n° 15506 | Fiche technique | 16225 caractères | 16225Temps de lecture estimé : 10 mn | 05/03/13 |
Résumé: Malik et Marianne continuent de découvrir les plaisirs des plages landaises. Entre vagues et surf, ils profitent de leurs vacances et font de belles rencontres. | ||||
Critères: f fh couple vacances plage sport amour cérébral voir exhib nudisme -couple -plage | ||||
Auteur : Pomme Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les Vacances. Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Dans le premier épisode : Malik et Marianne, jeune couple, s’en vont dans les Landes passer d’agréables vacances. Ils en profitent pour surfer et faire de belles rencontres : comme cette jeune femme sur la plage nudiste qui se laisse aller au plaisir solitaire.
JOUR 2
Après une bonne nuit de sommeil, on se réveille ensemble en milieu de matinée. On regarde les prévisions de surf : petit surf toute la journée. On décide de se préparer tranquillement, on va sûrement amener de quoi manger sur la plage.
Départ pour la plage vers 11 h 30 avec les planches sous le bras et le pique-nique dans le sac à dos.
Je suis Marianne sur la plage et je vois bien qu’elle se dirige à nouveau à l’extrême nord. Je ne dis rien et la suis donc avec un certain plaisir et cherchant discrètement du regard mon admiratrice d’hier… sans succès.
Je regarde discrètement autour de nous. Quelques couples sont déjà installés, dont un, légèrement au-dessus de nous.
Sur ce, j’observe ma femme se déshabiller, discrètement mais avec une certaine fierté. Dans un premier temps, elle ôte son triangle, laissant apparaître sa magnifique poitrine ; puis en s’allongeant et en soulevant légèrement son bassin, elle fait glisser son bikini le long de ses cuisses. Elle dévoile ainsi son joli minou tout épilé. De mon côté, je me dépêche de retirer mon board-short et m’empresse de m’allonger sur le ventre.
Chacun avec un magazine, nous passons notre matinée à bouquiner, profitant du beau temps et du bruit de l’océan.
Je déconnecte un peu de la conversation. Caroline, c’est la copine d’enfance de ma femme. Elles ont le même âge et se connaissent depuis le primaire. Maintenant, Caroline vit sur Paris avec Maxime, son mari. On s’entend très bien tous les quatre, mais n’avons pas eu l’occasion de partir en vacances ensemble. Marianne raccroche.
On s’assoit l’un en face de l’autre et nous préparons nos sandwiches. Je jette un œil autour de nous discrètement. Le couple au-dessus de nous est le plus proche, dans nos âges, peut-être un peu plus vieux que nous. Je remarque tout de suite que la femme est très bronzée et n’a aucune marque de maillot. Ça doit être des habitués. Ils sont tous les deux allongés sur le dos avec un livre devant les yeux. Étant assis, nous avons une très belle vue sur leurs corps. Lui, semble assez petit, plutôt rond, mat de peau avec un sexe de taille correcte au repos, une petite touffe entretenue au-dessus. Elle, bronzée et huilée au monoï, je suppose. Elle a de jolis seins, petits mais avec de jolis tétons, bien dessinés. Sur le dessus de sa vulve se dessine un joli triangle de poils bien entretenu.
Je tourne la tête vers Marianne ; apparemment, je ne suis pas le seul à mater nos voisins.
Je souris.
On se lève de nos serviettes et courons comme des gamins pour arriver le premier dans l’eau. Je regarde ma femme : sa poitrine et ses fesses se balancent à chaque foulée… j’adore le corps de ma femme. On profite de l’océan et des petites vagues. J’espère que ça va grossir un peu cet après-midi. On se rapproche et on s’embrasse. L’eau est fraîche ; mais malgré ça, le contact de ses seins et de sa peau me fait réagir.
Elle glisse une main sous l’eau en direction de mon entrejambe.
Elle se frotte alors encore plus contre moi ; ses seins sont durcis par la température de l’eau et ses tétons bien droits.
Elle me prend par la main et me tire hors de l’eau. Je regarde mon sexe en sortant : j’ai en effet une petite gaule. Un peu gêné, je me cache comme je peux avec mon autre main et on court vite jusqu’aux serviettes. En remontant, je remarque notre voisine qui regarde notre retour, discrètement derrière ses lunettes de soleil. Elle est sur le dos, appuyée sur ses coudes. En même temps, on remonte juste en face d’elle ; je ne vois pas comment elle ne pourrait ne pas nous voir. Malgré ses lunettes, je vois bien qu’elle est restée fixée sur mon sexe qui n’a pas perdu de sa vigueur en sortant de l’eau. Je la regarde alors et lui souris. Elle me sourit en retour.
De retour sur nos serviettes, on s’assoit l’un en face de l’autre en tailleur.
On s’installe alors un peu plus confortablement, toujours l’un en face de l’autre. On continue à discuter de choses et d’autres, quand mon regard se porte à nouveau sur la femme au-dessus de nous.
Elle regarde et voit comme moi la femme qui passe doucement ses mains sur sa poitrine, sur son ventre.
En effet, cette femme continue tranquillement à faire glisser ses mains sur son corps. Elle caresse le dessus de ses cuisses maintenant, puis glisse vers l’intérieur, passe délicatement sur son minou. Son corps se cambre, et remonte sur son ventre. Elle relève la tête dans notre direction. Nous nous regardons avec Marianne. A-t-elle senti que nous l’observions ? On fait comme si de rien n’était. On se regarde et parlons d’un sujet au hasard.
