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Temps de lecture estimé : 11 mn
04/12/12
Résumé:  La suite de nos aventures: nos lieux de rencontres, les déboires pour trouver un endroit digne de nos ébats, et les risques que nous y avons pris
Critères:  fh couple extracon piscine forêt campagne hotel voiture amour pénétratio confession nostalgie humour -extraconj
Auteur : Patswing            Envoi mini-message

Série : Nathalie et moi

Chapitre 02 / 03
Nathalie et moi: les lieux de nos rencontres

Résumé de l’épisode précédent : Après avoir fait connaissance sur un tchat, passé des heures au téléphone, appris à nous connaître, à nous apprécier, après s’être rencontrés en tout bien tout honneur, Nathalie et moi avons vécu notre premier rendez-vous intime…








Au risque de décevoir, cet épisode n’entre pas trop dans les détails croustillants (ne fermez pas la fenêtre, il y en aura !), mais racontera plutôt certaines circonstances qui peuvent prêter à sourire rétrospectivement. Mais sur le moment-même, avouons, nous avons parfois eu très chaud.



Qui parmi vous, chers lecteurs, a déjà vécu les affres d’une aventure illégitime ? Ceux-ci comprendront mieux le problème auquel nous avons été confrontés : quel lieu peut donc abriter nos retrouvailles qui ne manquent jamais de finir à l’horizontale ?


Nous avons quasiment tout essayé : la voiture, un hôtel de rendez-vous, les chemins de promenade détournés, les bois, une piscine privée, chez elle…



Notre tout premier rendez-vous eut lieu, donc, dans un hôtel de rendez-vous. C’était une bâtisse relativement moderne, en U, composée d’une dizaine de chambres, en leur centre la réception. Certaines chambres étaient simplement équipées d’une douche, la plupart avaient un bain, l’une était de plus dotée de miroirs et bien sûr, il y avait la chambre avec jacuzzi. Tout était parfaitement propre, mis à part les gémissements (parfois les cris) des locataires qui rappelaient la spécificité du lieu.


Pour ceux et celles qui se posent la question, la location s’effectuait par trois heures avec un supplément par heure de plus, comptez dans les 60 € pour une chambre simple jusqu’à plus de 100 € pour la chambre jacuzzi, le supplément démarrant à 25 € l’heure au minimum. Tout cela pour dire que, si ce lieu est vite devenu notre Quartier Général de par sa discrétion, il a fallu que nous lui trouvions une solution de remplacement, cela commençait à faire mal à mon portefeuille…


Ces chambres nous permirent de faire l’amour tendrement ou sauvagement, de nous reposer un peu dans des draps frais (un summum lorsqu’on parle de rencontre illégitimes !), de prendre une douche (oui, bon, de continuer à coquiner sous la douche aussi, ne nions pas !). Une bulle de sensualité, d’intimité, d’isolation, voilà ce que notre QG nous offrait.



Comme je le disais, financièrement cet hôtel n’était pas une solution viable à long terme, économiquement parlant. Nous avons donc commencé à chercher d’autres endroits propices à nos rencontres, et surtout moins chers… Une solution était toute trouvée : ma voiture. Un toit, du chauffage si nécessaire, un minimum d’intimité, une possibilité de prendre la fuite, etc. J’ai parlé de voiture, pas de bus, exit donc la douche, la baignoire et les couettes bien chaudes, sniff ! Bon, j’avais, à l’époque, un monospace, cela permettait donc déjà pas mal de galipettes.


Là encore, je vois d’ici les sourires de celles et ceux étant déjà passé par là : la voiture c’est bien, mais où aller avec notre baisodrome à roulettes ? Il ne faudrait pas non plus se faire attraper la main dans le sac (heuuuuu… La main dans la culotte ! Ou sur le « sac » !) par la maréchaussée… Ou par un garde-forestier !


La toute première fois, nous nous sommes garés dans une zone touristique peu fréquentée (soi-disant !) en cette époque de l’année (c’était le tout début du printemps, le lieu était dédié à la baignade au bord d’un lac). Nous avions trouvé un endroit sympa, un petit chemin pas très éloigné de la route, qui nous permettait de surveiller la route d’accès tout en commençant à nous chauffer sérieusement, toujours sur les places avant. Très vite j’eus une main dans son string sous sa robe légère, l’autre autour de sa nuque pour un baiser langoureux… Elle adorait que je la doigte, j’avais dès notre première fois trouvé son point G et je ne me lassais pas de le masser dès que j’en avais l’occasion. Et elle de jouir vite et fort sous mes caresses… Pour me remercier, elle défit ma ceinture et ouvrit mon pantalon, pour m’emboucher en une pipe délicieuse dont elle avait le secret…


