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Temps de lecture estimé : 16 mn
11/11/12
Résumé:  Premier épisode des mes aventures extraconjugales avec Nathalie.
Critères:  fh hplusag extracon piscine hotel intermast fellation cunnilingu journal -extraconj
Auteur : Patswing            Envoi mini-message

Série : Nathalie et moi

Chapitre 01 / 03
Nathalie et moi : première rencontre

Un peu comme tout le monde, j’adore lire les récits sur Revebebe. Souvent je me demande si les récits sont pure imagination, ou s’ils sont la relation de faits réels. J’ai décidé moi aussi de contribuer, ce qui me permettra de me remémorer les bons moments avec ma maîtresse, la femme avec laquelle j’ai été le plus compatible, surtout sexuellement.


Je vais donc narrer les moments qui me restent le plus à l’esprit, les souvenirs les plus vivants car très intenses de plaisirs.


Pour des raisons de discrétion, je l’appellerai Nathalie, et moi-même, Pascal.



Notre histoire a duré deux ans, elle était au départ juste prévue pour être un jardin secret, une parenthèse dans nos vies conjugales respectives, elle s’est transformée en passion ravageuse qui a connu une fin abrupte et extrêmement difficile à survivre pour moi. La rupture fut à la hauteur de la passion : explosive, dévastatrice.


Dressons le décor : moi, j’étais loin d’être fidèle à ma femme, je fréquentais, seul, les milieux libertins. En ce mois de mars, j’étais âgé de 36 ans, j’étais frustré de sexe car ma femme était devenue très peu tournée vers la chose. Nous avions des rapports une fois par mois en moyenne, et depuis son accouchement en juin, plus rien du tout… Ceinture, des cloches aux mains si je ne me défoulais pas de temps en temps lors d’une rencontre sans lendemain.


Au boulot, le réseau d’entreprise ne bloquait encore rien, et je passais parfois un moment à discuter sur l’un ou l’autre tchat, car à l’époque il y avait encore moyen de faire de vraies rencontres par ce biais.


J’entame donc la discussion avec quelques femmes sur le tchat, et tout semble bien se passer, avec l’une d’elles, « Minou ». Je lui avais demandé si son pseudo était choisi par amour des félins ou… Ce à quoi elle m’avait répondu qu’elle n’avait pas de chat, et pas d’affinités particulières avec les félins. Voilà qui commençait bien ! Mais bon, j’ai l’habitude des allumeuses sur le net. Celle-ci, au fil des conversations, jouait effectivement par des jeux de mots à insérer des allusions sous la ceinture, et j’appréciais ce mélange de sujets semi-sérieux et les allusions à demi-voilées.


J’avais l’habitude des étoiles filantes sur le tchat, celle-ci me semblait pleine de promesses, je ne pouvais la lâcher ! Et avant-même d’avoir l’occasion de lui demander son numéro de téléphone, elle me l’a envoyé, car elle devait s’absenter, mais la conversation lui avait plu à elle aussi, elle voulait entendre ma voix pendant qu’elle se rendait à l’école chercher ses enfants.


Je pense qu’elle a rarement mis aussi longtemps pour aller jusque l’école, car nous avons discuté plus d’une heure alors qu’elle habite à ¼ d’heure de l’école.


J’appris énormément de chose : elle s’appelait Nathalie, avait quatre ans de moins que moi, elle vivait sans être mariée avec le même homme, Philippe, depuis ses 18 ans, avait deux enfants, et elle se sentait totalement négligée par son homme, tant au point de vue sentimental que sexuel. Lui ne s’occupait que de son propre plaisir, jamais il ne se demandait ce qu’elle pouvait bien aimer, désirer.


Si elle venait papoter sur un tchat, c’était pour passer le temps… Enfin, c’est ce qu’elle prétendait. En fait, j’ai très vite compris qu’elle venait sur le tchat pour trouver autre chose, même si jusque-là elle ne se l’était jamais avoué.

