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n° 15217Fiche technique20524 caractères20524
Temps de lecture estimé : 12 mn
16/10/12
Résumé:  Après avoir dérapé avec Emma, j'ai aggravé mon cas en l'invitant chez moi. Il faut dire que la chipie avait usé d'arguments plus que convaincants...
Critères:  fh hplusag jeunes fsoumise hdomine chantage noculotte photofilm intermast facial fellation fouetfesse
Auteur : The sexy squirrel            Envoi mini-message

Série : Marie, Emma et moi (bis)

Chapitre 04 / 06
L'arroseuse arrosée

Résumé des épisodes précédents : À l’occasion d’une visite impromptue, j’ai surpris Emma, la fille de mon amie Marie, en train de se masturber. J’ai profité éhontément de la situation pour la peloter à mon tour, mais sans aller plus loin. Cependant, quelques jours plus tard, quand sa mère m’a demandé de jouer les profs d’anglais à domicile et nous y a laissés (volontairement ?) seuls, le cours est devenu très particulier, à base d’exercices bucco-génitaux. J’en ai gardé en souvenir la culotte de ma jeune élève qui m’a fait ensuite parvenir chaque jour une photo impudique de sa féminité. N’y tenant plus, je l’ai finalement invitée chez moi pour résoudre ce problème de sous-vêtement, et plus si affinités.








J’ai joué et rejoué des dizaines de fois la scène où Emma se présenterait devant moi. J’ai tourné et retourné le problème dans ma tête des centaines de fois avant ce samedi fatidique. Et pourtant, quand à dix heures précises, le carillon retentit, je me sens comme un ado avant son premier rendez-vous amoureux. Mais paradoxalement aussi comme un vieux pervers qui abuse d’une jouvencelle, qui plus est la fille de sa meilleure amie. Enfin, quand le vin est tiré, il faut le boire… et il faut bien avouer que, même si il a un arrière-goût de trahison, ce vin-là est du meilleur cru.


J’ouvre et découvre Emma, toute souriante, toute séduisante. Elle est vêtue d’une simple robe d’été qui descend jusqu’aux genoux et qui est soutenue aux épaules par une paire de bretelles. Une paire unique de bretelles, donc à priori elle ne porte donc pas de soutien-gorge. Déduction confirmée quand, profitant de mon avantage de taille, ma vue plonge dans son décolleté. Ses deux petits seins croquignolets ne demandent qu’à être dévêtus. Décidément, j’ai vraiment l’esprit mal placé en sa présence !


Je n’ai pas l’intention de la faire poireauter sur mon palier, des fois qu’une voisine passerait sa retraire à observer les allées et venues dans le quartier et irait colporter que le quadragénaire du n°12 reçoit des jeunes femmes chez lui. Je referme derrière Emma, ignorant ostensiblement de lui faire la bise (version soft) ou de l’embrasser (version moins soft). C’est en effet la stratégie que j’ai peaufinée : rester dans le rôle de l’homme mûr qui contrôle, qui ne se laisse pas embarquer dans les passions irrépressibles. Je lâche ma première réplique, savamment réfléchie :



C’est en effet la première fois qu’elle vient chez moi, nos rapports étant auparavant assez distants malgré l’amitié qui me lie à sa…



Marie s’invite dans notre conversation et son implication réelle dans cette histoire me turlupine encore une fois. Je la questionne :



Elle a dû remarquer ma gêne car elle répond :



Pas trop le temps de m’y attarder, il faut que je garde les rênes de la situation bien en mains. Je reviens d’une voix posée au texte de mon scénario initial :



Elle minaude en me répondant :



Elle soulève les bords de sa robe jusqu’à son nombril, dévoilant à ma grande surprise son sexe à l’air libre. Quelle allumeuse de première !



J’ai les yeux aimantés sur cette minette que j’ai tant reluquée en photo. Je remarque qu’elle a rasé ce qui lui restait de toison en une fine bande verticale de poils qui prolonge joliment sa fente. Impossible de résister. Bravo pour le sang-froid, oubliée la maîtrise : c’est le pur instinct du mâle aguiché par la femelle qui s’exprime. Je bondis sur elle, la plaque dos contre la porte et lui roule une pelle profonde, intense. Dans le même élan, je relève avec vigueur ses bras au-dessus de sa tête en les tenant d’une main ferme par les poignets. Cela laisse le champ libre à mon autre main pour aller farfouiller sous sa robe, direction son con. Lequel devient immédiatement humide quand mes doigts naviguent entre ses grandes lèvres, les ouvrent pour plonger une phalange en leur cœur.


Mon objectif principal est ailleurs, mon pouce le recherche en haut de sa vulve. Voilà, il est là, la petite crête caractéristique du capuchon de son clitoris. Je commence à le chatouiller et je sais que j’ai visé juste au petit cri aigu qu’émet Emma en réaction, mais je ne lui laisse pas l’occasion de s’exprimer davantage car je reviens l’embrasser goulûment. Je perçois pourtant encore ses piaillements étouffés alors que je martyrise son bouton si sensible. Elle s’abandonne à mes baisers fougueux qui descendent maintenant sur sa poitrine. Mon visage écarte au passage le haut de sa robe, ma bouche happe un téton déjà dardé, le suçote à l’en faire durcir, à la faire gémir. Et en bas, je la tripote toujours sans le moindre relâchement.


