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Temps de lecture estimé : 11 mn
05/10/12
Résumé:  Christophe H approfondit sa connaissance de Karine, soumise et fière de l'être.
Critères:  nympho grosseins fépilée fsoumise noculotte fellation piquepince -sm -fsoumisaf
Auteur : Christophe H

Série : Les mémoires de Christophe H

Chapitre 03
Confessions sur un dolmen

Oriane et Karine, motardes, soi-disant lesbiennes et toutes deux pleines de piercings, m’ont fait entrevoir le côté obscur de leur personnalité. Après avoir sodomisé l’une et léché l’autre sur un banc, à l’écart, je rejoins la noce muni d’un numéro qui doit me permettre de retrouver leur profil sur un site web.








Karine et Oriane avaient repris leur place à table comme si de rien était. La soirée avançait doucement, animée par un petit orchestre du cru qui semblait ravir les convives locaux. Mais pour quelqu’un qui n’est pas Breton de souche, la bombarde et le biniou tiennent plus de l’instrument de torture que de l’instrument de musique. S’ajoutant à cela les effets du champagne et autres alcools qui avaient été à l’honneur depuis le milieu de l’après-midi… Je pliai donc piteusement les voiles vers les deux heures du matin.


Une fois au calme dans la chambre d’hôtel, je branchai mon portable et profitai de la connexion Wifi pour aller découvrir le fameux site. Après une inscription rapide, la consultation du profil public de Karine ne m’a pas appris grand-chose sur son parcours ni ses aspirations, mais m’aura permis de découvrir une vingtaine de photos extrêmement explicites. Le visage systématiquement masqué par une cagoule de cuir noir – mais ses tatouages et ses piercings permettant de l’identifier sans peine –, elle y est montrée dans différentes situations de soumission : ligotée dans une position incroyable, enchaînée au milieu d’un groupe d’hommes qui profitent d’elle, exhibée à moitié nue sur un parking d’autoroute, en tenue de motarde, avec un bâillon sous son casque intégral…


Je découvris aussi sur ces photos un tatouage sur son pubis que je n’avais pas vu en la prenant par derrière : le mot « SLUT » en lettres gothiques capitales… Si j’en crois ma petite culture anglo-saxonne, ça se traduirait littéralement par « fille facile », mais les mots « salope » ou « pétasse » semblent tout à fait appropriés. Charmante affiche.


Une photo surtout retint mon attention par son humour et l’incongruité de la situation. On y voyait Karine, la jupe relevée dans les rayons d’une grande surface de bricolage – sans doute Leroy-Merlin – une clé à molette à la main et le sexe fermé par une série de boulons. Excité par toutes ces images, je me masturbai frénétiquement, avant de sombrer rapidement dans le sommeil.



C’est le bruit du troupeau de Harley s’ébrouant dans la cour de l’hôtel qui me réveilla le lendemain matin. Le temps de descendre, et le groupe de motards était parti pour une virée dans l’arrière-pays dont ils ne reviendraient qu’à l’heure du repas. Prêt à passer la matinée en solitaire, j’étais en train de quitter l’hôtel en direction de la plage quand Karine me rattrapa.



Nous avons donc longé la rue qui sort du village et pris le chemin creux qui descendait vers la mer. Karine était chaussée d’espadrilles à talons compensés qui devaient faire au moins vingt centimètres de haut. Elle devait donc avancer doucement pour ne pas se tordre les chevilles sur les mauvais pavés. Sa robe moulante et ultra courte, crème avec des rayures bleu marine comme une marinière, exacerbait les courbes de sa croupe et de sa poitrine de star du X. On ne devinait aucune trace de culotte ni de bretelle de soutien-gorge à travers le fin tissu, par contre ses piercings aux tétons faisaient des bosses, tout sauf discrètes.


Je la lançai sur le sujet :



L’invitation était une nouvelle fois parfaitement explicite ; le souvenir de la séance de sodomie de la veille, son décolleté pigeonnant à quelques centimètres de moi, ses tatouages de pétasse, je n’aurais pas dû hésiter une seconde profiter d’elle sans retenue. Mais malgré ma bite qui faisait tout son possible pour exploser les coutures hors de mon caleçon et la fermeture éclair de mon short, un reste de curiosité mêlée à de la mauvaise conscience me poussait à chercher une explication à cette situation inédite.


Tout en traversant le champ vers le dolmen, je relançai donc la discussion.



Le dolmen était très bas et couvert de mousse. Karine s’était assise sur la dalle supérieure. Elle resta quelques instants sans répondre, puis, les yeux baissés, elle reprit sur un ton très doux, presque à voix basse.



Elle marqua une petite pause, puis releva sa robe jusque sur ses hanches et écarta largement les cuisses. Comme j’étais encore debout face à elle, j’avais pleine vue sur les trois gros anneaux qui fermaient son vagin, sur le petit grillage qui couvrait le haut de sa chatte, et sur les quatre lettres « SLUT » qui ornaient son pubis. Je découvris également une petite chaînette qui faisait le tour de sa taille.


