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Temps de lecture estimé : 10 mn
10/01/13
Résumé:  Malik et Marianne partent en vacances dans les Landes. Le soleil, le sable, la plage : autant de lieux pour se retrouver.
Critères:  f h couple vacances plage voir exhib nudisme fmast hmast -voyeuroca
Auteur : Pomme      Envoi mini-message

Série : Les Vacances.

Chapitre 01 / 02
Les vacances : première partie

DÉPART



Enfin l’été ! Nous attendions ces vacances depuis quelque temps avec ma femme. Nous avons décidé de partir au soleil dans les Landes pour la fin du mois d’août. C’est une région que nous adorons particulièrement. Je m’appelle Malik, je suis entraîneur de natation, sportif ; je mesure 1,86 m et pèse un peu moins de 80 kg. Ma femme Marianne, ancienne nageuse synchronisée de haut niveau, est très jolie : brune, les yeux marron-vert, une belle poitrine et des fesses magnifiques.


Nous partons donc pour quinze jours dans les Landes, en camping amélioré où des amis de ses parents nous laissent leur mobil-home gratuitement. La voiture est pleine à craquer ; les planches de surf fixées sur le toit, nous voilà enfin partis.

Nous arrivons en fin de journée ; le temps de vider la voiture, et nous prenons possession des lieux. Nous découvrons le mobil-home et le camping : 500 m de la plage, piscine… la grande classe ! Je sens que l’on va passer de bonnes vacances. Nous sommes fatigués par le voyage et ne tardons pas à nous coucher. Un petit coup d’œil sur les prévisions de surf pour demain matin, et au dodo. On décide de mettre le réveil à 8 h ; une petite houle arrive dans la nuit.




JOUR 1



Nous voilà partis à pied à la plage avec les planches sous le bras ; on est déjà en combinaison. Ma femme a acheté une nouvelle combi ; elle lui va parfaitement, d’autant plus qu’elle a décidé de ne rien mettre dessous (depuis le temps que je lui dis que c’est beaucoup plus agréable). J’avoue que je commence à avoir une petite érection en la suivant et en observant ses petites fesses. En longeant la plage pour arriver jusqu’au pic, ma femme me fait remarquer que nous passons à côté de nudistes. Il est vrai que dans la région, en dehors des plages banalisées, il est fréquent de trouver des plages naturistes. Un peu amusés, nous continuons notre chemin comme si de rien n’était.


Une bonne session de surf de deux heures dans les bras, on décide de rentrer au camping : on en a bien profité, et peut-être, si les conditions le permettent, on reviendra ce soir. De retour au mobil-home, je m’occupe de rincer les planches et les combis pendant que ma femme file sous la douche. Soudain, je crois entendre de petits bruits venant de l’intérieur du mobil-home ; je m’arrête… Rien. Ça venait peut-être de la forêt d’à côté. Je finis de ranger le matériel et ferme le tuyau, puis je décide de rentrer me doucher à mon tour. C’est alors qu’en me déchaussant, je comprends que les petits bruits viennent en fait de notre chambre. J’y découvre ma femme, fraîchement douchée, la serviette encore autour d’elle, allongée sur le lit, une main glissée dans son entrejambe.



Nous avons une vie sexuelle très épanouie avec ma femme, mais il nous arrive quelquefois de nous masturber chacun de son côté ou à deux. C’est quelque chose que nous gardons pour nous.



Elle continue alors à se caresser avec une main en-dessous de sa serviette ; je ne vois pas grand chose pour l’instant, mais la situation m’excite beaucoup et une bosse commence à naître dans mon short. Elle commence à se lâcher un peu plus, écartant un peu plus les cuisses et laissant glisser la serviette le long de ses jambes. Je me déplace alors pour me mettre face à elle, au bout du lit. Je reste debout à la regarder. Sentant que la situation m’excite, elle détache complètement sa serviette et je peux voir son corps nu. Ses seins sont magnifiques et ses tétons pointent d’excitation. S’apercevant que je dirige mon regard vers son minou, elle écarte encore plus les jambes. Je m’aperçois qu’elle est toute mouillée : sa mouille coule le long de sa fente jusqu’à son petit trou.



Nous baissons tous les deux les yeux vers mon short. En effet, une belle bosse s’est formée.



