n° 15399 | Fiche technique | 27863 caractères | 27863Temps de lecture estimé : 18 mn | 14/01/13 |
Résumé: Une découverte des rencontres en plein-air. | ||||
Critères: hhh inconnu forêt exhib facial anulingus hdanus hsodo -hhomo | ||||
Auteur : Jd (Un amoureux des textes beaux et excitants) |
DEBUT de la série | Série : Un bois ordinaire Chapitre 01 | Épisode suivant |
J’ai déjà relaté sur ce site mes aventures dans un sauna de Vincennes. Je suis adepte du genre d’activités qu’on y pratique. Je ne suis pas un habitué mais, lorsque je le peux, je n’hésite pas à m’y rendre. Je pourrais de la même manière vous rapporter des aventures similaires dans un autre sauna du côté de Montparnasse.
Mais j’ai décidé qu’aujourd’hui nous irions nous aérer, et je vais vous conter une balade dans un bois de la proche banlieue Sud de Paris, dans les Yvelines.
J’avais pris mes renseignements, et je loue ici internet qui permet rapidement d’accéder à des informations – certes plus ou moins fiables – sur des lieux qui méritent d’être fréquentés par des personnes comme moi, attirées par du plaisir direct sans prise de tête, comme on a coutume de dire.
L’inconvénient, c’est qu’il faut disposer d’un véhicule et braver les embouteillages avant de retrouver le calme d’un bois bien sympathique. Puis, après avoir apprécié l’environnement, trouver le lieu « intéressant » pour apprécier une autre sorte d’environnement.
Donc, direction le bois de M… Nous sommes au mois de juin et il est aux alentours de midi. Il fait beau. Tous les éléments sont favorables. Pourvu que ça dure.
N’ayant pas de GPS, c’est muni d’un plan rapide extrait du web que je pars à l’aventure. Après quelques hésitations, et bien qu’impatient et un peu fébrile, je ne mets finalement pas trop de temps pour découvrir un parking sur la gauche d’un virage à angle droit. La présence de quelques voitures garées en plein midi témoigne que je suis peut-être arrivé à destination.
Réflexe normal ou pas, je me gare au bout de l’allée, dédaignant les places libres auprès des quatre véhicules déjà en place.
L’endroit semble désert. Sur ma droite, il y a certes une allée large qui s’enfonce dans le bois, mais elle est déserte. J’attends quelques instants dans ma voiture. Je fais semblant de téléphoner pour me donner une contenance. J’en profite pour repérer les lieux. Face à l’avant de ma voiture, le bois. Un enchevêtrement d’arbustes, d’herbes folles et de troncs d’arbres plus importants. Je m’aperçois assez vite qu’il existe des passages dans cette végétation dense et pas entretenue. Visiblement, on passe et repasse par là. Premier indice que le bois est fréquenté.
Tournant la tête à gauche, vers les véhicules garés, j’aperçois à travers les vitres que dans la première voiture, un 4x4 à une dizaine de mètres de moi, se trouve un homme. Si je cherche une contenance, lui ne se gêne pas pour m’observer. Voyant que je le vois, il me fait un sourire. Je ne me suis vraiment pas trompé : je suis au bon endroit.
Je finis par sortir de ma voiture. Il fait beau, et même chaud ; rester à l’intérieur serait ridicule, et en plus j’y crèverais de chaleur.
Je sors donc. Je me suis habillé en fonction du temps et des circonstances : pantalon léger et moulant qui laisse deviner mon slip à travers le tissu, chemisette légère, les deux boutons du haut ouverts. Il fait en effet assez chaud dehors. Il est 12 h 15. Même à l’ombre des frondaisons, la température est élevée.
Une fois dans l’allée, je me dirige à gauche vers la route qui m’a mené ici. Je remonte le parking. Je passe devant la voiture où se trouve le bonhomme qui m’a souri tout à l’heure. Il me suit du regard. Il est garé dos au bois et peut ainsi suivre les déplacements des rares piétons qui passent par là. Il faudra que je me rappelle de me garer dans le bon sens quand je reviendrai ici.