Karine reprit finalement :



Alors, doucement, je m’avançai vers elle et plaçai mes mains sur ses hanches. Je me collai contre elle, et plaquai ma bouche contre la sienne. J’essayai maladroitement d’embrasser et de mordiller sa lèvre inférieure, mais l’anneau de labret me déconcertait, tandis que le lourd anneau qui pendait de son nez m’empêchait d’attaquer la lèvre supérieure. Enfin, elle ouvrit la bouche et sa langue vint à la rencontre de la mienne.


La sensation de ses trois piercings venant explorer mes lèvres puis jouer avec ma langue était simplement unique. Je l’embrassai goulûment pendant plusieurs minutes, tandis que mes mains pelotaient fermement ses énormes seins siliconés à travers le fin tissu de la robe. La sensation des grosses billes de ses bijoux de tétons ajoutait à mon excitation. Enfin, je me décidai à abandonner sa poitrine pour commencer à me déboutonner.


Karine descendit du dolmen, vint s’asseoir sur ses talons devant moi, et finit de sortir mon sexe. Elle ouvrit grand la bouche et, sans crier gare, m’engloutit d’un coup, jusqu’à ce que son anneau nasal vienne toucher mon pubis. C’est la première fois qu’une fille me faisait un deep throat. Je ne sais si c’était la nouveauté de la sensation, l’intensité de l’excitation, ou la stimulation extrême de cette langue équipée de trois barres qui massaient ma verge sur quasiment toute sa longueur, mais à peine trente secondes après qu’elle m’eut avalé, je jouis en elle violement, sans aucune possibilité de me retenir.


Elle avala totalement mon sperme, puis revint s’asseoir à mes côtés sur la dalle de pierre.



Malgré son discours et les pièces de métal qui encombraient sa chatte, j’étais bien résolu à tenter de lui rendre la pareille. Je me mis à genoux sur le sol, et plaçait ma tête entre ses cuisses.



Karine me tendit la main pour m’inviter à me relever, ce que je fis lentement, non sans avoir pris le temps de déposer un baiser sur son mont de vénus, en plein sur le tatouage « SLUT ». La peau était absolument lisse, très douce. Rien à voir avec ce dont j’avais l’habitude ; les filles qui s’épilent intégralement ont soit une pilosité « re-naissante », soit des irritations qui trahissent l’épilation toute récente (ou pire, le passage d’un rasoir !). Répondant à mon interrogation, Karine m’expliqua qu’elle avait subi une épilation définitive complète, les jambes ayant été traitées au laser, et le maillot comme les aisselles par électrocoagulation.


Puisqu’elle s’avérait bien plus bavarde que la veille au soir et prête à me donner moult détails techniques, je continuais à la questionner, pour essayer d’en savoir plus sur son parcours et sur sa condition.


J’appris donc ainsi qu’elle avait fait des études d’informatique ; partie à San Francisco pour effectuer un stage de six mois à l’issue de sa formation, elle y avait vite plongé dans l’univers des films X amateurs et découvert le sadomasochisme. Après son diplôme, elle est retournée vivre là-bas auprès de son premier maître, la personne qui a commencé à faire d’elle se qu’elle est aujourd’hui… À 26 ans, rupture, mal du pays… Elle est revenue en France, avec pour principaux bagages des seins siliconés à mort, une chatte intégralement et définitivement épilée, et le qualificatif « submissive sex slave » avec son numéro de soumise tatoués sur la nuque. À l’époque, ce tatouage était caché par des cheveux longs.


Installée à Paris, elle était le jour, chef de projet BCBG pour une grosse société de services en informatique, et la nuit, la pétasse soumise que se partageaient quelques initiés. C’est de cette époque que datent ses autres tatouages : des motifs aux chevilles et aux épaules, les fameuses jarretières en haut des cuisses, le tramp-stamp, et évidemment le mot « SLUT » au-dessus de sa chatte. Enfin, lors d’un week-end sado-maso en province, elle avait rencontré une autre soumise : Oriane. À priori le coup de foudre fut réciproque. Après quelques mois, Oriane avait divorcé de son mari et maître, et se découvrait lesbienne et dominante. Le jour de ses 30 ans, Karine s’était installée chez Oriane, non loin de Rennes.


Nous en étions là dans son récit quand nous entendîmes au loin le grondement rageur de la meute de Harley qui revenait vers le village.



Elle défroissa sa robe, posa un baiser sur mes lèvres, et remonta vers l’hôtel aussi vite que ses talons de vingt centimètres le lui permettaient. Je restai un long moment sur le dolmen, à observer la mer. Dans un peu moins de quatre heures, je devrai reprendre le train pour Paris. Qu’aurais-je appris encore sur ces deux femmes hors normes d’ici là ?