n° 15290 | Fiche technique | 25440 caractères | 25440Temps de lecture estimé : 15 mn | 21/11/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Marie-Laure (Milo) et Fred mènent leur vie lorsqu'une jeune étudiante, Élodie, se joint à eux. | ||||
Critères: fh ff fbi fplusag jeunes couple cunnilingu fouetfesse init | ||||
Auteur : Agerespectab (Gentil papy) Envoi mini-message |
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Fred et Marie-Laure n’ont pas convolé, chacun d’eux vacciné par un premier mariage et un divorce, mais se sont pacsés pour raisons fiscales. (Voir le n° 15142).
Ils se sont repliés dans le pavillon de Marie-Laure, qu’ils embellissent au fur et à mesure de leurs possibilités. Voilà maintenant six mois qu’ils vivent ensemble. Ils ont trouvé une brave dame du quartier pour faire un peu de ménage et soulager ainsi Marie-Laure, ils ont formé le projet d’embaucher une étudiante, pour compléter cette aide à domicile. Nous laissons la plume à Milo.
Quoi de neuf, demandez-vous ? Bof, pas grand-chose, enfin si, tout va bien. Fred et moi sommes toujours éperdument amoureux. Il ne m’a pas demandé en mariage, par chance, mais m’a proposé plus important :
Le fait est que nous sommes en plein boulot, au bureau, j’ai pas mal de courrier en retard, ce qui pourrait aggraver ma fessée s’il le savait, autant remettre nos petits jeux à la veillée.
J’adore ce jeu, que Fred a instauré au début de notre relation amoureuse, d’autant que cela n’outrepasse jamais le côté ludique. Il a pu lui arriver d’échapper une claque trop vive sur mes fesses, il s’en est montré plus contrarié que moi, et je le connais assez, maintenant, pour savoir qu’il est sincèrement au regret d’avoir tapé trop fort. Je pardonne d’autant plus facilement qu’il s’efforce de compenser sa maladresse en me couvrant de baisers et de caresses, et si j’étais d’un naturel plus calculateur que je ne suis, je pense que j’obtiendrais de lui, en ces moments-là, tout ce dont je peux rêver. Mais j’ai déjà, il me rend plus heureuse que je n’ai jamais été, alors restons sages et modérés dans nos aspirations.
Ce vendredi soir, nous allons fêter la fin de semaine avec une soirée en amoureux, comprenant des jeux coquins avant et après un repas fin. Je quitte le bureau la première pour préparer tout cela. Demain samedi nous travaillerons encore, mais « en roue libre », téléphone sur répondeur, pour mettre au net nos dossiers, réfléchir à nos projets. Par exemple, j’ai dans l’idée de me faire aider à la maison, et pourquoi pas avec une étudiante en résidence chez nous. Je vais contacter les organismes d’aide aux étudiants et mettre des annonces.
Mais ce soir, c’est la fête ! Mon chéri débarque à une heure raisonnable, un bon point pour lui. J’ai préparé un petit plateau d’amuse-gueule pour l’apéritif, nous prenons place côte-à-côte dans le canapé en écoutant de la musique.
Mon coquin laisse traîner sa main qui retrousse négligemment ma jupe, jusqu’à faire apparaître ma culotte.
Je pense qu’après une petite visite chez une corsetière, il va y réfléchir à deux fois, même si nos affaires marchent très bien. Ceci dit, s’il y tient vraiment, j’aurais une ou deux parures de soie blanche, pour les grandes occasions, je me laisserais faire…
En attendant, il a posé sa main entre mes cuisses, sa paume qui me réchauffe le pubis, son majeur qui frotte doucement mon bijou, et j’ai le bras trop court pour attraper les zinzins d’apéritif.
Mais non, il en a décidé autrement. Il vient s’installer à mes genoux, m’enlève mes chaussures, me retire ma jupe puis ma culotte, enfin installe mes jambes sur ses épaules. Il darde sa langue sur ma vulve, parvient à écarter les lèvres sans mal et entame sa dégustation, que j’accompagne bientôt de vocalises. J’essaie de ne pas crier trop fort en atteignant l’extase.
Voilà. Il arbore cet air satisfait qui me contrarie un peu, mais je ne peux pas lui en vouloir bien longtemps, même si ses fantaisies m’obligent maintenant à aller faire un brin de toilette avant de passer enfin à table.