En semaine, un matin… Sortie sportive des classes en VTT… Une bonne quarantaine d’ados véliportés déboulent du sentier dans lequel nous étions garés, depuis derrière nous. Comme j’avais engagé la voiture en marche arrière, avec vue sur la route, et que ma belle commençait à me faire perdre pied, je ne les ai pas vu arriver, mais dès qu’ils furent sur nous, d’une main je plaquai la tête de ma chérie sur mes cuisses, ma queue bien enfoncée dans sa gorge, et de l’autre main j’attrapai une carte routière qui traînait sur le tableau de bord, en même temps pour me donner une contenance et pour cacher ce qui se passait si un coup d’œil curieux essayait de voir ce qui se passait par la vitre.


Nathalie, juste prévenue par un « bouge pas, y’a du monde ! », obéit à moitié… Une fois la surprise passée, et rassurée par le déploiement de la carte (qui, je le constatai plus tard, la cachait un peu mais n’aurait jamais leurré un regard posé plus d’une fraction de seconde), ne bougea plus la tête, mais ses doigts et sa langue reprirent un lent massage.


Une fois nos bruyants cyclistes passés, j’allais m’épancher dans sa bouche, mais elle se redressa avant de m’avoir fini et me jeta un « allez, on fout le camp d’ici ! ».


Mettez-vous à ma place : à quelques secondes de l’éjaculation salvatrice, sa fellation avait pris fin brusquement, et ma chérie entretenait mon érection en massant mon sexe frustré, la main dans la braguette ouverte de mon pantalon pour le reste refermé, nous sommes repartis à la recherche d’un coin tranquille, avec l’envie commune de continuer nos ébats.


Ce jour-là nous eûmes droit à la loi des séries… Un petit chemin recouvert d’une végétation prouvant une fréquentation rare, nous nous étions enfoncés sur ce chemin sur une bonne centaine de mètres. Passés à l’arrière, ma chérie me chevauchait ardemment sur la banquette, tout à coup elle s’arrête : une voiture s’est engagé sur le chemin ! Deux femmes âgées, le genre grenouilles de bénitier, s’approchent et comme j’avais arrêté la voiture sur le chemin et pas sur le côté, je fus obligé de repasser devant et de déplacer mon carrosse. Regard plein de lourds reproches des deux vieilles filles… Allez hop, on déménage !


Une route dans les collines, des vergers, quelques champs où paissent quelques paisibles vaches, qui furent témoins de la suite de nos ébats dans un autre chemin isolé. Isolé ? Mouais ! Encore des randonneurs cyclistes, un groupe de retraités cette fois !

Re-déménagement ! Cette fois, c’est la bonne… Pensai-je ! En plein ébat, deux quads arrivent en pétaradant, nous avons juste eu le temps de redémarrer !


Je vous rassure, l’endroit suivant fut le bon. Une route dans les bois, un tout petit chemin caché par la végétation qui commençait à renaître, nous avions enfin réellement la paix. Je pus lui faire l’amour, mais aussi la prendre sauvagement, ma frustration aidant, et elle se découvrant une affinité avec le sexe un peu bousculé. Je l’ai prise dans la voiture, couchés sur la banquette arrière, mais comme le coin était vraiment tranquille, nous avons ouvert la portière, je l’ai prise en levrette, elle agenouillée sur le siège, moi debout à l’extérieur, le pantalon aux chevilles, agrippé aux montants de la portière. Ah, romantisme, quand tu nous tiens !



Une autre fois, nous n’avions pas beaucoup de temps, nous ne nous sommes pas beaucoup éloigné, nous prîmes le premier chemin dans les bois. Zut, une route privée ! Tant pis, nous nous enfonçons plus loin, arrivons à un croisement, prenons à gauche, et nous arrivons dans une trouée récemment faite par les bûcherons. Il y avait juste un bosquet, idéal pour abriter la voiture un minimum. Nous ne perdons pas de temps, j’étais en train de la prendre joyeusement en levrette sur la banquette arrière, jupe relevé, string écarté (portes fermées cette fois) quand du coin de l’œil je vois arriver un 4x4. Le temps de nous rhabiller en vitesse, la jeep verte avec l’écusson des gardes forestiers (en Belgique, ils ont le droit de dresser procès-verbal) s’arrête à notre hauteur. Le garde sort, je sors aussi (par la portière arrière, inutile de nier, il a compris ce que nous faisions), et le garde nous signale que nous sommes sur une propriété privée, que nous devons quitter les lieux immédiatement, sinon « je me verrai obligé de vous coller un PV, à vous d’expliquer ce que vous faisiez là »… Reposant sur sa poitrine, une paire de jumelles… Sans doute notre garde s’est-il rincé l’œil avant d’intervenir mais il n’a pas voulu nous embêter plus que cela.



