Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15289Fiche technique18312 caractères18312
Temps de lecture estimé : 11 mn
21/11/12
Résumé:  Séance de baise torride mais étrange avec Oriane, qui me dévoile ses accessoires et ses fantasmes...
Critères:  fh douche fsoumise fdomine fetiche anulingus pénétratio fdanus piquepince confession -hff -fbi -sm
Auteur : Christophe H

Série : Les mémoires de Christophe H

Chapitre 04
Il y aura donc une suite

Résumé : J’en sais désormais un peu plus sur le parcours de Karine et son addiction au sexe. Sa maîtresse Oriane étant de retour, je dois aller la remercier de m’avoir mis sa soumise à disposition.








J’avais pris mon temps pour revenir à l’hôtel, pour que les autres convives ne soupçonnent pas que j’avais passé la matinée avec Karine. Je restai un moment sur le parking à regarder la cinquantaine de Harley-Davidson qui s’alignaient. Quelques gros bras faisaient pétarader leur moteur dans un concours de burns ; les pneus laissaient dans l’air leur odeur âcre et sur le bitume des traces fumantes. Je vis Oriane retirer son casque, récupérer celui de sa passagère, et les ranger tous deux dans le coffre arrière de sa bécane. Elle portait un magnifique blouson en cuir rouge vermillon, assorti à la couleur de sa Harley, et un pantalon de cuir noir tellement moulant qu’un W se dessinait à l’entrejambe.


Oriane semblait m’ignorer, papotant avec ses amis motards tout en manipulant son téléphone portable. Le mien vibra dans ma poche. J’avais reçu un SMS d’un numéro masqué :


Chambre 28, dans 10 min.


Elle rangea son téléphone et pénétra dans l’hôtel.


Le bruit de la douche était perceptible dès le couloir. Après avoir frappé, n’ayant pas reçu de réponse, je me décidai à entrer. La chambre 28 était plongée dans une demi-pénombre, les volets étant restés fermés. Les robes qu’Oriane et Karine portaient la veille traînaient sur le dossier d’un fauteuil, tandis que les vêtements de moto que portait Oriane encore quelques minutes auparavant étaient étalés par terre. Sur la table de chevet, je reconnus les deux glands d’acier et les anneaux qui étaient accrochés à sa chatte la veille au soir. Il y avait aussi deux objets métalliques plus grands dont je n’identifiai pas l’usage.


Oriane n’a pas sursauté lorsque je suis entré dans la salle de bain. Elle prenait tout son temps pour rincer ses longs cheveux sous le jet d’eau brûlante, entièrement offerte à mon regard, sans pudeur. Débarrassées de leurs poids, ses grandes lèvres pendaient moins que la veille, mais semblaient néanmoins bien plus longues que la normale. Les œillets métalliques qui les traversaient, les fameux flesh tunnels, faisaient deux gros trous à mi-hauteur de sa fente. Le gros anneau de son triangle les maintenait écartés, laissant ainsi son clitoris et le haut de son vagin exposés en permanence. Je découvris que comme Karine, elle portait une chaînette autour de la taille. Son nombril était percé d’un anneau, et la chaînette passait au travers.


Elle avait des seins relativement petits, parfaitement coniques et d’un très bon maintien pour une femme d’une quarantaine d’années, mais eux aussi ornés d’une installation métallique tout aussi excitante qu’incongrue : ses tétons étaient emprisonnés chacun dans une bague d’acier d’environ un demi-centimètre de longueur. À la moitié de la longueur, la bague et le téton étaient traversés par une barre horizontale ; de part et d’autre des flancs de la bague, un bijou en forme de U venait s’articuler sur la barre. Une chaînette identique à celle qui entourait sa taille était reliée aux deux U de ses tétons et se balançait librement devant sa poitrine. Enfin, autour du cou, elle portait comme la veille un collier rigide, du même style que le collier et les bracelets de Karine, mais beaucoup plus fin et ainsi plus discret et féminin.


Oriane avait arrêté l’eau et commençait à se sécher, toujours dans dire un mot, lorsque je me décidai à passer à l’action. J’approchai doucement mes mains de sa taille puis les posai sur ses hanches. Je jouai un instant avec la chaînette, la faisant coulisser dans son anneau de nombril. Oriane se retourna, me présentant son cul rebondi. Son bassin était suffisamment large pour que ses cuisses ne se touchent pas du tout, une caractéristique que j’apprécie tout particulièrement chez les femmes. Je descendis doucement les mains sur son mont de Vénus, doux comme celui de Karine. Elle aussi avait dû subir une épilation définitive au laser ou à l’électricité. Je retrouvai en bas du pubis le départ du piercing Isabella, puis comme la veille je commençai à la doigter et à faire coulisser son piercing princess Albertina dans son urètre.