Alors elle reprend ses caresses et va directement titiller son clito avec sa main droite, tandis qu’avec la gauche elle se masse tendrement les seins. Ses mouvements s’accélèrent, puis ralentissent ; elle bouge son bassin dans tous les sens. Elle se lâche de plus en plus… Elle commence à se doigter en même temps avec sa main gauche. Un, puis deux doigts entrent sans problème dans sa chatte toute mouillée.



De mon côté, je n’en peux plus. Mon érection est tellement forte que j’ai baissé mon short pour soulager l’étreinte. Je m’aperçois que je suis complètement mouillé moi aussi. Tout en regardant ma femme, je prends mon sexe et commence doucement à me branler. Je durcis très rapidement et pointe très dur en direction de ma femme.



Nous nous masturbons ensemble l’un en face de l’autre. Je sens mon gland durcir de plus en plus et mon orgasme arriver. Ma femme, elle, a replié ses cuisses et continue à se masturber ; elle accélère de plus en plus. Je la sens elle aussi proche de l’orgasme.



Elle se doigte en même temps pour augmenter son plaisir, et par la même occasion le mien. Je ne tarde pas à jouir également ; j’accélère mon mouvement et déverse mon sperme face à elle. Nous jouissons quasiment en même temps : c’est tellement bon que mes jambes manquent de se dérober. Ses doigts sont trempés, sa chatte est complètement dilatée. Ma queue est encore dure. Je me caresse doucement ; quelques goutes de sperme sortent encore.

Je viens m’allonger à côté de ma femme et nous nous endormons tranquillement et amoureusement dans les bras l’un de l’autre.


Après cette petite sieste, nous décidons d’aller nous balader dans la ville et de faire quelques courses. Nous en profitons pour manger un morceau et, de retour en début d’après-midi, on décide de profiter de la piscine du camping. On ira peut-être à la plage en fin de journée, quand il fera moins chaud.


16 h 30 : nous décidons de partir de la piscine pour aller faire un tour sur la plage. Nous passons vite fait par le bungalow pour récupérer des serviettes sèches. La majorité des touristes sont sur le retour ; il y aura moins de monde comme ça, et il fera moins chaud. On décide de se décaler sur la droite de la plage pour être un peu au calme. On n’a pas envie de se faire lancer du sable par des gamins. Je trouve un coin pas trop mal, mais ma femme insiste pour que nous avancions encore un peu… Je la regarde :



Je ne savais pas que ma femme avait des envies de s’exhiber, mais je la suis sans faire trop d’histoires. On avance encore un peu, puis on s’installe sur nos serviettes. On était entouré de plusieurs personnes : un couple au-dessus de nous, totalement dévêtu, une petite quarantaine d’années, très beaux tous les deux ; à notre gauche, une jeune femme, d’environ 25 ans, qui devait passer ses journées sur la plage à bronzer intégralement : aucune marque de bronzage à l’horizon ; et enfin, à notre droite, un autre couple, un peu plus vieux celui-ci, en train de lire des magazines. Tous ont levé les yeux rapidement pour voir qui venait d’arriver, puis sont retournés à leurs activités. On se met en maillot à notre tour, et ma femme me demande :



Elle enlève le haut et se retrouve en bikini, sa généreuse poitrine à l’air. Je jette un œil à nos voisins. Les deux couples n’ont pas bougé. Je regarde vers la jeune femme ; elle détourne le regard au même moment. Je crois qu’elle apprécie la poitrine de ma femme ; ce n’est pas pour me déplaire. Le temps passe, nous lisons chacun de notre côté. Marianne se tourne vers moi et me dit :



J’enlève discrètement mon boardshort en restant allongé. Je me retourne vers Marianne : elle est déjà repartie dans sa lecture, mine de rien. Le soleil éclaire ses jolis seins et son petit ticket de métro qu’elle a laissé ; elle est magnifique. Étant allongé sur le côté, je m’aperçois qu’une petite érection a fait son apparition. Discrètement, je me tourne de l’autre côté, l’air de rien. Étant maintenant dos à ma femme, je reprends ma lecture. En relevant la tête, je croise à nouveau le regard de notre charmante voisine. Apparemment, elle a immédiatement remarqué mon début d’érection et reste quelques secondes fixée sur mon sexe. Je regarde mon sexe (intégralement épilé, d’ailleurs), puis la regarde à nouveau. Elle détourne enfin le regard. Mais je me rends compte que cette situation m’a quelque peu excité et que mon sexe ne cesse de grossir. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai pas envie de me cacher et je laisse ma jeune voisine profiter du spectacle.


