruption de Marie, avec l’assurance cette fois d’éviter le cunnilingus interruptus. Je m’agenouille donc, profitant de ma descente pour entraîner jusqu’au sol la petite culotte, puis je la dégage des pieds pour m’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Je n’ai même pas à réclamer qu’Emma écarte un peu plus ses jambes, elle le fait instinctivement et me livre sa délicieuse minette à brouter. Je pose enfin mes lèvres sur la terre promise. Je l’explore, la déguste, la dévore. Elle ronronne, elle miaule, elle feule. Je me délecte de la gracilité de ses nymphes, je me régale de la saveur de sa cyprine, je m’enivre du fumet de sa vulve. Elle réagit à chaque coup de langue qui liche sa féminité. Je la sens sur le point de s’embraser. Si j’arrivais seulement à titiller son clitoris…


Soudain, une sonnerie de portable me fait presque sursauter, preuve que je n’ai pas totalement la conscience tranquille. Ne prends pas l’appel s’il te plaît Emma, on est occupés là ! Hélas, je l’entends répondre :



OK, je comprends : c’est Marie. Il aurait été effectivement bizarre que sa fille chérie ne décroche pas. La tentation est grande de lui rendre la monnaie de sa pièce de son entourloupe en poursuivant mon ouvrage pendant qu’elle parle à sa mère. Mais le jeu est trop risqué, je ne tente pas le diable et m’interromps. La conversation se poursuit :



Quelle petite garce ! Elle sait parfaitement que je l’écoute avec ces phrases à double-sens ! Et c’est le bouquet final lorsqu’elle conclut :



Je me redresse d’un coup, au même titre que ma queue dans mon boxer. Son impertinence et son aplomb me sidèrent autant qu’ils m’excitent. J’ai juste l’envie primale, voire primaire, de l’embrocher d’un bon coup de bite. Je déboucle nerveusement ma ceinture et commence à déboutonner ma braguette, quand une once de raison revient dans mon cerveau enfiévré : je n’ai pas de capote ! Forcément, je n’avais pas ces intentions à la base, c’est un coït sans préméditation. Et ce n’est pas trop le moment de lancer un débat sur les pratiques contraceptives de ma partenaire ou sur nos états sérologiques respectifs. La seule solution consisterait à demander à Emma si elle n’aurait pas le préservatif désiré, ce qui ne m’étonnerait pas tant elle semble avoir prévu son affaire. Mais ma fierté de mâle dominant me retient, ce serait avouer que je me suis fait complètement manipulé par cette gourgandine.


Visiblement fière de sa malice, Emma a reposé son téléphone et elle patiente, fidèle à mes premières instructions. Son abricot suintant de mouille est frémissant entre ses cuisses, ce serait un péché de l’abandonner dans cet état. Ni une ni deux, je pose ma main gauche à plat dans la cambrure de ses reins pour bien la plaquer contre la table et j’enfonce sans préavis le majeur uni à l’index de la droite dans sa chatte. Ils y entrent comme dans du beurre jusqu’à la troisième phalange tellement elle est trempée. Un glapissement de plaisir accompagne mon geste. Je réponds à sa provocation :



Je débute en effet un lent va-et-vient au cœur de sa grotte. Puis j’accélère progressivement le mouvement tandis qu’au même tempo, ses halètements se transforment en gémissements. C’est maintenant un branlage en règle que je lui administre, je pistonne son con à un rythme effréné dans un drôle de clapotis. Elle râle, s’agrippe aux rebords du bureau comme à une bouée de sauvetage quand soudainement son corps tressaille, ses yeux se révulsent, son vagin se contracte. Un ultime spasme la parcourt, qui se conclut par un cri de jouissance qu’elle pousse à gorge déployée. J’espère que l’insonorisation de la pièce est correcte, parce que là, ce sont les voisins qui risquent de nous dénoncer. Je retire délicatement mes doigts quand l’étau se desserre, je constate alors que ma paume est toute poisseuse. Voilà un orgasme certifié non simulé !