Notre petit souper fin est terminé. Nous débarrassons et faisons la vaisselle – il m’a promis que bientôt j’aurai un lave-vaisselle, même si je proteste qu’une vaisselle pour deux couverts ne nécessite pas une usine à gaz – et nous partons dans la chambre.
On ne traîne pas : je dois aussitôt quitter ma jupe pour la deuxième fois de la soirée et m’allonger sur ses genoux ; il me déculotte lentement pour jouir au maximum de ce geste qui reste humiliant, quoi qu’on en dise, et entame la fessée que j’ai, paraît-il, bien méritée. Il commence un peu rudement en précisant que cette première série sanctionne mon retard dans mon travail de bureau. Ensuite il tapotera mes fesses assez longuement jusqu’à ce que je demande grâce.
Je suis maintenant abandonnée à plat ventre sur le lit pour digérer ma fessée avec délectation, tandis qu’il se déshabille. J’aurai droit à une nouvelle minette, « pour ne pas tâcher les draps » puis à une pénétration en levrette « qui est appréciée particulièrement après excitation convenable du clitoris »… Enfin le sommeil nous emporte après de tendres caresses.
Le lendemain samedi, je trouve sur le répondeur du bureau un message d’une certaine Élodie Moreau qui souhaiterait présenter sa candidature à l’annonce que j’ai fait paraître. Je la rappelle et l’invite à venir nous voir aussitôt en ce début d’après-midi du samedi.
C’est une fille très jeune, dix-neuf ans nous dira-t-elle, d’abord modeste, même timide. Elle est en première année de droit. Je lui expose ce que je souhaite : elle réside chez nous, partage notre repas du soir qu’elle aura confectionné elle-même, aura un salaire et des loisirs à définir. Elle nous assure aussitôt qu’elle est prête à assurer ce service, mais m’informe piteusement qu’elle ne sait pas faire la cuisine. Je la rassure aussitôt :
Après son départ, Fred me confirme que la gosse lui a fait bonne impression. Elle est si impatiente de concrétiser tout cela qu’elle nous a très timidement proposé de venir nous voir demain dimanche, si par cas c’était possible.
Le lendemain, elle est au rendez-vous dans notre banlieue. Après lui avoir offert un café et échangé quelques banalités, je lui fais visiter notre logis. D’abord la chambre qui pourrait devenir la sienne :
Elle est attendrissante tant elle semble ravie de tout ce que je lui propose. Après le tour complet de la maison, de retour au salon, je l’invite à s’asseoir près de moi sur le canapé, et nous papotons. Elle me révèle beaucoup de sa vie : elle est pratiquement seule, elle n’a plus que sa mère, qui n’a pas le temps. Elle est sans ressources. Il m’a paru évident dès hier qu’elle est habillée d’articles très bon marché et plus ou moins élimés.
Deux heures après nous sommes de retour. Elle porte sa valise dans sa chambre. J’ai comme une idée qu’elle a besoin d’être équipée de A à Z, mais comment faire pour savoir exactement de quoi elle a besoin, tout en ménageant son amour-propre ? N’allons pas trop vite, je vais la laisser tranquille pour l’instant. Vers dix-neuf heures je vais appeler tout le monde pour un apéritif de bienvenue et nous pourrons aborder avec légèreté quelques questions d’intendance.