Il me sourit encore en me suivant des yeux. Je lui rends son sourire. Je crois discerner un geste de sa part m’invitant à m’approcher, mais je l’ignore pour l’instant. Je veux d’abord me familiariser avec l’endroit.
Trois autres voitures sont garées mais sont inoccupées. Je continue et découvre une entrée au bois. Elle est protégée par une barrière visant à empêcher les voitures de pénétrer. Il faudrait qu’elles soient vraiment très étroites pour passer par là. Je devine que c’est par ce chemin que je vais trouver mon bonheur, ou pas.
J’hésite encore. C’est la première fois que je fréquente ce genre de lieux en plein air. J’ai peu d’informations et je crains de ne pas avoir le profil adéquat. Je suis d’âge mûr et, sans être énorme, je ne suis pas non plus un mannequin. Si je dois tomber sur des éphèbes qui exhiberont leur corps impeccable, ce sera parfait pour mes yeux ; mais s’ils dédaignent un gars entre deux âges, c’est mon orgueil qui en prendra un coup. C’est pourquoi je repousse l’instant de m’enfoncer dans le bois et que je retourne vers mon véhicule, d’une démarche faussement nonchalante se voulant être celle du promeneur qui erre sans but précis.
Tout à mes pensées et à mes interrogations, je ne me suis pas aperçu que tout en marchant, je me suis rapproché sensiblement du véhicule occupé par le gars qui me matait. C’est à quelques dizaines de centimètres de la carrosserie que je prends conscience de la présence du 4x4. Je lève soudain la tête et aperçois le gars assis à son volant qui m’observe, un peu surpris de ma distraction. J’ai le temps de voir qu’il n’est pas tout jeune non plus ; n’a plus beaucoup de cheveux, porte un tee-shirt blanc et, surtout, qu’il est nu à partir de la taille jusqu’aux genoux où son pantalon est baissé. Il tient son sexe mollasson mais de belle taille dans sa main droite.
Je reste immobile quelques secondes et le regarde. Plus de doute : je suis au bon endroit, et l’âge apparent du quidam me rassure sur la population qui fréquente ce lieu. Je pense qu’on doit être au moins deux hommes mûrs dans le coin.
Pendant ce temps, remis de sa surprise, l’homme a repris les choses en main, si j’ose dire. Il baisse la vitre.
C’est vrai que sa bite a pris de la consistance. Visiblement, je lui fais de l’effet, ou bien il est dans un tel manque que son sexe ne peut que réagir à quelques va-et-vient de sa main.
Ayant des éléments de réponse à mes interrogations, c’est d’un pas plus assuré que je me dirige vers le chemin derrière la barrière. La vue du sexe en demi-érection de l’homme au 4x4 m’a ému et je sens que le mien ne va pas tarder à réagir à la première sollicitation. L’excitation monte. Le cœur bat plus vite. Je suis soudain pressé de trouver ce que je suis venu chercher.
Je m’avance donc dans le chemin ; à l’ombre, il fait moins chaud que sur le parking. Je suis tout de suite à l’affût, ne sachant comment « ça se passe » dans ce genre de lieux. Je regarde à droite et à gauche tout en avançant, en essayent de trouver une présence humaine. J’avance ainsi pendant une vingtaine de mètres. Seuls les trilles des oiseaux troublent l’atmosphère calme qui règne. Le chemin débouche sur une vaste clairière envahie d’une végétation dense mais peu haute. C’est ainsi que je découvre une tête qui dépasse à quelques dizaines de mètres. Elle tourne et retourne dans tous les sens, visiblement à la recherche de quelque chose, ou plus certainement de quelqu’un. M’apercevant, la tête stoppe son mouvement. Elle est chauve et me regarde quelques secondes puis se baisse et disparaît dans les herbes folles. À mon tour, je regarde en tous sens. Sur ma droite, un peu plus loin, je vois un homme qui se cache – sans se cacher vraiment – derrière un tronc. Il est à l’orée du bois. Il observe lui aussi la clairière.
Je m’y avance alors, suivant un étroit chemin tracé par les multiples allers-retours des mecs depuis quelques années. Je suis une espèce de chemin initiatique. Je me laisse guider par les autres passés par là au fil du temps.