J’avoue avoir un peu perdu les pédales quand Emma a joué les exhibitionnistes et sur l’instant je l’aurais volontiers prise sauvagement contre cette porte. Mais j’ai depuis recouvré toute ma lucidité et je sais exactement où je veux en venir : je veux d’abord la faire grimper aux rideaux sous mes caresses. Ma main entière branle intensément sa chatte qui est devenue un véritable marécage. Son regard est déjà dans la vague, elle cherche l’air comme un poisson hors de l’eau, son corps est agité de spasmes. Je focalise ma masturbation sur son clitoris. J’entends, je ressens qu’elle est à l’agonie. L’orgasme la fauche d’un coup comme une décharge électrique, elle se tétanise et vagit de plaisir pendant de longues secondes. Je la regarde, fasciné par le spectacle de sa jouissance.


Quand l’onde de choc passe, ses jambes se dérobent, seule ma saisie au niveau de ses poignets et de son entrejambe la maintiennent encore debout. J’opère un habile basculement pour la porter dans mes bras, comme une jeune mariée. Je me dirige d’ailleurs vers la chambre nuptiale avec l’intention de remplir une bonne fois pour toutes mon devoir conjugal. Emma le devine et ce qu’elle me murmure alors s’inscrit précisément dans ce scénario de nuit de noces :



Elle doit penser que tout va être à l’avenant de ma brusque réaction de tout à l’heure. Qu’elle se rassure, je ne vais pas la culbuter comme le premier soudard venu. Je compte bien en profiter et l’en faire profiter par la même occasion.


Cependant, il y a une première formalité à accomplir. Je l’assois sur mon lit et lui commande :



Placée juste à la bonne hauteur, Emma descend mon pantalon et mon boxer et s’attelle à la fellation exigée. Un auteur avait écrit « la première gorgée de bière » pour évoquer ces premières sensations si agréables à vivre. Je lui proposerai bien de rajouter un chapitre :



Cette mise en bouche n’a néanmoins qu’un seul but : faciliter la mise en place de l’indispensable préservatif. Je ne l’ai pas oublié cette fois-ci, j’en ai même prévu un dans chaque poche ! Je saisis celui de la chemise et je le donne à Emma. Je me dis en effet que la gourmande serait bien capable de l’installer avec ses lèvres, ce qui serait un bon kiff comme disent les djeuns. Mais au contraire, elle semble plutôt embarrassée une fois l’étui en mains et c’est assez fébrilement qu’elle le déchire et qu’elle tente ensuite d’habiller mon membre. Elle omet même de pincer le réservoir, si bien qu’elle ne parvient pas à dérouler convenablement la capote et je dois m’en débarrasser. Elle se rend compte de sa maladresse et s’excuse :



Un signal d’alarme retentit et un gyrophare s’allume dans ma tête. Je réalise que son invitation à la délicatesse lors du moment fatidique prend subitement un autre sens :



Elle me dirait qu’elle vient de la planète Mars que cela me ferait le même effet. Dîtes-moi que je rêve ! Emma qui me chauffe comme une nympho, qui me suce comme une professionnelle, que je branle sans retenue, est toujours pucelle. Cela demande quelques éclaircissements :



Eh ben, elle doit se traîner une sacrée réputation de salope chez ses ex. Je poursuis mon interrogatoire :



OK, c’est pour cette raison que je n’ai senti aucune résistance. Reste la question centrale :



Elle hésite, semble moins sûre d’elle. J’insiste :



Bingo ! Je me doutais bien que Marie était impliquée dans cette affaire. Je m’assieds à côté d’Emma et lui dit :



Elle inspire profondément et me livre sa confession :



…Alors je lui ai tout dit, et c’est là qu’on t’a choisi comme l’homme qui serait mon initiateur. Il fallait profiter de l’occasion, tu me plaisais et tu avais de l’expérience. Ma mère m’a aussi avoué qu’elle aurait bien aimé t’avoir comme amant, qu’elle y voyait une sorte de signe du destin. C’est elle qui a pensé au cours d’anglais à domicile. Elle avait planifié que je te drague et qu’elle nous laisse seuls pour qu’on puisse faire l’amour. Tout a fonctionné comme prévu, sauf que tu ne m’as pas pénétrée. J’ai improvisé le coup de la culotte pour qu’on reste en contact mais en vérité, je n’en menais pas large…


…À son retour, j’étais en larmes, je croyais que j’avais complètement foiré le coup. En lui racontant les détails, comment tu m’avais dirigée, elle m’a rassurée en m’expliquant que tu étais en fait un dominateur qui aimait maîtriser les choses, qui voulait prendre son temps et que ça n’en serait que meilleur. Elle t’a appelé et elle t’a senti culpabiliser par rapport à votre relation amicale. Alors c’est encore elle qui a eu l’idée de t’envoyer la photo de ma chatte pour te motiver. Comme tu ne répondais pas, elle m’a convaincue de continuer, que c’était juste un jeu de ta part de te montrer indifférent. Et elle a eu raison puisqu’au final tu m’as invitée chez toi aujourd’hui. Maman m’a amenée ici en me persuadant de venir sans dessous, que tu apprécierais cette initiative. Elle a encore eu raison, non ?