Très vite, nous avons compris que nous cherchions la même chose : un jardin secret, où nous pourrions assouvir nos envies de tendresse mais aussi de sensualité, de complicité et de libération des corps… Elle n’avait jamais trompé son homme, mais elle se sentait trop frustrée, elle était mûre à point…


Une première rencontre eut lieu, où nous fîmes encore plus connaissance et où nous pûmes constater que nous étions vraiment sur la même longueur d’onde. Elle avait un peu menti sur son physique, oubliant quelques kilos au passage. Mais même si elle était un peu plus ronde qu’annoncé, je la trouvais mignonne. Une deuxième rencontre, moins « publique », se vit clôturée d’un bisou sur les lèvres…


Nos discussions par téléphone et MSN devenaient de plus en plus intimes et chaudes, la troisième rencontre promettait d’être celle de notre première relation intime, celle qui serait la première d’une longue suite ou la toute dernière si la déception devait s’inviter.


Nous n’avions plus de doute : nous allions faire l’amour, nous faisions, en riant, un véritable plan de ce qui allait se passer, de « je te ferai ceci, puis cela… » Nous étions nous-mêmes d’accord sur le lieu qui allait être le décor pour notre rencontre intime : un hôtel spécialisé dans les rencontres adultérines, pas très loin de chez elle (j’ai oublié de préciser que nous habitions à près de 100 km de distance), et je réservai la chambre équipée d’un jacuzzi, car elle adorait l’eau. Elle ne me promit rien (enfin, verbalement, mais dans sa voix et ses textes, je sentais qu’elle allait commettre l’adultère, et que j’en serais le complice actif), elle avait même prévu un maillot de bain pour profiter du jacuzzi.


Le grand jour arriva enfin ! Je passai la prendre dans la rue derrière chez elle, à l’abri du regard des voisins. Durant le trajet jusqu’au futur endroit de nos ébats torrides, la discussion parut irréelle : des futilités sur le temps, la famille, les enfants, la dernière connerie du conjoint de l’autre, alors que les pensées de chacun étaient loin d’être sages… Je dus prendre sur moi pour ne pas lui sauter dessus dans la voiture, je bandais depuis des heures, je dus faire un effort pour que ma main reste sagement sur le levier de vitesse, pas sur son genou couvert d’un fine robe d’été…


La nervosité devait transpirer par tous nos pores lorsque nous arrivâmes à destination et que l’employé nous tendit la clé de notre chambre. Bah, il en voyait passer des couples illégitimes, nous ne devions pas être les pires qu’il ait vus.


La chambre était loin d’être un bouge. Un énorme canapé en cuir beige, un salon coquet avec poste de télévision, lecteur DVD (je vous laisse deviner le genre de disques mis à disposition), et une salle de bains au milieu de laquelle trônait ce jacuzzi qui m’avait fait choisir cette chambre en particulier. D’ailleurs, nous décidâmes de l’inaugurer tout de suite. Pendant que l’eau coulait, je m’approchai de ma belle et lui demandai si je pouvais la dévêtir. Sur son « oui » très faible et chevrotant de nervosité, je commençai à la déshabiller trèèèès doucement, tendrement. J’avais envie de la prendre, là, de suite, mais je lui prouvai que je pouvais me retenir. Cela mit fin à ses tous derniers doutes. Elle qui n’avait pas été touchée depuis 16 ans par un autre homme, et dont l’homme ne la déshabillait plus, elle put apprécier ma délicatesse lorsque que je lui soulevai doucement un pied après l’autre pour lui ôter ses chaussures en étant à genoux devant elle, le doux effleurement de mes mains lorsqu’elles remontèrent le long de ses bras, passant avec légèreté sur ses épaules, se rejoignant dans sa nuque, où après une caresse furtive sur les vertèbres cervicales qui la fit frissonner, mes doigts entreprirent de lui ôter le fin pull dont elle s’était vêtue. Sous le pull, elle était déjà en maillot une pièce, je m’en souviens encore, blanc avec une fermeture éclair sur chaque côté… Elle m’en avait parlé de ce maillot, et m’avait déjà annoncé comment elle me ferait signe qu’elle s’abandonnerait lorsqu’elle sentirait le moment arrivé : elle descendrait les fermetures éclair latérales, me laissant accès à sa poitrine par les côtés, me laissant l’initiative pour la suite de notre rencontre.