Oriane se cambra davantage encore, et sans se retourner envoya un bras à la rencontre de ma tête. Elle me fit signe de me mettre à genoux devant la baignoire, puis m’attira le visage contre la raie de ses fesses. Elle mit alors son corps à 90° et bascula le postérieur vers moi ; je me retrouvai alors avec la bouche contre son anus. La pression de sa main sur mon crâne se fit plus forte jusqu’à ce que je commence à embrasser son bouton de rose. Après quelques instants d’hésitation, je me décidai à sortir la langue, d’abord timidement, puis avec de plus en plus de conviction, jusqu’à l’allonger au maximum pour pénétrer de mon mieux son trou du cul.


Elle a profité de mes caresses pendant de longues minutes avant de diminuer doucement sa contrainte, puis de m’inviter à la suivre hors de la salle d’eau. Agenouillée sur le lit, les jambes largement écartées, elle me fit signe de me déshabiller. Je me suis exécuté avec toute la sensualité dont j’étais capable pendant qu’elle se caressait. Les doigts de sa main droite allaient et venaient profondément dans son vagin, tandis que sa main gauche pétrissait sans ménagement un sein puis l’autre, tirait les piercings des tétons, jouait avec la chaîne pour les étirer.


Quand je fus enfin nu, Oriane se leva et vint se plaquer contre moi. Son invraisemblable assemblage de chaînes, de tubes et de barres venait provoquer un déferlement de sensations nouvelles tandis qu’elle se frottait contre mon torse, descendait vers ma verge turgescente, remontait derrière moi sur mes fesses et mes reins. Revenue face à moi, Oriane se serra plus fort contre mon corps, vint plaquer ses lèvres contre les miennes, puis pénétra ma bouche d’une langue conquérante. Comme Karine, elle savait jouer de son piercing pour titiller ma langue et mes lèvres, mais elle mettait dans la caresse une intensité, pour ainsi dire une brutalité, qui la rendait ambiguë, le mélange subtil d’une sensation plaisante et d’une sensation désagréable.


Après un long baiser, la belle dominante me fit allonger sur le lit, plaça un préservatif sur mon membre, et vint s’empaler sans hésitation. À califourchon sur moi, les genoux bien écartés, elle fit quelques allers et retours à grande amplitude, puis redescendit jusqu’en bas, pesant sur moi de tout son poids, ma bite enfoncée au plus profond de son sexe.



Et gardant le corps immobile, elle commença alors à faire jouer les muscles de son vagin autour de moi. Je sentais qu’elle parvenait à contracter les muscles situés à l’entrée, puis ceux intermédiaires, et ensuite ceux situés plus profondément, en une sorte de vague. Elle savait créer une sensation de vague montante qui aspirait ma bite vers le fond, puis une vague descendante qui semblait la repousser.


Submergé par ces sensations intenses, je suis passé plusieurs fois à un cheveu de la jouissance, mais je gardais son injonction présente à l’esprit, et, focalisant mon esprit sur diverses futilités, je suis finalement à chaque fois parvenu à retarder le moment de mon éjaculation.


Elle a ainsi joué avec mon sexe comme s’il s’agissait d’un gode pendant un long moment, refusant toute caresse et ignorant mon regard. Ses mains par contre ne sont pas restées inactives : comme tout à l’heure au bord du lit, elle se pétrissait les seins, tirait sans ménagement sur ses bagues de tétons et sur sa chaîne, et caressait de plus en plus vigoureusement son clitoris. J’entendais le cliquetis de son anneau de triangle qui venait heurter la bille de son piercing vertical à fréquence élevée. Au bout d’un temps le bruit devint moins frénétique ; elle avait empoigné son princess Albertina et commençait à faire coulisser le bijou dans son urètre. Je sentais l’autre partie du bijou frotter contre mon sexe en se déplaçant en haut de son vagin. Ce mouvement devait lui procurer une stimulation intense, car comme la veille lorsque je lui avais léché la chatte, sa respiration s’accéléra rapidement. Enfin, elle inspira bruyamment et retint sa respiration tout en amplifiant le travail de ses mains sur ses accessoires métalliques. Son apnée dura sans doute une trentaine de secondes, à l’issue desquelles elle se détendit soudainement.