Je sens une ombre qui, à l’intérieur du bois, sur ma gauche, semble me suivre. Mon excitation sexuelle continue de monter. Je retrouve, au creux du ventre, ce sentiment de découverte de l’inconnu que j’avais pu éprouver lors de ma première visite dans un sauna. Ici, la présence humaine est moins visible mais l’ambiance est similaire. Il va se passer quelque chose qu’on imagine excitante, mais sans savoir quoi. Génial. Je continue. Je me sens observé. Je déboutonne un troisième bouton de ma chemisette et je mets mes mains dans les poches arrière de mon pantalon moulant. Ce n’est pas facile, mais une fois les mains introduites, le tissu est encore plus tendu et mon sexe se dessine plus nettement à travers. Je ne sais pas si quelqu’un le voit ; mais moi, ça augmente mon excitation. Je fais mine de masser mes fesses tout en continuant d’avancer. Je n’ai plus de doutes : au bruit de branches ou de brindilles cassées certainement par des pieds, quelqu’un me suit.
À droite dans la clairière, la tête de tout à l’heure a refait son apparition. Plus proche, je distingue qu’en effet elle est chauve mais que l’homme est souriant. Visiblement, il est au moins torse nu car je distingue ses épaules dénudées. J’évalue rapidement que le chemin que je suis devrait passer près de lui. Je continue. L’homme, voyant que je m’approche de lui, se baisse. Il disparaît à mes yeux mais j’ai repéré les lieux et je m’approche. Je découvre alors, dans cette clairière envahie d’herbes folles, d’arbustes minuscules et de ronces, qu’un petit espace est dégagé. L’herbe y est rase et au milieu de cet espace je découvre l’homme à la tête chauve, allongé sur une serviette de bain. Il est complètement nu. Son sexe est petit mais érigé. Une paire de gros testicules pend. Ses jambes sont écartées et je distingue la naissance de sa raie. Il est poilu et un peu ventru. Confirmation qu’il n’y a pas que des perdreaux de l’année qui fréquentent le lieu.
Mon excitation monte d’un cran. Mon sexe occupe pleinement le peu de place dont il dispose dans mon pantalon. Je sors mes mains de mes poches arrière. L’homme me regarde. Il n’est ni beau, ni laid. Il empoigne sa tige pour entretenir son érection. Même petite, cette bite m’attire et, répondant à mon instinct, je vais m’agenouiller quand soudain je sens qu’on me saisit par derrière. Deux mains s’emparent de mes seins après s’être insinuées dans l’ouverture béante de ma chemisette. Je sens un corps contre mon dos. Je suis surpris et j’entends une voix.
Puis je sens la bouche du mec déposer un baiser plus que baveux dans mon cou. Il pince mes tétons, déclenchant en moi le véritable processus de l’érection. Je ne peux que gémir. Ça y est ; je suis dans le vif du sujet ! Je tourne la tête et découvre que l’homme qui m’a empoigné – et qui certainement était celui qui me suivait – est celui du 4x4.
Je me libère de son emprise et me tournant, je le saisis à mon tour et m’empare de ses lèvres. Nos bouches se rejoignent et s’entrouvrent instantanément. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux. Nos corps se frottent. Ses mains saisissent mes fesses. Je sens son sexe contre ma cuisse ; lui doit sentir le mien contre les siennes. Nous titubons, mais nos lèvres ne se lâchent pas. Des mains enserrent mes épaules et c’est alors que je comprends que ce doit être le chauve nu au sol qui caresse mon cul. Je laisse les lèvres de l’homme au 4x4 et tourne la tête pour m’assurer de ce que je suppose. Le chauve est maintenant à genoux et il palpe mes fesses de ses mains grandes ouvertes.