Je défis sa robe, tout en frottant contre son dos (étant plus petite que moi, mon sexe n’était pas à hauteur de ses fesses, mais du creux de ses reins, et j’appris vite que toute caresse à cet endroit était comme un interrupteur de sensualité pour elle) la bosse qui était bien visible dans mon pantalon. Elle apprécia la dureté de mon sexe, je bandais pour elle, j’avais envie d’elle, je lui faisais sentir mon désir, mais malgré notre isolement, je me comportais comme si nous étions entourés et que ce soit mon seul moyen de lui révéler mon désir…


Encore timide, mais déjà sa respiration se faisait rapide, elle préféra se glisser dans le jacuzzi, ne me rendant donc pas la pareille pour le déshabillage. Je ne lui en voulus pas, mais me dépêchai de me dessaper avec moins de retenue que je n’en n’avais eu pour elle, et donc je la rejoignis très vite dans l’eau bien chaude, vêtu moi-aussi du maillot que j’avais prévu sous mes vêtements de ville.


L’eau… L’eau avait un effet magique sur Nathalie. Elle s’y sentait comme un dauphin, dans l’eau. D’ailleurs, le dauphin était son animal fétiche. L’eau la relaxait, lui faisait oublier tout ce qui était à plus de deux mètres d’elle, son homme, sa famille, ses soucis. L’eau et moi, il n’y avait plus que ça…


Le jacuzzi était de bonne taille, deux adultes pouvaient s’y allonger côte à côte, seuls les pieds n’avaient pas d’espace privatif, donc le jacuzzi nous obligeait à être en contact physique. N’y aurait-il pas eu ce contact que la forme du bassin nous imposait, peut-être ne se serait-il rien passé…


L’eau chaude, les bulles, la lumière diffusée par le bain, cette proximité imposée, ma patience, tout amenait à ce que les pieds se croisent, puis les mollets, les cuisses se frôlent, on change légèrement de position, une jambe passe par-dessus ou par-dessous celle de l’autre, et on se retrouve vite collés l’un à l’autre, jambes imbriquées, contacts furtifs d’une cuisse sur entrejambes de l’autre, un genou qui frotte innocemment (innocemment ? Vraiment ?) un mont de vénus ou un sexe hyper tendu dans un maillot devenu vraiment trop petit… Les yeux se ferment pour mieux profiter de ce contact qui devient de plus en plus chaud, précis. Sans que l’un ou l’autre ne donne le signal, sans que l’on ne sache qui a fait le premier geste, nos lèvres se trouvent, s’entrouvrent, nos langues se mélangent, un soupir partagé et mélangé, les mains trouvent automatiquement les flancs de l’autre. Le baiser devient de plus en plus sensuel, nos respirations s’accordent, impossible de faire la distinction entre un soupir ou un gémissement d’aise…


Il fallait bien respirer un peu, et j’avais envie de sentir son corps contre mon sexe, qui lui avait en fait envie d’explorer non pas l’extérieur mais l’intérieur de son corps… Je lui redressai le dos, prétextant lui offrir un support plus confortable que la rigide paroi de la baignoire, et je me glissai derrière elle. Mon sexe se trouva donc de nouveau au niveau de cette zone dans le bas de son dos, la barre dure mais souple de mon désir lui massait du coup les vertèbres et elle laissa échapper un soupir de contentement révélateur l’avancée de son excitation.


Elle tourna légèrement la tête, une de ses mains passa derrière ma nuque, m’attira pour un autre baiser langoureux. Ses mains allèrent chercher les miennes, l’une posée sur une de ses cuisses, l’autre caressait son flanc. Elle attira mes mains et les guida vers les fermetures éclair de son maillot, et elle accompagna mon mouvement pour les ouvrit totalement. Puis elle lâcha mes mains, et sa langue pénétra encore plus fort dans ma bouche, le baiser passant de langoureux à franchement plus chaud et sensuel. Le signal ! J’avais le feu vert, et mes mains, tout doucement pour la faire languir, se glissèrent à l’intérieur de son maillot, sur son ventre d’abord pour bien ouvrir, le maillot, puis remontèrent pour effleurer ses seins pleins et lourds.