Comme j’avais pu le constater lors de notre première rencontre, ma Nathalie adorait l’eau. Et après le jacuzzi, nous avions l’envie de continuer à expérimenter le sexe aquatique. Une de ses amies lui avait parlé d’un kiné, dans le coin, qui disposait d’une piscine et d’un sauna privé qu’il louait pour des séances de rééducation ou de relaxation balnéo. C’était une piscine intérieure de trois mètres sur six et chauffée… Séparée du cabinet de kiné, nous avions même une clé pour nous isoler complètement. Oh, je suppose que le kiné devait savoir ce que nous comptions y faire, mais nous ne devions être ni les premiers ni les derniers.


Avez-vous déjà pu profiter d’une piscine privée ? Je vous le conseille, surtout accompagné d’une partenaire aussi chaude et excitée par l’eau ! Nous nagions un peu, je l’attrapais ou elle m’attrapait, et nos sexes se retrouvent tout naturellement imbriqués l’un dans l’autre. En plein milieu de la piscine, elle flottant sur le dos, je la labourais debout. Ou bien elle accrochée à l’échelle, je la prenais aussi puissamment que me le permettait l’eau. La pipe sous-marine est très agréable aussi, quoique de courte durée entre deux remontées pour qu’elle puisse respirer.


Évidemment, nous ne pouvions pas louer cette piscine pour chacun de nos rendez-vous, le kiné n’aurait pas trop apprécié qu’on prenne sa piscine pour un hôtel…



De temps en temps, nous garions la voiture pour nous promener le long du canal qui passait à quelques centaines de mètres de chez elle. Les alentours du chemin de halage étaient parsemés de petits bosquets qui nous permettaient de nous abriter des regards des promeneurs, pêcheurs et autres joggers. Abrités par une butte ou un buisson au feuillage garni, nous déposions une couverture au sol, ou bien nous prenions appui contre un tronc d’arbre et laissions libre cours à notre passion.



Les jours où il faisait vraiment bon, nous nous rendions tout près d’un très joli point de vue sur la Meuse. Nous laissions la voiture, et nous prenions un sentier de promenade dans les bois, munis d’un sac à dos. Dans ce sac, des victuailles (parfois des fraises et du champagne, divinement érotique), une couverture, un matelas autogonflant, et une tente igloo qui se montait en deux ou trois minutes. Nous suivions le chemin sur quelques centaines de mètres, pour le quitter et aller à travers bois, pour trouver une petite clairière propice à nos ébats. Parfois nous ne prenions même pas le temps de déployer la tente, nous faisions l’amour en plein air, caressés par les rayons de soleil filtrant entre les branchages, seulement embêtés par quelque moustique, ou par le bruit furtif d’un animal encore plus discret que nous. Curieusement, nous n’avons jamais vu ou croisé quiconque dans ces bois, ce qui nous arrangeait bien.



Les jours plus pluvieux, finalement, las de la voiture, nous avons pris le risque de nous voir chez elle. Je garais ma voiture assez loin dans sa rue, je passais une première fois sur le trottoir d’en face, lorsqu’il n’y avait personne, je traversais, et juste avant de passer devant chez elle, je faisais sonner son portable. Elle ouvrait la porte, je me glissais furtivement chez elle. Et nous passions la journée à faire l’amour, à baiser, au début dans son salon, par « respect » de la chambre conjugale. Mais très vite, notre petit bonheur était de nous vautrer sur le lit conjugal, son mari se comportant de plus en plus comme un rustre avec elle, elle trouvait un plaisir sournois et aphrodisiaque de le tromper dans ce même lit dans lequel ils se retrouveraient plus tard ce même jour…


Conscients du risque que les voisins puissent se rendre compte de quelque chose, nous avions établi un plan de camouflage. Moi étant informaticien, et elle suivant des formations bureautiques, nous prenions soin d’étaler sur la table à manger des cours et des notes, avant de laisser libre cours à nos corps. Et si jamais son mari devait rentrer de façon impromptue, l’ordinateur familial étant à l’étage, nous aurions eu l’excuse de nous trouver en haut. Nous avions toujours nos vêtements à portée de main, mais jamais au cours de mes multiples visites, nous n’avons eu à recourir au plan de camouflage.