J’étais loin de penser que ma tenue, pourtant choisie pour ça, pouvait exciter ainsi. L’homme au 4x4 me roule une nouvelle pelle juste après que j’ai pu entrevoir que la bite du chauve, maintenant fièrement dressée entre ses jambes accroupies, n’est pas si petite que ça. Il délaisse alors mes fesses et ses mains partent à la recherche de la boucle de ma ceinture. Je sens que je vais devenir le jouet de ces deux hommes ; mais j’étais venu ici dans cet espoir, non ? Je recule mon bassin tout en continuant à embrasser à pleine langue « 4x4 ». Je facilite ainsi les mouvements du chauve qui, certainement habitué à ce genre de manipulations, ne tarde pas à déboucler la ceinture avant de s’attaquer au bouton de mon pantalon prêt à lâcher, tant le tissu est tendu par mon érection. Ma main droite part alors à l’aventure et ne tarde pas à trouver la bite de « 4x4 ». Elle semble de belle taille. Lui aussi recule le bassin pour faciliter ma tâche. Mais nous sommes tous les deux adeptes des longs baisers et nous continuons à nous embrasser fougueusement. Il embrasse super bien et moi, n’étant pas manchot si j’ose dire, nous nous régalons. La bave s’écoule aux commissures des lèvres, se mêlant l’une à l’autre.
Le chauve a enfin libéré les derniers remparts de mon pantalon qu’il s’empresse de baisser jusqu’à mes chevilles. Mon sexe trouve un peu plus d’espace dans mon slip. Voilà mon slip blanc moulant offert aux yeux de mes deux mecs. « 4x4 » a l’air d’apprécier mes palpations sur son sexe. Le chauve reprend ses caresses légères sur mes fesses à travers le fin tissu. J’adore. Je me cambre pour l’encourager.
Qu’importe le langage ; il m’excite. « 4x4 » pose ses lèvres dans mon cou. Je lève la tête pour lui montrer que j’aime ce type de caresses. De ses lèvres, il me pince le lobe de l’oreille avant de faire pénétrer le bout de sa langue dans le conduit auditif. Je suis au comble du bonheur et le manifeste par des gémissements et des « oui » encourageants.
Le chauve a passé ses mains sous le tissu de mon slip. Il sait y faire. Ces caresses bien ciblées sous un vêtement encore présent rendent la situation encore plus excitante. À tel point que, de ma main gauche, je calme l’érection de mon sexe à travers le slip. Mon gland pointe le bout de son nez à la ceinture.
« 4x4 » continue de me lécher le cou puis la poitrine tout en ouvrant sa braguette pour libérer enfin sa queue. Jetant un œil vers le bas, je m’aperçois alors qu’il ne porte pas de slip et que son braquemart jaillit instantanément à l’extérieur. Je ne m’étais pas trompé : il possède un bel engin avec un gland bien décalotté et luisant.
Mine de rien, il m’appuie des deux mains sur les épaules tout en m’embrassant de nouveau sur ma bouche gonflée de désir. Je comprends ce qu’il veut et je m’agenouille dans l’herbe. Je prends soin de tendre mes fesses vers le chauve. Je sens un de ses doigts s’insinuer dans ma raie. Comme beaucoup d’hommes, j’adore cette caresse. Je suis aux anges : un gars commence à me doigter alors que je m’apprête à pomper une belle queue. Je pose mes lèvres sur le gland de « 4x4 ». Son sexe réagit par réflexe au contact de ma bouche. De ma main droite, je saisis la hampe dure et palpitante.
J’entrouvre mes lèvres. Je regarde « 4x4 ». Il me renvoie mon regard. Ses yeux sont fiévreux. Je retarde le moment où je vais l’emboucher. Il tend son ventre vers moi. Je recule ma tête sans lâcher son sexe. De la main, je fais passer et repasser son gland sur mes lèvres humides et encore plus gonflées d’envie. De la pointe de ma langue j’agace le méat. Je sens une goutte de mouille perler et je la recueille de la langue. Je joue avec les nerfs de « 4x4 » qui a saisi ma tête par les cheveux. Il veut imprimer le rythme de mes caresses mais je résiste. Je veux rester maître du jeu.
Le chauve ne reste pas inactif. Il me laisse mon slip mais joue avec. Il tire sur le tissu afin de le faire pénétrer dans ma raie. Ce mouvement a pour conséquence de faire sortir mon gland par la ceinture. Il m’embrasse les fesses. Ma peau y est douce et il apprécie visiblement. Je sens sa bouche fermée parcourir ma peau.