J’ai demandé à Fred de nous ouvrir du champagne pour fêter l’arrivée d’Elodie. Nos flûtes à la main, nous devisons dans le salon. Élodie et moi sommes côte à côte dans le canapé, Fred dans un fauteuil déguste son verre en pensant à Dieu sait quoi. Je m’adresse à ma voisine à mi-voix :
Le lendemain matin, dès que nous commençons à fourgonner dans la cuisine, elle apparaît dans le tee-shirt de Fred qui a vite détourné la tête. Je m’interpose entre eux, et lui chuchote en l’embrassant :
Elle est toute rouge. Je décroche l’un de mes déshabillés et l’en couvre. À notre retour dans la cuisine, Fred, sans un mot, se tapote la joue de l’index ; elle comprend de suite et l’embrasse. Il sourit amicalement :
Nous éclatons de rire tous deux. La pauvre est toute confuse et je m’empresse de la rassurer :
Dès ce lundi, nous courons les magasins pour qu’elle ait du linge, des vêtements, des chaussures et une foule de petites choses sans lesquelles une femme se sent toute nue, même si la pauvrette est habituée à faire sans. Mais sa joie est, pour moi aussi, une joie. Le passage dans les cabines d’essayage est l’occasion d’un peu d’intimité, me reviennent les souvenirs d’avoir fait la même chose avec ma fille. Au soir de cette journée extraordinaire pour elle, excitante pour moi, après la vaisselle que nous avons faite toutes deux, elle m’a demandé si j’avais besoin d’autre chose :
J’ouvre les bras, elle se jette contre moi, nous restons ainsi quelques secondes, je suis très émue, puis elle me plaque une bise sur la joue et s’échappe vers sa chambre. Fred me dit en me revoyant :
Et c’est ainsi que petit à petit la vie à trois s’est mise en branle. Et puis le premier heurt est survenu, une dizaine de jours après. Le temps s’était brusquement refroidi. J’arrive à la maison, comme chaque soir environ une heure avant Fred, et dès que j’entre une odeur de tabac me fait sursauter. Je me précipite et me mets à ouvrir tout grand les portes et fenêtres. Élodie apparaît, je l’interpelle vivement :
Puis nous refermons progressivement car le froid pénètre. Je l’attire dans le salon, refermé lui aussi :
Elle se tient là, debout devant moi, la mine défaite. Je l’attrape par un poignet et la bascule sur mes genoux. Je frappe ses fesses, bien à l’abri sous un blue-jean, et au bout d’un moment je me rends bien compte que c’est tout à fait ridicule, sans la moindre efficacité, je la relève :
Elle s’exécute sans discuter. Je saisis son petit slip et lui fait suivre le même chemin, jusqu’aux genoux. Elle reprend la bonne position, et là, je lui applique une fessée retentissante. Quand je cesse de claquer, c’est bien chaud, bien rouge, elle sanglote. Je la relève et l’installe assise sur mes cuisses, je l’attire vers moi, je regrette d’avoir fessé un peu trop fort, peut-être, une fille qui n’est pas la mienne, d’autant que j’en ai une qui n’a jamais connu cela. Voilà que je culpabilise :
Quelques jours plus tard, je constate qu’elle a farfouillé dans ma lingerie. Diverses pièces sont déplacées et, en particulier une jolie boîte de carton blanc contenant la parure de soie que Fred m’a offerte pour mon anniversaire. La boîte, mal refermée, révèle que son contenu a été manipulé. J’appelle Élodie, qui rougit quand elle me voit devant le tiroir ouvert :
Je m’assois sur le lit et sur un simple geste de ma part, elle déboutonne son jean et le baisse, puis vient s’allonger sur mes cuisses. Je tapote sa culotte en la sermonnant puis je baisse le petit vêtement et claque le derrière nu. Je me limite à une douzaine de claques modérées. Je ne suis pas vraiment en colère, des idées contradictoires se bousculent dans ma tête.
Je suis en train de constater que je me prends à jouer à la poupée. La docilité d’Élodie m’y encourage. De fait, ces fessées vont se multiplier jusqu’au jour où, venant de lui claquer les fesses une fois de plus et consolant la jeune fille larmoyante, je lui demande abruptement :
Je réalise soudain le danger. Si je n’y prends garde, la fessée pour rire n’est plus très loin, comme celle que me prodigue mon homme, et, de fil en aiguille, les petits jeux saphiques, auxquels je ne me suis jamais livrée ; mais voilà, je suis assez lucide pour admettre qu’Élodie m’attire, que j’ai plus envie de caresser son petit cul que de le rudoyer. Il faut mettre un terme à ce truc qui risque de mettre mon couple en danger.
Nous avions deux semaines avant la rentrée universitaire, il n’en reste qu’une. Le soir même je décide de demander conseil à mon homme :
Élodie a un peu boudé le nouveau système, mais a changé d’idée quand j’ai ajouté que, sinon, ce ne serait plus mes gentilles fessées à la main, mais le fouet que Fred lui appliquerait. Il va sans dire que cette menace était purement imaginaire de ma part, le bourreau même pas au courant, mais Elodie en a conçu une terreur salutaire.
La rentrée universitaire s’est bien passée. Élodie donne maintenant l’impression d’être nettement mieux dans sa peau. Je m’amuse à constater qu’elle fait un peu sa coquette, elle souhaite avoir quelques produits de maquillage, peu de choses dit-elle, alors je l’invite à faire des essais avec ma collection de pots et de flacons, et mes conseils, bref me voilà rejouant à la poupée mais sans culpabiliser cette fois. Pour tenter de lui donner un but, je lui propose :
(À suivre)