Il y eut juste une fois, où nous eûmes chaud, très chaud ! Nous venions de finir de faire l’amour sur le canapé, au rez-de-chaussée, après avoir passé l’après-midi dans le lit conjugal. Je devais partir, ses enfants devant bientôt rentrer de l’école, nos au-revoir duraient un certain temps, je n’étais pas encore totalement rhabillé, lorsqu’à trois mètres de nous, se fait entendre le bruit de la clé dans la serrure ! En trois secondes, j’avais réajusté ma tenue et enfilé mes chaussures, elle eut juste le temps de cacher son string et son soutien en dentelles assorti sous un coussin du divan, son fils de treize ans entre en trombe, ses cours ayant terminé un peu plus tôt ! Je me saisis d’un livre d’informatique, et nous prîmes congé comme si je venais juste récupérer un de mes livres que je lui aurais prêté…


Mais son fils m’avait vu, le père serait au courant dans la soirée il fallut continuer à jouer le jeu… Et là nous eûmes une idée particulièrement vicieuse (et excitante) mais aussi très maligne : comment officialiser le fait que Nathalie connaisse un homme et le laisse entrer dans la maison ?


Le plan était tout simple : une fois au courant de ce que sa femme recevait des compléments d’information en informatique, son mari nous livra l’occasion de nous voir, sur un plateau d’argent ! Il voulait bien que je continue à donner des cours à sa femme, mais à deux conditions : un, qu’il puisse faire ma connaissance et me juger sur pied, et deux qu’il soit au courant de mon passage. Et donc il dicta à Nathalie de m’inviter un soir, après les explications je resterais pour manger… Cette première fois « officielle » fut épique et vicieuse à souhait !


En effet, lui rentrant à la maison vers 17 heures, il était convenu que je passe vers 17 h30 (au début il était question de 18 heures, mais je ne comptais pas attendre aussi longtemps, vous allez comprendre pourquoi). Ce que lui évidemment ne pouvait pas savoir, c’est que Nathalie et moi avions passé la journée à faire l’amour, baiser, forniquer dans toutes les pièces de la maison, sachant très bien que nous visiterions ces mêmes pièces le soir, des souvenirs plein la tête (et accessoirement, pour elle, ma semence partout en et sur elle). La table de la salle à manger retint particulièrement notre attention, nous voulions lui laisser notre empreinte sensuelle de façon à pouvoir la ressentir encore lorsque nous y serions tous attablés plus tard…


Ainsi donc, au moment Philippe garait la voiture dans la rue, Nathalie me fit sortir par derrière (le meilleur moyen, en fait, d’être sûrs que lui et moi nous ne nous croiserions pas dans le village), et je fis le tour tranquillement, en me promenant, et je revins à l’heure prévue sonner à leur porte comme si de rien n’était.


Nathalie vint m’ouvrir, lui était occupé au salon, de l’autre côté du mur, nous nous sommes roulés une pelle et je lui ai en vitesse glissé un doigt dans sa chatte, sous la jupe, le string hâtivement écarté. Quelques allers-retours, j’ai ressorti le doigt luisant de sa mouille mélangé à mon sperme, et nous avons partagé ce mélange, suçant ensemble ce doigt preuve de nos ébats de la journée.


Nous avons repris nos « cours », nos mains se baladant sous la table dès que le mari avait le dos tourné, nous eûmes même l’occasion d’aller voir quelque chose sur son PC, à l’étage. Elle se mit devant le bureau, agenouillée sur la chaise à roulettes, remonta sa jupe, écarta son string, et sans que nous ne changions de sujet (Windows, donc :


  • — oui, clique juste là. C’est dans ce dossier-là. Tu vois ce que ça fait ? Et là, tu entres dans le programme, etc.)

… je la baisai rapidement, jouissant encore une toute petite quantité de sperme dans son con déjà noyé…


Pas un seul instant Philippe n’aurait pu soupçonner ce qui s’était passé durant la journée et durant la soirée… Nous par contre, nous nous revîmes dans tous les endroits de la maison qui connurent nos ébats quelques heures plus tôt…



Je sais que ce récit peut paraître long pour certains, mais promis, la prochaine fois, je vous livrerai les moments les plus « hots », une espèce de best-of de nos rencontres, les moments les plus excitants de notre passion charnelle.