Je mets les mains en coupe, commence la caresse mammaire par le dessous, remontant sur les côtés extérieurs, les pouces effleurent à peine l’aréole de chaque sein, en évitant soigneusement les tétons… Puis je remets mes mains sous les seins, pour les soupeser, les malaxer par-dessous, et sans prévenir, mes pouces rejoignent les index en enserrant les tétons, doucement, les tétons roulent entre mes doigts… Je sais combien les seins d’une femme sont sensibles, et j’adore le moment de ce premier contact, de ce premier doux et limité pincement de téton, je n’en connais pas une qui ne défaille en soupirant à cet instant précis… Mais toutes les femmes sont différentes sur la suite. Certaines ne veulent pas qu’on touche les seins autrement, d’autres aiment qu’on leur torture (en douceur ou plus fort) les tétons, d’autres aiment qu’on ne soit pas tendre avec leur poitrine. J’apprendrai très vite que Nathalie aimait que l’on se déchaîne sur ses seins, que je lui attrape, que je les malaxe vigoureusement, surtout en la prenant en levrette…


Sa bouche à ce moment-là quitte la mienne, elle ressent le besoin de respirer plus fort, de gémir, elle me dit :



Je lui réponds, un peu cliché :



Cliché, oui, mais j’ai tenu parole !


Je ne cesse pas mes caresses sur sa poitrine généreuse, elle arrive malgré tout à ôter le maillot collant, dès que son sexe est libéré, une de mes mains quitte le sein pour glisser lentement le long de son ventre. Lentement, pour qu’elle puisse anticiper l’arrivée sur son intimité, pour la faire languir. Elle qui avait l’habitude que son homme aille y fourrer les doigts sans passer par une quelconque caresse intermédiaire, elle frissonne dans l’expectative.


Mais en amour je suis un taquin, plus je sens qu’une femme veut quelque chose de précis plus je la fais languir. Mon petit plaisir, et Nathalie l’apprendra, c’est qu’elle me supplie de lui faire ce qu’elle veut, voire même ce qu’elle ne veut pas mais dont moi j’ai envie…


J’évite donc soigneusement l’entrée de son intimité, au premier poil de sa légère toison, je remonte, je redescends, puis je dévie pour caresser l’intérieur d’une cuisse. Je soulève la main pour la reposer sur son ventre, le caresse un peu, redescends, soulève pour reposer sur la cuisse, je recommence mon cinéma plusieurs fois, et lorsqu’elle s’y est habituée, soudainement je repose la main sur son sexe, mais je cesse tout mouvement… Là, je peux sentir les tressaillements de son corps entier, ce corps qui me crie silencieusement « mais touche ma chatte, à la fin ! » Je reste quelques interminables secondes sans bouger, puis mon majeur quitte le groupement des autres doigts, et vient tout naturellement se poser sur sa fente, dedans, tellement l’excitation a fait ouvrir sa chatte…


Je ne peux le jurer, mais je crois qu’elle a eu un premier orgasme à ce simple et doux contact d’un doigt dans sa fente… Elle a eu un hoquet, le rythme de sa respiration a changé, je la vois se mordre la lèvre inférieure, ses yeux sont fermés de plaisir.


Mon majeur ne bouge presque pas. En fait, son seul véritable mouvement est lorsque je lui commande de se recourber, immanquablement le bout du doigt vient effleurer le clito, déclenchant comme prévu (pour certaines choses, mesdames, vous êtes si agréablement prévisibles !) un énième changement du rythme de sa respiration…


Je redresse de nouveau le majeur, puis c’est de toute la main, depuis le haut du pubis jusqu’au bas de sa chatte (je n’ose pas encore m’approcher de son anus, une cible de choix que je me garde pour plus tard… Rappelle-toi, cher lecteur, j’aime qu’une femme me supplie de lui faire des choses qu’elle ne désirait pas au départ mais que moi je veux… L’anus d’une femme, je ne me l’approprie pas, elle me le donne, elle me demande que je lui fasse la faveur de le prendre en cadeau…) que je caresse son minou. Je sens déjà la différence de température entre l’eau du bain et l’humidité qui s’échappe de sa chatte, je sens aussi la différente de viscosité en passant d’un milieu humide à un milieu d’une autre humidité…