Le temps que je laisse à Emma pour recouvrer ses esprits me permet d’envisager la suite de ces travaux dirigés. Elle a pris son pied mais moi je reste sur ma faim, avec toujours un braquemart en version XXL, sans possibilité d’en user comme il se doit pour me soulager. Je ne vois qu’une option : la fellation ! (et en plus, ça rime). À mon avis, il suffit de demander poliment en y mettant ce qu’il faut de fermeté :



Sans barguigner, elle s’installe à mes pieds, prête à officier, preuve que si elle n’est pas à l’initiative, elle n’en est pas moins consentante. Elle n’est pas plus impressionnée quand elle se retrouve nez à nez avec l’arme du crime, pourtant d’un calibre certain. Quelque chose me dit qu’elle n’en est pas à son coup d’essai en la matière. Mon intuition se confirme quand elle prend mon vit en bouche tout en jouant délicieusement avec sa langue autour. Si Emma a quelques progrès à faire en anglais à l’écrit, elle mérite une mention très bien à l’oral. J’atteins le nirvana lorsqu’elle me pompe en creusant ses joues pour aspirer au mieux ma queue dans un savoureux bruit de succion et une moiteur incomparable. Je ne peux m’empêcher d’accentuer la pénétration buccale en donnant de petits coups de reins complémentaires. Ma hampe coulisse entre ses lèvres, mon gland bute contre sa luette, je sens ma sève monter inexorablement. Je reconnais que c’est un peu cavalier pour une première pipe mais j’ai trop envie de m’épancher sans m’escamoter, si bien que quand j’atteins le point de non-retour, je bloque sa tête entre mes mains. Elle ne regimbe pas. J’éjacule dans un rugissement libérateur. En quelques giclées de sperme, je retapisse son palais. Elle ne moufte pas.


Une fois la pression retombée, je relâche mon emprise, mais Emma conserve ma bite bien calée au chaud dans son gosier. Elle me fixe droit dans les yeux, qu’elle a magnifiques d’ailleurs. Je grave ce superbe portrait dans ma mémoire, à défaut d’avoir la goujaterie de l’immortaliser en photo. Il me semble percevoir une étincelle briller dans son regard au moment où elle déglutit ostensiblement pour tout avaler en une lampée. Elle nettoie ensuite consciencieusement mon pénis de la moindre trace de semence. Dans le même amour du travail bien fait, je récupère du bout du doigt une petite traînée blanchâtre qui s’était échappée de la commissure de ses lèvres. Cette affamée le tète aussitôt avidement.


Je me rhabille en silence alors qu’elle finit par mettre la main sur sa culotte, mais en s’abstenant de l’enfiler. À la place, elle la glisse dans la poche de mon pantalon et me souffle à l’oreille :



J’en reste bouche bée. Emma en profite pour s’échapper et s’engouffrer dans la salle de bain, certainement pour se refaire une beauté après tant d’émotions fortes. Je pense qu’il est préférable de la laisser en plan, ainsi que d’échapper au retour de Marie et à son interrogatoire sur nos activités linguistiques, qui plus est, en la présence de sa fille. Je prétexterai un rendez-vous oublié pour expliquer mon départ sans l’avoir attendue. Une fois au calme dans mon salon, devant un whisky bien tassé, j’essaye de faire le point « bilan et perspectives » de ce cours très particulier avec ma jeune élève. Et c’est presque machinalement qu’en repensant à elle, je saisis son sous-vêtement et que je le porte à mes narines. Il recèle encore les effluves de son excitation. Merde, je me remets à bander… C’est à mon tour de me masturber dans mon canapé, curieux retournement de situation !


