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Temps de lecture estimé : 16 mn
10/10/12
Résumé:  Embauche de deux jeunes femmes pour un travail de vente en réunion.
Critères:  fh ffh voir exhib lingerie intermast fellation -occasion
Auteur : Veilleur  (Homme)

Série : Le marchand d'illusions

Chapitre 01 / 02
Hors d'oeuvre - L'art d'appâter des femmes

– Le marchand d’illusions –




Chapitre 1 : Hors d’œuvre




Rentrés bredouilles de la pêche hier, nous avons pêché aujourd’hui en quelques minutes de quoi faire une friture pour quatre. Aimé et moi, Jean, décidons de rentrer chez lui pour écailler et vider nos prises et pour surprendre agréablement Marie – 23 ans – sa compagne depuis deux ans et Julie – 20 ans – la copine de Marie.


Nos deux belles apprécieront car, au retour de leur interminable shopping du samedi, elles pourront s’asseoir à table et déguster le repas du soir que nous aurons préparé en cuisine.


Une voiture s’arrête sous la fenêtre de la cuisine où nous nous affairons en dégustant une bière. Étrange, nos chéries se font reconduire et rentrent beaucoup plus tôt que prévu. Le chauffeur, un grand gaillard d’une trentaine d’années, confie une valisette à chacune et les suit avec deux valisettes de même modèle. Nous nous regardons :



Car je dois préciser que Marie et Aimé ont décidé de travailler à me rapprocher de Julie et à m’unir à elle. Dans le fond cela n’est pas pour me déplaire. Au contraire ! Julie est belle fille, gaie et avenante. Elle semble tenir à moi, son comportement est celui d’une fille amoureuse, sauf que… en dehors de quelques bisous furtifs, elle s’échappe chaque fois que je tente de l’étreindre. Dans la conversation avec nos hôtes, elle l’a reconnu, elle sait m’aguicher, me tenter, mais ne m’accordera rien de concret avant le mariage. Pas question de batifoler ou de concéder d’importantes privautés, elle appâte mais elle a laissé clairement entendre que le garçon qui voudra la posséder devra d’abord l’épouser.


Ce soir-là, nous avons dansé en petit comité sous l’œil attendri de Marie. Aimé m’a dit :



J’aurais aimé prendre mon temps, ne pas précipiter mon engagement. Je réussis à la serrer d’un peu plus près, je dépose un bisou dans son cou, je frôle ses gentils petits seins comme par inadvertance, je vois dans ses yeux son attente d’une promesse. Dans son dos, ma main a poussé le corps souple et léger vers le mien, mon ventre sent la chaleur du sien. Alors j’ose : je dépose un baiser, le premier, sur ses lèvres. C’est une façon de lui dire mon désir sans avoir à prononcer de serment définitif, ma bouche étant occupée sur la sienne ! Elle répond à mon baiser, gentiment avec une lueur de bonheur dans les yeux. Marie et Aimé nous ont laissés seuls. Je franchis mon Rubicon, j’appuie mes caresses sur son corps, dans son dos, autour de sa taille fine, sur l’arrondi dansant de ses fesses : je crois le moment arrivé de faire l’amour avec elle, elle est alanguie, s’abandonne mollement au travail de mes doigts, roule des yeux, embrasse, soupire, rit. « Femme qui rit est à moitié dans ton lit ».


Mais quand je veux pousser mon avantage, quand ma main descend lentement d’un sein sur son ventre et se dirige vers son bas-ventre en caresse légère mais décidée, Julie a un recul intempestif du bassin. J’ai commencé, j’interprète son mouvement comme la réaction instinctive d’une jeune vierge confrontée aux premières attaques contre sa pudeur. Pourquoi m’arrêter, elle n’attend que ça ? Ma main progresse, s’insinue dans le tissu de sa jupe légère, veut épouser entre ses cuisses les courbes fuyantes de son sexe et provoque une réaction violente. Julie s’arrache de mes bras et me jette à la figure son leitmotiv :



Elle a un art consommé de l’alternance du chaud et du froid. Ainsi après avoir rejeté mon attaque et rappelé sa règle du jeu, elle plaque avec une précision stupéfiante la paume de sa main sur ma braguette et ses doigts se livrent à un ballet endiablé sur mon vit en effervescence. En même temps elle me fixe et ajoute