Croyez moi, elle n’en perd pas une miette. Cachée derrière son livre, elle jette régulièrement un coup d’œil vers moi. Je fais bien sûr mine de ne rien remarquer. Puis, d’un coup, elle se lève. Je reste la tête baissée sur mon livre et la regarde du coin de l’œil. Elle se dirige vers l’océan. J’observe ses courbes, ses petites fesses et sa belle poitrine. Elle se baigne rapidement et remonte vers sa serviette. Là, mine de rien, elle se décale vers nous en regardant le soleil et se positionne à quelques mètres de notre serviette, légèrement en contrebas. Elle s’allonge sur le ventre et reprend sa lecture.


Un peu sur le cul à cause de son audace, je ne me dégonfle pas et ne change rien à ma position. Elle se retrouve donc aux premières loges, avec vue directe sur mon sexe. La situation m’excite un peu car je sais qu’elle continue de me mater. De temps en temps, je relève légèrement la tête pour la voir elle aussi. Elle fixe mon entrejambe et moi ses fesses. Je sens mon sexe grossir et je commence à mouiller. Je pose discrètement une main sur ma cuisse et me rapproche de plus en plus du sujet de mon désir. Une folle envie de me caresser m’envahit. Je regarde vers mon sexe : mon gland est dur et ma tige bien dure. Je mouille et on aperçoit un peu de liquide qui sort de mon gland. Je regarde en direction de ma voisine ; elle n’a rien perdu du spectacle. Maintenant, elle ne se cache pas et regarde ouvertement mon sexe en érection à quelques mètres d’elle. Je crois qu’elle a envie que je continue, et je dois dire que moi aussi. Je suis tellement excité…


Je passe ma main sur mon sexe et le caresse doucement. Je finis par le prendre à pleine main et j’effectue des petits mouvements de haut en bas, décalottant ainsi l’extrémité de mon gland gonflé de plaisir. Je regarde ma voisine qui me fixe toujours et je me rends compte qu’elle aussi n’a pas pu résister au plaisir. Je constate qu’elle a glissé une main sous son ventre, que son bassin est légèrement surélevé et que ses fesses bougent de façon incontrôlée. Voyant cela, je n’en suis que plus excité. J’augmente l’amplitude de mes mouvements de façon à découvrir mon gland dans sa totalité et me branle ouvertement face à cette jeune femme qui me regarde prendre du plaisir. J’accélère mes mouvements en restant discret. Je regarde derrière moi pour voir ce que fait ma femme : elle s’est apparemment assoupie ; son livre est posé et sa tête est tournée de l’autre côté.


Je me concentre alors complètement sur la vision de ma voisine en train de se masturber en regardant ma queue pointant vers elle. Je saisis ma verge et me masturbe moi aussi, de plus en plus vite. Ma voisine me sourit ; elle aime me voir prendre du plaisir et je pense qu’elle veut me voir jouir. Je ne peux résister longtemps. J’effectue de très amples va-et-vient ; mon corps se raidit, et je jouis en ne quittant pas ma voisine des yeux. Mon sperme de déverse sur le bord de ma serviette et dans le sable ; je continue à me caresser doucement, c’est si bon ! À ce moment-là, je vois ma voisine fermer les yeux et se raidir à son tour : elle jouit elle aussi. Nous restons comme cela deux petites minutes, regardant le corps de l’autre. Elle essaie de me dire quelque chose ; je ne comprends pas tout de suite. Puis, en fixant sa bouche, je distingue un « merci ». Je lui réponds d’un signe de tête en lui souriant « de rien ». Nous retournons par la suite à nos occupations.


Peu après, je remarque qu’elle se lève et part sans se retourner. J’attends un peu et propose à Marianne de rentrer. Nous nous rhabillons tranquillement et remontons au camping. Sur le chemin du retour, Marianne me dit :