Au passage, Marianne me fait remarquer que ce petit jeu de voyeurisme à l’air de me plaire. Je regarde mon sexe : en effet, je n’ai pas vraiment débandé depuis tout à l’heure. Je regarde alors le minou de ma femme : elle non plus ne semble pas insensible au spectacle. Je constate que sa vulve est bien ouverte et commence à briller au soleil. On tourne la tête alors doucement vers la femme. À notre surprise, elle regarde toujours dans notre direction ; nos regards se croisent mais nous ne fuyons pas, cette fois. Elle semble s’être installée plus confortablement.
Elle a posé un petit coussin de plage sous sa tête de sorte qu’elle est en mesure maintenant de nous voir tout en restant allongée. Elle a également enlevé ses lunettes de soleil. Plus de confusion : elle nous regarde bien et reprend ses caresses avec ses mains. Elle passe tout d’abord ses mains sur sa poitrine ; on voit d’ici que ses tétons durcissent rapidement. Elle semble très excitée et je dois avouer que Marianne et moi le sommes également par ce joli spectacle que semble vouloir nous offrir cette femme. Elle continue par glisser ses mains sur son ventre pour finir sur son mont de Vénus. Là, elle écarte un peu plus les cuisses et nous fait découvrir son intimité. Avec sa main droite, elle fait glisser ses doigts de bas en haut tout doucement et se caresse ainsi les lèvres. Je regarde alors Marianne.
Je continue de regarder ma femme qui semble hypnotisée par cette femme en train de se masturber devant nous. Quand je remarque alors que Marianne commence elle aussi à faire glisser ses mains sur son ventre et l’intérieur de ses cuisses.
Elle tourne la tête vers moi comme si je la sortais d’un rêve.
Je passe alors ma main sur ma verge qui grossit de plus en plus. Nous tournons la tête ensemble pour voir où en est l’objet de notre désir. Cette femme n’a pas raté une miette de ce qui vient de se passer avec ma femme. Elle a écarté encore un peu plus les cuisses et se concentre maintenant sur son clito qu’elle titille avec ses doigts. Marianne en fait de même. Assise en tailleur, elle n’a aucun mal à atteindre son clito et commence à faire des petits cercles.
Pour ma part, je bande très dur et je décalotte doucement mon gland, effectuant de petits mouvements d’aller-retour. Notre voisine continue ses caresses et ne manque pas de jeter des regards dans notre direction. Elle se doigte par moments pour venir humidifier son clito. Son mouvement est de plus en plus rapide ; elle se concentre alors uniquement sur son clito. Elle semble proche de l’orgasme : ses cuisses se contractent, ses jambes se tendent et son bassin se lève. Elle va jouir et relève légèrement la tête pour regarder dans notre direction. Nous ne ratons rien de ce délicieux spectacle. Marianne est, elle aussi, proche de l’orgasme. Elle a accéléré son mouvement et se branle énergiquement le clito. Je peux voir sa chatte mouillée bien ouverte.
Je me branle alors de plus en plus vite en regardant ma femme et notre voisine. C’est elle qui craque la première et bascule la tête en arrière. Elle se cambre en s’acharnant sur sa chatte et finit par se doigter vigoureusement. Pendant ce temps, Marianne, elle aussi au bord de l’orgasme, me regarde m’astiquer et finit par céder. Des spasmes parcourent tout son corps, sa chatte se contracte et se relâche, elle mouille comme pas possible. C’est alors mon tour ; je jouis et répands mon sperme sur la serviette et sur la chatte de ma femme. C’est tellement bon ! Je regarde ma femme et l’embrasse. On se retourne vers notre voisine et nous sourions. Elle nous sourit également.
Chacun reprend le cours de son après-midi. Nous restons encore un peu sur la plage. La houle n’a pas l’air de vouloir se lever… tant pis ! Ça sera pour demain.
La fraîcheur commence à tomber, la plage se vide doucement. On rassemble nos affaires. Le couple au-dessus de nous est encore là et n’a pas l’air de vouloir partir tout de suite. On se rhabille avec Marianne ; nous ramassons les planches et quittons le lieu de cet adorable après-midi.
Arrivé au mobil-home, je m’occupe comme d’habitude de rincer les affaires et de ranger les planches pendant que Marianne met les quelques courses dans le frigo. Après une petite douche, on prépare l’apéro et le repas (petite salade sucrée/salée). Il fait bon dans le logement et Marianne a mis une petite robe blanche légèrement transparente qui laisse deviner son string blanc en dentelle quand elle se penche en avant. Sa peau est légèrement dorée par le soleil.
Le téléphone sonne. C’est Caroline et Maxime ; ils sont à l’entrée du camping. Marianne sort devant le mobil-home et leur indique le chemin pour nous rejoindre. Les voilà !
Je suis resté sur la terrasse pendant que Marianne est allée au-devant d’eux. Maxime n’a pas changé : peut-être pris un peu de masse. Quant à Caro, toujours aussi mignonne. Blondinette, petite taille, de jolis seins (légèrement plus petits que ceux de ma femme, mais d’une taille raisonnable). De beaux yeux clairs. Elle porte un petit débardeur qui fait joliment ressortir sa poitrine et un pantacourt. Max, lui, est habillé en jean et polo, simple et classe. Je descends les saluer.
Maxime surfe aussi et Caroline s’y est mise quasi en même temps que Marianne. Max a apporté sa planche aussi, je l’aperçois. Ça promet de belles sessions tout ça.
Je regarde les filles, elles ont l’air heureux de se retrouver. Je dois admettre que je suis content de passer quelques jours en leur compagnie. Maxime me rejoint dans la cuisine pour apporter les boissons. On prépare un petit plateau.
Elles étaient déjà parties dans la chambre ; Marianne montrait ses derniers achats.
Je sens que ce petit séjour en leur compagnie va être très agréable.
À suivre…