Je tente une esquive :



La maligne comprend vite, se laisse tomber sur le canapé, relève le tissu, dévoile ses cuisses, les ouvre sur l’enveloppe d’un string étroit, glisse un index sous le tissu pour le pousser dans le pli entre cuisse et ventre et me montre illico, sous un buisson de bouclettes brunes, l’entaille sombre de sa vulve nichée entre deux lèvres enflées. Le majeur d‘un côté, l‘index de l‘autre, sans gêne apparente, elle écarte les grandes lèvres et expose à mes yeux émerveillés le losange aux chairs luisantes de la fente convoitée.



J’ai du mal à déglutir. Cette fois la question est directe et réclame une réponse.



Elle joint le geste à la parole et, comme si elle n’avait fait que ça de sa vie, se retrouve main dans mon slip pour en extirper l’objet du désir en voie de développement depuis ses caresses précédentes et surtout depuis l’apparition de son berlingot. Inutile de lui préciser de ne toucher qu’avec les yeux, elle le tient fermement, hume en fermant les yeux et imprime à sa main un mouvement qui me ravit.



L’étude se fait sur place. Elle assise, moi tiré entre ses jambes par mon appendice ; me voilà entre ses lèvres chaudes et humides livré au double va-et-vient de ses deux mains sur ma tige et mes bourses et de sa bouche également humide et chaude sur mon gland décalotté habilement. Les doigts me quittent et se posent sur mes fesses pour m’attirer encore plus près. Les dents raclent, je suis comme aspiré contre l’intérieur moelleux des joues, la langue flagelle mon extrémité en feu, et par à-coups la demoiselle si vertueuse réussit l’exploit de me mettre entièrement en bouche. Son nez butte contre les poils de mon pubis alors que je me heurte au velouté du fond de sa gorge. Deux ou trois secondes plus tard, elle se retire en toussant, s’essuie la bouche puis dit :



Elle fait les questions et les réponses et se remet à sucer avec ferveur mon zizi devenu gourdin.

Elle a dit « un peu ». Je ne vais pas me plaindre des prolongations. La tête s’agite, le nez revient souvent humer l’odeur de mes poils pubiens, la langue tournicote inlassable autour de ma chair enivrée de salive, je sens monter des picotements étranges, mes nerfs se cabrent, des ondes bienfaisantes électrisent ma colonne vertébrale, j’ai le souffle coupé, je m’accroche à ses cheveux.



J’ouvre les vannes, je suis secoué par la déferlante d’un sperme contenu depuis trop longtemps. À peine Julie esquisse-t-elle un léger recul, elle conserve au chaud la tête qui vomit en saccades dans sa bouche la bouillie épaisse… Pfouhhh ! Me voici à l’air libre. Elle lève les yeux vers moi et déclare un peu après :



Elle ouvre le bec, me montre ses molaires : où est passée la salve que je croyais avoir envoyée ? Sa langue ramasse sur le bord des lèvres les dernières gouttelettes à la manière d’un chat qui a vidé son écuelle.



J’explique que cela va demander des préparatifs, avertir les familles, trouver une salle, un traiteur, etcetera



Eh ! Oui, toute cette démonstration pour me faire désirer encore plus fort les plaisirs du mariage. C’était la carotte. Le bâton sera l’abstinence, la longue attente au purgatoire avant la montée promise au septième ciel. Elle m’en a donné un avant-goût et depuis je suis heureux de glaner çà et là quelques bisous destinés à entretenir la flamme. Demain, au restaurant, en tête-à-tête, je lui offrirai une bague de fiançailles avec l’espoir de l’amadouer. J’aurai peut-être droit à un petit supplément…


Demain… mais aujourd’hui j’écaille des poissons dans la cuisine de Marie et d’Aimé. Nos « femmes » rentrent plus tôt que prévu, accompagnées en voiture par un porteur de valisettes. Qu’ont-elles acheté qui leur vaut cette escorte ?