De la main gauche, je m’empare de ses testicules encore logés dans le pantalon. Afin de faciliter ma tâche, il le baisse, laissant libre accès à son paquet. Ses couilles sont aussi très belles et un peu pendantes comme je les aime. Je les soupèse de la paume gauche. Ma main droite commence lentement un mouvement de va-et-vient sur sa queue tout en continuant à guider le gland entre mes lèvres. J’appuie plus fort ma langue contre le bas de son gland et la fais aller de gauche à droite afin d’exciter ses terminaisons nerveuses. Nous n’entendons plus alors que ses gémissements de plaisir.
N’y tenant plus moi-même, j’enfonce sa queue dans ma bouche grande ouverte.
Ça déclenche un grand « Aaaaaaah » de plaisir de « 4x4 » qui accentue le mouvement en attirant ma tête de ses deux mains. Je serre ses couilles de ma main gauche. Il écarte les jambes, manquant de tomber à terre. Le chauve qui avait commencé à me lécher la raie se relève. Attiré par les cris de satisfaction de « 4x4 », il sent le bon coup et vient se positionner sur ma droite, pointant sa queue raide vers mon visage. Je l’aperçois du coin de l’œil. La queue de « 4x4 » en bouche, je peux de ma main droite saisir le sexe du chauve et commencer une lente masturbation.
Mes deux comparses semblent apprécier mes caresses manuelles et buccales. Je continue à pomper « 4x4 ». Je sens que le chauve aimerait bien que je lui en fasse autant car il pose son gland au coin de mes lèvres déjà occupées. Étant partageur de nature, je laisse la queue de « 4x4 » que je me mets à branler de la main gauche pendant que j’enfourne la bite du chauve en lui massant les couilles de la main droite. Je ne sais plus où donner de la tête. J’aspire le gland du chauve, déclenchant des gémissements de plaisir. Je palpe ses couilles.
Encouragé par ces propos crus, je redouble d’ardeur. Reprenant mon souffle, je relève le visage et m’aperçois que mes deux amoureux sont en train de s’embrasser. Un vrai baiser de mecs en chaleur. D’une main, j’évalue mon excitation. Mon slip est baissé sous mes couilles et le tissu est resté dans ma raie comme l’a laissé le chauve après son inspection. J’aime sentir le contact du tissu contre mon anus. Je me relève et me débarrasse de mon slip. Le chauve, surpris que sa queue soit délaissée, me regarde et me saisit la queue.
Ils ne se le font pas dire deux fois ! Sur le dos, côte à côte, flanc contre flanc, jambes écartées, ils n’attendent que mes lèvres. Lequel aura la primauté de ma bouche ? Afin de les exciter un peu plus et de me calmer, debout devant eux, jambes écartées, je commence à me masturber. Ils saisissent alors chacun leur queue et se branlent aussi. J’adore exciter les mecs ainsi. Je le fais en sauna ; mais là, en plein air, à la vue de tout le monde, se masturber et offrir la vue de son corps nu me pousse au somment de l’excitation. Pour éviter d’éjaculer trop vite, je lâche mon pieu et commence à caresser mes fesses. Je fais toujours face à mes deux branleurs. Ils ne peuvent voir mes mains sur mon cul mais ils les devinent. Ils continuent de se caresser en silence, les yeux rivés sur moi.
Il ne m’en faut pas plus pour exciter mon corps et mon imagination. Je me retourne et offre à leur regard mes fesses écartées par mes mains. Je me cambre. Joue la salope. Ce n’est même plus un rôle de composition. Je suis excité. D’un regard, je m’aperçois d’une certaine activité à l’orée du bois, à quelques cinq ou six mètres. Dans l’ombre, je discerne un mec habillé mais la queue sortie, en train de se branler en nous regardant.
Je me retourne, lui jette un regard et me penche un peu pour leur offrir une vue imprenable sur ma raie largement écartée et mon anus entrouvert. Prenant de belles queues et me godant assez souvent, l’orée de mon anus est assez bien ouverte. Je sais que ça excite les mecs et je ne me prive pas d’en user. Je me recule autant que je peux, et c’est presque au-dessus de leur visage que je commence à me doigter. Je n’ai même pas besoin d’humidifier mon doigt pour faire renter ma première phalange. « 4X4 » me caresse une cuisse puis remonte pour saisir une fesse.