Nathalie, plus du tout habituée à des caresses avant intromission de doigts ou du sexe de son mari, respirait de plus en plus fort et profitait de ce qu’enfin on s’occupe d’elle. Dix minutes auparavant, elle était timide, réservée, vêtue d’un maillot de bains en guise de dernier rempart, là elle soufflait, ahanait, gémissait, les jambes largement écartées, elle m’embrassait comme une furie. Et je ne faisais que la caresser un peu ! Que dire alors lorsque par surprise, j’enfonçai un doigt dans sa grotte déjà ouverte d’excitation, et qu’en deux ou trois mouvements, j’ai pu détecter cette texture de peau différente marquant son point G… À chaque passage de mont doigt sur ce spot si bien marqué (depuis, je n’ai jamais eu la moindre difficulté à la faire jouir d’un seul doigt, bien qu’elle adorât qu’il y en ait quatre) elle se tendait, ses mouvements devenaient spasmodiques. Elle souffla son orgasme sur mes lèvres en un long gémissement de femelle longtemps frustrée et enfin assouvie.


Mais d’assouvissement, il n’en n’était pas encore question. Je ne lui laissai guère le temps de récupérer, après tout ce n’était pas un orgasme ravageur et dévastateur, juste un orgasmounet. Je lui demande de s’asseoir sur un siège intégré dans la baignoire, ce qui laissait son sexe hors de l’eau, tout juste. J’avais envie de la gâter de ma bouche et de ma langue, pas de me noyer en ce faisant…


J’ai pu donc goûter ses délicieuses sécrétions intimes. Oui, je dis bien délicieuses, elles avaient un goût exquis. J’ai goûté quelques dizaines de chattes, certaines m’ont directement dégoûté, d’autres étaient sans aucun goût, cette chatte-ci avait réellement un goût parfait. Je ne sais toujours pas l’expliquer, d’ailleurs. De la langue, je fouille ses lèvres intimes, je viens chercher son bouton (qui au premier contact du bout de ma langue jaillit de son capuchon comme s’il avait attendu cela toute sa vie de petit clito triste), je l’enferme dans ma bouche, je le suce, tout en le titillant de la langue, ou je frotte doucement les dents dessus… Il ne fallut pas longtemps pour que le compteur d’orgasmes affiche le chiffre deux…


Là, elle dut reprendre son souffle et elle se rallongea dans l’eau. Son sourire était si radieux, ses yeux si étincelants… Celui qui n’a pas vu l’orgasme dans les yeux et sur le visage d’une femme n’a rien vu !


Doucement elle revient à la réalité, sa main se pose tout naturellement sur ma queue, elle commence une douce masturbation qui redonne la vigueur perdue lors des préliminaires dont elle avait été la seule à bénéficier. Je tends la main, sors un préservatif que j’avais discrètement glissé dans une serviette, j’ouvre l’emballage et tente de le placer sur ma queue bien raide. Alors là, je ne sais pas si vous avez déjà essayé de placer une capote sur une queue trempée par le bain, et si vous y êtes arrivé, a-t-elle tenu ? Pas chez moi en tout cas !


On en arrive donc à l’éternelle question : es-tu sûr d’être sain ? Moi de mon côté, j’étais sûr que oui. J’avais fait une prise de sang pour un don quelques semaines auparavant, et je n’avais pas eu de relation extra-conjugale depuis plus de trois mois au moins. Et elle, à moins que son mari ne soit imprudent, elle n’avait pas eu de relation à risque. Il suffit de quelques secondes, sans un mot elle s’allonge dans l’eau, m’attire à elle, et d’un coup, sans même à avoir à me guider de la main, j’envahis sa douce et humide caverne de toute ma virilité.