Le relâchement brutal de tous les muscles de son corps, sa respiration qui redevenait progressivement normale, étaient autant d’indices qui me confirmaient qu’elle avait atteint l’orgasme. Elle ne se laissait pourtant pas aller, poursuivant le lent mouvement d’ondulation de ses muscles internes, puis reprenant progressivement ses allers et retours verticaux après s’être mise en appui sur les bras. Elle descendit jusqu’à ce que la chaîne reliant ses deux tétons vienne se poser sur mon torse, approcha sa bouche de mon oreille, et murmura :



À ces mots, elle remonta le bassin bien haut, quasiment jusqu’à ce que nos sexes se séparent, et redescendit rapidement jusqu’à m’engloutir de nouveau au plus profond d’elle-même. « Dix. » Nouveau mouvement ascensionnel complet, nouvelle descente. « Neuf. » Son rythme était rapide, et son compte-à-rebours créait une forme de panique dans mon esprit. J’avais l’impression de perdre tous mes moyens et ressentait déjà la frustration et l’humiliation de ne pas aller au bout de ce coït hors norme. « Huit. » « Sept. » Son collier rigide allait et venait entre sa clavicule et son menton, rebondissant au rythme de son bassin. Je réagis enfin, posant mes mains sur ses fesses, remontant sur ses hanches callipyges, la saisissant par le creux de ses hanches, et me redressant à moitié, venant embrasser ses seins et saisir entre mes lèvres l’enchevêtrement de métal dont dépassait le bout rose foncé de ses tétons. À seulement « Trois » j’éjaculai en elle, tout en la bloquant pour qu’elle ne puisse pas remonter.


Oriane se libéra pourtant rapidement de mon étreinte, fit un nœud au préservatif et s’en alla le jeter dans la poubelle de la salle de bains. Je restais étendu sur le lit, espérant un geste de tendresse ou au moins un baiser après ce coït à la conclusion surprenante, mais elle ne daigna pas me faire ce plaisir, et commença à sortir quelques vêtements de son sac de voyage.


Je restais assis au bord du lit, la regardant enfiler une robe en coton, dans le même style que celle que portait Karine. Elle n’avait pas mis de sous-vêtement, mais il y avait une sorte de push-up intégré à la robe qui faisait apparaître sa poitrine plus grosse qu’elle n’était en réalité. Le rembourrage du push-up ne laissait rien deviner de l’attirail qu’elle portait sur les tétons ni de la chaîne qui les reliait. J’en profitai pour la questionner sur le sujet de ses bijoux :



À ces mots, Oriane releva se robe et fit tourner sa chaîne autour de sa taille jusqu’à trouver un maillon différent des autres ; une portion de couleur légèrement différente montrait qu’une goutte de brasure avait été posée pour refermer une ouverture dans l’acier. La chaîne étant beaucoup trop courte pour passer sur ses hanches ou sur ses épaules, elle était effectivement permanente. Oriane continua son inventaire :



Et joignant le geste à la parole, elle alla chercher ses deux gros glands d’acier. Les anneaux étaient suffisamment épais pour contenir une articulation. Armée d’une minuscule clé à six pans, Oriane dévissa les dispositifs de fermeture, fit jouer les charnières, enfila les anneaux dans ses tunnels, puis les referma. En tout, l’opération n’avait sans doute pas pris plus d’une minute. Oriane se releva, gigota un peu pour faire tinter ses lourds bijoux, et, voyant mon sexe qui se dressait à nouveau, vint me glisser à l’oreille :



Elle prit sur la table de chevet l’un des deux objets que j’avais vu tout à l’heure sans parvenir à en identifier l’usage, puis alla dans la salle de bain chercher un petit tube qui s’avéra être un gel lubrifiant. L’objet était tout en métal, et constitué d’une partie globalement conique et d’une base circulaire. Il devait faire dans les six centimètres de longueur, pour un diamètre maximum de trois à quatre centimètres.


Voyant Oriane enduire copieusement l’objet de gel lubrifiant, je finis par comprendre son usage. Elle revint vers moi en disant :



Et sans attendre ma réponse, elle se pencha en avant, me mettant à nouveau sous le nez son large postérieur. Les poids en métal attachés à ses lèvres venaient s’écraser contre la surface intérieure de ses cuisses. Sans hésiter, je me saisis de ses hanches, penchai la tête vers son cul, et sortis la langue pour un nouvel anulingus aussi bref qu’intense. Après cette préparation, j’enfonçai sans effort le rosebud dans son trou. Elle me remercia en posant un léger baiser sur mes lèvres, enfila ses chaussures, et sortit sans un mot. Elle avait pris dans sa main le second rosebud, non sans l’avoir lubrifié comme le sien. Manifestement, le trou du cul de Karine allait lui aussi avoir droit à son bijou.


Le temps de boucler ma valise et de manger un morceau, et il allait falloir prendre le minibus qui m’emmènerait à la gare avec quelques autres convives. Je n’avais pas eu l’occasion de me rapprocher d’Oriane ni de Karine qui s’étaient installées avec un groupe de motards et de motardes. Pouvaient-ils seulement imaginer que les deux bombasses avaient le cul bien rempli et un paquet de métal accroché à la chatte ? Je leur adressai un « au revoir » discret et formel avant que le minibus ne m’emporte. Mon téléphone vibra.


RdV samedi prochain – TGV arrive à 11 h 30 à Montparnasse – O & K