Je ne l’ai pas interrompue pendant son long monologue mais ça moulinait sec dans mon cerveau pour analyser toutes ces informations. D’abord, il m’apparaît que Marie fait un méchant transfert sur sa fille, à la limite de la vie par procuration, peut-être par nostalgie de sa jeunesse perdue. La pauvre Emma est quant à elle, complètement sous l’emprise de sa mère. Un psy se régalerait avec ce genre de patientes. Ensuite, je comprends qu’il y a eu une belle méprise de leur part : ce qu’elles ont pris pour un comportement naturel de dominant n’était pour moi qu’un moyen de garder un minimum de contrôle des événements. Le pompon du quiproquo étant mon soi-disant refus de baiser Emma dans sa chambre.


Mais si j’avais eu un peu moins de scrupules (ou une capote sur moi), bien sûr qu’elle aurait vu le loup ce jour-là ! Enfin, il est clair qu’elles ont cherché à me manipuler, et je me dis que maintenant que j’ai découvert le pot aux roses, je prendrais bien une petite revanche. Ou, du moins, être le marionnettiste plutôt que le pantin.



Puisque l’on veut me faire de moi un dominant, j’en endosse volontiers le costume en rassemblant tous mes souvenirs de lecture d’un fameux site d’histoires érotiques sur ce thème. Et sauf erreur, le châtiment corporel est un élément à part entière de la panoplie. Tout comme la voix autoritaire qui commande :



Elle tergiverse, se demandant certainement si c’est du lard ou du cochon.



Ma sommation la fait presque sursauter. Mais j’ai apparemment trouvé le ton juste puisqu’elle obéit et s’installe en travers de mes jambes. Je trousse sa robe sur ses reins, dénudant son magnifique fessier. Je caresse lentement sa peau soyeuse, j’apprécie la fermeté de ses chairs. Par ce contact, je sens Emma frémissante, sur ses gardes. Elle n’a pas tort car je délivre la première claque, pas très forte mais bien sèche. Elle réagit en écho :



Sans prêter gare à sa plainte, je renouvelle aussitôt mon geste pour une première série d’une demi-douzaine de frappes. Elle se cabre en protestant mais nos positions respectives me permettent de la maîtriser aisément sans trop user de mon avantage de force physique. Je la menace :



Elle tente de répliquer me je l’interromps sur-le-champ :



Je n’ai ni la sévérité supplémentaire ni le bâillon nécessaire en stock, mais elle n’est pas censée le savoir. Mon jeu d’acteur doit être crédible puisqu’elle s’assagit et se contente de chouiner lors du reste de la fessée, une autre demi-douzaine de tapes plus franches. Pour l’amadouer, je flatte ensuite sa croupe devenue cuisante et écarlate. Je distingue encore sur sa peau la marque blanchâtre laissé par le dernier impact. Et je constate aussi que son abricot s’est entrouvert et qu’il est devenu suintant de cyprine. Si je suis un maître de circonstance, Emma serait-elle une soumise en devenir ?


Cette découverte ne me laisse pas insensible : ma bite retrouve toute sa plénitude et pointe contre le ventre de ma victime. Peut-être pense-t-elle de son côté que c’est le rôle de bourreau qui m’excite. En tout cas, excité je le suis, et il va bien falloir me soulager ! La déflorer maintenant n’aurait que peu d’intérêt pour la suite des événements. J’en suis donc réduit à lui réclamer un pis-aller :



Elle approuve timidement. Je la contrains à s’agenouiller entre mes jambes et lui ordonne :



Effectivement, elle a de la pratique en matière. Il ne manque rien, ni les crachats sur mon pénis pour bien faire glisser sa main, ni le malaxage de mes couilles de son autre main, ni les mouvements énergiques pour me faire éjaculer. Je reprends juste le contrôle de ma queue pour diriger les giclées en plein sur sa face, sans qu’Emma ne bronche le moins du monde. Une fois vidé, je dégaine mon portable pour photographier son visage zébré de foutre dégoulinant. Je me justifie ainsi :



La coquine reprend alors la pose en me gratifiant de son plus beau sourire. Si elle savait…


Je l’invite ensuite à aller se nettoyer dans ma salle de bains et c’est une Emma pimpante qui revient dans mon salon quelques minutes plus tard. Je n’ai pas perdu mon temps pendant son débarbouillage comme je l’en informe :



Elle hoche la tête.



C’est presque une supplique qu’elle prononce :



Je lui tends son sac et la reconduit vers la sortie qu’elle atteint comme un automate, visiblement surprise de son renvoi et perplexe quant à son sort. Mais ce qu’elle ignore, c’est que moi, j’ai échafaudé un plan machiavélique.