Chapitre 2 : L’art d’appâter des filles




Les filles pénètrent dans le salon en chahutant devant leur visiteur. Chacune pose sa valisette sur la table, l’homme dresse les deux siennes sur le tapis de laine. Elles s’assoient sur le canapé, il leur fait face, debout, et nous présente le dos.



Pour moi, j’entends cette affirmation avec joie. Car après la mémorable pipe, dans le contexte que vous connaissez, je m’étais demandé comment Julie avait pu acquérir une technique aussi affûtée dans l’art de procurer avec sa bouche du plaisir à un garçon. Je lui avais prêté des aventures audacieuses et je m’étais interrogé sur sa moralité. N’était-elle pas un peu trop délurée pour faire une bonne épouse, une épouse telle que je la souhaitais, gaie certes, ardente au lit aussi, mais fidèle ? Alors l’aveu de sa virginité à cet inconnu, pour indiscret qu’il soit, ne m’en réchauffe pas moins le cœur. Le type continue :



Il faut voir leur visage pour comprendre à quel point elles sont enchantées d’avoir été distinguées parmi tant d’autres pour devenir mannequins-modèles et représentantes d’une grande marque. La faconde de leur hôte, (son ramage égal à son plumage) et l’annonce de salaires supérieurs à la moyenne ont raison du sens critique qui les caractérise habituellement. D’un même bond, elles lui sautent au cou avec des cris de joie et l’embrassent à pleines joues. C’est merveilleux, vendre de beaux objets, gagner beaucoup d’argent et poser pour des photos : Grégoire prend soin de souligner la plus-value évidente que cela doit représenter aux yeux de leurs compagnons. Ils seront éblouis par leur succès et les aimeront davantage encore.



Elles fouillent, tendent vers la lumière les grammes de tissus, assortissent et s’apprêtent à quitter la salle.



Puisqu’il regarde dehors, elles se tournent vers le canapé et se défont en hâte de leurs habits, nous offrent sans le savoir leur dos, leurs fesses et leurs jambes à l’état de nature. Devant moi, Aimé ne boude pas son plaisir non plus, deux jolies femmes se dévoilent entièrement. J’admire la forme de guitare de ces corps encore juvéniles, la taille bien prise de Julie, son admirable popotin plus mince que la croupe potelée de Marie. Je me remplis les yeux et j’atteins le sommet de ma satisfaction quand elles font demi-tour pour attraper les pièces nouvelles oubliées sur la table à cause du trouble éprouvé à la pensée que Grégoire les regarderait. Elles ont effectivement des poitrines de références, encore légères mais bien formées qui balancent lorsqu‘elles se penchent. Les aréoles de Marie sont plus larges, les tétons de Julie plus pointus. Et sous la touffe brune du pubis, on voit se dessiner le départ du pli des fentes. Et ces cuisses ! J’en bave. Quel bonheur et c’est gratuit. Si Julie savait que je la dévore des yeux, si Marie se doutait de ma présence…



Déjà Grégoire fait demi-tour pour assister aux dernières manœuvres. L’une bourre un sein dans son bonnet avec nervosité, l’autre tortille du cul pour entrer dans son string peut-être trop étroit. Le professionnel s’impose.



Elle n’a pas eu besoin de permettre, il a plongé sa main au contact du globe, entre chair et tissu et met le « nibard » en place. L’aisance du geste, cette façon subtile d’ajuster en frottant le téton sont les signes d’une expérience certaine.



Il démontre ; Marie, cuisses ouvertes laisse passer le doigt qui sert à marquer la ligne en creux. Au nom de l’art et des astuces de vente, elle admet qu’on la touche, qu’on tripote son sexe, c’est le métier qui entre en même temps que le doigt séparateur. À côté de moi Aimé grogne de mécontentement et me souffle



Je le calme tout bas :



Elle aussi a droit à la mise en évidence des formes de son sexe. Vierge ou pas, elles ne peuvent pas rester indifférentes à ces attouchements répétés à chaque essayage d’un autre modèle. Grégoire ne se prive pas de rectifier et de tâter surtout les zones érogènes, ne se retourne plus. Il mate sans vergogne et passe ensuite son temps à lisser une bordure, à faire courir un index sur la lisière d’une culotte ou à repousser sous l’étoffe quelques poils qu’il faudra couper ou raser. En attendant ces poils lui permettent un accès aux entrejambes des filles décomplexées à leur tour. Il touche, il touche encore, avec un zèle infatigable, elles rient. Il appuie, caresse, émeut les sens ; elles rêvent défilés, photos et ventes, mais rougissent d’un plaisir qui n’est pas seulement intellectuel L’ambiance est joyeuse, détendue, de plus en plus exubérante.