Je reçois comme prévu un peu plus tard, un coup de téléphone de Marie qui me demande un débriefing de la séance avec Emma. Je m’en sors tant bien que mal sauf quand elle me parle de sa fille qui est parfois dissipée et qui aurait grand besoin d’être encadrée. Est-elle vraiment dans la combine ou est-ce moi qui me fais des idées en extrapolant ses propos ? Je bredouille vaguement que je ne me sens pas l’âme d’un éducateur. Son petit rire et sa réponse ne font que renforcer mes soupçons :



Je rétorque que je n’en ai pas vraiment le temps en ce moment, une façon de botter en touche et de me rendre indisponible pour de nouvelles leçons à son domicile, bien trop risquées à mon goût. De toute façon, Emma n’a-t-elle pas fixé notre prochain rendez-vous en ma demeure ?


Le lendemain matin, alors que c’est encore le flou dans mes réflexions, mon Smartphone m’annonce l’arrivée d’un MMS. Je note juste que son émetteur ne fait pas partie de mes contacts et je tape dans la foulée sur l’ouverture du message. Un sexe féminin s’affiche en un instant sur mon écran. C’est tellement incongru que je demeure hébété pendant quelques secondes. Je sors de ma torpeur et pense à un spam d’un vague site de cul, mais le titre de cette pièce jointe me remet immédiatement les idées en place. « Where are my panties ? » (Où est ma petite culotte ?). Aucun doute possible, c’est Emma qui poursuit le cours d’anglais en y ajoutant une sacrée dose de provocation. Bien que je l’aie eue sous les yeux pendant un bon moment la veille, et même en gros plan, j’avoue que j’aurais été incapable de reconnaître cette vulve en particulier. Et pourtant, là, cela me semble évident, c’est bien sa chatte que la coquine a photographiée et qu’elle m’a fait parvenir.


Déjà, comment a-t-elle eu mon numéro ? Bien sûr, elle a pu le voler dans le répertoire de sa mère, mais encore une fois, j’envisage la complicité active de Marie. Ensuite, maintenant que j’ai le sien, dois-je lui répondre ? Et si oui, quoi ? Rentrer dans son petit jeu pervers ? Lui demander d’arrêter ses bêtises ? Je conclus qu’il vaut mieux m’abstenir, car répondre signifierait que j’officialise le démarrage d’une relation. Le reste de la journée se passe sans signe de vie d’Emma, sans que je puisse vraiment dire si j’en suis soulagé ou déçu.


Vingt-quatre heures après la première photo, un nouveau MMS déboule avec son prénom comme expéditeur puisque je l’ai désormais enregistré : même type de cliché, même intitulé. Je conserve encore la stratégie du silence radio. Rebelote le lendemain, mais un détail attire mon regard : les lèvres vaginales paraissent enflées et luisantes. Je transfère le fichier sur mon ordinateur pour pouvoir zoomer. Conclusion irréfutable : Emma venait juste de se caresser avant de faire l’autoportrait de sa moule. Sans plus y réfléchir, je clique sur « Imprimer » et j’en profite pour faire aussi les tirages des deux premiers envois. Mon album s’agrandit les jours suivants. Un plan plus large me révèle qu’elle a rasé son minou en un adorable ticket de métro. Sur un autre, encore plus impudique, elle ouvre largement sa fente avec ses doigts. Je deviens familier des signes particuliers de son intimité : le rosé de ses chairs, le petit grain de beauté en bas à gauche de son pubis, le bourgeonnement de son clitoris.


Je deviens accroc à ses photos, je les attends fébrilement chaque matin, je me branle en observant sa motte sous toutes les coutures. Elle est en train de me rendre dingue. Je craque au bout d’une semaine dans un véritable tête-à-queue mental. Je rédige un simple sms : « Your panties are waiting for you at home tomorrow 10 AM » (Ta culotte t’attend chez moi demain à 10 heures). Choix du destinataire : Emma, puis Envoyer. Sa réponse fuse dans la minute : « I’ll be there to take it back » (Je serai là pour la récupérer). Alea jacta est !