Dieu que c’est bon de faire l’amour dans l’eau ! D’ailleurs, nous avons lors d’autres rencontres, fait l’amour dans une piscine privatisée, mais cela fera l’objet d’un autre récit, si vous le désirez… Je disais donc : Dieu que c’est bon de faire l’amour dans l’eau ! Bien que la position dans un jacuzzi ne soit pas la plus confortable. Quasiment sans parler, nous alternons les positions, en cuillère, Andromaque, levrette… Levrette qu’elle affectionnait particulièrement, parfois sans même préliminaires… Mais ça c’est encore une autre histoire…


L’eau refroidissait, notre peau commençait à être plissée. Moi je n’avais pas encore joui, par respect je ne voulais jouir en elle sans qu’elle ne me le demande…

Nous faisons donc une pause, nous nous sommes essuyé et en peignoir nous avons regagné le salon, sur le confortable canapé en coin nous nous sommes lové l’un contre l’autre, en sirotant une boisson fraîche que j’avais pris le soin de me munir.


Ma queue avait perdu un peu de sa vigueur, mais n’était pas encore flasque… Comme si cela était tout naturel, Nathalie la reprit en main, me caressait doucement pendant que nous discutions sur le fameux plan d’action qui avait été complètement ignoré. En effet, d’après le plan, nous devions prendre un bain, et commencer les festivités sur le canapé, par un cunni, une fellation et puis un 69. Elle s’était vantée d’avoir une bouche très douée, je ne demandais qu’à être convaincu. Elle me le rappela, et ni une ni deux, elle ajouta « j’ai faim, à mon tour de te bouffer », et vlan elle m’emboucha. Mmmm, fellation divine qu’elle me fit, mais là encore je résistai, car dans nos discussions elle m’avait dit ne pas aimer le sperme, qu’elle suçait parfois son homme jusqu’au bout parce qu’elle s’y sentait obligée, mais qu’elle recrachait tout. Si lors de cette première rencontre intime je ne me suis pas laissé aller, dès la fois suivante, elle m’y invita, et à ma grande surprise, est venue m’embrasser avec mon propre sperme en bouche. J’avoue que depuis, nous le faisions très souvent, j’adorais partager mon propre sperme sur sa langue. Il arrivait souvent qu’elle me demande de lui gicler sur le visage, chose qu’elle avait toujours refusée à son mari, mais qu’avec moi elle adorait. Elle avait trouvé un terme pour cela : elle me demandait « sa crème de jour ».


Voyant que je résistais, donc, elle changea de position : elle grimpa sur moi, s’empala rapidement sur ma queue, accroupie, non pas posée sur les genoux. J’avoue que peu de femmes peuvent se vanter (façon de parler, ne me prenez pas pour un vantard) d’avoir réussi à me faire jouir en me faisant l’amour (je suis plutôt celui qui bouge), mais elle, en projetant son bassin contre moi d’une façon magnifiquement vigoureuse, y parvint en quelques minutes. J’eus juste le temps de lui dire :



Elle me cria :



Deux mouvements de hanche plus tard, je m’épanchai en elle en gros jets bouillonnants et crémeux, un pied comme je n’en n’avais sans doute jamais connu… La pression de mon foutre dans le fond de sa paroi vaginale déclencha chez elle un nouvel orgasme, elle qui jouissait peu du fait de son mari, elle avait eu trois orgasmes certifiés (d’autres, plus petits, peut-être, que par jeu nous n’homologuions pas) en quelques heures…


Le lendemain elle m’apprit que son mari qui ne l’avait pas touchée depuis plus d’une semaine, était monté se coucher après elle, lui avait mis un doigt et se méprenant sur l’origine de l’humidité de sa chatte, crut qu’elle avait des envies et il la prit en étant persuadé qu’elle prenait son pied parce que lui la fourrait égoïstement…


La location de la chambre allait prendre fin, nous profitâmes encore en vitesse du jacuzzi une seconde fois, nouvelles caresses, où elle parvint à me masturber jusqu’à l’éjaculation sur ses seins…


Cet hôtel de rendez-vous allait devenir notre « quartier général », il reçut une bonne demi-douzaine de visites de notre part. Mais les bois et la nature (presque le garde-chasse et divers promeneurs) furent aussi les témoins de nos débats, et pour finir, je me rendais directement chez elle et je lui faisais l’amour dans le lit conjugal. Mais là encore, c’est une autre histoire…



À vous de me dire si vous appréciez mon laïus malgré sa longueur, et si vous en voulez d’autres, certains beaucoup plus chauds que cette narration d’une première rencontre coquine entre deux partenaires qui vont découvrir et partager des fantasmes assez chauds…