Aimé et moi, voyeurs ignorés, finissons par trouver ce plaisant spectacle tout à fait naturel. Nos femmes sont belles et vont faire carrière, car elles ne sont pas farouches. Grégoire a bien choisi, c’est un pro. Dans le fond c’est en retour une preuve de notre bon goût.


Nous admirons le savoir-faire de ce gaillard qui peut se permettre des gestes osés, qui sait mettre à profit le moindre détail pour se donner l’occasion d’intervenir, quitte à inventer des défauts, mais qui, centimètre carré après centimètre carré, explore hardiment la qualité de la peau, éprouve la tonicité des muscles et réussit régulièrement à laisser traîner un doigt ou une main sur les parties les plus intimes des postulantes à un emploi. Les deux femmes sont cependant ennuyées par l’obligation de choisir parmi ces merveilles le cadeau promis. Trop de belles choses ! Elles sont penchées sur l’étalage des pièces de lingerie dispersées sur la table, discutent, examinent.


Grégoire derrière elles, flatte un dos, pose la main sur une épaule, masse délicatement une croupe, fait courir des frissons et donne son avis. Il prend rapidement quelques photos dans les poses les plus curieuses avec le constant souci de montrer, sans dénuder, les détails anatomiques qui capteront l’œil. À genoux, debout, accroupies, penchées en avant fesses saillantes ou penchées en arrière pubis provocant, seules ou en couple lesbien : elles sont malléables, souples et d’humeur étonnamment égale. Ici il faut laisser paraître la fraise d’un téton qui déborde, là les filles se mettent une main pour une caresse réciproque sur un sein, mais aussi sur la partie étroite de la petite culotte. Tout est bon pour plaire à Grégoire. De l’audace, réclame-t-il. Et les poses sont de plus en plus suggestives. De l’attitude innocente, on passe progressivement à des gestes lascifs, à des attouchements osés entre filles. Ce type sait les échauffer sans alerter leurs défenses et sans effrayer leur pudeur. Ça va crescendo, elles s’en amusent surtout.


Il aimerait leur montrer le contenu des autres valisettes. Beaucoup de femmes décomplexées réclament ce que cachent les mallettes. Mais il craint, l’hypocrite, d’effaroucher des jeunes femmes si bien élevées. Ses réticences attisent leur curiosité, elles protestent, elles se disent capables de tout voir sans se scandaliser comme il le craint à tort. Elles finissent par obtenir gain de cause. Il ouvre : sa valisette est un sex-shop ! Grégoire exhibe, commente, précise le mode d’emploi, compare les avantages et inconvénients des « toys », montre les doux et les rugueux, les droits et les courbés, les vibrants et les articulés. Il donne à toucher, persuade :



Il fait l’article, donne à toucher, fait vibrer contre une joue ou contre un sein. La démonstration plaît. Encore faudrait-il en user correctement. On ne peut pas vendre un objet dont on ne connaît pas tout l’intérêt. Marie veut-elle essayer un godemiché vibrant et articulé ? Avant de se décider elle l’a en main.



Julie rougit un peu, mais elle s’approche de Marie assise, jambes ouvertes dans l’attente de la caresse de sa copine. Avec une douceur infinie, Julie pose sa main sur la vulve, décrit un mouvement de scie, passe ses doigts dans sa bouche, les enduit de salive et retourne au four pour humecter l’intérieur des grandes lèvres. Toutes deux rient pour cacher leur gêne. Je bande dur au spectacle de cette intrusion des doigts de ma chérie dans la chatte de la compagne d‘Aimé.



C’est Julie qui implore. Est-elle folle ou inconsciente : un engin comme celui-là va la déflorer !



Marie bondit sur l’occasion.



Que c’est habile d’assimiler ces exercices à un travail.





À suivre