Le chauve se redresse pour m’embrasser l’autre fesse et pour appliquer sa langue à mon trou au moment où je retire mon doigt. Je n’en peux plus et me retrouve à genoux entre les jambes de « 4x4 ». Je saisis sa queue entre les lèvres et tourne mes fesses vers le chauve qui, illico, fait pénétrer son index. Quel bonheur. Je commence à tortiller du cul pour l’encourager tout en assenant une pipe d’enfer à « 4x4 ». Nous sommes tous trois au comble de l’excitation, et un instant j’imagine que notre voyeur planqué à quelques mètres de là doit lui aussi être dans un bel état.
« 4x4 » sent sûrement la jouissance monter car il tend son bassin vers moi pour s’enfoncer plus profondément. J’aime les gorges profondes, et c’est avec plaisir que je gobe complètement sa queue jusqu’à son pubis. Elle est vraiment longue, sa bite, car elle m’étouffe un peu. Je la fais ressortir, libérant un long filet de salive. Sa bite est brillante de sa mouille et de ma salive. Je la lape et recommence à la pomper au plus profond. Le chauve n’est pas inactif et se révèle un excellent bouffeur de cul en me léchant la raie et en faisant pénétrer la pointe de sa langue dans mon trou. Je suis sur un nuage. Je gémis tout en absorbant la queue de « 4x4 ». Je le sens ahaner.
Il ne sait pas encore que j’adore pomper à fond ; je m’accroche pour le convaincre alors qu’il essaie de retirer ma tête de ses mains. Il a enfin compris et se laisse aller. C’est au moment où le chauve a réussi à pénétrer plus loin dans mon conduit anal avec sa langue que « 4x4 », dans une cri de bête et tendant son corps comme un arc, lâche plusieurs salves de sperme au fond de ma bouche. J’adore cet instant. Ses jets se succèdent entre mes lèvres et son jus s’écoule de ma bouche trop pleine. Après quelques derniers soubresauts, « 4x4 » retombe, épuisé. Ma bouche dégoulinante se tourne vers le chauve qui s’astique en s’occupant de mon cul.
A-t-il deviné mes préférences, ou bien est-ce la sienne ? Qu’importe. Je me saisis de sa queue. Il est debout, ventre tendu vers moi ; il se masturbe. Je suis à genoux, nu, et je gobe sa bite. Quelques va-et-vient de sa main fortement serrée et il libère son sperme dans ma bouche grande ouverte. Lui aussi éjacule très fort. Les jets sont puissants, témoignant de l’excitation extrême à laquelle j’ai la prétention de l’avoir mené.
Épuisé à son tour, il s’assoit sur l’herbe à côté de « 4x4 », puis s’allonge lui aussi. Leurs queues débandées, mais rouges de leur récente et intense jouissance, reposent sur leurs couilles. Je suis à genoux. Je m’essuie la bouche pour ôter les derniers reliefs de mon repas. Je suis satisfait. Je n’ai pas joui, mais j’ai fait jouir deux hommes. Je suis content. Et mon après-midi n’est pas terminé.
Je me relève et me remets mon slip.
Je finis de me rhabiller. Je prends soin de laisser ouvert le haut de ma chemisette. C’est vrai qu’il fait chaud.
Je m’engage à nouveau dans le chemin étroit ; je m’aperçois que notre voyeur est toujours là. Il a rentré sa queue. A-t-il joui ? Je ne crois pas, sinon il se serait esquivé. Non, il est là et m’observe. Je le regarde. Il est assez jeune. En tee-shirt. Il semble avoir un corps athlétique. Il est en jean. Il me regarde fixement, puis se retourne et s’enfonce lentement dans le bois. Il se retourne très vite pour s’assurer de ma présence. Je n’ai pas fait polytechnique, mais je comprends et je me mets à le suivre…
La suite ? Un jour peut-être.